Variétés entomologiques
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Une étrange épidémie de boutons touche le Grand Reims

Une étrange épidémie de boutons touche le Grand Reims | Variétés entomologiques | Scoop.it
Depuis quinze jours, un étrange mal touche de nombreux habitants. De petits boutons particulièrement démangeants apparaissent sur tout le corps... Difficile de sourcer leur origine.

 

Mis en ligne le 18/06/2021 à 19:07

Alice Beckel

 
 
L’ARS Grand Est réagit
 

Sans établir avec certitude l’origine de cette vague de démangeaison, l’agence de santé avance deux suspects.

Tout d’abord, la chenille processionnaire du chêne. Cet insecte très urticant est présent en ce moment en milieu rural ou urbain à proximité des parcs ou jardins.

 

Deuxième piste, l’arrivée précoce des aoûtats, boostée par la vague de chaleur

 

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SUR LE MÊME SUJET :

→ Pourquoi ça gratte ? - Champagne FM, 19.06.2021
https://www.champagnefm.com/news/pourquoi-ca-gratte-56440,

 

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AJOUT au 27.06.2021


→ C’est quoi ces mystérieux petits boutons rouges qui grattent ?
https://abonne.lest-eclair.fr/id269631/article/2021-06-26/de-mysterieux-petits-boutons-rouges-qui-grattent

 

Mis en ligne le 26/06/2021 à 18:15 | mis à jour le 27/06/2021 à 10:36. VINCENT GORI
 

L’ARS n’apporte pas vraiment de réponse sur l’origine de ces boutons

"L’Agence régionale de santé (ARS) du Grand Est n’apporte pas vraiment de réponse mais a publié, sur son site : « Depuis début juin, de nombreux signalements de plusieurs départements du Grand Est concernent des démangeaisons ou éruptions cutanées affectant la population principalement sur les zones découvertes : jambes, bras, mains, torse ». Et observe que « certains signalements peuvent être liés à une recrudescence très importante des chenilles processionnaires du chêne, urticantes, en milieu rural ou urbain à proximité des parcs ou jardins ». L’ARS évoque aussi « des petits insectes de types aoûtats ou assimilés également responsables de piqûres ou démangeaisons cutanées ». L’agence recommande aux personnes souffrant d’affections cutanées de consulter leur pharmacien ou médecin généraliste.

 

Contacté, Yves Noizet, président du syndicat des pharmaciens de l’Aube, observe que les grosses chaleurs favorisent ce type de réaction. Pour lui ces boutons ne sont pas liés aux chenilles processionnaires dont « les réactions sont très urticantes. C’est violent ». Ni aux aoûtats  où « les boutons sont concentrés dans les zones chaudes, les plis du coude, la ceinture… ». Et des puces de lit  ? « Les boutons sont sur tout le corps », répond le responsable. Et là encore ces petites bêtes sont visibles. Yves Noizet invite les personnes concernées à consulter leur médecin traitant, ou venir en officine et préconise un produit antihistaminique.

Hypothèse et remèdes miracles

Un autre pharmacien aubois évoque sur sa page Facebook, les simulies, petites mouches microscopiques qui piquent et injectent une substance anticoagulante et allergisante dans le sang. Il pense qu’elle pourrait être responsable de ces boutons. Une hypothèse qui n’est pas confirmée."

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À Montcuq, les ânes sont culottés - 02/04/2018

À Montcuq, les ânes sont culottés - 02/04/2018 | Variétés entomologiques | Scoop.it
L'affaire est sérieuse : afin de protéger leurs ânes des piqûres de mouches, les maraîchers bio Patricia et Thierry Poizat ont sollicité une couturière. Elle a trouvé la solution…

 

Publié le 02.04.2018

 

"... Un élastique enserre le bas de ces culottes sur le sabot pour que les insectes ne puissent pas s'y introduire. Car si l'histoire fait sourire, le motif est des plus sérieux. «Depuis deux ans, la simulie, une petite mouche noire du Canada, se propage dans le Lot, déplore Thierry Poizat. Elle provoque d'impressionnantes piqûres sur les pattes et les articulations des ânes. Ces lésions très douloureuses entraînent des inflammations pouvant aller jusqu'à la lymphangite et la septicémie.»

 

Essayant de limiter l'usage de molécules chimiques dont la présence dans le fumier risquerait d'intoxiquer leurs abeilles, Patricia et Thierry ont eu l'idée de demander aux bénévoles de Quercy Créaction de confectionner des pantalons pour protéger préventivement Martin et Cerise des attaques de la mouche."

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Toulouse. Le moustique est déjà là, mais ce n'est pas (encore) le tigre

Toulouse. Le moustique est déjà là, mais ce n'est pas (encore) le tigre | Variétés entomologiques | Scoop.it
Les Toulousains qui se sont fait piquer en plein cœur de l’hiver n’ont pas eu la berlue ! Les moustiques ont été précoces, cette année, à la faveur d’une météo douce et humide. Mais il ne s’agit pas du redoutable tigre.

 

Publié le 01.04.2018

 

"... Les pièges ont été mis en place le 9 mars et les relevés ont été effectués en deux temps, les 12 et 16 mars. Les analyses en laboratoire des œufs récoltés et des insectes capturés ont confirmé en revanche la présence du moustique commun Culex pipiens, inféodé aux eaux chargées en matière organique, et surtout celle de simulies, petites mouches noires hématophages (absorbant du sang), à la piqûre très irritante et, par conséquent, très gênante. Il y a donc eu probable confusion du tigre avec le moustique commun (Culex pipiens) et avec d’autres insectes nuisants, en particulier des simulies."

(...)

 

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Des mouches qui piquent provoquent l’inquiétude

Des mouches qui piquent provoquent l’inquiétude | Variétés entomologiques | Scoop.it
Des petites mouches font craindre le pire dans le département. A la Ravine à Malheur dans les Hauts de la Possession, certaines personnes se font piquer une fois la nuit tombée. Et les conséquences sont immédiates : démangeaisons et parfois même, oedèmes. Les victimes parlent de la mouche noire, autrement appelée simulie.
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