Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL
686.5K views | +2 today
Follow
Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL
La Gazette des campus de LLN et de WSL-UCL ainsi que diverses infos intéressantes visant la vérité ou l'autre vérité (qui que ce soit qui la dise, mais sans forcément prôner l'auteur).  -  Duc
Curated by Koter Info
Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

France - À propos des vaccins

France - À propos des vaccins | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photos : 1) Professeur Henri Joyeux - lamanchelibre.fr - 2) etat-du-monde-etat-d-etre.net


 

France - À propos des vaccins



Chers amis des familles et des enfants,

 

Une tempête médiatique qui aurait dû permettre un vrai débat 


Vous êtes près de 700 000 à avoir signé la pétition concernant les vaccins.

 

Vous n’êtes pas plus que moi contre les vaccins dont vous connaissez à travers l’histoire de la médecine les bienfaits.

 

Il ne s’agit donc pas d’être systématiquement contre les vaccins, vous l’avez compris, contrairement à ce que l’on veut vous faire croire.

 

Il s’agit de faire savoir de quels vaccins nos enfants et petits enfants ont vraiment besoin. Un vrai débat s’impose hors des lobbies ou des experts patentés.

 

Je reçois beaucoup de demandes de conseils et réponds au maximum d’entre elles pour rassurer face à une tempête médiatique savamment orchestrée afin de convaincre les parents qu’il faut vacciner tous les enfants sans discuter.

 

Ainsi si votre enfant n’est pas vacciné, il n’entrera pas à la crèche ou ne sera pas accepté à l’école, car il risquerait de contaminer ses camarades pourtant vaccinés. Comment votre enfant non vacciné pourrait-il contaminer ses camarades vaccinés ? À moins que le vaccin ne soit pas efficace ! ?

 

Il n’est pas nécessaire d’être vaccinologue ou épidémiologiste pour comprendre ce qui se passe.

 

 

Le débat est déjà faussé par la ministre de la Santé et le Conseil de l’ordre des médecins


Marisol Touraine, économiste et ministre de la Santé a refusé le débat que je lui ai proposé. Elle s’est basée sur des racontars pour me traiter de « médecin rétrograde » parce que j’ai dit et maintiens qu’il n’est pas nécessaire sauf exception de vacciner un enfant de 2 mois contre l’hépatite B et à 9 ans - garçons et filles - contre le cancer du col de l’utérus. Si ce dernier vaccin est imposé dans le domaine scolaire, qui sera responsable en cas de complications : l’éducation nationale, l’État, ou les parents ?

 

La vaccination contre le cancer du col exigeait dès sa mise sur le marché trois injections successives ; curieusement elles sont passées à deux, et désormais peut être une seule au prix total de 111,52 EUR pour le Cervarix concurrent du Gardasil à 123,44 EUR.

 

Qui et que croire quand on sait que la couverture vaccinale n’atteint pas toutes les souches virales ? En plus certains pensent qu’il faudra peut-être renouveler le vaccin quand la vie sexuelle va commencer.

 

À propos des adjuvants dans les vaccins pour enfants, Marisol Touraine, avant d’être ministre, tenait curieusement des propos identiques aux miens et faisait à juste titre part de ses inquiétudes :

 

 « De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d’aluminium. […] La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l’objet d’une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu’elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d’aluminium, d’autant plus que cela était le cas jusqu’en 2008. [1] »

 

Quant au Conseil de l’ordre des médecins, il m’a averti, il y a quelques jours par un tweet (!?) qu’il portait plainte contre ma personne et les journaux ont repris en chœur les ragots de la ministre et me harcèlent de questions auxquelles je réponds en partie dans cette lettre.

 

Le Conseil de l’ordre des médecins (CNOM), au lieu de donner une information adéquate au grand public, de demander aux laboratoires de refabriquer le vaccin DTP sans danger, sans formaldéhyde et sans aluminium, me convoque devant son tribunal disciplinaire. Je m’y rendrai évidemment et donnerai à la sortie les informations aux médias très demandeurs d’un vrai débat pour une juste information.

 

Je me pose déjà au moins une question : le CNOM serait-il proche et aux ordres de la ministre et de ses conseillers ?

 

 

Ne vous laissez pas abuser


Aujourd’hui, en France, seul est disponible le vaccin hexavalent qui est censé éviter diphtérie, tétanos et polio et en plus l’hépatite B, la coqueluche et l’haemophilus. Or si la vaccination contre les 3 maladies évitées par le vaccin DTP est obligatoire, les vaccinations contre les 3 autres ne le sont pas. Pas plus que celles contre les virus responsables éventuellement de cancers du col de l’utérus et même de cancers de la zone ORL.

 

Les parents n’ont donc pas le choix : ils n’ont que le vaccin hexavalent à leur disposition. Et s’il y a le moindre problème qui sera responsable ? On pourra leur dire : « Vous n’étiez pas obligés de faire vacciner votre enfant contre hépatite, coqueluche et haemophilus ! » 

 

Ainsi on impose aux parents les vaccins hexavalents, produits par les laboratoires Pasteur (Hexyon) ou par GSK (Infanrix Hexa). Les deux contiennent de l’aluminium, sans formaldéhyde officiellement, avec un résidu selon d’autres sources, preuve que ce formaldéhyde cancérigène n’est pas vraiment nécessaire. Ils coûtent chacun près de 50 EUR.

 

Je ne suis pas contre le fait que les laboratoires gagnent bien leur vie pour faire avancer la science des médicaments, mais est-il juste qu’ils exploitent l’ignorance et la peur ? Leur lobbying au niveau de l’Europe est très bien mené aux dépens des familles et de l’assurance maladie qui augmente chaque jour davantage son déficit abyssal, d’où l’augmentation considérable des impôts. Est-il raisonnable et éthique que les laboratoires fassent leurs choux gras sur le dos de l’État et des familles ?

