Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique.
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Le bonheur c'est comment on fait pour vivre ensemble
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Exprimer le bonheur: Renforcer la PARTICIPATION des citoyens aux décisions politiques - Observateur OCDE

Exprimer le bonheur: Renforcer la PARTICIPATION des citoyens aux décisions politiques - Observateur OCDE | Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique. | Scoop.it

Renforcer la participation des citoyens aux décisions politiques, tel est l’un des objectifs des nouveaux indicateurs de bienêtre, élaborés pour pallier aux insuffisances du PIB.

 

Celui-ci laisse en effet de côté un grand nombre de facteurs pourtant fondamentaux dans nos vies quotidiennes à tous, de la santé à la qualité de l’environnement en passant par l’éducation, le logement ou encore les liens sociaux et la sécurité. Il est donc crucial que le grand public comprenne comment les nouveaux indicateurs visant à compléter le PIB sont élaborés et interprétés, et si possible qu’il soit pleinement associé au processus.

 

- See more at: http://observateurocde.org/news/fullstory.php/aid/3309/Exprimer_le_bonheur_.html#sthash.SFBoMpME.dpuf


Via CDI LEGTA Arras
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Au-delà du PIB, un tableau de bord pour MIEUX mesurer l’état et le développement de la France

Au-delà du PIB, un tableau de bord pour MIEUX mesurer l’état et le développement de la France | Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique. | Scoop.it

Après une large consultation d’experts, de la société civile et des citoyens, France Stratégie et le CESE proposent un tableau de bord d’indicateurs destinés à mieux mesurer l’état et le développement de notre pays, dans ses dimensions économiques, sociales et environnementales.


Via la Fabrique Spinoza
la Fabrique Spinoza's curator insight, June 25, 2015 7:22 AM

 

Téléchargez directement la note d'analyse "Au-delà du PIB, un tableau de bord pour la France" (PDF - 1,15 Mo):

www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/notes_danalyse_n32_-_24.06.pdf

 

La Fabrique Spinoza est fière d'avoir contribué à l'élaboration du tableau de bord et se félicite de l'inclusion d'un indicateur de qualité de vie à travers celui de "satisfaction à l'égard de la vie" !

Retrouvez nos travaux sur les indicateurs de développement sur notre site:

http://fabriquespinoza.fr/presentation/themes-travail/indicateurs-developpement/

 

Christophe CESETTI's curator insight, June 25, 2015 8:25 AM

Quelle construction démocratique ? Quelle inclusion des citoyens dans cette ébauche ? Quelle légitimité des experts ? Est-ce qu'en procédant de la même façon nous allons changer les choses ?

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Les indicateurs complémentaires au PIB peuvent-ils changer le DÉBAT public ? - Mardi 14 avril 2015, 17h-18h30, mairie du 3ème, Paris

Les indicateurs complémentaires au PIB peuvent-ils changer le DÉBAT public ? - Mardi 14 avril 2015, 17h-18h30, mairie du 3ème, Paris | Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique. | Scoop.it

Alors que la croissance, désormais souvent vue comme incompatible avec la soutenabilité écologique et sociale, ne fait plus consensus, l’indicateur le plus couramment utilisé pour mesurer le progrès économique reste le PIB. Experts, décideurs et organisations internationales s’accordent pourtant à dire qu’il n’est pas un indicateur suffisant pour mesurer les avancées économiques et sociales d’un pays. Il néglige les stocks et est indifférent à la répartition des richesses et aux effets sur l’environnement. Bien que les propositions d’indicateurs alternatifs ou de tableaux de bord se soient multipliées depuis une décennie, le PIB reste encore, en France comme ailleurs, l’indicateur dominant dans les débats publics et les comparaisons internationales.

 

Cette table-ronde vise à examiner les conséquences de cet état de fait. La prédominance du PIB biaise-t-elle la décision publique dans un sens qui n’est pas socialement optimal ? Est-il possible que celle-ci se base sur des critères plus larges ? Faut-il construire un tableau de bord couvrant un champ plus large ? De quelle manière lui donner visibilité et effectivité ? A quel niveau (régions, Etat, Union européenne, …) faut-il d’abord changer d’indicateurs de croissance ?


