Your new post is loading...
Your new post is loading...
Les plâtres actuels, faits comme leur nom l'indique de plâtre et de fibre de verre, n'ont pas radicalement évolué depuis longtemps. Mais l'impression 3D pourrait rénover la manière de traiter les fractures.
La police du Michigan a demandé à un chercheur en biométrie de reconstituer précisément les doigts d'un cadavre, pour débloquer le smartphone de l'homme victime d'un meurtre. On ne sait pas encore si la tentative fonctionnera.
Dans son projet de loi d'actualisation de la loi de programmation militaire pour 2015-2019, qui renforce la cyberdéfense et le renseignement, le ministère de la défense évoque des menaces et risques "qui augmentent", parmi lesquels figurent les imprimantes 3D et les drones civils.
Au Japon, une création artistique suscite l’émoi. La police a arrêté une artiste au motif qu'elle cherchait à commercialiser des modèles numériques destinés aux imprimantes 3D. Des modèles qui permettent de reproduire une partie de son anatomie sur des objets divers.
L’engouement pour cette technologie et son fort potentiel d’atteinte aux droits de propriété intellectuelle conduisent à élaborer une réponse juridique adaptée.
Bien que l’impression 3D ne soit pas une invention récente, l’intérêt qu’elle suscite est croissant. En effet, les coûts baissent et la technologie devient accessible aux PME et bientôt aux particuliers. Dans cette perspective, on imagine aisément que chacun pourra dans le futur réaliser une reproduction de l’objet de son choix en disposant d’un simple plan d’impression 3D couplé à une imprimante.Ces plans d’impression auront vocation à être partagés avec le plus grand nombre.
Via CTC
MOOC, classes inversées, Design thinking, impression 3D, Fab Lab, Open Innovation...une révolution pédagogique est en cours. Mais ces nouvelles pratiques bouleversent-elles vraiment les modèles dominants ? Améliorent-elles réellement la qualité des enseignements et de la recherche ? Quels sont les enjeux de ces nouveaux écosystèmes et comment s’organiser pour y faire face ? Jeudi 19 décembre 2013,... http://www.scoop.it/t/easy-mooc
Via Lucas Gruez, Aurélien BADET
L’impression sur mesure révolutionne déjà la production de prothèses et d’implants médicaux. Elle laisse aujourd'hui entrevoir la création d’organes artificiels.
Véritable phénomène de mode, l'impression 3D aurait aussi une face cachée avec des risques sur la santé. Selon des chercheurs, les particules émises par les impressions peuvent être dangereuses si elles sont inhalées. Les imprimantes 3D sont devenues une vraie tendance avec des orientations très variées, fabrication de micro-batteries, d'un avion, d'une figurine à son image et même d'un pistolet. Elles vont devenir de plus en plus accessibles et les sites d'e-commerce comme Amazon commencent à se doter d'une page dédiée à ces solutions.
Début 2014, la technologie d'impression 3D par frittage sélectif par laser passera dans le domaine public, ouvrant la voie à un nouveau bond technologique dans les imprimantes 3D libres et open-source.
Une société danoise, qui conçoit des imprimantes 3D et des solutions logicielles dédiées à l'impression 3D, a annoncé la mise au point d'une technologie qui permet de détecter les caractéristiques d'une arme à feu dans un modèle 3D, pour interdire son impression.
Pour éviter l'impression d'armes plastique potentiellement mortelles, les gouvernements pourraient tenter d'imposer aux éditeurs de logiciels de modélisation ou de drivers d'imprimantes 3D de bloquer l'impression de certaines pièces. Un précédent existe déjà.
Science Daily rapporte qu’une équipe de chercheurs de Princeton dirigée par Michael McAlpine a réussi l’impression 3D d’une oreille bionique fonctionnelle qui devrait pouvoir restaurer une éventuelle ouïe déficiente, voire l’améliorer pour entendre au-delà des fréquences humainement normales.
Composée d’un tissu entremêlant cellules et nanoparticules, l’oreille a été façonnée par une imprimante 3D avant de subir une phase de culture cellulaire pour construire une petite antenne de cartilage. Si l’on entend désormais régulièrement parler d’impression 3D d’organes, c’est la première fois que cette technique est utilisée en entrelaçant tissus cellulaires et composés électroniques.
