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L'État dissout les conseils de l'université Jean-Jaurès, Daniel Lacroix n'est plus président

L'État dissout les conseils de l'université Jean-Jaurès, Daniel Lacroix n'est plus président | La lettre de Toulouse | Scoop.it

L'université Jean-Jaurès n'a pas pu adopter son budget 2018.

 

Dans l'incapacité depuis plusieurs mois de réunir son conseil d'administration et d'adopter son budget, la présidence de l'université Jean-Jaurès a été dissoute par l'État. Démis de ses fonctions, Daniel Lacroix est remplacé temporairement par Richard Laganier, le temps de nouvelles élections prévues sous trois mois.

C'est une première dans l'histoire de l'université du Mirail à Toulouse. La ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal a annoncé ce mardi 20 mars la dissolution des conseils centraux et l'organisation de nouvelles élections à l'université de Toulouse Jean-Jaurès (nouveau nom de l'université du Mirail, nldr).

"Le conseil d'administration de l'université de Toulouse Jean-Jaurès qui s'est réuni aujourd'hui, n'a pu se tenir dans des conditions normales et ce, pour la cinquième fois consécutive. Il en résulte des perturbations graves et durables du fonctionnement pédagogique et administratif de l'établissement", justifie le ministère dans un communiqué.

Depuis des mois, une partie des élèves et du personnel milite contre le rapprochement des universités toulousaines dans l'optique de décrocher le label Idex (la candidature toulousaine a finalement été rejetée a-t-on appris lundi). En signe de protestation, les représentants syndicaux membres du conseil d'administration boycottent les diverses réunions empêchant la tenue de tout vote et prise de décision, le quorum (nombre de participants minimum obligatoire pour valider un vote) n'étant pas atteint.

 

Impossible d'adopter le budget de l'université

L'impossibilité de réunir le conseil d'administration bloque aussi l'adoption du budget de l'université Jean-Jaurès pour l'année 2018 (environ 170 millions d'euros par an, nldr). Depuis début janvier, le rectorat de l'académie avait accordé à l'établissement un budget dit "provisoire" lui permettant de payer les salaires mais pas d'engager des dépenses d'investissements comme des travaux par exemple. Mais ce budget provisoire était conditionné à la régularisation de la situation, à savoir l'adoption d'ici la mi-mars du budget, faute de quoi l'université serait mise sous tutelle.

Mardi 20 mars, le ministère fait remarquer que "le budget de l'université pour 2018 n'a pu ni être examiné ni être adopté. Les organes statutaires de l'établissement n'ont pas permis de régler cette situation de paralysie. De fait, aucune sortie de crise n'apparaît pour l'heure envisageable".

 

Des élections anticipées d'ici trois mois

La ministre Frédérique Vidal a donc décidé de prononcer ce jour la dissolution des conseils centraux de l'université Toulouse Jean-Jaurès et le président Daniel Lacroix, dont les manifestants demandaient le départ, est démis de ses fonctions.

"Cela permettra la tenue d'élections qui conduiront la communauté universitaire à se prononcer à nouveau sur le projet de l'établissement et de favoriser le rétablissement du bon fonctionnement des conseils. Ces élections auront lieu dans un délai de trois mois. Dans l'attente du scrutin, l'administration provisoire de l'université Toulouse Jean-Jaurès a été confiée à Richard Laganier, professeur des universités et ancien président de l'université de Guyane", annonce le ministère.

"Une décision exceptionnelle" selon le rectorat

Interrogée par La Tribune, la rectrice de l'académie de Toulouse précise :

"C'est une décision exceptionnelle puisque la situation était exceptionnelle. Richard Laganier sera le garant du bon déroulement des prochaines élections. En attendant, j'ai arrêté un budget pour l'ensemble de l'année 2018 qui va permettre d'assurer la paie des salaires mais cela ne permet pas d'embaucher un vacataire ou de postuler à un appel à projets. Une fois les élections passées, un budget rectificatif pourra être adopté".

