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A quoi ressemblera la « Google City » de Toronto ? Sidewalk Labs, la filiale consacrée à l’innovation urbaine de la maison mère de Google, Alphabet, doit dévoiler fin juillet les premières esquisses de son ambitieux projet de smart city dans la métropole canadienne. Loin des visions de science-fiction, les images diffusées jusqu’à présent se limitaient à des vues génériques de rues piétonnes, d’espaces verts et d’immeubles passe-partout façon aquarelle, comme pour mieux atténuer le contenu du projet : une ville conçue et gouvernée par les nouvelles technologies, les données numériques et l’intelligence artificielle.
Sundar Pichai, CEO de Google, a publié une liste de principes éthiques liés au développement de l'intelligence artificielle. L'entreprise de Mountain View s'engage désormais à les respecter. Sergey Brin, le fondateur de Google, avait déjà tenu à souligner les « nouvelles responsabilités » et les questionnements éthiques liés au développements de l’IA. Le 7 juin 2018, le CEO de l’entreprise Sundar Pichai a rendu publics les nouveaux principes que Google s’engage à respecter dans ses travaux sur l’intelligence artificielle.
In a corner of Alphabet’s campus, there is a team working on a piece of software that may be the key to self-driving cars. No journalist has ever seen it in action until now. They call it Carcraft, after the popular game World of Warcraft.
The software’s creator, a shaggy-haired, baby-faced young engineer named James Stout, is sitting next to me in the headphones-on quiet of the open-plan office. On the screen is a virtual representation of a roundabout. To human eyes, it is not much to look at: a simple line drawing rendered onto a road-textured background. We see a self-driving Chrysler Pacifica at medium resolution and a simple wireframe box indicating the presence of another vehicle.
Drawing isn't for everyone. I, for one, am definitely not very good at it. But with AutoDraw, Google is launching a new experiment today that uses machine..
Google et Facebook s'attaquent enfin aux sites d'infos bidons; Twitter supprime des comptes d’extrême droite US, les faux sites d’infos ont suscité plus d’engagement sur le web que les vrais; “Post-truth” (post-vérité), le mot de l’année pour les dictionnaires Oxford
WhatsApp, Hangouts, Facebook Messenger, Snapchat, Twitter… Alors que nous croulons sous les applications de messagerie – sans compter les textos –, Google vient, mercredi 21 septembre, d’en sortir une nouvelle, baptisée « Allo ». Pour se démarquer de ses nombreuses concurrentes (parmi lesquelles un de ses propres produits, Hangouts) Google mise sur l’intelligence artificielle.
Comment remédier à la froideur des machines et leur donner un semblant d’humanité ? Les chercheurs en intelligence artificielle ont trouvé un début de réponse : la littérature. La semaine dernière, des chercheurs de Google ont expliqué au site américain Buzzfeed qu’ils enseignaient le langage à un de leurs programmes en se fondant… sur des romans à l’eau de rose. Si ce type de littérature est généralement peu considéré, l’entreprise américaine lui a trouvé une valeur inestimable.
Avec les Accelerated Mobile Pages (AMP), Google pousse un standard adapté à la soif insatiable des internautes pour la rapidité d'affichage, contrôlé de façon opaque, qui devra cohabiter avec les normes ouvertes établies par le W3C.
La collaboration étroite entre Microsoft et Cyanogen a porté ses fruits cette année au MWC. Avec la plateforme MOD intégrée à Cyanogen OS, la firme de Remond montre une fois de plus comment elle souhaite utiliser le système d'exploitation mobile développé par Google à son avantage.
Le géant de la recherche a obtenu un brevet concernant une technologie de livraison qui utilise des fourgons autonomes.
Dans la famille des emplois menacés par l’automatisation croissante des tâches, nous choisissons le livreur. Ce n’est pas la première fois que la profession est prise pour cible par les grandes entreprises qui tentent de réduire les coûts et le délai d’acheminement des colis. C’est ce que les entreprises appellent le « défi des 100 derniers mètres », à savoir, comment faire face à la demande croissante de livraison à domicile qui représente jusqu’à 50 % du coût logistique total.
L'application Hangouts est maintenant capable, lorsque c'est possible, de connecter directement deux interlocuteurs sans passer par les serveurs de Google.
Il y a du changement dans l’air pour Hangouts, le service de messagerie instantanée conçu par Google. Ces jours-ci, des internautes sur Reddit ont en effet remarqué que les appels téléphoniques ou de visiophonie sont désormais susceptibles de passer par une connexion pair à pair directe, au lieu de transiter au préalable par les serveurs de la firme de Mountain View.
On connait les déboires de Google devant la Commission européenne, notamment en termes d'abus de position dominante. La société de Mountain View s'est récemment défendue en indiquant que la notion de gratuité de ses services la disculpait de ce type de raisonnement. Un argument assez incroyable qui ne tient pas la route un seul instant...
