Your new post is loading...
Your new post is loading...
Free Mobile fait encore évoluer son offre. Alors que le trublion des télécoms proposait déjà l'itinérance des communications (roaming) depuis le Portugal, les départements d'outre-mer et l'Italie, voilà qu'il s'intéresse à nos voisins d'outre-Rhin. Désormais, les appels, les SMS / MMS et la navigation sur Internet depuis l'Allemagne sont inclus (.pdf) dans le forfait de l'opérateur.
Le régulateur des télécommunications a rendu les conclusions de son enquête sur l'interconnexion entre Free et YouTube. Le FAI ne discrimine pas volontairement le trafic entre ses abonnés et le site de vidéos. En revanche, la capacité d'interconnexion de Free est insuffisante, ce qui entraîne une congestion sur le réseau.
Lors d’un débat autour de la neutralité du Net tenu mardi soir, le Conseil National du Numérique s’est largement étendu sur l’affrontement entre Free et YouTube et la pénalisation des abonnés. Des discussions qui ont soulevé la question de la possibilité de sanctions pénales pour l’opérateur.
La Freebox V6 propose une fonctionnalité de contrôle parental qui permet non seulement d’encadrer les horaires de connexion Internet des enfants, mais aussi de limiter l’accès au réseau de façon générale. Comment la paramétrer efficacement ? Certains fournisseurs d’accès à Internet (FAI) proposent un système de contrôle parental, soit directement via un réglage de la box (ex : Livebox), soit via un logiciel complémentaire.
Nous vous rapportions en début de semaine la victoire de SFR face à Free concernant le subventionnement des mobiles. Pour autant, cette victoire pourrait finalement s’avérer très embarrassante pour SFR, Bouygues Télécom et Orange. Euro TMT, dans sa lettre Quotidienne a analysé le jugement et a noté un point qui pourrait remettre en cause les engagements de 12 ou 24 mois. En effet, pour le Tribunal « SFR ne met aucune somme d’argent à la disposition du client contre remboursement, qui serait à la charge de ce dernier. La vente à crédit supposerait que le prix du terminal soit payé par le client, non au comptant mais pour une très faible part lors de la souscription puis de façon échelonné par une majoration du montant des échéances de l’abonné ». Le tribunal précise également que « le prix du terminal n’englobe aucune part de celui de l’abonnement et réciproquement, l’abonnement ne comprend aucune part du terminal, fixé et payé au départ ». Le prix du forfait ne comprend donc pas le remboursement de la subvention. Et c’est cette affirmation du tribunal qui pourrait faire très mal aux opérateurs historiques. En effet, c’est justement pour justifier le remboursement du téléphone qu’ils ont mis en place des clauses d’engagement de 12 ou 24 mois. Même si la loi Châtel a aménagé cette disposition, les opérateurs lient toujours le niveau de la subvention et la durée de l’engagement. Pour Euro TMT, si l’on suit le tribunal, il n’y a donc aucune raison valable d’imposer une durée d’engament aux abonnés qui achète leur mobile chez ces opérateurs. Dans ces conditions, Euro TMT estime que les associations de consommateurs pourraient saisir les tribunaux afin de dénoncer le caractère illégal des durées d’engagement, car pouvant s’identifier à de la vente forcée. Cette affaire pourrait donc être loin d’être terminée.
On connaissait les bons et les mauvais chasseurs. Il y aura désormais les bons et les mauvais bloqueurs de publicité en ligne. AdBlock Plus, qui fait référence dans le domaine, a publié un communiqué pour s'opposer à la façon dont Free a décidé de bloquer par défaut les publicités, sans laisser d'autres choix à l'abonné que de désactiver l'option ou de la conserver sans contrôle possible.
Beaucoup de gens se sont exprimés depuis l'annonce par Free de leur nouveau service de blocage des publicités. La plupart se sont focalisés sur les aspects politiques ou économiques. Comme je n'ai guère trouvé de détails techniques, j'ai profité d'une connexion Free pour regarder comment cela marchait. D'abord, première déception, après avoir redémarré la Freebox pour mettre à jour le logiciel, je vois toujours les publicités, sur tous les sites que je regarde. Je lis alors quelques tweets (et un courrier anonyme), qui expliquent que le filtrage des publicités utilise le DNS. Ah, je comprends, j'utilise un résolveur DNS qui n'est pas celui de Free, donc je vois toujours les pubs. Testons la fonction DNS de la Freebox. Celle-ci indique aux machines du réseau local, avec le protocole DHCP (et également avec les annonces du RFC 6106), les adresses des serveurs de noms à utiliser pour résoudre un nom comme www.owni.fr en une adresse IP. À noter que la Freebox ne permet pas (et c'est un gros manque) de changer ces serveurs. Si on veut utiliser d'autres résolveurs que ceux choisis par Free, il faut intervenir sur toutes les machines du réseau local (sans compter les engins genre tablette où une telle intervention n'est pas possible).
