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Ça ne rigole plus ! Accusé d’avoir lancé des pierres à deux policiers, ce qu’il nie vigoureusement, le clown Charlie a été condamné en novembre dernier à six mois de prison dont quatre avec sursis. Il est rejugé ce mercredi à la Cour d’appel de Toulouse. Loufoques, insolents et non-violents, les clowns activistes deviennent des cibles pour les forces de... l’ordre (ou du désordre, selon certains clowns).
Les dernières années, Facebook est devenu un outil crucial pour l’activisme. Ce dernier permet aux activistes de se connecter et de communiquer entre eux afin d’organiser des manifestations, des boycotts ou d’autres actions. Malheureusement, les activistes qui voyaient Facebook comme un outil qui les aide d’améliorer leur impact, rencontrent à présent de plus en plus d’obstacles qui viennent directement de Facebook.
Une coalition d'associations de protection des droits fondamentaux a mis en ligne DETEKT, un outil pour Windows qui détecte la présence de spywares connus pour être utilisés par des agences gouvernementales à travers le monde.
Cette semaine, nous sommes des manifestants de Hong Kong qui contournent la censure de Pékin, nous crions notre amour pour notre entreprise guitare à la main et nous nous posons LA question qui secoue le web : pomme ou banane ?
#Kony2012, #YesAllWomen ou encore #BringBackOurGirls... Initialement, ces hashtags ont inondé la plupart des flux Twitter. Puis ont été repris par les sites d'information en ligne au sein d'articles qui ont eux-même fait l'objet de partages sur d'autres réseaux sociaux. Au point de se retrouver traités par les plus traditionnels journaux télévisés. Mais tout ça pour quoi ?, se demande Matt Saccaro dans The Daily Dot.
Camover, an anonymous group of antisurveillance activists based in Berlin, Germany, announced a competition on its website in late 2012. Under the slogan, “Freedom dies with security,” entrants were invited to smash as many CCTV cameras as they could. When the game ended in February 2013, at least 60 cameras had been smashed in Germany, Finland, Greece and the USA.
Bram Cohen adore les échanges au point d'avoir créé il y a une dizaine d'années BitTorrent. Selon la presse, il se passionne maintenant pour des outils de sécurité et plus exactement sur la stéganographie.
Un activiste du nom de Jenk K a eu l'excellente idée de filmer les manifestations turques depuis un drone miniature (quadricoptère). Ses images ont permis de se rendre compte de l'ampleur des manifestations de jour comme de nuit, mais aussi des méthodes de la police contre les manifestants.
Pour toute une génération aujourd'hui dans le monde, Julian Assange est le héros qui invente Wikileaks, qui dévoile les crimes de guerre des États-Unis en Irak, qui diffuse des milliers de pages de documents officiels, qui fait trembler États et services de renseignement. Il prolonge l'esprit des journalistes qui ont révélé l'affaire du Watergate ou des Pentagone Papers. Évidemment le pouvoir américain le poursuit par tous les moyens. Hillary Clinton veut sa peau, l'éditorialiste de Fox News lance des appels au meurtre contre Assange, partout le pouvoir exerce des pressions sur les médias, la Suède le poursuit pour abus sexuel, un moyen de l'attirer en Suède pour l'extrader aux Etats Unis où il risque la prison à vie, selon ses supporters. Le pays de la transparence et de la liberté d'expression, montre une image moins séduisante. Depuis des mois, le soldat Bradley Maning accusé d'avoir diffusé des secrets d'État par Wikileaks, risque la prison à perpétuité. Mis à l'isolement dans l'attente de son jugement, l'ONU dénonce les "tortures psychologiques" dont il fait l'objet. Traqué de partout, Assange a trouvé refuge à l'ambassade de l'Équateur à Londres dans quelques mètres carrés, surveillé par des centaines de policiers. S'il met un pied dehors il est immédiatement arrêté. C'est là que nous le rencontrons aujourd'hui, à l'occasion d'un livre qu'il publie avec trois autres "Résistants numériques", MENACES SUR NOS LIBERTES (Robert Laffont).
Big brother aujourd'hui s'appelle GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) sa dévise : DATA TO VALUE. Comment Internet nous surveille, comment résister... Avec Julian Assange et Jérémie Zimmerman de la Quadrature du Net
Figure du militantisme en faveur du libre partage de l'information, Aaron Swartz s'est donné la mort vendredi à New York. Il avait 26 ans. Le jeune américain a eu un rôle prépondérant en faveur de la libre circulation des données, en participant au lancement de diverses initiatives (Demande Progress, Creative Commons, Reddit...), en contribuant au développement de l'informatique (format RSS, langage Markdown) et en lançant quelques actions spectaculaires (JSTOR) au nom des biens communs.