Via la Fabrique Spinoza
la Fabrique Spinoza's curator insight, April 3, 2015 5:53 AM

Table-ronde organisée par France Stratégie avec :

- Eva Sas, Députée de l’Essonne

- Jean Pisani-Ferry, Commissaire général, France Stratégie

- Jean-Luc Tavernier, Directeur général, INSEE

- Philippe Donnay, Commissaire au Plan du Bureau fédéral du Plan belge

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Mesure de la croissance : le PIB NE SUFFIT PLUS

Mesure de la croissance : le PIB NE SUFFIT PLUS | Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique. | Scoop.it

Le produit intérieur brut ne suffit plus à estimer la croissance et le bien-être d’un pays. Le Royaume-Uni, l’Australie ou l’Allemagne, entre autres, travaillent à de nouveaux indicateurs de prospérité. La France doit à son tour les prendre en compte.


Via la Fabrique Spinoza
la Fabrique Spinoza's curator insight, December 30, 2014 6:40 AM

 

Les indicateurs alternatifs constituent un sujet phare pour la Fabrique Spinoza :

http://fabriquespinoza.fr/presentation/themes-travail/indicateurs-developpement/

 

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Connaître n’est pas MESURER

Connaître n’est pas MESURER | Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique. | Scoop.it

Le Monde 29 jan 2014 par Jean-Paul Allouche mathématicien, directeur de recherche au CNRS. 

 

Tout a peut-être commencé chez de très lointains ancêtres avec la récupération des " restes " des repas destinés à être consommés le lendemain, y compris sous la forme élaborée de soupes ou gratins. Eviter le gaspillage : qui ne souscrirait à un tel principe ? Puis on a affiné, innocemment, des outils mathématiques pour rechercher " l'efficacité " : recherche opérationnelle, optimisation discrète ou continue, etc.


Il devint alors nécessaire de quantifier : les ressources disponibles, leur utilisation, le comportement des utilisateurs. Peu à peu s'est répandue la croyance naïve que tout est mesurable et quantifiable, voire que c'est la seule manière d'appréhender le réel. Une manière de prendre au pied de la lettre l'expression attribuée au philosophe français Léon Brunschvicg (1869-1944) : " Connaître, c'est mesurer " qui a inspiré, à rebours, le titre de cet article (1).


Comme – heureusement – beaucoup de choses échappent à la mesure ou à la quantification, on décida d'inventer puis d'appliquer de force des critères paramétriques à des objets non clairement mesurables : de manière politique avec, par exemple, la notion de " pollueur payeur " ou de manière économique avec, imaginons, des objectifs ou injonctions de " rendement ". C'est ainsi que furent inventés les indices. Destinés au début à contourner l'oxymore de la " quantification de la qualité ", ils devinrent progressivement sacro-saints. Personne ne remet en cause (ou si peu) la fabrication de ces indices, encore moins leur existence, ni même leur fondement épistémologique.


Interrogeons nos voisins d'autobus : savent-ils (savons-nous) comment sont calculés l'indice du coût de la vie, le salaire moyen des Français ou l'espérance de vie ? Et même si beaucoup sentent confusément les manipulations insensées des instruments de " mesure ", personne ou presque ne remet en question l'idée même que l'on puisse vraiment mesurer tout et n'importe quoi. Pire, les idées véhiculées par l'exploitation de ces indices s'enracinent dans notre pensée : un seul exemple, il a tellement été martelé que le salaire moyen des fonctionnaires était supérieur au salaire moyen des autres salariés que ceci est communément admis comme un dogme, sans même qu'il soit possible de faire remarquer que le calcul n'est jamais fait " à diplôme égal "…


Tant que ces questions restaient dans le domaine de l'industrie (comme optimiser la découpe de vêtements dans une pièce de tissu), elles n'affectaient qu'indirectement la vie de tous les jours, sauf peut-être hélas celle des travailleurs soumis à des objectifs de rendement dont nous nous souvenons bien (notamment le chronométrage du temps passé aux toilettes). Mais voilà que ces indicateurs débordent dans des domaines où leur utilisation est encore plus illégitime : classement de Shanghaï des universités, rentabilité des services publics, mesure du bonheur et autres fariboles, sornettes et billevesées.


