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Le 10 avril 2014, le G29 a adopté un avis sur la surveillance des citoyens européens qui fait suite aux révélations sur le programme PRISM. Il appelle à plus de transparence dans les activités des services de renseignement et à un contrôle renforcé de ces activités.
Etude sidérante Les écrivains américains subiraient une pression forte, s'infligeant une censure motivée par la surveillance qu'exerce la NSA. La National Security Agency, agence de surveillance au coeur de l'actualité depuis des mois pour ses écoutes et autres espionnages des États, inciterait les auteurs à brimer leur créativité.
Les révélations d'Edward Snowden sur le programme PRISM et les activités de surveillance massive de la NSA ont fortement entamé la confiance des ménages dans l'économie numérique. Selon un sondage réalisé pour la société ESET, spécialisée dans les logiciel de sécurité, 50 % des Américains interrogés disent avoir "désormais moins confiance dans les entreprises technologiques, telles que les fournisseurs d'accès à internet et les entreprises de logiciels", et cela aurait un impact direct sur leurs pratiques.
La campagne "Stop Watching Us" aux États-Unis a accouché d'un clip impliquant des célébrités d'Hollywood, des politiques, des membres d'ONG, des lanceurs d'alerte et des intellectuels, avec l'ambition de mobiliser la société civile pour obliger la classe politique à mettre fin à la surveillance généralisée.
Une commission parlementaire britannique va enquêter sur le Guardian, afin de déterminer si le quotidien a enfreint la loi ou mis en danger la sécurité nationale en publiant les documents exfiltrés de la NSA par Edward Snowden. C'est Keith Vaz, député travailliste à la tête de la commission aux affaires intérieures de la Chambre des communes, qui l'a annoncé, mercredi 16 octobre, quelques heures seulement après que le premier ministre David Cameron a glissé l'idée aux parlementaires. M. Vaz a précisé que cette enquête allait s'insérer dans une investigation plus large, entamée depuis le mois de juillet, sur la politique antiterroriste du pays. Les documents, obtenus par l'ancien sous-traitant de la NSA et fournis à plusieurs médias, ont jeté une lumière crue sur la surveillance pratiquée par le GCHQ, l'équivalent britannique de la NSA.
L'Agence nationale de sécurité américaine a mis en place un système d'espionnage à l'échelle planétaire. Comment cette surveillance fonctionne-t-elle concrètement ? Explications en patates.
Que peut faire la CNIL contre les programmes de surveillance tels que Prism, et ce au regard des textes fondamentaux garantissant aux citoyens un droit à la vie privée ? Voilà la question posée par plusieurs associations durant l’été à l’autorité administrative, laquelle vient de leur apporter une réponse.
Au fil des révélations, les documents de l’ancien consultant de la NSA Edward Snowden dressent le portrait complexe de l’écosystème de la cybersurveillance américaine, piloté par la toute-puissance Agence de sécurité nationale (NSA). Deux méthodes sont utilisées pour collecter les informations : l’accès direct aux serveurs des grandes entreprises du net ("back door") et la surveillance directe des infrastructures où transitent quotidiennement les communications ("upstream").
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire le 16 juillet, cinq jours après le dépôt d'une plainte commune de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH) et de la Ligue des droits de l'homme (LDH), a-t-on appris aujourd'hui. Celle-ci pointait plusieurs infractions : l'accès frauduleux dans un système de traitement automatisé de données, la collecte illicite de données personnelles, l'atteinte à la vie privée, ou encore l'atteinte au secret des correspondances électroniques. Un large éventail à la mesure des faits dénoncés par l'ancien technicien de la NSA, Edward Snowden, relayés par le Guardian, le Washington Post puis le Spiegel.
Le groupement de l'Article 29 s'inquiète des manquements aux règles européennes en matière de vie privée impliqués par l'espionnage américain.
La CNIL et ses homologues européennes, regroupées dans le G29 (groupe de l'Article 29), viennent de se saisir des implications du Scandale Prism. L'autorité administrative indépendante a ainsi rendu public un courrier envoyé le 13 août 2013 par le président du G29, Jacob Kohnstamm, à la commissaire européenne Viviane Reding, avec copie à Cecilia Malmström, autre commissaire européenne, Martin Schulz, président du Parlement Européen, et Juan Fernando López Aguilar, président de la commission LIBE du Parlement Européen.
Prenant acte des révélations d'Edward Snowden, le G29 va « évaluer l'impact exact du programme PRISM sur la protection de la vie privée des citoyens européens ». Cette évaluation va être réalisée de manière indépendante.
Le scandale Prism a mis en lumière les pratiques des États-Unis en matière d'espionnage. Quant à la France, elle produit elle-même des outils d'espionnage massif.
Le Kinect ne sera plus obligatoire pour profiter pleinement de la Xbox One. Microsoft a annoncé que son dispositif de suivi des mouvements du joueur sera en fin de compte accessoire. Une décision qui s'explique à la fois par la compétition avec Sony mais aussi par le contexte très dégradé aux États-Unis suite aux révélations d'Edward Snowden sur l'espionnage mis en oeuvre par la NSA, avec le concours de géants comme Microsoft.