La rectrice pointe un autre impact du blocage de l'université : "Depuis la fin du premier semestre, les notes des élèves ne remontent plus. Cela impacte directement les étudiants en 3e année de licence qui ne peuvent pas postuler en master car ils ne peuvent pas apporter des éléments factuels de leur réussite". Par ailleurs, elle réfute toute intervention à venir des forces de l'ordre dans l'enceinte de l'université.

 

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Un big-bang électoral pour les législatives ?

Un big-bang électoral pour les législatives ? | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Au lendemain du premier tour de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron arrive en tête dans six circonscriptions et des quadrangulaires sont possibles.

Restera-t-il un député socialiste en Haute-Garonne au soir du deuxième tour des élections législatives ? S'il fallait s'en tenir à la seule lecture des résultats du premier tour de l'élection présidentielle, la réponse serait non.

 

Dimanche soir, dans le département, Emmanuel Macron est arrivé en tête dans six circonscriptions sur dix : les 1re, 2e, 3e, 5e, 6e et 9e ; Marine Le Pen dans deux autres (7e et 8e), comme Jean-Luc Mélenchon (4e et 10e). Benoît Hamon, le candidat du PS, arrive au mieux en quatrième position dans la 4e circonscription, la plus à gauche de Haute-Garonne. Quant au candidat des Républicains, François Fillon, il se fait devancer dans les bureaux traditionnellement favorables à la droite, par Emmanuel Macron (3e circonscription) ou Marine Le Pen (la 5e).

Les projections ne laissent que peu d'espoir aux candidats socialistes, même si le poids réel du PS ne saurait se résumer au score étriqué de Benoît Hamon. En l'état, des quadrangulaires — quatre candidats en mesure de se maintenir au second tour avec 12,5 % des inscrits — pourraient avoir lieu sur sept circonscriptions (2,3,5,6,7,8 et 10) ; les trois autres feraient l'objet de triangulaires, la plupart du temps en plaçant hors-jeu les candidats du PS ou des Républicains.

 

Bref, c'est une carte électorale complètement bouleversée qui est en train de se dessiner en Haute-Garonne. Surtout qu'aucun candidat ne semble en mesure de l'emporter seul. Chez les «marcheurs» d'Emmanuel Macron, la probable élection de leur champion le 7 mai au soir suffira-t-elle à faire voter pour des candidats encore inexpérimentés ? Ou devront-ils conclure des accords électoraux avec un Parti socialiste qui conserve un certain pouvoir par son implantation locale et son réseau militant ? «Je ne peux pas croire que nous soyons balayés» confie ainsi le premier secrétaire de la fédération du PS de Haute-Garonne, Sébastien Vincini, pour qui «tous les candidats socialistes seront sur la ligne de départ aux législatives».

 

«Nous restons cohérents : il n'y aura pas d'accord de parti» affirme pour sa part le délégué départemental d'En Marche ! Mickael Nogal.

Pour l'instant En Marche ! n'a délivré que deux investitures, sur les 7e et 9e circonscriptions. Les autres devraient suivre, entre les deux tours et après le deuxième tour de l'élection présidentielle.

 

Chez Jean-Luc Mélenchon, on en appelle à «la responsabilité» des électeurs et des organisations de gauche pour se ranger derrière l'étendard de la France insoumise. «Nous sommes la deuxième force politique du département et la première à Toulouse» rappelle le Mélenchoniste Jean-Christophe Sellin. Les communistes devraient faire connaître leur position aujourd'hui. «On est ouverts» assure Pierre Lacaze, secrétaire départemental du PCF.

À droite, on espère tirer avantage de la «balkanisation» des rapports de force. Président de l'UDI 31, le sénateur Pierre Médevielle souligne qu'à l'exception de la 10e circonscription, l'UDI et Les Républicains présenteront des candidatures communes partout. «Nous investissons le terrain depuis le mois d'octobre. Tout reste possible» explique le maire de Boulogne-sur-Gesse, conscient que son camp devra rassembler à droite pour espérer contrer un FN aujourd'hui en mesure de remporter deux circonscriptions.

