Le salut de la télévision passera peut-être par sa diversification. C'est en tout cas ce que se dit M6, qui a publié, hier, des résultats...
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Les recettes publicitaires du groupe M6 ont chuté de 3,8 % au 1er trimestre 2014 (à 408 millions) quand les revenus non publicitaires progressaient, eux, de 7,1 % (à 226 millions).
A qui faut-il dire merci? A M6 Web, à la filiale de vente à distance et de téléachat Ventadis, aux activités de production et de droits audiovisuels, à la chaîne thématique humoristique Golden Moustache qui réunit en moyenne 700.000 internautes par mois et au rachat de Best of TV, société qui vend des produits de téléachat.
La diversification, un mal pour un bien? Quoi qu'il en soit, c'est autant d'argent qui n'est pas investi dans la rédaction, comme partout d'ailleurs, les journalistes devenant les parents pauvres de marques-médias qui ne seraient rien sans eux... même si, c'est vrai, les télévisions ont d'autres atouts que la presse écrite.