Get Started for FREE
Sign up with Facebook Sign up with X
I don't have a Facebook or a X account
 Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scoop.it!
Les internautes peuvent accéder aujourd’hui, sans dépense apparente, à une multitude de biens culturels. Quels modèles économiques se cachent derrière cette gratuité ? À qui profite l’abondance de contenus gratuits sur Internet ? 
No comment yet.
Sign up to comment
Scoop.it!
The text below is that of the speech given by Hal Varian, Chief Economist at Google, on 25 September 2013 in Milan at the awards ceremony of the annual Italian journalism award È giornalismo.
Béatrice D.'s insight:
Bon résumé des défis de la presse écrite, par Hal Varian, Chief Economist at Google, le 25 september à Milan à la cérémonie du festival annuel "Italian journalism award".
Scoop.it!
Béatrice D.'s insight:
Le Spiil récuse la règle d’exclusivité du Fonds au profit des seuls sites «d'information politique et générale" reconnus comme tels par la CPPAP. La plupart des sites de presse comportent des contenus IPG et d’autres qui ne le sont pas. Par ailleurs, dit-il, "les sites classés IPG n’ont pas le monopole de l’innovation numérique". Pour lui, "il en résulte des risques de distorsions de concurrence sur le marché de la presse dans son ensemble".
|
Scoop.it!
Selon les derniers chiffres d’audience Internet publiés par Médiamétrie//NetRatings, les audiences des sites figurant dans le communiqué de presse sont très majoritairement à la baisse en février par rapport à janvier, compte tenu de la différence du nombre de jours. Toutefois, le contexte olympique de Sotchi a sans doute contribué à faire de L’Equipe la marque qui progresse le plus dans le périmètre publié (5,220 M de VU, +8,32% de progression). Autre acteur olympique, France Télévisions reste stable. Allociné et Météo France ont également des hausses autour de 400 000 VU. Dans le top 10, YouTube (27,257 M de VU, -1,82%) dépasse de très peu Facebook (27,253 M de VU, -2,52%) et devient pour la première fois deuxième site en France derrière Google, tandis que Yahoo est l’acteur le plus stable du top 10 à -0,72% et 16,187 M de VU.
Béatrice D.'s insight:
Il est tout de même intéressant de constater que dans le Top 10 des sites en VU, de Google aux PagesJaunes, ils ont tous baissé.
Scoop.it!
Béatrice D.'s insight:
Selon CBNEWS, Mondadori France mettrait la dernière main à un accord avec Google pour la mise en ligne de l'intégralité de ses magazines sur GooglePlay.
Scoop.it!
(AFP) - Le groupe internet américain Google a commencé à approcher de grands médias pour leur proposer de commercialiser leurs contenus sous...
Béatrice D.'s insight:
L Parisien rapelle que, "si Google va de l'avant avec ce projet, il rejoindrait d'autres entreprises qui envisagent de lancer de tels services regroupant des programmes existants: le géant des semi-conducteurs Intel et le groupe de médias japonais Sony travaillent sur des offres similaires tandis qu'Apple a lancé plusieurs idées de commercialisation sous licence de programmes télé à des entreprises de médias ces dernières années, ajoute le Wall Street Journal".
|
Dans leur livre La gratuité à quel prix ?, Joëlle Farchy, Cécile Méadel, Guillaume Sire dressent un portrait complet des acteurs et modèles économiques présents sur le marché des biens culturels en ligne. Ils pointent par la même occasion le problème crucial du partage de la valeur entre des acteurs comme Google, Apple ou Amazon et les créateurs de contenus, notamment quand la gratuité est la règle. Gratuité illusoire soit dit en passant, car il y a en réalité deux prix à payer: l'omniprésence de la publicité d'une part, la monétisation de vos (de nos) données personnelles - goûts, habitudes, voire opinions politiques, religieuses - d'autre part... sans compter le coût d'un abonnement internet, le prix de l'ordinateur et j'en passe.
Toutefois, les chercheurs ne donnent pas de solutions concrètes à l’inégale répartition des revenus. Et c'est bel et bien sur ce point que le bât blesse pour les groupes de presse "Google dépendants".
La home page n'est plus, loin s'en faut, la vitrine chérie des sites de presse, pure player ou non.
Les référenceurs ont tellement bien fait leur travail que de plus en plus de lecteurs arrivent de la vaste toile. Une bonne chose pour les "clics", mais pas forcément pour le portefeuille.
Qui contrôlera les données fournies (volontairement ou involontairement) par ces lecteurs à l'avenir? De la réponse à cette question pourrait bien dépendre la survie de la presse traditionnelle telle que nous la connaissons aujourd'hui.
Lire aussi : Attention à votre ego sur les réseaux sociaux