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Fermes urbaines, jardins collectifs ou simples balcons : en ville, les opportunités de mettre les mains dans la terre et d’apprendre à jardiner se multiplient. Petit tour d’horizon. Isabelle Vatan Publié le 26/05/21 (abonnés) Avec son association, Le Jardin nourricier, Valéry veut transmettre son savoir en animant des ateliers à Courbevoie (92), notamment auprès des tout-petits : « J’encourage à jardiner. On en a besoin dans nos milieux bétonnés et ça permet d’apporter sa contribution à la biodiversité. Plus des îlots de verdure apparaîtront, plus il y aura d’insectes et d’oiseaux. »
Alors qu’ils sont à la base de notre alimentation et de notre santé, les sols ne bénéficient d’aucune réglementation. Pour les protéger, plus de 400 associations se sont réunies pour la mise en place d’une législation européenne.
Via La Bièvre - SMBVB
Sans les pollinisateurs, les prédateurs et les recycleurs, le jardinier est condamné. Au potager, plusieurs insectes sont des auxiliaires vitaux.
[Image] « Christian Rougeron et les Jardiniers d’Auvergne exploitent un jardin expérimental à Ennezat. Le compost fourmille de vie (avec notamment de nombreux vers). Leur parcelle accueille également un hôtel à insectes. Un petit coin de paradis pour les coccinelles et autres auxiliaires. »
Par Fabrice Mina. La Montagne. « [...] Suite aux problèmes financiers rencontrés par les Jardiniers de France, une grande majorité de passionnés a décidé de poursuivre l'aventure sans l'appui du siège situé à Valenciennes. Ainsi est née l'association des Jardiniers des pays d'Auvergne, qui regroupe 25 clubs (essentiellement dans le Puy-de-Dôme) et 650 adhérents. »
Dans les villes, entre les immeubles, se propagent des jardins partagés, héritiers des anciens jardins ouvriers.
Le Jardin nomade, Poireau agile, Le Lapin ouvrier, Le Poteau rose, Le Passe-jardins font partie des 500 jardins partagés qui ont poussé dans les villes françaises. Les salades sortent de terre au milieu des capucines, à proximité du trottoir. Arrachés au bitume et aux appétits des promoteurs, ces îlots verts se nichent entre deux immeubles, transformant le paysage urbain.
Les jardins ouvriers sont nés pendant la révolution industrielle, à la fin du xixe siècle. Promus par l’abbé Lemire comme moyen de lutter contre la pauvreté et l’alcoolisme, ils vont atteindre, au cours de la Seconde Guerre mondiale, un pic record de 250 000 en 1943. En 1952, ils deviennent des jardins familiaux, puis déclinent. Depuis les années 2000, les jardins partagés renouent avec cet esprit communautaire. Le premier a ouvert à Lille en 1997. Paris, où il en existe depuis 2002, en compte aujourd’hui une soixantaine, concentrés dans l’Est ; l’Île-de-France, une quarantaine. Ils sont placés sous le signe de l’humour et de la poésie, sur les pas de leur inspiratrice, Liz Christy. Dans les années 1970, cette artiste américaine lance des “bombes” de graines de fleurs par-dessus les grilles des friches industrielles qui pullulent alors à New York. Le succès de cette initiative amène à la fondation du mouvement Green Guerillas, qui milite pour la création de jardins communautaires ; 600 community gardens fleurissent ainsi à New York. Le mouvement gagne d’autres agglomérations. Peu à peu émerge l’idée d’une agriculture urbaine et d’une autonomie alimentaire dans les villes. [...]
Via Géo Graphe
L’association Au Ras Du Sol recrute un Service Civique H/F pour Développer l’Université Populaire du Jardinage.
L’association, spécialisée dans la valorisation de la matière organique, œuvre pour la diffusion des bonnes pratiques de jardinage, de compostage et la diffusion du bien vivre alimentaire, auprès de tous les publics. Attachés à la transmission des savoir-faire et des savoir-être nous mettons au cœur de nos activités les échanges d’expériences.
Via Emploi & métiers verts
Le Groupe de Diffusion d'Informations sur l'Environnement est une association française créée en 2006 menant des projets innovants de sensibilisation des citadins à l'environnement et au développement durable.
GDIE. « Ce guide s’adresse en priorité à toute association de résidents (amicale de locataires, conseil syndical de copropriétés,…) souhaitant organiser, seule ou avec une aide extérieure, des actions simples et conviviales pour sensibiliser les résidents à la biodiversité dans les espaces verts de leur immeuble. »
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Le guide "Immeuble au vert - sensibiliser à la biodiversité dans les espaces verts de ma résidence" est disponible gratuitement sur simple demande à l’adresse suivante (dans la limite des stocks disponibles) : gdie.contact@gmail.com
Pour lire le guide, CLIQUEZ ICI Pour télécharger gratuitement le guide, CLIQUEZ ICI
Les Jardiniers de Tournefeuille est la branche Tournefeuillaise de l'association des Jardiniers de France. Jardinage, plantes, environnement et culture et solidarité sont nos valeurs.
C’est comme un vide-grenier. Regardez dans vos placards à outils.
Pensez à tout ce qui pourrait servir à d'autres...
Chacun peut y vendre tout ce qui se rapporte au jardin et à la nature :
• surplus de plants, de graines, boutures ;
• pots de fleurs, jardinières, suspensions, mobilier de jardin,
éléments de décoration, tenues de jardin ;
• livres et magazines de jardinage ;
• gros matériel de jardinage (tondeuses, motoculteurs, broyeurs, scarificateurs...) ;
• outils de toutes sortes (binettes, bêches, râteaux...).