Le choix de l'opérateur Free de bloquer les publicités par défaut est en contradiction manifeste avec le principe de neutralité du Net.
Il fallait oser et c’est Free qui l’a fait. Dès la mise à jour de sa box, l’opérateur Internet a activé, par défaut, un module de blocage des publicités. C’est une rupture caractérisée avec la neutralité du Net : l’opérateur n’a pas à filtrer le contenu ; il doit se charger de l’acheminer. Ne nions pas à Free sa capacité à faire le buzz et aussi à poser un vrai problème !
Ces jours-ci se profile la table ronde tant attendue autour du cabinet de Fleur Pellerin sur la neutralité des réseaux[1]. C'est donc avec un certain bonheur que je vois refleurir dans l'actualité certains éléments clefs de la discussion: une excellente occasion de réviser les dossiers. Le premier dossier est celui de la tribune de Najat Vallaud-Belkacem dans le Monde du 28 décembre. Le billet en réponse sera publié par PCinpact demain matin. Le second dossier nous est apporté par Free qui vient de mettre en place, sur son Frinitel[2] v6, dit "Révolution", un filtre anti-pub. Beaucoup de commentateurs semblent juger que c'est une atteinte à la neutralité des réseaux. Voyons ça...
Contacté, le Syndicat des régies Internet – qui compte dans ses rangs(*) Lagardère publicité, Amaury Média, TF1 Publicité, Hi Média, France Télévisions Publicité ou encore Horyzon Média, nous a apporté sa réaction après le blocage par défaut de certaines pubs sur la box Revolution de Free. « Nous sommes bien évidemment contre l’activation par défaut de tout dispositif de blocage » commente Marie Delamarche qui préfère donc le choix de l’option activable. « La notion de choix et de liberté nous parait en effet la plus juste ». On pourra lire à ce titre l'analyse faite par le juriste Cédric Manara.
Mais quelle mouche a piqué Free ?! Le FAI a décidé sans prévenir personne de bloquer les publicités affichées sur les sites internet visités par ses abonnés, en activant par défaut un bloqueur de pubs géré depuis sa Freebox. Un service qui a l'air sympathique mais qui coûtera des millions et des millions d'euros à des milliers d'entreprises, et qui menace leur survie.
Aujourd’hui, par une mise à jour du logiciel de la FreeBox Server, Free a lancé une petite bombe sur le net : le FAI a activé par défaut un bloqueur de pub qui vise notamment, les pubs Google. C’est l’émoi chez les éditeurs de site notamment qui vivent de ces revenus. Fleur Pellerin vient de réagir sur Twitter à l’instant.
Bonne nouvelle pour tous les abonnés Free, vous allez enfin pouvoir remettre au travail tous ces feignants de webmasters qui s'engraissent sur votre dos à grand coup d'Adsense stratégiquement placés ! On le sait tous, comme avec la photographie, le ménage, le jardinage, ou le bricolage, de nos jours, n'importe qui peut faire un site web. Il suffit d'un bon livre et d'un ordinateur. Il n'est donc pas normal que des gens gagnent leur vie en pratiquant ces activités qui devraient rester 100% amateurs, sachant que c'est à la portée de tout le monde et que tout le monde peut le faire. D'ailleurs, comme vous le savez, l'un des fondements de l'Internet, c'est la gratuité et l'accès à tous à l'information. Ça a été inventé par des universitaires et ça aurait dû rester vierge de toute action commerciale.
|
C'est une bonne nouvelle pour le déploiement de la fibre optique. Orange a finalement trouvé un terrain d'entente avec Free, qui reprochait à l'opérateur historique un manque de fair-play. Le trublion des télécoms souhaitait qu'Orange ouvre ses infrastructures, construites du temps de son monopole public, pour faciliter la pose de la fibre. Une action devant l'autorité de la concurrence avait été engagée.