 

 

Pas de métaux lourds dans un vaccin administré à un nourrisson de 2 mois


Les médias n’ont pas pu cacher l’extrême gravité de l’histoire médicale récente de la petite Ayana qui à 7 mois est dans le coma depuis le 6 mai après avoir été vaccinée à l’InfanrixHexa, (il contient la néomycine à laquelle l’enfant a pu être allergique) et au Prévenar 13 contre le pneumocoque. Les deux vaccins contiennent de l’aluminium qui n’a rien à faire dans le corps d’un nourrisson de 2 mois.

 

 

À propos de l’aluminium


  • Les vaccins trivalents DTP obligatoires : le DTP Revaxis de Pasteur a été retiré de la vente depuis 2004. Il contenait formaldéyde et aluminium. Le DTP de Mérieux et le DTP de Pasteur, (au prix de 6.70 EUR, retirés de la vente depuis 2005) contenaient du formaldéhyde et pas d’aluminium, preuve que l’aluminium n’est pas nécessaire. Les stocks de ces vaccins sont quasiment épuisés. Il y a déjà du trafic à nos frontières : on peut trouver le DTP pour 55 EUR en Suisse alors qu’il est à 27 EUR en France. 



  • Les vaccins Hexavalents ne sont que recommandés : évidemment une étude sérieuse a montré la non-infériorité du vaccin Hexyon vis-à-vis du vaccin InfanrixHexa pour la totalité des antigènes vaccinaux. Cette étude a même comporté la co-administration avec le vaccin Prevenar 13 contre le pneumocoque. [2] 


 

En outre, du fait de la situation de pénurie actuelle en vaccins coquelucheux, le Haut conseil de santé publique a recommandé (avis du 25 février 2015 et du 11 mars 2015) que le vaccin Hexyon soit rapidement disponible sur le marché français. Pour faire peur, il n’y a pas mieux.

 

 

À propos du mercure


Dans les années 90 le Thiomersal contenant du mercure était utilisé comme adjuvant. Il est fortement suspecté aujourd’hui d’être responsable d’une maladie de plus en plus fréquente chez les enfants : l’autisme. Cet adjuvant a été retiré ou réduit à l’état de traces (≤ 1 μg/dose) dans tous les vaccins recommandés chez les enfants de moins de 6 ans.

 

La récente étude cas-contrôles [3] sur 5 ans de 79 singes macaques répartis en six groupes de vaccination pour rechercher d’éventuels troubles autistes, n’a pas grande valeur même si elle n’a pas montré de troubles chez les singes jusqu’à l’âge de 5 ans. En effet, l’autisme n’existe pas chez les primates et nous ne pouvons pas extrapoler le comportement humain sur une autre espèce.

 

 

Qu’attendent les parents ?


Tout simplement la fabrication au plus vite d’un DTP sans adjuvant. Que les fabricants se mettent au travail et nous disent quand ce vaccin trivalent sera en pharmacie. Ils sont curieusement muets.

 

Et ainsi tous les enfants pourront être vaccinés comme l’État le leur impose. Le cas effroyable de l’enfant décédé de diphtérie en Espagne démontre plus que jamais la nécessité d’un vrai débat que les familles réclament à cor et à cri.

 

Selon le sondage Odoxa de début juin, 87 % des Français estiment que les vaccins peuvent être utiles. Je me range parmi eux tout en sachant distinguer les populations d’enfants, d’adolescents et d’adultes qui en ont le plus besoin.

 

Je reste donc à la disposition des familles et des enfants pour leur meilleure santé.

 

Pour l’instant, continuez à faire signer la pétition autour de vous, c’est la seule solution pour faire bouger les pouvoirs publics et les laboratoires très attentifs à leurs intérêts respectifs

 

La pétition se trouve sur le site de l’Institut pour la Protection de la Santé naturelle (IPSN) : http://petition.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polio/message.php 

 

Bien cordialement à tous,

 

 

 

Professeur Henri Joyeux  - le 30 juin 2015

 

 

Sources :

[1] Lettre du 20 avril 2012 de Mme la députée Marisol Touraine à Monsieur Didier Lambert administrateur de l’association E3M pendant la campagne présidentielle

 

[2] Utilisation du vaccin hexavalent Hexyon® pour la vaccination des nourrissons, Haut Conseil de la Santé Publique

 

[3] Dórea, J. G. (2011). Integrating experimental (in vitro and in vivo) neurotoxicity studies of low-dose thimerosal relevant to vaccines. Neurochemical research, 36(6), 927-938

No comment yet.
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

Futur piège à gogo : le vaccin contre l’asthme et les allergies aux acariens

Futur piège à gogo : le vaccin contre l’asthme et les allergies aux acariens | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Futur piège à gogo : le vaccin contre l’asthme

et les allergies aux acariens

 

Dégoulinante de complaisance, la grande presse habituelle y va de ses titres grotesques et infantilisants qui ne peuvent marcher que sur les plus crédules d’entre nous ainsi bien sûr aussi que sur les malades qui croiront y voir un salut futur : « Vous souffrez d’asthme ou d’allergie ? Un vaccin pourrait bientôt vous sauver, » titrait par exemple RTL.

 

Un tel article appelle bien entendu un décryptage que les journalistes de la presse officielle n’ont plus ni le courage, la volonté, la liberté rédactionnelle et/ou l’intelligence de faire. Demandez-vous donc encore pourquoi le lectorat/l’audimat de cette presse-là ne cesse de dégringoler quand il monte de façon fulgurante du côté des sites indépendants qui réinforment valablement...

 

Voyons tout d’abord ci-dessous le contenu de l’article (copié-collé) et voyons après en quoi il était urgent de ne pas laisser le lecteur rêver dangereusement à ces fausses promesses risquées de « progrès scientifique », sans lui fournir des éléments cruciaux et complémentaires pour une saine réflexion de fond, globale et responsable.

