La lettre de Toulouse
68.2K views | +3 today
Follow
La lettre de Toulouse
Quelques informations sur l'entreprise et l'immobilier à Toulouse
Your new post is loading...
Your new post is loading...

Popular Tags

Current selected tag: 'Crowdfunding'. Clear
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

L'équipe cycliste pose à poil… pour se remplumer

L'équipe cycliste pose à poil…  pour se remplumer | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Les cyclistes toulousains de «la Bande» se retrouvent à poil pour la saison 2017
 
http://www.ladepeche.fr/images/pictos/image-zoom.png">

«La Bande» est un collectif de jeunes cyclistes toulousains qui ont pour but de continuer à évoluer en une équipe cycliste semi-professionnelle. Sous l'impulsion de Max Massat, le manager de l'équipe, la «Bande» a pu se constituer en 2015 grâce à l'entente de 7 clubs. Aujourd'hui l'équipe est en recherche de fond pour la saison 2017 suite aux difficultés du sponsor principal Morning. Pour cela l'équipe lance un appel aux dons via une campagne de crowdfunding sur la plateforme «Occistart». Histoire d'attirer l'attention, les cyclistes ont posé nus devant leur vélo.

 

«On a vécu une très belle année avec Morning, le partenariat n'était pas que d'ordre financier. On a eu de vrais échanges avec les employés qui sont même venus nous encourager au bord des routes.» raconte Max Massat, manager de «La Bande» C'est dans cet esprit que cette équipe de Division Nationale 3 cherche à retrouver un nouveau sponsor principal.

«Ce sont les salariés de l'entreprise qui ont trouvé notre nom» ajoute Max Massat, car plus que des coéquipiers, c'est une aventure entre amis que veulent continuer à vivre les jeunes coureurs. «On est vraiment solidaire entre nous, quand un blessé, les autres le soutiennent» cite en exemple le manager. Toute aide sera la bienvenue pour boucler le budget de 50 000 euros demandé par la fédération. Pour une fois, c'est positif de rhabiller quelqu'un pour l'hiver.

Pour leur permettre de vivre une belle saison sportive, les amoureux de la pédale et autres mécènes peuvent donner un peu d'argent via le site internet : www.occistart.fr/projects/habillez-les-jeunes-espoirs-du-cyclisme-francais.

 
Julien Bernard
No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Citiz Toulouse lance l'autopartage sans réservation et une campagne de crowdfunding

Citiz Toulouse lance l'autopartage sans réservation et une campagne de crowdfunding | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Des véhicules en libre service, sans réservation. 
La société coopérative de partage de véhicules Citiz Toulouse souhaite lancer en mai un nouveau service sans réservation et sans station, et fait appel au financement participatif.

 

 

Le service d’autopartage de la coopérative Citiz Toulouse prend un nouveau tournant : une campagne de financement participatif est ouverte. Il s’agit de lancer Yea!, un service d’autopartage sans réservation et sans station.

Souplesse et flexibilité

Le projet, qui devrait voir le jour en mai, c’est 20 véhicules en libre-service dans le centre-ville de Toulouse. L’abonné peut, s’il repère l’un d’entre eux, passer son badge dans le lecteur et emprunter la voiture. Il la restituera quand il le voudra, et où il le voudra (toujours proche du centre-ville). Et si aucun des véhicules Yea! n’est en vue, l’application Citiz permettra, avec la géolocalisation, de trouver le plus proche.

Comme pour le service Citiz, le coût sera calculé en fonction de la durée de réservation et des kilomètres parcourus.

Un service complémentaire

Lancé en 2008 par une soixantaine d’habitants de Toulouse, Mobilib a démarré avec 11 voitures sur 6 stations. Rebaptisé Citiz, du nom du réseau auquel elle appartient, la coopérative toulousaine compte 44 voitures pour 1600 abonnés.

Le principe de Citiz est de s’inscrire, avec ou sans abonnement, puis de réserver un véhicule sur un créneau horaire, puis d’aller le chercher dans l’une des stations. Avec Yea!, Citiz répond aux « besoins de mobilité spontanée ». Le nouveau service se veut complémentaire du premier, il ne le remplacera pas.

Un appel au financement participatif

Pour mettre en œuvre le projet Yea!, et en boucler le financement, Citiz a lancé sur la plateforme Ulule une campagne de financement participatif, avec pour objectif de recueillir 8000 euros.

La campagne se déroule jusqu’au 6 mai. À un mois de la clôture, la moitié du montant a été recueilli. Le nouveau service devrait être déployé dans le courant du mois de mai.

 

 Gwendoline Kervella

 

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

La société Kalelithos se lance dans le crowdfunding immobilier à Toulouse

La société Kalelithos se lance dans le crowdfunding immobilier à Toulouse | La lettre de Toulouse | Scoop.it
Le programme de Kalelitos sur l’écoquartier Andromède, à Beauzelle.

Le promoteur Kalelithos lance deux programmes immobiliers dans la métropole toulousaine avec le concours du crowdfunding, l'investissement participatif via Internet.

