Relativement à un livre traversant l'ensemble du texte de Derrida, dans le détail d'une approche serrée, il est toujours étonnant de se confronter au regard de l’autre, à la lecture qu’il en pratique. La belle lecture de Cazier, celle de Llored relativement à l'animal, celle de Neyrat ou celle de Macherey, très instructives et fort exigeantes, restituent assez bien le principe de mon approche derridéenne, pointant l’intérêt majeur dévolu notamment à la trace -elle-même déclinée selon letag, le graffiti et le tatouage.
Via René Z.