"La question fondamentale ça n'est pas le tort économique que Free fait à YouTube, c'est le tort que Free fait à ses clients" en violant leur liberté fondamentale d'accéder à une information. A l'occasion d'un débat sur la neutralité du net organisé par le Conseil National du Numérique, le porte-parole de FDN Benjamin Bayart a plaidé avec force pour l'instauration d'une pénalisation des atteintes à la liberté d'expression et de communication par les acteurs privés sur Internet.
Selon Xavier Niel, assurer une bonne connectivité avec YouTube et Google pourrait coûter à terme entre 5 et 15 euros par mois supplémentaire pour les abonnés de Free. Pourtant, l'Arcep avait calculé l'an dernier que la connectivité globale ne coûtait aux FAI que "de l'ordre de la dizaine de centimes d'euros" par abonné.
Xavier Niel, le fondateur de Free, répond à toutes les attaques, interviewé dans Le Figaro. Il confirme le bras de fer à l’encontre de Google mais ne laisse aucune chance aux Webmasters et entrepreneurs français vivants des revenus publicitaires en ligne.
A propos du fameux blocage de la publicité de Google (Free AdGate), il déclare : « Tous les acteurs pensent qu’il faut négocier avec Google et obtenir une juste rémunération. Nous sommes les seuls à avoir eu le courage d’établir un rapport de force. Dès jeudi matin, nous allons interroger nos abonnés sur notre site, en leur laissant le choix d’avoir ou pas de la publicité lorsqu’ils naviguent sur le Web« .
Désormais, la publicité ne sera plus bloquée par défaut sur les Freebox Révolution. L'option existe toujours, mais l'abonné doit faire la démarche de l'activer.
L'hébergeur OVH, qui s'est diversifié depuis peu dans l'accès à Internet, préfère accroître la taille du tuyau qui le relie à Google plutôt que de jouer le bras de fer et de réclamer une compensation pour la hausse constante du trafic. La vision d'Octave Klaba.
La mise en place d’un dispositif de blocage de la publicité par Free activé par défaut sur sa box a fait l’effet d’une bombe ces derniers jours et les commentaires fusent de toutes parts à propos d’une potentielle atteinte d’un nouveau genre au principe de neutralité du web. Devant le tollé soulevé par cette étrange initiative, il semblerait que l’opérateur s’apprête déjà à faire marche arrière dans les prochains jours, s’en tenant à un coup de semonce adressé à Google, dans la lutte à laquelle se livre les deux opérateurs depuis des mois.
L'initiative de Free de bloquer par défaut la publicité a poussé l'Arcep à intervenir, en adressant un courrier à l'opérateur afin que le fournisseur d'accès précise ses intentions et détaille les modalités du dispositif afin de le contrôler au regard du droit des communications électroniques.
Depuis de nombreux mois, les abonnés de l’opérateur Free subissent malgré eux les effets de bord d’un conflit l’opposant à YouTube. La guerre des tuyaux fait rage pour savoir qui doit payer qui… Décryptage.
A peine sortie, l’étude de l’UFC Que Choisir sur la qualité de service des fournisseurs d’accès grand public a placé Free au centre de toutes les exaspérations. Et pour cause, les abonnés du FAI subissent des interruptions du flux lorsqu’ils tentent de regarder une vidéo sur YouTube ou charger un contenu depuis d’autres services. Que se cache-t-il derrière la fameuse question « Pourquoi ça rame ? ». Voici quelques éléments…
En réaction au blocage des publicités par Free, un webmaster a mis en ligne un script qui permet aux éditeurs de sites internet de bloquer les abonnés de Free ou de les rediriger vers un autre site.
En désactivant par défaut la publicité affichée sur les sites internet, Free démontre le pouvoir que peuvent avoir les FAI sur le contenu des sites internet, et le risque démocratique qu'ils représentent.
Une nouvelle fonctionnalité de la Freebox a mis la twittosphère en émoi, en permettant de bloquer les publicités sur certains sites Web...
Bref, c'est une arme de destruction massive pour les régies publicitaires, et notamment pour la première d'entre elles, Google. Il est fort probable que cette petite bombe lâchée discrètement, fasse en fait partie d'une négociation en cours entre Free et Google.
|