 

 

Vous souffrez d’asthme ou d’allergie?  Un vaccin pourrait bientôt vous sauver

 

Des chercheurs nantais ont annoncé avoir testé avec succès un vaccin « anéantissant totalement » l’allergie aux acariens sur des souris. « Les résultats sont assez spectaculaires sur les souris », explique Marc Sapène, président de l’association française Asthme et Allergie.

 

« D’une part parce qu’on voit s’effacer l’asthme. Si on essaie de déclencher à nouveau de l’asthme avec une substance, il ne réapparaît pas. D’autre part, l’asthme est une maladie inflammatoire chronique. Et non seulement cet asthme n’apparaît plus, mais l’inflammation visible dans le sang a également disparu dans cette expérience », précise le médecin.

 

La mise au point du vaccin pourrait prendre encore quelques années, mais Marc Sapène se montre confiant. « Comme c’est très spectaculaire, je pense qu’on arrivera assez vite à des tests sur d’autres animaux et sur l’homme », explique-t-il. « C’est une piste assez formidable, qui laisse beaucoup d’espoir. Maintenant il faudra voir s’il n’y a pas d’effets secondaires », ajoute-t-il.

Source : RTL

 

1) Regardez tout d’abord les mots « magiques », censés frapper, impressionner : « anéantissement total », « résultats spectaculaires », « l’asthme qui s’efface »... Ces mots ne sont pas ceux d’un journalisme ou d’une science responsable, mais des mots quasi enfantins, témoins de rêves et d’une immaturité intellectuelle qui vont souvent de pair avec une impulsivité et un enthousiasme excessifs.

 

2) Les illusions d’une médecine magique sont toujours à l'oeuvre avec le vieux réflexe de la médecine traditionnelle/allopathique (aux résultats les plus décevants qui soient dans les maladies chroniques) de simplement « supprimer les symptômes ». On essaie de le faire artificiellement apparaître et on ne voit plus l’asthme et donc on en déduit qu’il a disparu : on est ici dans le vieux rêve réaliste que tout ce qui existe doit forcément se voir par un symptôme et si rien ne se voit a priori, c’est que rien ne tourne mal de façon latente et larvée. Quel simplisme ! Et d’ailleurs, ça ne colle pas avec le fait que le début véritable des maladies (et leurs très subtils signes annonciateurs parfois très difficilement diagnosticables cliniquement) ne coïncide le plus souvent pas avec le moment fort tardif du diagnostic officiel. 


Supprimer les symptômes est le plus souvent dangereux et contre-productif : donner des antipyrétiques systématiquement a montré ses effets néfastes, car la fièvre est un mécanisme actif dont le système immunitaire a besoin. Pas étonnant dès lors qu’en supprimant massivement dans les années 50-60 la fièvre chez des patients en incubation de polio (et présentant les symptômes d’une angine), on ait créé de toutes pièces des paralysies et donc des séquelles évitables, car le virus polio cesse sa multiplication dans le corps à partir de 39,5 °C. Cette médecine suppressive force la Nature à s’adapter pour continuer à exprimer un problème qui est systémique et n’a pas disparu : si vous cassez le voyant de la voiture, vous ne le verrez plus, mais vous pourrez encore tomber en panne de moteur ou de batterie ; il en va de même pour le système immunitaire qui a besoin d’une réaction inflammatoire dans certains cas et par conséquent, la suppression de cette réaction inflammatoire chez ces patients-là qui étaient déjà immunitairement déréglés pourrait bien se transformer en une autre tentative beaucoup plus calamiteuse du corps pour contourner cette entrave à l’expression d’un dérèglement persistant... 

 

3) La cause principale de l’asthme et des allergies réside non pas dans un terrain génétique, mais d’abord et avant tout dans l’environnement, même si des prédispositions génétiques peuvent accroître les risques. Or l’environnement est une notion large : penser que « la cause » d’une allergie aux acariens, ce sont juste... les acariens est aussi intelligent que de s’arrêter à l’observation du doigt qui montre la lune plutôt que de regarder la lune elle-même ! Car une personne qui devient allergique n’a pas été de tout temps allergique à cette cause secondaire, qui ne peut donc en elle-même être une explication satisfaisante de ce véritable basculement immunologique.

 

4) La vaccination constitue une cause majeure d’allergies et cela est dûment prouvé : la vaccination des jeunes enfants dès le plus jeune âge constitue une des principales causes si pas LA principale cause de l’asthme et des allergies infantiles (comme l’ont montré plusieurs études ainsi que les données comparatives entre enfants vaccinés et enfants n’ayant jamais reçu le moindre vaccin ; voir notamment dans le petit livre « La bonne santé des enfants non vaccinés » de la Dre Françoise Berthoud aux Éditions Jouvence).

 

L’aluminium des vaccins constitue une substance qui est en elle-même capable d’induire toutes sortes d’allergies croisées avec toutes les substances auxquelles l’enfant et le sujet adulte peuvent être confrontés dans la même fenêtre de temps comme l’ont expliqué deux allergologues viennoises dans le documentaire d’Arte « Planète alu ». C’est ainsi que les vaccins peuvent être la vraie cause d’allergies aux laitages (que le sujet et l’enfant continuent de consommer avant, pendant et après la période des vaccinations), aux acariens, à toutes sortes d’autres substances, etc. La vaccination n’a pas un effet neutre sur les bronches puisqu’elle favorise par exemple les apnées des nourrissons.

 

Par conséquent, prétendre qu’on va régler avec des vaccins un des problèmes que les vaccins ont largement contribué à causer et à accroître (en termes de nombre de personnes touchées) est d’une aberration indicible. Il est certes compréhensible que les individus dont la vie a été rendue infernale par les bons effets de la médecine et ceci, sans que ces victimes ne le sachent ou ne pensent à faire le lien, soient évidemment tentés de se maintenir dans une sorte de passivité consistant à penser que la solution leur sera aussi apportée par cette médecine et qu’il suffira alors de se la faire administrer. 

