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“Experimental investigation of electrical domestic heat pumps equipped with a twin-stage oil-free radial compressor” est la première thèse publiée sous licence Creative Commons (CC) à l’EPFL. Après plusieurs années de recherche, Jean-Baptiste Carré rend en 2015 l’ensemble de son travail de doctorat accessible sous licence CC BY et prouve les nombreux avantages de ces licences pour la recherche et le chercheur.
Gage Skidmore has photographed nearly every presidential candidate since 2008 — and by giving away all of his images for free, he has quickly become the Internet's most prominent political photographer.
Disponibles depuis une semaine, la licence Creative Commons Zéro et la marque domaine public sont très demandées. On compte déjà plus de 130 000 clichés utilisant ces deux nouvelles options.
La fondation Creative Commons, qui a récemment publié un rapport sur ses licences, prévoit que le nombre de fichiers les utilisant dépassera le milliard l'année prochaine.
Les licences Creative Commons encouragent le partage des contenus culturels, dans l’idée d’un Internet participatif. Un changement de paradigme.
Les licences Creative Commons (CC) sont nées en 2002, à l’initiative du juriste Lawrence Lessig. Défenseur de la liberté sur Internet, il voit dans le droit d’auteur traditionnel une entrave à l’accès à la culture et au potentiel créatif que chacun d’entre nous peut développer grâce aux avancées technologiques de ces dernières années. Aujourd’hui, plusieurs centaines de millions d’œuvres – peintures, chansons, photographies – sont placées sous licence CC.
Qu’est-ce qu’un fablab en quelques mots ? Geoffroy Chaix et Romain Marchado ont réalisé une infographie sur les fablabs (en libre téléchargement – cf. en fin d’article) : The fablab charter (en français) qui mentionne leur utilité, leur réseau, les grands principes de la charte des fablabs, les responsabilités engagées et la question des usagers… Tout ceci en une infographie claire et explicative! Un fablab est, rappelons-le « un lieu ouvert au public où il est mis à sa disposition toutes sortes d’outils, notamment des machines-outils pilotées par ordinateur, pour la conception et la réalisation d’objets. » Une infographie partageable Cette infographie qui reprend les grands principes de la charte des fablabs a été publiée sur le site Go Tronic. Elle peut être affichée, partagée et distribuée puisqu’elle est diffusée en licence Creative Commons CC-BY.
La Commission européenne a lancé une nouvelle consultation sur le droit d'auteur en décembre dernier : Internet reste, en 2014, un enjeu central pour la diffusion des œuvres culturelles. La suprématie commerciale des “firmes culturelles“ n'est pourtant pas totalement acquise en termes de propriété intellectuelle. Pour preuve, les différents modèles de droits de propriété intellectuelle “libres“ qui prospèrent sur la toile. Quel futur modèle pour la culture européenne sur Internet ?
À l’heure où nombre d’entre nous s’intéressent (fort justement) au champ des exceptions au droit d’auteur en répondant à une consultation publique de la Commission européenne, voici un focus sur des préoccupations quotidiennes, à partir des questions qui m’ont été posées récemment sur des cas concrets. Aujourd’hui, le communiqué de presse. Question. Puis-je présenter, sans autorisation expresse, une série de communiqués de presse portant sur une question ? Combien de sources sont nécessaires pour qu’une synthèse soit autorisée ? Dois-je me contenter de communiqués émanant d’établissements publics ?
Depuis cette semaine, Google Images facilite la recherche d'images sous licence Creative Commons. Le moteur de recherche a en effet déplacé une option permettant de rechercher des illustrations encadrées par des droits d'usage plus souples afin qu'elle soit plus accessible aux internautes.
Les licences Creative Commons utilisées par les auteurs et les artistes évoluent en version 4.0 et apporte plus de flexibilité pour le partage des oeuvres. Petits changements pour les licences Creative Commons (CC) qui contractualisent l'usage des oeuvres des artistes, des scientifiques, des enseignants ou des créateurs. Elles permettent aux ayant-droit d'accorder facilement l'autorisation pour l'utilisation de leurs oeuvres dans un cadre défini. Elles sont inspirées du logiciel libre et de l'Open Source. La version 4.0 de la licence vient de paraître après un travail de 2 ans d'experts juridiques pour l'améliorer et l'affiner.
Le ministère français de la Culture et de la Communication lance un partenariat historique avec Creative Commons France pour conduire un cycle de formation autour des enjeux des licences ouvertes avec pour objectif principal d’accompagner une démarche d’éducation artistique et culturelle.
Changeons d'"écouteurs" !
Faute de pouvoir écouter les écoutes de la NSA, nous vous invitons à écouter Zig Zag Net, la webradio non linéaire. C'est légal, gratuit et enrichissant !
C’est un changement de position important que vient d’opérer l’organisation internationale Creative Commons, par le biais d’une déclaration officielle publiée hier, intitulée "Soutenir la réforme du droit d’auteur". Cette nouvelle orientation constitue l’une des décisions majeures adoptées lors du Sommet Global qui s’est tenu à Buenos Aires cet été.