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Une opération de « thérapie par le rire », moquant le décalage entre les discours écolos des entreprises et leurs actes, a été interrompue par la police, jeudi, à Paris. Des clowns et des comédiens ont été parqués pendant plus d’une heure. Un reportage à écouter - et qui prête à rire, ou à pleurer.
Brésil, Turquie, Ukraine, Ferguson… ces trois terrains d'émeutes au cours des derniers mois sont cités comme des exemples de mobilisations amplifiées par les réseaux sociaux. Joshua Tucker, professeur de science politique à l’Université de New York décrypte le phénomène dans le Washington Post. Pour Joshua Tucker, les réseaux sociaux facilitent les mobilisations de plusieurs façons. Les individus peuvent y obtenir des d’informations objectives, tels que le lieu et l’heure d’une manifestation, le nombre de participants et son déroulement. Au-delà, les nouveaux médias peuvent influencer la motivation des individus à participer, en suscitant des sentiments de colère, d’injustice, et d’appartenance à un groupe.
Depuis son lancement mardi 14 octobre à 14 heures, la plateforme anti-sexisme Macholand.fr a bénéficié d’une bonne réception de la part de nombreux internautes. Ce qui n’a pas plu à tout le monde.
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Découvrez les vingt premières minutes du documentaire sur Aaron Swartz.
La cour révolutionnaire de Téhéran a prononcé, ce mardi 27 mai, des condamnations très lourdes (pour un total de 123 ans de prison) contre huit Iraniens en raison de leurs activités sur Internet, et notamment sur Facebook. Ces peines, allant de 7 ans pour certains à 20 ans pour d'autres, sont d'une sévérité jamais vue ces dernières années dans l'histoire de la justice iranienne. Selon le site Kaleme, proche du leader réformateur Mir Hossein Moussavi, assigné en résidence surveillée depuis 2011, les huit Iraniens en question ont tous été arrêtés par la cybermission des gardiens de la révolution à l'été et en automne 2013. Parmi les condamnés, Roya Saberinejad, qui a écopé de 20 ans de prison, détient, selon The Guardian, la double nationalité irano-britannique.
La Commission Européenne envisage une réforme sur les lois sur le monopole du droit d’auteur en Europe, et demande au public une contribution. La date butoir pour cette contribution est le 5 février, dans une semaine. Les activistes ont rendu aussi simple que possible pour vous de soumettre une contribution significative.
Une armée de drones a remplacé les patrouilles de police. C'est sans doute ce que le futur nous réserve, et c'est surtout le scénario d'un montage vidéo inquiétant.
Le site des FEMEN, des féministes, se fait pirater, coup sur coup, depuis mercredi soir.
Les messages ne sont pas des plus sympathiques pour les adeptes des manifestations coup de poing les seins nues. Jeudi soir, des messages très violent traités les FEMEN de Truie : « Venez en Tunisie ! Nous couperons vos seins et les donnerons à manger à nos chiens ! » ; Ce Vendredi, Le logo d’un Anonymous avec un turban s’affichait sur un fond vert. Une attaque intéressante. Le pirate tente de faire croire qu’il est Tunisien, Arabe. Le Facebook des FEMEN avait été piraté en milieu de semaine. Autant dire que les pirates ont accès à d’autres éléments (comme les emails, ndlr zataz.com) pour agir autant et aussi rapidement. L’affaire aurait débuté après que l’association diffuse, sur son Facebook, deux photos de deux jeunes Tunisiennes aux seins nus dans une opération que FEMEN a baptisé Free Amina.
Sur ces images, des Allemands encagoulés détruisent une à une des caméras de surveillance installées dans des espaces publics de Berlin. L’objectif de l’opération CAM OVER [la fin des caméras] est d’en neutraliser le plus possible avant le Congrès européen de la police qui débute le 19 février dans la capitale. Une stratégie contreproductive pour notre Observateur qui milite pourtant, lui aussi, contre ces techniques de surveillance.
Ce rapport a été élaboré, écrit et édité par Weiping Li, Chan Myae Khine, Hisham Almiraat, Renata Avila, Alex Laverty, Sarah Myers et Rebecca MacKinnon. Traduction Abdoulaye Bah et Thalia Rahme Ces dernières semaines, les internautes ont vu de multiples tentatives de la part de gouvernements démocratiques d'étendre le pouvoir de surveillance dans le cyberespace dans le but de combattre et de prévenir la criminalité. Aux Pays-Bas, le gouvernement a poussé le Parlement à adopter une loi visant à faciliter la surveillance exercée par la police au-delà des frontières internationales.
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