 

5) La médecine allopathique a montré en de maintes occasions que son aveuglement idéologique et sa partialité pouvaient provoquer les pires aggravations qui soient de divers problèmes. En médecine plus que jamais, il faut se souvenir de l’adage : Le mieux est l’ennemi du bien. Or, rendez-vous bien compte que les « grands spécialistes » ont déjà recommandé depuis des décennies des vaccinations tous azimuts (et ceci de plus en plus) alors que leur connaissance du système immunitaire sur lequel ils interfèrent est de leurs propres aveux tout à fait balbutiante ou insuffisante. On voit bien en termes de santé publique que si on voit en effet parfois moins de certaines maladies infectieuses, les populations de plus en plus vaccinées (et de plus en plus polluées en général) sont de plus en plus malades avec une véritable explosion des maladies auto-immunes, inflammatoires et neurodégénératives sans parler des cancers.

 

Affirmer qu’il n’y a aucun lien avec les vaccins relève du scientisme et de la crainte d’oser voir en face les données existantes. La grosse question à l’heure actuelle est donc : allons-nous nous entêter dans le même paradigme mortifère qui constitue, au moins en partie, la cause majeure de cette spirale sanitaire descendante et désespérante ; allons-nous continuer à faire toujours plus des mêmes vieilles recettes qui ont lamentablement échoué à apporter plus de bien-être et plus de santé ? Si c’est le cas, il n’y a, selon nous, pas de grosses illusions à se faire sur l’évolution de l’état global de la santé publique mondiale.

 

 

 

Par initiativecitoyenne.be – le 28 mai 2015

 

Voir aussi :

Vaccins> allergies> vaccins anti-allergies... bienvenue en absurdie !

Des vaccins efficaces... contre d’autres effets secondaires de vaccins ?

Les vaccins sont les causes principales des allergies alimentaires

Allergies & vaccinations : y a-t-il un lien ?

Grossesse & vaccin anti-allergies : ces médias qui nous abrutissent (parfois au péril de notre vie)

Comment les vaccins endommagent le système immunitaire

Dr Saluzzo (de Sanofi Pasteur) : « On ne sait pas comment marchent les vaccins » !

Tous les vaccins sont expérimentaux : voici pourquoi

Vaccins : le vrai scandale des faux placebos

Vaccinations des patients à risque ? Encore plus risquée !

No comment yet.
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

LEC : les LED ont-elles déjà leurs successeurs ?

LEC : les LED ont-elles déjà leurs successeurs ? | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photo : les LED, qui ont elles-mêmes succédé aux ampoules à incandescence et aux lampes fluocompactes, seront-elles bientôt remplacées par des cellules électrochimiques électroluminescentes (LEC) ? © Akimbomidget, CC, by-sa 2.5

 

 

 LEC : les LED ont-elles déjà leurs successeurs ?

Par Nathalie Mayer

 

Lampes fluocompactes, LED, Oled : dans le secteur de l’éclairage, l’innovation va galopante. Une équipe internationale de chercheurs propose aujourd’hui de s’intéresser à la prochaine génération des technologies d’éclairage : celle des cellules électrochimiques électroluminescentes (LEC).

 

D’une efficacité redoutable (jusqu’à 300 lumens par watt en laboratoire contre un maximum de 70 lm/W pour les lampes fluocompactes et pas plus de 20 lm/W pour les lampes à incandescence de nos grands-parents) et d’une durée de vie exceptionnelle (jusqu’à 100.000 heures alors que les lampes fluocompactes durent au maximum 15.000 heures et les lampes à incandescence pas plus de 1.000 heures), les LED apparaissent aujourd’hui comme des sources d’éclairage idéales. Selon l’Ademe, elles devraient s’imposer dans nos foyers dans moins de 5 ans.

 

Pourtant, les LED présentent également quelques défauts. Leur processus de fabrication, par exemple, est relativement énergivore. Car les LED sont des systèmes multicouches complexes dont les méthodes de production nécessitent un vide poussé et de hautes températures. Elles doivent également être protégées de toute exposition à l’air et à l’eau.


De ce point de vue, les cellules électrochimiques électroluminescentes (LEC) sont des dispositifs beaucoup plus simples. Elles ne comportent qu’une seule couche de matériau actif qui peut être travaillé en solution dans des conditions ambiantes et leurs électrodes peuvent être réalisées à base de matériaux simples comme l’aluminium.

 

Si, malgré cela, les LEC n’ont pas jusqu’alors attiré l’attention sur elles, c’est que leur durée de vie reste relativement courte. Un défaut que des chercheurs des universités de Bâle et de Valence pourraient bien être sur le point de surmonter. Dans un article publié récemment dans le journal Chemical Science, ils annoncent avoir conçu des LEC à base de composés moléculaires stabilisés par des anneaux aromatiques dont la durée de vie sous forme de film mince est supérieure à 2.500 heures. « Ce n’est qu’un premier pas. Nous pouvons faire beaucoup mieux », assure Edwin Constable, professeur à l’université de Bâle.

 

 

Des anneaux aromatiques inspirés des fleurs

 

Les métaux de transition, qui peuvent former des ions d’une grande variété, sont des matériaux de choix pour la constitution de la couche active de LEC. Après application d’une polarisation, les charges présentes dans la couche active se déplacent vers les électrodes. Elles s’accumulent aux interfaces et provoquent ainsi une importante baisse de potentiel et la formation de zones fortement dopées. L’émission de lumière a lieu dans la zone intrinsèque située entre les zones dopées.


Le ruthénium, un métal de transition de deuxième série est le premier des métaux de transition à avoir été utilisé pour la fabrication de LEC. Celles-ci n’étaient susceptibles d’émettre que dans le rouge ou l’orange. Elles étaient surtout très instables dans des conditions normales d’utilisation. Opter pour un métal de transition de troisième série comme l’iridium a permis aux chercheurs des universités de Bâle et de Valence d’améliorer la stabilité du système et de choisir la couleur d’émission lumineuse grâce à la formation de structures originales. Et l’équipe envisage déjà de remplacer l’iridium par des métaux d’usage courant et beaucoup plus abondants comme le cuivre.