 

Le PS au plus bas

«C'est un très grand échec pour notre candidat et notre parti» reconnaît le premier secrétaire du PS 31, Sébastien Vincini. Benoît Hamon obtient au mieux 11 % des voix dans les bureaux les plus significatifs, du jamais vu pour un candidat socialiste à la présidentielle. «Notre électorat a voté utile pour assurer la présence de la gauche au second tour : une partie a voté Macron, l'autre Mélenchon» analyse M. Vincini, qui se projette dans les législatives : «Il faut reparler à notre électorat et je ne veux pas repartir dans des négociations d'arrière-boutique. Il faudra peser sur les orientations du Parlement pour ne pas détricoter notre modèle social».

 

Sébastien Marti
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CCI Toulouse : Les points clés du vote à connaître

CCI Toulouse : Les points clés du vote à connaître | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Les nouveaux membres de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Toulouse sont à élire entre le 20 octobre et le 2 novembre. Par voie postale ou voie électronique, chaque entrepreneur-électeur peut décider de la nouvelle équipe qui le servira, le représentera et défendra ses intérêts.

La démocratie économique locale va s'exprimer. Près de 57 000 ressortissants de la CCI de Toulouse forment le corps électoral et sont appelés aux urnes. Le dépôt des candidatures est arrêté depuis le 29 septembre.

 

Qui vote pour qui ?

Chefs d'entreprises ou cadres dirigeants, les candidats justifient d'au moins deux ans d'immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés. Ils sont répartis suivant leur secteur d'activité. Trois grands collèges existent (industrie, commerce, services) et chaque électeur ne pourra voter que pour les candidats de son collège.

Les 53 sièges à pourvoir à la CCI de Toulouse ont été répartis en fonction des poids économiques des 3 secteurs : 25 sièges dans le collège services, 14 sièges dans celui de l'industrie et 14 sièges dans celui du commerce.

 

Un seul tour

Le mode de scrutin - plurinominal majoritaire à un tour - permet de choisir directement et en une fois les individus qui vont représenter les entreprises de Haute-Garonne, pour 5 ans. Chaque électeur peut voter pour autant de candidats (ou moins) qu'il y a de sièges à pourvoir dans son collège. Ceux qui ont le plus de voix sont élus.

 

Répartition des élus par assemblée

46 sièges seront occupés par les élus formant les binômes hommes-femmes préalablement constitués. Les 23 élus titulaires siégeront à la fois à la CCI de Toulouse et à la CCI Occitanie, tandis que 30 élus (dont les 23 suppléants des binômes) siègeront uniquement à l'échelon départemental.

 

Démarche simplissime

Le vote peut se faire par courrier postal, avec une enveloppe préaffranchie fournie avec le matériel que chaque électeur recevra à partir du 20 octobre, ou par voie électronique, sur la plateforme : https://jevote.cci.fr/toulouse31. L'électeur devra cocher les candidats désirés. Un récépissé électronique sera ensuite envoyé, une fois le vote (électronique) pris en compte.

 

Les résultats

Les résultats seront connus au plus tard le 10 novembre 2016. Une première Assemblée Générale d'installation aura lieu le 17 novembre à la CCI de Toulouse et sera suivie d'une Assemblée Générale d'installation le 16 décembre à la CCI Occitanie cette fois-ci. Les membres élus de chaque Assemblée éliront leur Président à ces dates.

 

www.toulouse.cci.fr

 

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Législatives 2017. En Occitanie, La République En Marche se taille la part du lion

Législatives 2017. En Occitanie, La République En Marche se taille la part du lion | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Peu de surprise dans les treize départements de la région Occitanie : le mouvement de La République En Marche se taille la part du lion dans la grande majorité des circonscriptions, ne laissant que quelques sièges pour le LR, le PS, et la France Insoumise. Le FN décroche trois sièges.

