Il y a quelque chose de pourri dans l’état de Libération. La guerre se fait entre direction, journalistes et actionnaires par Unes et emails interposés. La survie du quotidien se joue dans les semaines à venir.
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Je partage en grande partie l'avis de Stefan de Vries. Je préfère ne pas déflorer son propos pour vous laisser réfléchir à ses arguments. Juste un petit bémol, ou en tout cas une précision... Pour faire la qualité à laquelle aspire Stefan de Vries, il faut tout de même un minimum de journalistes dans la rédaction. Des rédactions qui, dans toute la presse écrite, sont de plus en plus exsangues. Donc, oui à une politique de marque, oui au story telling, mais avec des rédactions qui ont les moyens de travailler. Quant c'est le cas, il ne faut pas que les journalistes s'inquiètent. Je suis persuadée que story telling et déontologie ne sont pas incompatibles.