 

Pour assurer une durée de vie élargie à leurs LEC, les chercheurs des universités de Bâle et de Valence ont donc mis au point des complexes métalliques enrichis d’anneaux aromatiques. Ceux-ci s’organisent entre eux pour former une coque protectrice, un peu comme une fleur dont les pétales se referment sur son cœur pendant la nuit. Une structure qui rend le complexe particulièrement stable et qui permet également de choisir la couleur de la lumière émise selon les composants moléculaires sélectionnés. De quoi faire un pas de plus vers la conception de systèmes émetteurs de lumière blanche. 

 

 

Par Nathalie Mayer - Futura-Sciences – le 14 mars 2015

No comment yet.
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

Guerre de l’ombre au Sahara (Arte)… ou les conflits qui cachent la boulimie de matières premières

Guerre de l’ombre au Sahara (Arte)… ou les conflits qui cachent la boulimie de matières premières | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


 

Guerre de l’ombre au Sahara (Arte)… ou les conflits qui cachent la boulimie de matières premières

 

Documentaire pour le moins édifiant du 27/01/2015 sur ARTE : « Guerre de l’ombre au Sahara ».

 

Son contenu ? La guerre menée par les grandes puissances de ce monde pour contrôler les ressources du XXIe siècle… avec au cœur : l’Afrique. Et tout particulièrement le Sahel… et le Mali.

 

Avec en prime, notamment, des informations que je vous ai transmises au fil des jours sur ce blog… ce qui m’a valu d’être contactée par Bob Cohen, coréalisateur de ce film avec Éric Nadler. Moment inoubliable…


À présent, tirons-lui notre chapeau pour avoir eu le courage d’affronter la réalité du terrain en face, et de conforter certains éléments ainsi mis en commun, par des enquêtes menées directement sur place, avec les risques encourus !

 

« Depuis des décennies, la France n’est plus la seule à avoir des vues sur le continent », précise la bande-annonce. Indiquant que « dès les années 1960, la découverte d’immenses gisements de pétrole dans le golfe de Guinée attire un nouvel acteur aux besoins inextinguibles : les États-Unis ».

 

Le 11 septembre 2001 semble « marquer un tournant » selon les réalisateurs. Lesquels ajoutent que Washington met un pied au Sahara dans le cadre officiel de sa « lutte contre le terrorisme ». Nous sommes bien en phase…

 

« En 2007, l’administration Bush renforce son instrument politico-militaire, à travers Africom, visant notamment à quadriller la région. Mais derrière ce combat se cachent d’autres batailles : la zone saharienne contient les plus grandes réserves pétrolières d’Afrique, mais aussi de l’uranium, du fer, de l’or… Parallèlement, « la France renforce sa présence militaire sur le continent » poursuit la bande-annonce.

 

Alors que le pays intéresse fortement les majors pétrolières telles que Total pour les immenses ressources énergétiques du bassin de Taoudeni, situé à cheval sur les territoires du Mali donc, mais également de la Mauritanie, du Niger et de l’Algérie, ce sont également des réserves de gaz situées à la proximité de la capitale Bamako et ses mines d’or qui pourraient également attirer les convoitises, indiquais-je pour ma part dès janvier 2013. Ajoutant qu’il fallait également compter sur le coltan, matière première fort recherchée rentrant dans la fabrication des téléphones portables.

 

Parallèlement, j’indiquais que la carte d’implantation d’AQMI (Al Qaïda au Maghreb islamique) au Sahel ressemblait « étrangement » à celle de l’implantation des ressources pétrolières de la région, l’un pouvant même se superposer à l’autre…


Toujours en janvier 2013, j’ajoutais que le New York Times avait indiqué que trois des quatre unités d’élite maliennes à commandement touareg formées par les États-Unis dans les années 2000 étaient passées dans le camp des rebelles lors du conflit de 2012.

 

Tout était dit en une simple petite phrase… ou presque. Puisque nous apprenions ainsi tout d’abord que les États-Unis ont « investi » dans la formation de militaires maliens, lesquels – ironie de l’histoire ou ultime étape d’un plan proche d’une stratégie du chaos – ont par la suite retourné leurs treillis pour désormais affronter les forces militaires du Mali. Pas étonnant en sorte, que l’armée française trouve les rebelles fort bien entraînés… tirant ainsi – sans le vouloir ou dans un message de « reconnaissance » à peine voilée ? - un formidable coup de chapeau aux instructeurs américains.

 

Quant au documentaire diffusé sur Arte, il inscrit les dernières opérations militaires dirigées par les États-Unis et la France dans « ce contexte de contrôle des ressources africaines » : « la Libye est un producteur majeur de pétrole, le Mali abrite d’importantes quantités d’uranium, alors que la Centrafrique occupe une place stratégique dans la région ».

 

Les réalisateurs Bob Coen et Éric Nadler donnent la parole à de nombreux intervenants en vue montrer comment les grandes puissances industrielles se positionnent.

 

 

 

Par Élisabeth Studerwww.leblogfinance.com – 27 janvier 2015

No comment yet.
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

Réponse aux attaques infondées visant la pétition sur le vaccin DT-Polio

Réponse aux attaques infondées visant la pétition sur le vaccin DT-Polio | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Illustration : hellocoton.fr


 

Réponse aux attaques infondées

visant la pétition sur le vaccin DT-Polio


« Cela faisait longtemps que les antivaccins ne s’étaient pas manifestés. C’est chose faite. Depuis quelques jours, une vidéo du Pr Henri Joyeux fait un tabac sur le Net. [1] »

 

Ce sont les premières lignes de l’article que le journal Libération a consacré le 25 mai 2015 à la pétition que nous avons organisée, avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, pour le retour du classique vaccin DT-Polio dans les pharmacies.