 

En Occitanie, comme dans le reste de la France, le paysage politique se redessine à la faveur des candidats de la République En Marche (LREM). Certains départements changent de couleur, à l’instar de l’Ariège qui devient France Insoumise. Dans le Gard, les Pyrénées Orientales et l’Hérault, le FN décroche trois fauteuils - un dans chaque département - malgré de nombreux duels dans les circonscriptions de l’ex-Languedoc-Roussillon. Le PS en revanche, perd toutes ses batailles sur ce territoire. L’abstention reste très importante.

 

En Ariège, victoires à l’arrachée pour la France Insoumise
Historiquement socialiste l’Ariège reste à Gauche mais change ostensiblement de parti. Arrivés en tête lors du premier tour, les candidats de LREM doivent cependant s’incliner face aux candidats de la France Insoumise.
Dans la première circonscription, Bénédicte Taurine dame le pion à Jérôme Azema qui était pourtant en tête au premier tour. Elle l’emporte d’une centaine de votes, 50,28% contre 49,72%. Même scénario dans la deuxième, Michel Larive (FI), l’emporte avec 50,56% contre 49,44% pour Huguette Bertrand-Vinzerich (LREM)

 

Dans l’Aude, LREM réussit le triplé
Dans ce département, les trois députés sortants étaient socialistes. Ils seront finalement LREM.
Ainsi, dans la première circonscription, Danièle Hérin (LREM) s’impose avec 58,65% des voix contre Christophe Barthès (FN) qui a rassemblé 41,35% des votes.
Dans la deuxième, Alain Perea (LREM) l’emporte sur Jean-François Daraud (58,46% contre 41,54%). Enfin, coup de tonnerre dans la troisième où André Viola, le président du conseil départemental de l’Aude et député sortant s’incline face à Mireille Robert, LREM, qui l’emporte 53,10% contre 46,90%.

 

Dans l’Aveyron, Viala sauve son fauteuil
Yves Censi (LR) est battu dans la première circonscription par Stéphane Mazars (LREM) qui décroche 66,37% des suffrages contre 33,63%
Dans la deuxième, Anne Blanc (LREM) n’avait plus d’adversaire : elle l’emporte donc. L’abstention atteint 66,02% sur ce scrutin.
Enfin, victoire logique de Arnaud Viala, (LR) qui était en tête au premier tour et qui l’emporte sur Jean-Louis Austruy de LREM, par 59,16% contre 40,84%.

 

Dans le Gard, Collard, seul rescapé du deuxième tour
FN était de toutes les batailles dans le Gard. Mais dans les six circonscriptions, seul le frontiste Gilbert Collar parvient in extremis a remporter le scrutin. Dans toutes les autres, les candidats En Marche sont élus.
Ainsi , dans la première, et après avoir été au coude à coude, Françoise Dumas (LREM) s’impose face à Yoann Gillet (FN) (54,55% contre 45,45%)
Dans la deuxième, Gilbert Collard (FN) l’emporte d’une petite centaine de voix face à Marie Sara (MDM).
Dans la troisième, Anthony Cellier (LREM) l’emporte avec 59,02%
Dans la quatrième, Annie Chapelier (LREM) est élue députée (58,21%)
Dans la cinquième, Olivier Gaillard (LREM), gagne avec 63,57%
Dans la sixième, Philippe Berta (LREM) est élu avec 60,35%

 

Dans le Gers,
Dans les deux circonscriptions du Gers, les luttes se faisaient entre socialistes et anciens socialistes, devenus Macroniens. Jean-René Cazeneuve (LREM) confirme dans la première, (59,27%) face à Francis Dupouey (PS) (40,75%).
En revanche, Gisèle Biémouret, la député sortante PS sauve son fauteuil face à Christopher Soccio dans la deuxième (51,57% contre 48,43%). Elle est la seule député PS en ex-Midi-Pyrénées…

