On entend souvent dire que la PQR n'a pas réussi à prendre le virage du numérique. Est-ce vraiment le cas ?
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L’année prochaine, la PQR sur le web aura vingt ans.
> La Voix du Nord depuis 2007 résume la situation : « en 2006, nous avions simplement la volonté d’exister sur le web. En 2010, nous avons développé une approche plus qualitative à l’audience et depuis 2012, nous développons notre stratégie digitale avec un paywall. »
> À Sud Ouest, dix journalistes travaillent exclusivement au desk numérique.
> « Nous avons fait un effort sur Facebook avec deux community managers et cela a payé. 30 % de l’audience du site Internet de La Voix du Nord en provient. 30 % de l’audience du site Internet de La Voix du Nord provient des réseaux sociaux. Mais c’est un public plus jeune et plus volatile, qui s’intéresse surtout aux histoires qui font du buzz. »
> Michel Lepinay, directeur de Paris Normandie de 2004 à 2012, s’étonne de ne pas voir d’initiatives mobiles. « La PQR a l’avantage de connaître ses lecteurs et ses annonceurs. Elle pourrait proposer des services à la personne, ou même, avec la géolocalisation, alerter un lecteur qu’un magasin fait des soldes trois rues plus loin ! » Ce que la PQN ne peut pas faire. La PQR aurait-elle laissé passer la chance de pouvoir accompagner son lecteur tout au long de la journée ?