La NSA va supprimer 90 % des postes d'administrateur systèmes afin d'éviter l'émergence d'autres Edward Snowden. Une partie des tâches sera assignée à des processus automatiques. L'agence de renseignement américaine compte également mettre en place de nouvelles procédures de sécurité.
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L’année 2013 aura été particulièrement riche en révélations dans le domaine du cyber espionnage. Qu’il s’agisse des différentes ramifications de l’affaire PRISM sur l’importance de l’espionnage effectué par la NSA ou d’autres agences gouvernementales, des soupçons d’espionnage industriel de la Chine au travers des équipements de Huawei, ou plus récemment, du témoignage d’un hacker démontrant qu’il était relativement simple de pouvoir accéder aux emails des parlementaires européens, les exemples ne manquent pas pour démontrer que les entreprises et les administrations doivent protéger leurs données et celles de leurs clients/utilisateurs.
Il faut croire qu'Edward Snowden prévoyait depuis longtemps de dénoncer les agissements de la NSA. Dans une interview donnée en juin, il expliquait avoir accepté un travail chez un sous-traitant de l'agence américaine uniquement dans ce but. Aujourd'hui, la manière dont l'ancien analyste a extrait des informations top secrètes est désormais plus claire.
Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur du gouvernement Ayrault et membre du parti Socialiste, a-t-elle commencé à déminer ce qui s’annonce comme la plus grosse affaire du mandat de François Hollande ?
Mégasurprise! La France est bien massivement surveillée par les Etats-Unis, au même titre que ses petits copains allemands, brésiliens ou mexicains. «70,3 millions d'enregistrements de données téléphoniques des Français ont été effectués» du 10 décembre 2012 au 8 janvier 2013, à en croire Le Monde, qui vient de cosigner une série d'articles avec Glenn Greenwald, le journaliste à l'origine des premiers papiers sur les programmes mis en place par la NSA, l'agence américaine chargée de scruter les (nos) communications.
La protection des données à l'ère numérique provoque des maux de tête chez les Européens. Après des mois de palabres, les eurodéputés vont tenter aujourd'hui de franchir une première étape sur la réforme du cadre européen en matière de données personnelles, alors que ce texte menace de rester encalminé. Un vote est prévu en commission parlementaire des Libertés civiles, qui pourrait notamment déboucher sur une limitation plus stricte des transferts de données de l'Europe vers les Etats-Unis.
Questionné sur l’affaire Prism par plusieurs sénateurs ce matin lors d'un débat au Sénat, Fleur Pellerin est restée vague sur la position des autorités françaises alors que ce dispositif d’interception monstre dans les mains de la NSA révèle jour après jour sa puissance tentaculaire.
Les informations sur PRISM et les programmes de surveillance mis en place par le renseignement occidental se succèdent pratiquement jour après jour. Or, certains éléments auraient pu ne jamais être connus. C'est le cas de l'identité des entreprises liées à PRISM. Washington a cherché à dissuader le Washington Post de publier les noms des neuf sociétés.
Les associations de journalistes s’émeuvent et protestent contre ce qui est perçu comme une tentative d’intimidation.Ils demandent une révision des lois antiterroristes.
Le Conseil de l’Europe a réclamé mercredi 20 août des "clarifications" du Royaume-Uni concernant les méthodes employées à l’égard du quotidien The Guardian dans le cadre de l’affaire Snowden, qui "pourraient" menacer la liberté d’expression.Le secrétaire général de l’organisation paneuropéenne, Thorbjorn Jagland, "va écrire au gouvernement britannique pour qu’il s’explique" sur la détention de David Miranda et sur la destruction de documents relatifs à l’affaire Snowden détenus par le Guardian, a précisé son porte-parole Daniel Holtgen.
En fin de semaine dernière, la NSA a été une nouvelle fois sous le feu des projecteurs à cause de nouvelles informations relevées par les documents d’Edward Snowden. Il s’agissait cette fois des erreurs commises régulièrement par l’agence et la manière dont elle collectait par inadvertance des données de citoyens américains. Pour la NSA cependant, ces erreurs ne sont qu’une goutte d’eau dans l’océan des requêtes.
Le gouvernement britannique a forcé le Guardian à détruire des dossiers, le menaçant d'une procédure judiciaire après la publication des documents secrets américains fournis au journal par Edward Snowden, a déclaré mardi l'éditeur du journal britannique.
Le mari de Glenn Greenwald, le journaliste du Guardian qui, avec le lanceur d'alerte Edward Snowden, est l'origine des révélations sur la surveillance des communications menée en secret par les Etats-Unis, a été détenu pendant neuf heures par les autorités britanniques à l'aéroport d'Heathrow, rapporte dimanche 18 août le quotidien britannique.
Deux des principaux opérateurs de télécommunications indiens, Tata Communications et Reliance Communications, participent à la surveillance des citoyens américains. Les deux entreprises ont signé, en 2005 et 2007, des "accords de sécurité du réseau", qui permettent au FBI, aux départements de la justice et de la sécurité intérieure et au trésor américains de surveiller les réseaux des deux opérateurs, révèle le magazine indien Frontline le 7 août. Les entreprises, comme d'autres opérateurs présents sur le sol américain, ont obligation de partager leurs données avec les autorités. Si ces acteurs ne fournissent pas directement de connexion Internet aux citoyens américains, c'est en partie par ces réseaux que transitent leurs données.
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