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"... Les mesures de sauvetage de court-terme sont indispensables. Mais lorsque la crise sanitaire arrivera à son terme, un plan de sortie de crises devra lui succéder. Ce dernier devra poser les jalons de la réorientation de notre système économique et social vers la transition écologique pour le rendre plus résilient et plus juste à moyen et long terme." Réseau Action Climat. Publié le 03.04.2020 "Nous avons identifié 4 piliers, pour une plus grande résilience face aux crises :
I. Un Plan de sauvetage d’urgence compatible avec la crise climatique et la lutte contre l’érosion de la biodiversité
II. Un Plan de sortie des crises : une économie et une société plus résilientes
III. Une société plus juste est plus résiliente
IV. Un nouveau cadre économique pour libérer les capacités d’investissements pour la transition"
(...)
Notre actualité et nos recherches concernant l'élimination du frelon asiatique de nos ruchers
→ N° 19 - MAI 2014
« Beaucoup de gens nous contactent pour mieux connaitre les ruchers troncs ou les abeilles noires. Nous répondons dans la mesure de nos possibilités et de celles du Web, qui est bien utile pour pas mal de situations, mais qui ne suffit pas. »
« Transmettre des connaissances qui remontent aux dernières grandes glaciations et aux premières inventions de l'agriculture du néolithique, véhicule une certaine profondeur et une intensité émotionnelle. Mais rien ne vaut des actes pour les partager. Ils touchent au mieux à ce qui est essentiel: la conscience, la perspective et l'attention que nous portons à l'abeille. »
« Aussi, quand le service de ces demoiselles nous laisse le temps (ce n'est pas souvent le cas ces dernières années) nous organisons des journées de stages. Ici dans la montagne, pour partager cette tradition liée aux ruches rondes, comme les appelle très justement notre doyen Paul Chapelle. »
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Conférence du CARI autour de l’agriculture familiale
Le CARI et ISF Montpellier organisent une conférence sur : Agriculture familiale : Réponse aux idées reçues
le mercredi 16 avril à 19h
à SupAgro Montpellier
Intervention de Marc Dufumier
Situé en Seine-Saint-Denis, le potager des Lilas permet à tous de venir cultiver son lopin de terre dans une ambiance conviviale. Les générations viennent s’y rencontrer pour transmettre leur savoir-faire ou simplement profiter de ce petit coin de campagne aux portes de Paris.
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Les enfants accompagnés de leurs parents aiment y observer la croissance de leurs légumes, ou jouer tranquillement à proximité. Chacun se promène ou s’arrête, à sa guise, regarde les jardiniers travailler et reste le temps qu’il veut. Les nostalgiques se souviennent encore de cette couronne de milliers de jardins de la banlieue parisienne.
Grands-parents et petits enfants se transmettent un savoir- faire, un respect du travail bien fait et les vertus de la patience. À mieux les regarder, on comprend pourquoi la bourrache côtoie le chou – manière d’écarter la piéride – et quel intime secret attire les pucerons vers les capucines, pour mieux favoriser la croissance des courgettes et des fèves.
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Ce stage de permaculture est co-organisé par une nouvelle association créée pour l'occasion (en fait le potager d'une curieuse avec quelques amis) et Bernard Alonso, permaculteur canadien qui est déjà venu à Besançon en 2012.
Un administrateur de Prom’Haies explique pourquoi il est important de conserver les haies qui pourraient atténuer les dégâts en cas de tempête.
L’association Vergers urbains, qui milite pour la réinstallations d’arbres fruitiers en ville, a implanté une forêt fruitière en bacs sur le parvis de l’Hôtel de ville de Paris (Juin 2013).
(Article publié le samedi 19 octobre 2013 par jpplejardinier)
[...] Cet outil génial porte le nom de son inventeur Olivier Grelin. On le retrouve aujourd’hui aussi sous le nom de Biobêche, Aérabêche… Le concept a été copié bien sûr !!! Il permet de travailler la terre sans retournement, de l'aérer, d'arracher les pommes de terre, de désherber… sans se fatiguer.
Pourquoi travailler la terre sans retournement ? Le bêchage destructure la terre et casse le dos de ses utilisateurs !!! Les insectes et les micros-organismes de surface vivent au soleil avec de l'oxygène (en aérobiose), et ceux sous la terre vivent dans le noir et avec peu ou sans oxygène (en anaérobiose).
Lorsque vous retournez la terre, les occupants de la surface, en train de se faire bronzer sur leur transat avec leur lunettes de soleil, se retrouvent dans le noir privés d'air, imaginez leur tête j'aimerais vous y voir !!! Et ceux qui vivaient tranquilement sous la terre dans l'obscurité, se retrouvent avec le soleil en pleine poire, horreur !!!
La Grelinette vous permet d'ouvrir et donc d'aérer la terre, favorisant ainsi l'infiltration des eaux et de l'oxygène. Un outil qui respecte la terre et ses occupant et qui épargne votre dos, utilisable par les femmes et les personnes âgées.
"... En Ile-de-France (la grande région de Paris) le G.D.I.E. réalise des programmes de sensibilisation, d'abord dans des lieux de proximité : pieds d'immeubles (hall intérieur, porche extérieur, espaces verts, jardins partagés), centres sociaux, centres d'animations, Maisons de la Nature, parcs urbains. Et également dans des entreprises et des établissements scolaires."
Il est téléchargeable depuis cette page: Immeuble au vert
→ Groupe de Diffusion d'Informations sur l'Environnement (G.D.I.E.) http://www.gdie-asso.org/actualite-34-commandez-ou-telechargez-notre-nouveau-guide-gratuit.html
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