Deux opérations immobilières pas tout à fait comme les autres vont démarrer dans l’agglomération toulousaine : une résidence de 120 logements sur l’éco-quartier Andromède à Beauzelle, et un lotissement de 200 parcelles à Fronton. Pour la première fois, le promoteur Kalelithos, implanté à Montpellier, lance des programmes en ayant recours au crowdfunding, le système de financement participatif qui se développe via Internet.

1,8 million d’euros

« Nous innovons en faisant appel aux investisseurs par cette voie inédite du crowdfunding », explique Olivier Cantrel, le directeur général de Kalelithos. « Pour ces deux programmes toulousains et un troisième à Montpellier, nous avons pu réunir 1,8 million d’euros en moins de deux mois, via la plateforme spécialisée Anaxago. Cela nous permet de financer 25% de ces opérations en fonds propres. »

Une cinquante de personnes a répondu à cet appel de fonds d’un nouveau genre. Avec un ticket d’entrée à 2000 euros, l’opération a réuni des particuliers, des personnes âgées plutôt aisées et des investisseurs d’affaires. « Les motivations sont très diverses, pas seulement liées au gain financier », constate Olivier Cantrel. « Certains sont attirés par le côté concret de l’investissement, d’autres par le fait de participer à des projets d’utilité sociale. Tous sont associés dans une SCI qui leur assure 10% de rentabilité par an, durant trois ans. »

Investir à Toulouse rassure

Créée en 2006, la société Kalelithos a d’abord innové, notamment dans les bâtiments à ossature bois, un projet est d’ailleurs en cours à Cornebarrieu, en banlieue toulousaine. Le programme d’Andromède, réalisé lui en construction traditionnelle, prévoit 30% de logements sociaux, celui de Fronton réserve 20% des lots à l’accession sociale. Le démarrage des travaux est prévu au début de l’été.

« La nature des projets intéresse les adeptes du crowdfunding », souligne le promoteur. « Nous échangeons beaucoup, ils donnent des idées et deviennent nos ambassadeurs. Nombre d’entre eux sont des Français vivant à l’étranger et pour eux, investir à Toulouse, ville de l’aéronautique, est très rassurant. Nous serons d’ailleurs présent sur d’autres grands projets de la ville, comme, Toulouse Euro Sud-Ouest, la future opération de réaménagement urbain autour de la gare Matabiau ». En réflexion également, des projets d’habitat participatif sur un modèle d’actionnariat, via le crowdfunding.
Marc Pouiol

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Terra Hominis invente le crowdfunding pour les vignobles de Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées

Terra Hominis invente le crowdfunding pour les vignobles de Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Sur la photo, de gauche à droite : Ludovic Aventin, Sybil Baldassarre, Frantz Vènes et Alexandre Durand.

 

Lancée dans l’Hérault il y a cinq ans, la structure spécialisée dans le rachat de vignobles en copropriété cherche à s’étendre du côté de Toulouse. Avec 460.000 euros de chiffre d’affaires en 2015, elle séduit de nombreux investisseurs.

 

Il ne s’agit pas de crowdfunding au sens habituel du terme, car les investisseurs ne sont pas des anonymes. Associés plus qu’actionnaires, ils participent aux vendanges, à la taille des vignes, viennent goûter le vin, etc.. Ils ne recherchent pas un placement financier mais plutôt à aider un vigneron. Ce système, inventé par Terra Hominis, permet de financer une activité en mal de repreneurs, dans laquelle les deux tiers des travailleurs ont plus de 55 ans. Plus besoin pour le jeune vigneron d’acheter un domaine entre 100.000 et 300.000 euros. Son terrain lui est confié en fermage, après avoir été acquis par des copropriétaires (à raison d’une ou deux parts chacun).

En cinq ans, l’idée a fédéré plus de 600 associés, pour l’achat de huit domaines sur 47 hectares de vignes, dans l’Aude et dans l’Hérault : trois AOC Faugères (Mas Angel, Montgros et Graine sauvage), et quatre AOC Minervois-La Livinière (Laur Bauzil, Dolmen des Fées, La Truffière et le Rêve partagé).

Les exploitants travaillent tous avec des procédés de vinification naturels. Frantz Vènes, présent sur trois des AOC du Minervois, n’utilise pas d’engrais chimiques, et met des ruches dans ses vignes. L’exploitant était déjà à la tête du domaine Massamier La Mignarde, dont la cuvée Domus Maximus 2005 a été consacrée meilleur vin du monde. « La structure me permet de cultiver 17 ha en plus, auxquels je n’aurais jamais eu accès. C’est un formidable levier commercial, et il n’y a pas meilleurs ambassadeurs pour nos vins que les associés », estime t-il.

 

Cent parts pour le Mas Angel

Ludovic Aventin a créé la SAS Terra Hominis en 2011. Cet ancien caviste de Rouen, passionné de vins et de rugby, rêvait d’avoir son vignoble, mais il n’avait ni l’argent, ni les compétences. « J’ai réfléchi avec des amis à un montage juridique simple, puis je suis parti dans l’Hérault avec l’idée de racheter un terroir exceptionnel ». Tout démarre avec Mas Angel, un terroir de schistes situé à 400 mètres d’altitude au nord de Béziers. Les 6,4 hectares sont divisés en parts de 1300 euros entre une centaine d’associés. Le rendement des copropriétaires correspond à l’équivalent de 4,5% de leur investissement, mais en bouteilles de vin.