 

La République En Marche rafle la Haute-Garonne
Sur les dix circonscriptions du département, y compris sur la première Pierre Cabaré, les candidats d’En Marche décrochent neuf fauteuils sur dix. Le grand schelem n’a pas eu lieu : Joël Aviragnet, candidat PS dans la huitième sauve l’honneur des socialistes, grâce au soutien de la présidente de région Occitanie Carole Delga. Le parti LR n’a plus de député dans le département : Laurence Arribagé, députée LR sortante dans la troisième circonscription perd également face à un candidat LREM. 

 

La vague LREM touche également l’Hérault
Dans ce département, comme en Haute-Garonne, les candidats LREM étaient arrivés en tête du premier tour. Tout logiquement, ils confirment dans un grand nombre de circonscriptions, excepté dans la sixième où Emmanuelle Ménard, épouse de Robert Ménard, maire de Béziers, est élue avec 53,49% contre la candidate LREM Isabelle Voyer (46,51%). Ou encore dans la deuxième, où Muriel Ressiguier, de la France Insoumise, l’emporte sur Stéphanie Jannin (LREM), par 52,29% contre 47,71%.

Dans les autres, c’est une vague « bleue Macron » :
Dans la première, Patricia Mirallès (LREM), gagne contre France Jamet, par 65,69% contre 34,31%
Dans la troisième, Coralie Dubost, (LREM), décroche 60,45% des voix
Dans la quatrième, Jean-François Eliaou (LREM) est élu avec 65,70%
Dans la cinquième, Philippe Huppé (LREM) gagne avec 58,36%
Dans la septième, Christophe Euzet (LREM) l’emporte avec 52,83%
Dans la huitième, Nicolas Démoulin (LREM) est élu avec 62,85%
Dans la neuvième, Patrick Vignal (LREM) est député avec 64,54% des voix.

 

Plus de député socialiste dans le Lot
Le département d’où est originaire l’ancien président PS de Région Martin Malvy devient bicolore. Dans la première, Aurélien Pradié (LR) l’emporte sur Sébastien Maurel de LREM (51,32% contre 48,68%). Dans la deuxième, Huguette Tiegna (LREM) devient député et s’impose face à Vincent Labarthe (PS) par 53,25% contre 46,75%.

 

Morel à L’Huissier conserve son siège en Lozère
Le député sortant Pierre Morel A L’Huissier (Les Républicains) s’impose face à Francis Palombi, de LREM par 56,61% contre 43,39%. L’abstention est relativement faible : 44,62%

 

Dans les Hautes-Pyrénées,
Dans la première circonscription, Jean-Bernard Sempastous, maire de Bagnères de Bigorre et candidat LREM arrivé largement en tête au premier tour confirme pour le deuxième tour, face à Sylvie Ferrer (FI) par 58,85% contre 41,85%.
Dans la deuxième circonscription, Jeanine Dubié (RDG), s’impose face à Marie-Agnès Staricky (51,09% contre 19,54%).

 

Dans les Pyrénées Orientales, Le FN de toutes les batailles
Dans ce département, le FN était de toutes les batailles. Mais seul Louis Aliot parvient à remporter son duel face à Christine Espert (50,56% contre 49,44%) dans la deuxième. Dans toutes les autres, LREM l’emporte : Ainsi, Romain Grau (LREM) bat Alexandre Bolo (FN) (57,22% contre 42,78%) dans la première circonscription (31,75% contre 20,26%). Dans la troisième,Laurence Gayte (LREM) s’impose face à Sandrine Dogor (FN) (59,31% contre 40,61%). Enfin, dans la quatrième, Sébastien Cazenove (LREM) est devant Stéphane Massanell (FN) (57,97% contre 49,03%).