 

Qu’une pétition demandant que soit respecté le droit des patients à avoir accès au vaccin obligatoire DT-Polio soit décrite comme « antivaccin » en dit long sur le caractère passionnel du débat.

 

Avons-nous encore le droit de soulever un sujet de santé délicat sans risquer aussitôt de se voir coller des étiquettes infamantes, par des personnes qui semblent plus chercher à caricaturer, ce qui est une manière d’empêcher le débat et la réflexion, qu’à contribuer à éclairer le public sur les questions qui le concernent ?

 

Reprenons notre calme et discutons ensemble posément.

 


Le DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008


Comme chacun le sait désormais, le vaccin DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008 par les laboratoires pharmaceutiques. C’est un fait. Personne ne peut affirmer, sans mentir, le contraire.

 

Depuis septembre 2014, la situation s’est aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DT-polio-coqueluche) et pentavalents (DT-polio-Haemophilus Influenzae B-coqueluche).

 

Le seul vaccin contenant le DT-Polio qui ne souffre d’aucune pénurie est le vaccin hexavalent DT-polio-Hib-coqueluche-hépatite B, Infanrix Hexa des laboratoires Glaxosmithkline.

 

Sur ces points, « le Pr Joyeux a raison », a reconnu le journaliste de Libération. Merci à lui pour cela, au moins.

 

Les parents sont donc actuellement obligés de recourir à l’Infanrix Hexa s’ils veulent protéger leurs enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, éviter les poursuites pénales prévues par la loi en cas de non-respect de l’obligation vaccinale, et garantir l’accès de leurs enfants aux collectivités (crèches, garderies, écoles, cantines… dont les enfants n’ayant pas reçu les vaccins obligatoires sont en général exclus).

 

Logiquement, nous demandons que, puisque le vaccin DT-Polio est obligatoire, il y ait une obligation pour les laboratoires pharmaceutiques de le fournir aux parents.

 

En cas de défaillance, il serait logique que les autorités de santé interviennent pour empêcher les laboratoires de jouer sur l’obligation vaccinale pour vendre du même coup d’autres vaccins facultatifs, éventuellement inutiles pour certains, car un vaccin n’est jamais anodin. Il existe toujours un risque, même s’il est faible, et il peut ne pas être raisonnable de vacciner si le patient n’a pas, ou peu de risques d’être en contact avec la maladie. C’est en particulier le cas de la valence hépatite B, présente dans l’Infanrix Hexa.

 

Le seul vaccin disponible est 7 fois plus cher


À ce problème purement médical s’en ajoute un autre, d’ordre financier.

 

Il se trouve que l’Infanrix Hexa coûte 39,04 euros contre 6,10 euros pour le simple DT-Polio, qui n’est plus disponible, soit près de 7 fois plus cher.

 

Multipliez cette différence par 700 000 naissances en France chaque année. La plus-value réalisée grâce à cette opportune pénurie se chiffre en dizaines de millions d’euros pour les laboratoires pharmaceutiques.

 

Cela ne veut pas dire que cette pénurie soit organisée. Nous ne l’avons jamais dit. Mais il n’en reste pas moins qu’il est permis de s’interroger sur le peu d’empressement des laboratoires pour y remédier.

 

Est-ce une hypothèse vraiment invraisemblable que d’imaginer qu’ils ne soient, au fond, pas si gênés que cela d’être « obligés » de vendre massivement ce vaccin si sophistiqué… et si cher ?

 

En lançant cet appel public aux autorités à enfin réagir (je rappelle que cela fait maintenant 7 ans que le traditionnel vaccin DT-Polio n’est plus vendu en France), nous savions que nous allions heurter des sensibilités, autant que des intérêts financiers majeurs. C’est le lot inévitable du « lanceur d’alerte ».

 


Désinformation et sape systématique par tous les médias


Ce à quoi nous n’étions pas préparés, en revanche, c’est que tous les aspects de notre pétition allaient être contestés, y compris en y opposant de pures inventions (je vais y revenir), comme s’il existait une sorte d’urgence de convaincre le public que nous n’aurions écrit que des âneries voire des mensonges.

 

Ces accusations, initialement formulées sur un simple blog anonyme, ont été reprises telles quelles par nombre de grands sites d’information, de Rue89 jusqu’au site du journal Le Monde, en passant par BFMTV, L’Obs ou encore France TV Info et le Journal de la santé sur France5.

 

L’écho qui leur a été donné, à notre grande surprise vu leur absence de sérieux, fut si grand, et l’objectivité scientifique tellement absente du propos, que je suis obligé d’y répondre de façon systématique.

 

Je commencerai par les arguments les plus ahurissants.

 

1/Un kit DT-Polio gratuit, mais réservé à des cas très rares

Le premier argument le plus utilisé pour discréditer notre initiative est que les laboratoires mettraient un kit DT-Polio gratuitement à disposition des personnes qui souhaitent éviter l’Infanrix Hexa. Cela écarterait donc toute possibilité que les laboratoires aient un intérêt quelconque à l’actuelle pénurie. Mieux, cela démontrerait que ces entreprises sont engagées dans une démarche purement désintéressée et philanthropique.

 

C’est une invention. Ce kit gratuit existe. Mais il est réservé aux rares cas de nourrissons présentant une contre-indication au vaccin anticoquelucheux, présent dans l’Infanrix Hexa, ainsi que l’indique le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD indiqué en note [2].

 

Les contre-indications au vaccin anticoquelucheux sont les antécédents d’allergie, rares chez les bébés nourris au sein, les réactions intenses à d’autres vaccins, impossibles chez les nourrissons n’ayant jamais été vaccinés, l’encéphalopathie évolutive, la fièvre (égale ou supérieur à 40 °C), une affection chronique et les affections graves de l’appareil pulmonaire.