Dans le domaine académique, l'idéologie illusoire de l'évaluation quantitative – et l'un de ses corollaires, l'utilisation aveugle de la bibliométrie – a été dénoncée à maintes reprises (voir par exemple le numéro 37 de la revue Cités, www.cairn.info/revue-cites-2009-1.htm), mais continue hélas à être prise au sérieux par ceux-là mêmes qui ont les outils intellectuels pour en montrer l'inanité.


Entendons-nous bien : il ne s'agit pas, comme essaient de le faire croire ceux qui veulent imposer ces indices, de prôner un laisser-faire ou laisser-aller général dans des domaines qui seraient ainsi privilégiés, mais de comprendre que non seulement ces " calculs " n'ont pas grand sens, mais encore qu'ils favorisent des comportements qui sont de fait nocifs pour la communauté tout entière et qui aboutissent à l'opposé du résultat recherché.


Le délicieux livre de Maya Beauvallet Les Stratégies absurdes. Comment faire pire en croyant faire mieux (Seuil, 2009) donne plusieurs aperçus des effets pervers de l'utilisation d'indices et mesures : ainsi, pour tenter d'éviter que les parents ne viennent à la crèche trop tard pour chercher leurs enfants, le directeur décide que les retardataires paieront une amende proportionnelle à leur retard ; et aussitôt les retards explosent : les parents ont calculé que l'amende leur coûtait moins cher qu'une baby-sitter ! Ou bien, pour favoriser le don du sang dans un pays, on décide de rémunérer les volontaires ; et les dons s'effondrent : ceux qui donnaient leur sang sont choqués qu'on puisse rémunérer ce qui, pour eux, relève de la solidarité humaine et s'abstiennent désormais, tandis que les autres trouvent que la rémunération est largement insuffisante et ne modifient pas leur comportement.


Naturellement, la mise en place et la " sanctification " de ces indices ne sont possibles que grâce à la complicité, volontaire ou pas, des individus à qui on les applique. Même lorsque ces derniers pourraient avoir le choix de contester le bien-fondé ou l'utilisation de ces critères quantitatifs, ou même lorsqu'ils en comprennent parfaitement le fonctionnement pervers, ils les acceptent, par passivité, de peur de déplaire aux " décideurs " ou parce qu'ils comptent bien tirer leur épingle du jeu… au détriment de leurs pairs.


Plus grave, s'il est possible, est l'émergence de plusieurs catégories d'agents, tout aussi illégitimes que les calculs qu'ils prétendent imposer : des " experts " auto-déclarés aux contremaîtres empressés (pour utiliser un mot désuet, même si le concept de la contremaîtrise n'a jamais été aussi présent), des gouvernements utilisant des chiffres choisis uniquement pour confirmer leur prise de décision idéologique aux vérificateurs maniaques de bas étage.


Le choix de ce dernier vocable, volontairement péjoratif, a pour but de dénoncer la " caporalisation " de la société dont nous voyons les progrès chaque jour : une fois la mesure (ou l'indice) choisie et son infaillibilité posée en principe absolu et incontestable, se développe toute une confrérie d'adorateurs de l'indice qui, sous couvert de respecter les critères d'optimisation venus " d'en haut ", donnent libre cours à leur autoritarisme haineux, faux prophètes d'une religion qu'ils cherchent à imposer comme une eschatologie ou un messianisme prétendument aussi souhaitables qu'inévitables.