 

Dans le Tarn, finalement pas de député FN
Pas de surprise dans ce département : tous les candidats arrivés en tête au premier tour transforment l’essai. Ainsi, dans la première circonscription, Philippe Folliot (divers droite), s’impose largement face au candidat frontiste Frédéric Cabrolier (70,69% contre 29,31%). Dans la deuxième, Marie-Christine Verdier-Jouclas (LREM) gagne avec 66,14% des voix contre Doriane Albarao (FN) (33,86%). Enfin, dans la troisième, le maire de Lavaur Bernard Carayon (LR), est battu par Jean Terlier (LREM) (52,11% contre 47,89%).

 

En Tarn-et-Garonne
Dans ce département, la député sortante PS Valérie Rabault retrouve les bancs de l’assemblée nationale : son opposant, Pierre Mardegan (LREM), n’a pas réussi à l’inquiéter (55,28% contre 44,72%).
Dans la deuxième circonscription, Sylvia Pinel (RDG), ancienne ministre et députée sortante retrouvera son siège à l’assemblée nationale. Elle s’est imposée face au candidat FN Romain Lopez, par 55,40% des voix contre 44,60%. L’abstention a fait 52,35%.


M.V.

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Législatives : les têtes d’affiches de Jean-Luc Mélenchon en Haute-Garonne

Législatives : les têtes d’affiches de Jean-Luc Mélenchon en Haute-Garonne | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Vendredi 10 mars, la France Insoumise va présenter ses candidats aux législatives en Haute-Garonne. Parmi les 10 investis, 3 personnalités servent de tête d’affiche et de locomotives.

 

À 50 jours du 1er tour, Jean-Luc Mélenchon est tourné plus que jamais vers la présidentielle. Mais le leader de la France Insoumise ouvre un autre front. Celui des législatives.

 

En Haute-Garonne, Jean-Luc Mélenchon souhaite marquer le territoire mais aussi les esprits. Face au numéro 3 du PS et député sortant, Christophe Borgel (9ème circonscription), France Insoumise présente le directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard.

 

L’auteur du programme économique de la France Insoumise et conseiller régional, Liêm Hoang Ngoc est candidat sur la 4ème circonscription. Une circonscription sur laquelle Jean-Luc Mélenchon a obtenu son meilleur score lors de la présidentielle de 2012.

 

Enfin, l’avocate de la famille de Rémi Fraisse, tué à Sivens, Claire Dujardin, sera candidate sur la 1ère circonscription. Claire Dujardin sera face à une figure socialiste, la présidente de la commission des affaires sociales , Catherine Lemorton.

 

Laurent Dubois (@laurentdub)

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135 binômes candidats sur 27 cantons Départementales Haute-Garonne

135 binômes candidats sur 27 cantons Départementales Haute-Garonne | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Canton d'Auterive : Guy Montariol et Danielle Tensa (FdG); Maryse Vezat-Baronia et Sébastien Vincini (PS); Sébastien Faivre et Julie Marty-Pichon (EELV); Marie-Christine Parolin et Henri Vimeux (FN); Françoise Borret et Daniel Oneda (DVD).
 

Canton de Bagnères-de-Luchon : Gisèle Chimenti et Denis Sourd (FN); Delphine Miquel et Jean-François Subercaze (PCF); Philippe Gimenez et Carmen Mounic (DvG) Béatrice Bordonada et René Rettig (DvD); Roselyne Artigues et Patrice Rival (PS).

 

Canton de Blagnac : Marie-Agnès Espa et David Gerson (UD); Christelle Agostini et Thibaut Desseilles-Laurent (FN); Pascal Boureau et Line Malric (UG);Florence Garbin et Bernard Loumagne (DvG); Françoise Courrèges et André Montégut (FdG); Alain Rigout et Georgette Sauvaire (EELV).

 

Canton de Castanet-Tolosan :Elisabeth Barral et Arnaud Lafon (DvD); Bernard Bagneris et Muriel Pruvot (UG); Bérengère Doerler et Michel Sarrailh (EELV); Eric Gouin et Marie Lopau (FN); Thomas Barby et Dominique Flecher (DvG).