Ces actionnaires d’un genre nouveau bénéficient aussi de réductions importantes sur les bouteilles des huit domaines. Et plus besoin de penser à la distribution, puisque la majeure partie de la production est écoulée via les actionnaires. Le Mas Angel sera bientôt repris par Alexandre Durand, 28 ans. Ce fils de vigneron n’avait pu reprendre l’exploitation de son père, et n’aurait jamais réussi à convaincre une banque. La structure a également permis en 2015 l’installation de Sybil Baldassarre, qui produit du vin blanc minéral sur trois hectares dans le Faugères.

 

Placement humain

« Je viens de créer un club de rugby, le Seizième homme. C’est un moyen convivial de se retrouver une fois par an et de développer le réseau grâce à la notoriété de rugbymen comme l’ancien pilier de l’équipe de France Pieter de Villiers », ajoute Ludovic Aventin. Le président de Terra Hominis lorgne en ce moment sur des parcelles en Midi-Pyrénées, dans le Cahors, le Madiran et le Fronton, qu’il espère acquérir l’an prochain. « Près de 200 personnes attendent une opportunité pour investir. Les gens apprécient de pouvoir transmettre autre chose que de la valeur spéculative ». Ces quadragénaires citadins, avec un bon statut social, ou parfois jeunes retraités du sud, rêvent d’avoir une vigne, pour l’amour du vin.


Armelle Parion

No comment yet.
Scooped by Jacques Le Bris
Scoop.it!

Opération de crowdfunding pour lancer un nouveau magazine à Toulouse, Boudu

Opération de crowdfunding pour lancer un nouveau magazine à Toulouse, Boudu | La lettre de Toulouse | Scoop.it

Il y a du (re)nouveau dans la presse toulousaine. Le 4 novembre prochain sortira en kiosque le premier numéro de Boudu, un nouveau magazine mensuel de 84 pages "généraliste et indépendant", inspiré des magazines de société parisiens comme GQ ou Society. Ce nouveau média a été fondé par quatre journalistes, qui lancent une campagne de crowdfunding.

  



"Dans Boudu, toutes les histoires ont vocation à être publiées, pour peu qu'elles relèvent de l'aventure humaine." Voilà en résumé la ligne éditoriale de ce nouveau média toulousain.

Boudu est un magazine de société, épais de 84 pages, qui sera également disponible en version numérique, et accompagné d'un site internet. Ce nouveau média, dont le premier exemplaire "print" sera en kiosque le 4 novembre, est le pari de quatre journalistes toulousains : Jean Couderc (Toulouse Mag, Objectif News, Touléco, l'Argus des Commerces, l'Express),Matthieu Sartre (Sud Ouest, Toulouse Mag, M, Géo, Néon, Le Parisien), Sébastien Vaissière (Toulouse Mag, fondation de PAN - la revue de l'esprit paysan) et Philippe Salvador (BFM Business, BFMTV).

La maquette et le contenu s'inspirent de ce qui se fait au niveau national (GQ, Vanity Fair, Society) mais le magazine sera diffusé à Toulouse et ses communes environnantes (à Albi et Carcassonne également) au prix de 4,5 euros.

"Nous sommes convaincus qu'il y a une place à Toulouse pour ce média", affirme Jean Couderc, qui occupe le poste de directeur de la publication.

"Il suffit de regarder la typologie toulousaine : beaucoup de richesse intellectuelle avec la recherche et l'enseignement, et 20 000 nouveaux habitants chaque année. Par ailleurs, les villes équivalentes comme Lyon ou Lille disposent de leur magazine de société local, et ça marche. Personne ne remplit ce créneau à Toulouse. Il y a des médias pour l'économie, la politique, les bons plans, mais pas encore pour parler de société."

Campagne de crowdfunding

Demain (jeudi 15 octobre), Boudu lancera officiellement une campagne de crowdfunding sur le site KissKissBankBank. L'objectif fixé est d'atteindre au minimum la somme de 8 000 euros, notamment pour financer une semaine supplémentaire de campagne d'affichage (une première campagne d'une semaine débutera début novembre).

"L'objectif est également de créer une communauté de lecteurs qui s'abonnent et avec qui nous souhaitons être en connivence", expliquent les cofondateurs de Boudu, réunis sous la forme d'une Scop : Éditions 31.

"Nos deux seules sources de revenu sont les ventes et les espaces publicitaires. Nous tenons à cette indépendance et, pour cela, nous avons besoin de lecteurs."

La première couverture de Boudu sera consacrée à l'ancien rugbyman devenu baryton, l'Argentin Omar Hasan.


"Ce choix de couverture et la photo qui l'accompagne (Omar Asan en costume et crampons, NDLR) disent beaucoup de nous : nous pensons qu'il faut s'informer, mais avec le sourire", conclut Jean Couderc.

No comment yet.