Depuis la décision de la Cour européenne, en mai 2014, qui permet à un particulier de réclamer la suppression d'informations périmées le concernant dans les résultats délivrés par les moteurs de recherche, le flux de demandes de « droit à l'oubli » ne tarit pas chez Google
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Depuis des années, Google permet aux développeurs d’applications tierces d’accéder librement aux contenus privés des comptes de la messagerie Gmail. Une pratique passée complètement inaperçue jusque-là…
C'est le "de plus en plus connu" moteur de recherche européen, Qwant, qui a fait du respect de la vie privée son créneau, lancera de nouveaux services à la rentrée pour proposer un écosystème "à la Google" avec une différence majeur : il ne récupère pas les données personnelles de ses utilisateurs.
Tout le monde ment. Sur Facebook, Instagram, auprès de nos amis, amants, voisins ou cousins, nous tordons, remanions, embellissons nos vies sociales, sexuelles, sportives, familiales, intellectuelles. La vérité est ailleurs… Sur Google. À cette petite boîte blanche accessible d’un clic, l’humanité confie ses questions les plus urgentes, les plus stupides aussi, ou parfois s’épanche, avec la sérénité de ceux qui chuchotent au confessionnal. Si bien qu’en quelques années, les recherches Google sont devenues « la plus grande base de données jamais collectée sur la psyché humaine ». C’est ce que s’attache à démontrer le data scientist Seth Stephens-Davidowitz, passé par Google et Harvard, et qui publie Everybody lies : Big Data, New Data, and What the Internet Can Tell Us About Who We Really Are (Harper Collins, mai 2017). Usbek & Rica l'a lu pour vous. Fascinant, déprimant, mais édifiant quant aux promesses immenses du big data, dont les sciences sociales commencent tout juste à se saisir. Un livre d'autant plus important qu'il remet également en question la théorie de la « bulle de filtre », qui semblait faire l'unanimité depuis le Brexit et l'élection de Trump.
Google vient de lancer un nouvel espace dans lequel l'entreprise américaine prsente tous ses projets open source. C'est aussi l'occasion pour la société de détailler sa manière de travailler avec l'open source.
Pour dissuader les internautes d’aller visionner des vidéos de l’Etat islamique, Google a testé en début d’année une "méthode de redirection".
Google, Facebook et Twitter pourraient-ils être condamnés pour les attentats du 13 novembre ? Ce mardi, le tribunal fédéral d’Oakland, aux Etats-Unis, examine la plainte déposée par le père d’une victime américaine, Nohemi, tuée par "le commando des terrasses" alors qu’elle dînait à La Belle Equipe. Reynaldo Gonzalez reproche aux trois géants du Web d’avoir permis à l’organisation terroriste Etat islamique d’utiliser leurs outils pour attirer des membres, lever des fonds et diffuser une propagande extrémiste
Google expérimente un nouveau type de cryptographie qui pourrait empêcher le piratage des communications Internet par des ordinateurs plus puissants.
Les méthodes de chiffrement utilisées aujourd’hui pour sécuriser les communications Internet ne seront pas éternellement inviolables. Les futurs « ordinateurs quantiques » qui pointent à l'horizon pourraient très bien compromettre cette sécurité. La cryptographie expérimentée par Google pourrait empêcher des ordinateurs plus puissants de casser cette protection.
La Commission européenne avance sur la procédure antitrust concernant Android. Une communication des griefs est sur le point d'être envoyée à Google, selon un faisceau d'indices relevé par Bloomberg.
2016 pourrait bien être une année décisive dans la procédure visant à déterminer si Google a bien abusé de sa position dominante dans la recherche pour privilégier ses propres services au détriment de la concurrence. Car en effet, la perspective d’un dénouement devant les tribunaux du bras de fer entre la firme de Mountain View et la Commission européenne est plus que jamais d’actualité.
Les services fiscaux français réclameraient pas moins de 1,6 milliard d'euros d'impôts à Google.
Google lance une édition de livres interactifs qui cherchent à tirer profit du Web pour inventer de nouvelles narrations.
Publier des « livres que l’on ne peut pas imprimer ». Non, il ne s’agit pas d’un nouveau système de DRM qui désactive toute possibilité d’utiliser votre imprimante, mais de l’expression utilisée par Google pour expliquer le concept de Editions At Play, une expérimentation lancée par Google Australie avec Visual Editions.
Les régulateurs américains ont déclaré dans une lettre à Google que l'ordinateur utilisé dans les Google Car peut être qualifié de chauffeur, une décision qui pourrait accélérer la mise en place de voitures autonomes sur les routes américaines.
Google est plus que jamais sollicité par l'industrie du divertissement pour lutter contre le piratage. L'année dernière, l'entreprise américaine a reçu un nombre record de requêtes pour des liens à déréférencer.
Face au piratage sur Internet, Google est plus que jamais en première ligne. L’industrie du divertissement, bien consciente que la firme de Mountain View est un point de passage quasi-obligé pour de nombreux internautes cherchant des contenus piratés à télécharger, ne ménage ainsi pas ses efforts pour que le groupe californien nettoie l’index de son service du mieux qu’il peut.
Un officier de Police de Mountain View a arrêté une Google Car circulant à 39 km/h sur le boulevard El Camino Real, dont la vitesse est limitée à 56 km/h. La législation était cependant du côté de Google, autorisant les véhicules électriques à ne pas excéder 40 km/h sur les routes.
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