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Les Creative Commons sont des licences de protection des œuvres en ligne, une protection qui est bénéfique tant à l’auteur qu’à l’utilisateur. Les CC ont été imaginés dans le pur esprit utilitariste du web.
Le rapport StraNES, remis la semaine dernière à François Hollande, encourage l'usage de l'Open source et des Creative Commons pour les contenus pédagogiques produits dans l'enseignement supérieur.
Le Ministère de la Culture et de la Communication a mis en ligne « Lumière sur les réseaux sociaux« , guide pratique dédié aux réseaux sociaux et aux communautés en ligne. Ce document, initié par Universcience à l’initiative de Benjamin Benita, et construit de manière collaborative par Be Angels et Millie Servant, est désormais proposé en licence Creative Commons à toute la communauté du service public. Il est également disponible pour tous les professionnels de la communication digitale, selon le ministère.
Forts de la réussite de la dernière édition de « Villes en Biens Communs » à l’automne 2013, ses acteurs ont imaginé pour 2015 un événement encore plus ambitieux, dans l’idée de toujours mieux populariser l’approche par les communs comme levier majeur de la transition vers un monde durable.
Les dates retenues, du 5 au 18 octobre 2015, permettront de s’inscrire dans la continuité d’Alternatiba avec qui les liens apparaissent de plus en plus évidents.
Chaque ville, chaque territoire, chaque collectif local, désireux d’être partie prenante de ce nouveau « temps des communs » pourra, comme en 2013, inscrire librement des événements dans le programme de la quinzaine, laquelle comprendra nécessairement un temps fort partagé le samedi 10 octobre, afin de pouvoir la rendre plus visible au plan national. Le site Internet sera refondu dans cette perspective d’une meilleure communication en direction de la presse et du public.
Le ministère de la culture a entrouvert la porte aux Creative Commons, en ajoutant une licence dans ses mentions légales. Cependant, celle-ci est loin de couvrir tous les contenus publiés par la rue de Valois sur son site web.
Je m'y réfère tous les jours, que ce soit ici pour ce blog, pour LittleThingz, et pour illustrer tout un tas de choses, et pourtant je me rends compte que je ne suis jamais vraiment entré dans le détail pour expliquer ici ces fameuses licences Creative Commons. Car oui, sauf exceptions de rares photos personnelles, de captures d'écran, ou de quelques images "piquées" sur les pages d'un service web parce que j'en fait la promotion, toutes les images que tu trouves ici sont distribuées selon une de ces licences. Et pourtant, j'ai l'impression que ce n'est pas la règle sur la majorité des blogs et sites web, et je pense que c'est bien dommage. Voici donc l'essentiel de ce qu'il faut savoir sur le sujet, en t'expliquant un peu ma manière personnelle de gérer ça.
Le renforcement des contrôles et des moyens de surveillance, autour du respect des copyrights, doit, à mon sens, entraîner la multiplication de contenus techniques et culturels sous des licences dites libres, globales ou ouvertes.
Cette semaine, après un processus d’élaboration de plus de deux ans, Creative Commons International a annoncé la publication de la nouvelle version 4.0 de ses licences. Framablog a déjà traduit en français un article d’une des responsables de l’organisation, Diane Peter, qui explique les principales modifications par rapport à la version 3.0 remontant à 2007. Creative Commons a travaillé par exemple pour simplifier le texte des licences afin de les rendre plus compréhensibles ; les licences auront également un effet plus global, car elles n’auront plus désormais à être transposées pays par pays et des clarifications intéressantes ont été apportées, notamment en ce qui concerne l’attribution des auteurs et l’adaptation des oeuvres.
Via Lockall, Bernard BRUNET
Creative Commons France avait salué le lancement de la séquence automne numérique du ministère de la Culture et de la Communication mais restait vigilant quant à la teneur de l’allocution annoncée d’Aurélie Filippetti, Ministre française de la Culture et de la Communication, lors de la clôture de la conférence « transmettre la culture à l’ère numérique » du 7 novembre 2013.
La Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) et Creative Commons annoncent la reconduction de leur accord signé le 9 janvier 2012. Cet accord permet aux auteurs compositeurs membres de la Sacem de développer la promotion de leurs œuvres dans un cadre non commercial, notamment sur Internet. Il allie de manière innovante l’utilisation de Licences Non Commerciales proposées par les Creative Commons et les modes de collecte et de répartition des droits d’auteur qui sont les revenus des créateurs et des éditeurs de la Sacem.
C’est un changement de position important que vient d’opérer l’organisation internationale Creative Commons, par le biais d’une déclaration officielle publiée hier, intitulée "Soutenir la réforme du droit d’auteur". Cette nouvelle orientation constitue l’une des décisions majeures adoptées lors du Sommet Global qui s’est tenu à Buenos Aires cet été.
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