 

Canton de Castelginest : Lydia Aïello et Guillaume Vives (FN); Patrick Grimbert et Ghislaine Pelfort (FdG); Victor Denouvion et Sandrine Floureusses (PS); Claudine Machado et Philippe Plantade (DvD); Michèle Chay et Xavier Lambert (PCF); Francis Manaud et Geneviève Sourdes (DLF).

 

Canton de Cazères : Patrick Boube et Coline Etienne (PCF); Sandrine Duarte et Christian Sans (PS); Claude Galiana et Christine Mère (FN); Jacques Polaillon et Elodie Wurtz (DvG); Jennifer Courtois-Périssé et Pierre-Alain Dintilhac (DvD).

 

Canton d'Escalquens :

Paul Boueilh et Eva Leture (PCF); Hervé Boco et Chantal Gauthier (UDI); Monique Fabre et Daniel Ruffat (DvG); Georges Méric et Emilienne Poumirol (PS); Vanessa Chevaillier et Mathieu Lachuries (FN).

 

Canton de Léguevin : Alain Julian et Véronique Volto (PS); Monique Falières et André Saint-Paul (RdG); Isabelle Cuillet et Pierre Millot (FN); Patricia Pialet et Jean-Marc Valette (UD); Théodore Aubin et Nadine Khayi (PCF).

 

Canton de Muret : Amandine Lampin et Christian Valade (DvG); Antoine Bonilla et Elisabeth Sère (UG); Marie Dombes et Quentin Lamotte (FN); Alexandra Bernard et Alain Sottil (UD).

 

Canton de Pechbonnieu : Adeline Guibert et Jean-Louis Thomas (DLF); Claire De Nale et Philippe Fleury (PCF); Didier Cujives et Sabine Geil-Gomez (PS); Fabrice Pezzuto et Peggy Sosnowski (FN); Jean-Bernard De Cools et Magali Mirtain (UD); Gilles Naudy et Anne Stambach-Terrenoir (DvG).

 

Canton de Plaisance-du-Touch : Jérome Buisson et Marie-Claude Leclerc (PS); Vincent Marc et Catherine Renaux (DvG); Florence Fabry et Patrick Lasseube (UD); Cédric Camps et Céline Rubio (FN).

 

Canton de Portet-sur-Garonne : Sébastien Lery et Annie Vieu (PS); Yves Bonamich et Régine Rouxel-Poux (PCF); Jean-Claude Gouze et Marina Laroye (DvG); Eric Gautier et Elisabeth Pouchelon (UD); Théo Buras et Brigitte Gazel (FN).

 

Canton de Revel : Marielle Garonzi etLouis Palosse (DvD); Gilbert Hébrard et Marie-Claude Piquemal-Doumeng (PS); Olivier Lupion et Ghislaine Meyer (FN); Jean-Marc Cremoux et Camille Granzotto (EELV); Frédéric Boutet et Fabienne Gazo (DvG); Pierre Brefeil et Marie-José Gardère (DvG).

 

Canton de Saint-Gaudens : Jean-Yves Duclos et Céline Laurenties (DvG); Nadia Djelida et David Saforcada (DLF); Philippe Segura et Martine Versevy (PCF); René Vaucher et Nadine Voloscenko (FN); Marie-Pierre Bacarisse et Patrick Doucède (UG); Philippe Casamitjana et Martine Rieu-Griffe (UMP).

 

Canton de Toulouse 1 : Christophe Alvès et Marthe Marti (UD); Michèle Donat et Mickaël Liotta (FN); Fatiha Boudjahlat et Luc Ripoll (DvG); Julien Klotz et Christine Stebenet (PS); Sophie Nicklaus et Aurélien Vitrac (EELV).