 

En outre, la première partie du kit gratuit, celle qui contient les valences diphtérie et tétanos, a été en rupture de stock depuis le 1er janvier 2015, rupture à laquelle il n’a été remédié qu’au mois de mai, ainsi que l’indique l’Agence du médicament sur son site Internet consultable ici [3].

 

Prétendre que ce vaccin gratuit ait été librement et largement accessible aux parents ayant une méfiance à l’égard de l’Infanrix Hexa est donc absolument faux.

 


2/Oui le vaccin hexavalent peut être dangereux


Le second argument le plus repris contre notre initiative pour le retour du vaccin DT-Polio est que les autorités sanitaires affirment que le vaccin hexavalent est sûr, et qu’il n’y a donc aucun danger particulier à le recevoir. Au contraire, les familles et les patients devraient être reconnaissants, puisqu’ils seraient ainsi protégés contre six maladies d’un coup, en une seule piqûre. Et six précautions valent mieux que trois !

 

Là encore, il s’agit d’une vision simpliste et trompeuse du choix qui s’offre aux patients. Sait-on ce que recouvre, dans le domaine médical, la notion de « sûreté » d’un médicament ou d’un traitement ?

 

Toute intervention sur le corps humain, et a fortiori toute injection de corps étrangers, comporte un risque. En tant que médecin, c’est la première chose que nous apprenons. Notre serment d’Hippocrate commence par ces mots : « D’abord ne pas nuire » (« Primum non nocere »). Les vaccins sont des médicaments actifs comme les autres. Affirmer qu’ils sont sûrs signifie seulement que, globalement, les risques qu’ils font courir aux patients sont inférieurs aux bienfaits qu’ils peuvent en attendre. Cela ne signifie absolument pas qu’il n’y ait aucun risque.

 

Les autorités, et c’est leur rôle, se bornent à estimer que, collectivement, la balance-bénéfice/risque est en faveur de la vaccination.

 

Mais on ne peut en déduire qu’en toutes circonstances il soit sûr, d’un point de vue individuel, de se faire vacciner. Chez un individu donné qui n’est pas exposé à une infection et chez qui la vaccination présente un risque, la gestion individuelle du risque doit recommander de ne pas vacciner. C’est pourquoi il peut être logique de vacciner tout le personnel soignant contre l’hépatite B, une maladie qui se transmet par le sang et les fluides corporels – et je le suis moi-même bien sûr, en tant que chirurgien.

 

En revanche, pour un bébé de deux mois, qui ne pratique pas d’interventions médicales, qui n’est pas toxicomane et qui n’a pas de rapports sexuels ni de contact étroit avec des malades potentiels de l’hépatite B, il n’est pas du tout sûr que les bénéfices de la protection contre une maladie très peu probable justifient de courir les risques du vaccin.

 


Discuter le risque d’un vaccin, ce n’est pas être anti-vaccin, c’est dire la vérité


Affirmer qu’un vaccin est risqué, informer les patients que tout vaccin comporte un risque, ce n’est pas être « antivaccin ». C’est dire la vérité, et les familles et patients ont droit de savoir la vérité sur les médicaments qu’on leur administre.

 

Vouloir la leur cacher, même partiellement, au nom d’objectifs généraux de santé publique, comme la maximisation de la couverture vaccinale, n’est pas respectueux des Droits de l’Homme, et c’est pourquoi nous nous y opposons.

 


3/Les vaccins multivalent sont plus dangereux que les autres


Vient le troisième argument, selon lequel les vaccins multivalents, c’est-à-dire qui vaccinent contre plusieurs maladies en une seule injection, ne posent pas plus de problèmes que les autres.

 

En réalité, le principe de la vaccination consiste à solliciter le système immunitaire avec un agent infectieux affaibli pour provoquer une réponse, afin d’accélérer cette réponse la prochaine fois qu’il sera confronté avec cet agent infectieux. Notre système immunitaire est configuré pour faire face à plusieurs infections mineures, et une ou deux attaques majeures.

 

Le vaccin hexavalent consiste à demander à l’organisme d’un bébé de 2 mois de faire face à 6 infections majeures simultanées, et donc chez un nourrisson dont le système immunitaire est encore immature (il dépend fortement de celui de la mère, via l’allaitement qui reste idéal pour l’enfant).

 

Le système immunitaire est une mécanique très délicate. Son emballement est au moins aussi dangereux que son insuffisance. La surréaction du système immunitaire peut produire une « tempête de cytokines » créant des maladies auto-immunes graves.

 

Que sait-on de la réponse immune lorsqu’il y a 6 valences d’antigènes dans un vaccin ? Pas grand-chose à long terme, tout simplement parce que cette pratique de multiplier les valences n’est pas assez ancienne pour que l’on ait aujourd’hui le recul suffisant. Et dans la mesure où l’on ne prend pas en compte le groupe HLA des personnes avant de les vacciner, il est impossible de prédire les risques sanitaires à long terme.

 

De la même façon, il a été dit et répété dans les attaques contre notre pétition que les adjuvants présents dans le vaccin hexavalent ne sont pas dangereux. Pourtant, pour mémoire, les adjuvants servent à créer une réponse inflammatoire, afin de mieux « marquer » le système immunitaire. Ils fonctionnent forcément en agressant le corps, sans quoi celui-ci ne chercherait pas à se défendre. Ce sont par définition des produits agressifs.

 

On nous dit, pour nous tranquilliser, que les adjuvants à base de mercure et d’aluminium, des neurotoxiques, ou de formaldéhyde, un cancérogène certain, ne sont pas dangereux parce que les doses sont trop faibles, jusqu’à 10 000 fois inférieures à la dose létale pour l’adulte.