(1) L'expression " Connaître, c'est mesurer " est attribuée à Léon Brunschvicg ; nous n'avons pas retrouvé la référence précise, mais, dans " La Philosophie de l'esprit " (PUF, 1950), Brunschvicg écrit : " Cette condition de mesure est préalable à toute conception, à tout langage, même d'ordre scientifique : “Je dis souvent, écrit Lord Kelvin, que si vous pouvez mesurer ce dont vous parlez et l'exprimer par un nombre, vous savez quelque chose de votre sujet, mais si vous ne pouvez pas le mesurer, si vous ne pouvez pas l'exprimer en nombre, vos connaissances son d'une pauvre espèce et bien peu satisfaisantes.” "


Via Christophe CESETTI
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Rapport "Les NOUVEAUX indicateurs de richesse" - Service d'information du gouvernement

Ce rapport est la première édition d’un exercice nouveau en France : un débat, avec les parlementaires et de nombreux Français, sur la définition de la croissance. Comment la mesurer ?


Via la Fabrique Spinoza
la Fabrique Spinoza's curator insight, October 27, 2015 8:16 AM

 

La Fabrique Spinoza est fière d'avoir contribué à l'élaboration des indicateurs complémentaires au PIB, en particulier l'indicateur de "satisfaction dans la vie".

Retrouvez nos travaux sur les indicateurs de développement ici :

www.fabriquespinoza.fr/presentation/themes-travail/indicateurs-developpement/

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Le Parlement donne son feu vert à de NOUVEAUX indicateurs de richesse

Le Parlement donne son feu vert à de NOUVEAUX indicateurs de richesse | Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique. | Scoop.it
Le produit intérieur brut (PIB) ne sera-t-il bientôt plus l'unique indicateur de richesse pris en compte dans le pilotage des politiques publiques ? Le Parlement a définitivement adopté une proposition de loi écologiste en ce sens, par un vote du Sénat conforme à celui de l'Assemblée.

Tous les ans, début octobre, un rapport gouvernemental sera remis aux députés et parlementaires en préambule des discussions budgétaires. Il présenterait l'évolution sur les années passées de nouvelles mesures, comme celles « d'inégalité, de qualité de vie et de développement durable ». Les principales réformes passées, en cours et à venir, seraient aussi examinées au regard de ces critères.

Via la Fabrique Spinoza
la Fabrique Spinoza's curator insight, April 6, 2015 9:51 AM

 

Retrouvez les travaux de la Fabrique Spinoza sur les indicateurs alternatifs/complémentaires au PIB :

http://fabriquespinoza.fr/presentation/themes-travail/indicateurs-developpement/

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Measuring National WELL-BEING - A Analysis of Social Capital in the UK

This article provides a baseline analysis of social capital in the UK, using the latest available data. The data are based on 25 headline measures proposed by ONS, which cover four key aspects of social capital: personal relationships, social network support, civic engagement and trust and cooperative norms.


Via la Fabrique Spinoza
la Fabrique Spinoza's curator insight, February 2, 2015 5:25 PM

 

Une excellente étude venue du Royaume-Uni !

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Economie du bien commun : le BONHEUR

Economie du bien commun : le BONHEUR | Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique. | Scoop.it
Social scientists have determined three sources of supreme contentment: genes, events and values.

Via la Fabrique Spinoza, COMMON GOOD FORUM
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Danemark : le pays du BONHEUR ?

Danemark : le pays du BONHEUR ? | Le BONHEUR comme indice d'épanouissement social et économique. | Scoop.it

Un climat franchement maussade, un pays tout plat coincé entre la Mer du Nord et la Baltique: à premiere vue le Danemark n' est pas vraiment l' idée qu'on se fait du paradis.
Et pourtant toutes les etudes le montrent: depuis plus de 30 ans, ce petit royaume scandinave d' à peine 5 millions et demi d'habitants est le pays où l' on est le plus heureux au monde.
Quel est secret de cette félicité danoise? Qui sont les exclus de ce bonheur scandinave ?
Etat providence, flexisécurité, éducation, fiscalité, vie de famille.....: une série de reportages pour decrypter le bonheur à la danoise.


Via la Fabrique Spinoza, @Chuchoteuse d'Alternatives, Christophe CESETTI, Frédéric Liégeois
COMMON GOOD FORUM's curator insight, January 23, 2014 7:19 AM

Sur les perceptions et le bien commun (que l'on ne peut définir, c'est un processus)

et sur les politiques publiques délibérées en faveur de la population pour une bonne harmonie dans la cité