 

Canton de Toulouse 2 : Martine Croquette et Pierre Lacaze (PCF); Olivier Arsac et Ghislaine Delmond (DvD); Annie Charroy et Philippe Labarre (FN); Christine Courade et Jean-Michel Fabre (PS); Bertrand Dubaele et Lise Maillard (DvG).

 

Canton de Toulouse 3 : Anne Boyer et Alain Gabrieli (PS); Alain Chollet et Flore Croix (FN); Xavier Luchet et Clémentine Renaud (DvG); Jean-Bernard Moll et Odile Thouron (PCF); Hélène Costes-Dandurand et Emilion Esnault (DvD).

 

Canton de Toulouse 4 : Charles Guillou et Hélène Magdo (DvG); Isabelle Hardy et Serge Soula (PS); Edwige Armand et Nicolas Borot (PCF); André Ducap et Jacqueline Winnepenninckx-Kieser (UD); Pierre Cabaré et Olga Rougeot (DvD); Marie-Alice Bertoldo et René-Vincent Michel (FN).

 

Canton de Toulouse 5 : Jean-Louis Chavoillon et Florence Lacroix (UD); Jean-Marc Bares-Crescence et Martine Steinmetz (PCF); Damien Durand et Katia Riegel (FN); Manuel Bompard et Dagmara Szlagor (DvG); Patrick Pignard et Paulette Salles (PS).

 

Canton de Toulouse 6 : Ginette Dumas-Zaïed et Jean Pellegrin (FN); Elisabeth Matak et Denis Rouillard (EELV); Franck Biasotto et Marie-Jeanne Fouqué (DvD); Zohra el Kouacheri et Jean-Louis LLorca (PS); Nathalie Constanti et Jean-Paul Pla (PCF).

 

Canton de Toulouse 7 : Elsa Galataud et Patrick Jimena (DvG); Camille Pouponneau et Arnaud Simion (PS); Patricia Bielmas et Jean-Luc Tronc (FN); Anne Borriello et Laurent Laurier (UD).

 

Canton de Toulouse 8 : Sébastien Picotto et Véronique Recroix (FN); Marie-Claude Farcy et Vincent Gibert (PS); Maxime Boyer et Françoise Roncato (DvD); Marie Fornili et Charles Marziani (PCF); Annie Ertz et Benoit Espiau (DvG).

 

Canton de Toulouse 9 : Serge Feray et Virginie Lange (FN); Jean-Jacques Mirassou et Marie-Dominique Vezian (PS); Serge Nicolo-Barraque et Cécile Péguin (DvG); Christine Gennaro-Saint et Laurent Lesgourgues (UMP).

 

Canton de Toulouse 10 : Colette Gallant et Gabriel Robin (FN); Yannick Bourlès et Dominique Satgé (DvG); Alain Fillola et Cécile Ramos (UG); Jean-Baptiste De Scorraille et Sophie Lamant (UD).

 

Canton deToulouse 11 :Yvette Kuntz et Serge Laroze (FN); Henri Arevalo et Michèle Bleuse (EELV); Véronique Blanstier et Benjamin Feart (PCF); Christophe Lubac et Françoise Pouget (PS); Hélène Cabare et Francis Escande (DvD); Serban Iclanzan et Marion Lalane de Laubadère (UD).

 

Canton de Tournefeuille : Michel Aujoulat et Sylvie Deguine (UD); Antoine Lasserre-Bigorry et Nadine Stoll (FdG); Dominique Fouchier et Isabelle Rolland (PS); Franck Boutault et Michèle Pellizzon (FN).

 

Canton de Villemur : Jacques Galvan et Monique Marconis (PCF); Carine Burgalat et Julien Leonardelli (FN); Marie-Hélène Champagnac et Jean-Marc Dumoulin (DvD); Ghislaine Cabessut et Jean-Luc Raysseguier (PS).

FdG : Front de gauche, UG : union de la gauche; RDG : parti radical de gauche; DvG : divers gauche; UD : union de la droite; DLF : debout la France; DvD : divers droite.

La Dépêche du Midi


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