 


Des poisons injectés, non pas à des adultes, mais à des nourrissons, directement dans le sang


Mais il faut considérer le fait que les adjuvants sont administrés non à des adultes, mais à des nourrissons. Qu’ils ne passent pas par le système digestif, et donc pas par le filtre du foie, mais qu’ils sont injectés directement dans le sang. Que ce que l’on redoute n’est pas l’empoisonnement immédiat du bébé, mais les conséquences à long terme, la myofasciite à macrophages ou, nettement plus tard, telle ou telle maladie neurodégénérative, telle la sclérose en plaques (SEC), comme cela a été prouvé après la campagne de vaccination contre l’hépatite B au collège à la fin des années 90.

 

Pour toutes ces raisons, nous réfutons toute accusation d’approximation, de « dérapage verbal », et plus encore de « complotisme » et de « charlatanisme ». Notre appel à pétition est justifié, pour ne pas dire urgent, par un impératif de santé publique. L’opposition bête et méchante, parfois même de mauvaise foi, que nous rencontrons nous conforte dans l’impression que, si nous ne bougions pas, personne ne le ferait.

 


Continuons notre mobilisation


C’est chose faite aujourd’hui. Le débat est enfin lancé. Puissent les autorités de santé entendre la voix des 500 000 citoyens et professionnels de santé qui ont déjà signé notre pétition, et de tous ceux qui se joindront à eux prochainement.

 

Et n’hésitez pas à diffuser largement autour de vous cet argumentaire qui répond à des attaques infondées, et à


.

>>> poursuivre la campagne de signature de la pétition (ici).

.

Par le Professeur Henri Joyeux - le 1er juin 2015

 

 

Sources :

 

[1] Les vaccins à la peine

 

[2] Pour lire le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD, cliquer ici.

 

[3] DT VAX, Vaccin diphtérique et tétanique adsorbé (Suspension injectable en flacon multidose) — Rupture de stock

No comment yet.
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

Éoliennes en mer : gare à l’aluminium !

Éoliennes en mer : gare à l’aluminium ! | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Source photo : spiegel.de 

 

 

Éoliennes en mer : gare à l’aluminium !

 

Les 6 500 éoliennes prévues en 2020 vont rejeter 13.000 tonnes de composés métalliques dans la mer, selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.

 

Un billet d’humeur de Michel Gay (*).

 

Le système de protection contre la corrosion des éoliennes en mer commence à polluer la mer du Nord et la mer Baltique avec de l’aluminium. Les « anodes sacrificielles » en aluminium, zinc et indium des supports en acier, dont le but est d’empêcher la corrosion par le sel marin, sont pointées du doigt en Allemagne.

 

Les 6 500 éoliennes prévues en 2020 vont rejeter 13.000 tonnes de composés métalliques dans la mer, selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel. La méthode de protection classique utilisée contre la corrosion sur les bateaux pourrait aussi convenir, mais elle est plus coûteuse. Et le coût des éoliennes en mer est déjà suffisamment élevé, voire inabordable, pour ne pas en rajouter…

 

Faut-il s’en inquiéter ? Non bien sûr (chut !) puisqu’il s’agit d’un moyen de production d’électricité « verte » à partir d’une énergie renouvelable censée sauver la planète !…

 

 

Par Michel Gay (*) - contrepoints.org – le 24 mars 2015

(*) Michel Gay : citoyen ordinaire, abonné EDF et contribuable, Michel Gay a été pilote de chasse dans une vie antérieure.

No comment yet.
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

Deux réacteurs d’avion reproduits par impression 3D

Deux réacteurs d’avion reproduits par impression 3D | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photo : « C’est une technologie assez perturbatrice. Nous avons vu beaucoup de choses se passer dans le domaine du plastique et du polymère, mais ce qui est passionnant c’est que cela concerne maintenant des métaux et des métaux légers, comme le titane, le nickel et l’aluminium », selon un des chercheurs australiens. AFP/LYDIA HALE

 

 

Deux réacteurs d’avion reproduits

 par impression 3D

 

C’est la première fois que deux réacteurs d’avion ont pu être reproduits grâce à l’impression tridimensionnelle. Des chercheurs de l’université Monash de Melbourne, en Australie, ont fait la démonstration du potentiel de l’impression 3D pour imprimer du métal de haute qualité.

 

L’équipe, qui a travaillé un an sur ce projet, a créé les moteurs en démontant pièce par pièce de vieux exemplaires et en scannant chaque composant. Les engins sont des répliques du moteur à turbines à gaz de l’équipementier aéronautique français Safran, qui fournit les avionneurs européen Airbus et américain Boeing.

 

 « L’important, c’est la reconnaissance par les principaux fabricants et sociétés d’ingénierie comme Safran et Airbus que le matériel que vous pouvez concevoir en utilisant du métal imprimé est de qualité aéronautique », a déclaré Ian Smith, membre de l’équipe scientifique.

 

 

« TECHNOLOGIE ASSEZ PERTURBATRICE »

 

« C’est une technologie assez perturbatrice. Nous avons vu beaucoup de choses se passer dans le domaine du plastique et du polymère, mais ce qui est passionnant c’est que cela concerne maintenant des métaux et des métaux légers, comme le titane, le nickel et l’aluminium », a-t-il dit.

 

Inventée dans les années 1980, l’impression 3D permet de produire couche par couche un objet solide, d’après un fichier 3D. Elle utilise un processus de fabrication additive, à la fois d’injection et de solidification de matière, plastique ou métallique. La technologie pourrait être utilisée pour construire rapidement et à moindre coût des prototypes et des composants sur mesure, estiment les chercheurs. Les imprimantes 3D de métaux pourraient également être utilisées dans l’industrie biomédicale pour créer des prothèses ou des équipements.

 

L’un des moteurs est actuellement exposé à l’Australian International Airshow de Melbourne et l’autre se trouve à Toulouse, au siège de la société française Microturbo, spécialisée dans les turbines à gaz de petite puissance.

 

>>> Suite de l’article ici

 

Par Le Monde.fr avec AFP – le 26 février 2015

No comment yet.