La législation sur les armes à feu résistera-t-elle au boom annoncé des imprimantes 3D ? L'Américain Cody Wilson pose indirectement la question. En effet, il est parvenu à créer un vrai pistolet en plastique. Après avoir imprimé chaque pièce et assemblé le tout, il a réussi à tirer un coup de feu. Les services du ministère de la défense aux USA lui ont demandé de retirer les plans, mais ces derniers circulent déjà en P2P.
|
La Californie s'est dotée d'une nouvelle législation sur les armes imprimées en 3D, afin de recenser les propriétaires et vérifier leurs antécédents. La revente et la cession d'une arme imprimée en 3D sont interdites.
Elles ne sont certes pas fabriquées de manière conventionnelle, mais elles sont tout à fait capables de causer des dégâts très importants. Dans ces conditions, il vaut mieux les soumettre à une législation qui doit permettre d’éviter que le premier venu puisse en détenir une sans aucune autorisation. « Elles », ce sont les armes à feu construites au moyen d’une imprimante 3D.
Les possibilités de la technologie 3D continuent de s’élargir et son utilisation de se démocratiser. En Espagne, un patient a reçu un implant en titane customisé, imprimé en 3D, afin de remplacer une partie de sa cage thoracique, qui lui avait été retirée au cours d’une opération.
Un Japonais a été condamné à deux ans de prison pour avoir imprimé et détenu chez lui des armes à feu réalisées à partir de son imprimante 3D. Il avait été arrêté ce printemps.
Un homme a été arrêté au Japon pour avoir imprimé et détenu chez lui plusieurs armes à feu réalisées à partir de son imprimante 3D. Une anecdote qui devrait relancer le débat sur la difficile régulation de l'impression 3D.
« Not impossible labs », une entreprise californienne utilise l’impression 3D pour fournir des prothèses aux victimes de la guerre au Soudan. Daniel Omar, amputé des deux mains, a ainsi pu se nourrir seul pour la première fois depuis 2 ans.
Ce n'est pas encore l'arme que pourra imprimer Monsieur Michu à domicile, mais c'est tout de même une première qui alimentera la polémique. Solid Concepts a réalisé une copie parfaitement fonctionnelle du colt M1911, fabriquée par impression 3D avec une imprimante DMLS.
En 2014, la première imprimante 3D fonctionnelle en apesanteur sera envoyée dans l'espace et fabriquera le premier objet jamais créé en dehors de la Terre. Et d'ici 2015, la startup Made in Space installera une deuxième imprimante 3D plus avancée sur la Station spatiale internationale. Pour Steven Kotler de Forbes, cela pourrait ouvrir la voie à un nouveau moment de la conquête de l'Espace. Explications.
C'est peut-être une première dans l'histoire de la création artistique et industrielle. Avec l'impression 3D, la grande majorité des créations sont partagées par leurs créateurs sous des licences qui autorisent la reproduction des objets originaux. Partage ne rime plus avec piratage.
Microsoft est très optimiste sur les chances de l'impression 3D de devenir un outil grand public, et le fait savoir. Le géant de Redmond, qui estime que "l'impression 3D pourrait aider à faire éclore une Renaissance de la fabrication", a ajouté le support en natif des imprimantes 3D dans le prochain Windows 8.1.
Les craintes liées à l'impression tridimensionnelle conduisent de plus en plus de politiques à se positionner en faveur d'une nouvelle législation. Après un élu de Californie, c'est un politique new-yorkais qui propose de verrouiller certains usages, notamment ceux permettant de concevoir une arme à feu.
La police australienne est très inquiète du phénomène des imprimantes 3D. Elle suggère une régulation de cette technologie, car elle pourrait faire voler en éclat tout contrôle des armes. Pour le prouver, la police australienne a tenu à montrer à quel point il est facile d'acquérir une imprimante 3D pour créer son propre pistolet.
Faudra-t-il réguler les imprimantes 3D comme les armes à feu ? Aux USA, un élu propose de conditionner l'acquisition d'une imprimante 3D. L'usager devra être titulaire d'une licence et accepter une enquête de moralité pour vérifier son passé. Selon l'élu, il faut en passer par là pour éviter qu'une telle technologie ne tombe entre les mains de personnes mal intentionnées.
|