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La Gazette des campus de LLN et de WSL-UCL ainsi que diverses infos intéressantes visant la vérité ou l'autre vérité (qui que ce soit qui la dise, mais sans forcément prôner l'auteur).  -  Duc
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Cas de diphtérie en Espagne : ce qu’il faut savoir et que la presse ne vous dira jamais

Cas de diphtérie en Espagne :  ce qu’il faut savoir et que la presse ne vous dira jamais | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Illustration : le bacille de la diphtérie

 

Cas de diphtérie en Espagne :

 ce qu’il faut savoir et que la presse

ne vous dira jamais

 


L’information est tombée il y a quelques jours dans la presse espagnole et la presse habituelle l’a reprise sans la moindre objectivité, comme on pouvait s’y attendre. 

 

Un enfant de 6 ans, résident de Olot, localité proche de la ville catalane de Girone a contracté la diphtérie et serait dans « un état sérieux » à l’hôpital du Val d’Hébron de Barcelone selon la presse espagnole. L’enfant n’aurait pas été vacciné selon cette même presse qui claironne aussi que ce serait le 1er cas de diphtérie depuis près de 30 ans, ce qui est déjà un beau gros mensonge étant donné que la vaccination n’a jamais eu d’action sur la bactérie (n’empêchant donc pas sa circulation) mais uniquement sur la toxine que la bactérie produit, ce qui est très différent. 

 

Ce cas arrive donc bien opportunément pour les autorités des divers pays qui font face à des critiques de toutes parts en raison de leur folie vaccinale et ravivées par la pétition sur le vaccin DTP du Pr Joyeux qui a d’ailleurs suscité plusieurs débats dans divers médias (voir ici, ici et ici notamment).

 

Le discours simpliste des Diafoirus consiste inévitablement à dire « vous voyez, l’enfant n’était pas vacciné, c’est la preuve que le vaccin est indispensable, c’est à cause des antivaccins ! » Les parents eux-mêmes ont fini par être instrumentalisés, pensant avoir été « trompés » par une information plus objective et critique sur les vaccins, là où le discours officiel n’aborde quant à lui jamais que la « petite douleur ou rougeur au point d’injection » en violation de leurs droits de parents/tuteurs à un consentement réellement libre et informé...


Si donc l’enfant était mort ou handicapé par le vaccin, soyez donc bien certains que cette même presse ne se serait pas pressée pour écrire un article selon lequel les parents se sentiraient trompés par des autorités publiques qu’ils pensaient loyales et bienfaisantes. Et pourtant, ces parents-là, ils se comptent par milliers et ne sont hélas guère difficiles à trouver !

 

MAIS l’essentiel de ce que vous devez savoir pour ne pas tomber dans le piège de ce discours consistant à monter vainement les gens les uns contre les autres, c’est que :


1.L’inefficacité de la vaccination antidiphtérique a été maintes fois prouvée.

2. Il n’existe pas d’essais contrôlés (donc rigoureux) sur l’efficacité de ce vaccin.

3. Le vaccin présente aussi des risques qui ne sont pas nuls.

4. Les bonnes questions que la presse ne posera jamais

 

 Tous ces points sont développés dans le texte.




>>> Voir le développement complet de ce très long et intéressant article ici

 

 

Par initiativecitoyenne.be – le 11 juin 2015.

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Dr Lee HIEB, M.D: l’hystérie vaccinale actuelle pourrait déclencher un cauchemar totalitaire

Dr Lee HIEB, M.D: l’hystérie vaccinale actuelle pourrait déclencher un cauchemar totalitaire | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


 

Dr Lee HIEB, M.D. :

l’hystérie vaccinale actuelle

pourrait déclencher un cauchemar totalitaire

 



Commentaires de l’éditeur de Health Impact News

 

Le Dr Lee Hieb qui écrit pour WND.com rejoint le nombre de médecins de plus en plus nombreux qui ont décidé de s’exprimer contre les vaccinations forcées, ainsi que contre l’hystérie qui se répand actuellement dans les médias traditionnels. Le Dr Lee Hieb  est chirurgienne orthopédiste spécialisée en chirurgie vertébrale. Elle a été présidente de l’Association des Médecins et Chirurgiens Américains.

 

La voix du Dr Hieb est celle de la raison et du bon sens dans le débat actuel sur les vaccins. Sa position contraste avec celle des grands médias d’aujourd’hui, largement financés par l’industrie pharmaceutique, qui voudraient faire appel à la force pour imposer les vaccins et supprimer les permis d’exercer des médecins qui sont en désaccord avec eux.

 

Le Dr Hieb souligne à juste titre les conclusions logiques qui devraient s’imposer si on permettait au gouvernement de prendre des décisions médicales « pour le plus grand bien de la société » en l’autorisant à injecter des produits chimiques dans notre corps :

 

« L’éthique médicale est très claire. Personne ne devrait être forcé de subir un traitement médical sans son accord et sans son consentement éclairé. Nous condamnons la stérilisation forcée des années » 20 et des années » 30, les expérimentations médicales de Tuskegee qui ont infecté des détenus noirs, ainsi que la médecine nazie qui avait recours à « l’euthanasie » involontaire, à l’expérimentation, ainsi qu’à la stérilisation. Comment pourrions-nous forcer la vaccination sans consentement ? La vaccination est un traitement médical qui comporte des risques, y compris celui de décès. Il est tout à fait contraire à toute éthique médicale d’imposer ces risques à quiconque.

 

Si vous pensez que le gouvernement a le droit de vacciner les gens par la force – pour le bien de la société – qu’est-ce qui pourrait l’empêcher de stériliser de force, d’euthanasier de force ou d’implanter de force un dispositif de suivi – tout cela pour le bien de la société ? Vous pouvez penser que ces exemples sont extrêmes (bien que les deux tiers se soient déjà produits), mais le principe est le même. Vous autorisez que le gouvernement ait l’autorité suprême sur votre corps. »

 

Le Dr Hieb ne s’en tient pas uniquement à son analyse sur l’éthique médicale et les implications politiques d’une vaccination forcée, elle continue de répondre à deux questions cruciales que vous avez peu de chances d’entendre un jour dans les médias grand public : les vaccins sont-ils sûrs et efficaces ?

 

 

Les médecins qui veulent promouvoir la liberté de choix en matière de santé sont confrontés à la persécution et à la censure

 

Comme le Dr Hieb aura été mise en vedette sur le réseau de santé Health Impact News et comme ses commentaires vont être repris dans d’autres médias alternatifs qui ne sont pas financés par Big Pharma, elle ira vraisemblablement rejoindre les rangs des médecins qui seront attaqués et ridiculisés publiquement. Les médecins provaccins vont vraisemblablement apparaître à la télévision pour demander la suppression de son permis de pratiquer la médecine et faire connaître leur position dans les grands médias.

 

Health Impact News veut inviter tout médecin qui désire rejoindre ces courageux confrères qui ont osé s’exprimer pour dire la vérité et réclamer la liberté en matière de Santé aux États-Unis. L’Amérique a besoin de vous entendre aussi sur les problèmes de liberté en matière de santé, et nous voulons vous encourager vous à rejoindre vos amis et collègues qui ont risqué leur carrière et peut-être leur vie pour dénoncer la contrainte vaccinale d’un gouvernement tyrannique, pour avoir osé aborder le problème de la sécurité et de l’efficacité des vaccins

 

Comme le précise le Dr Hieb : « La science ne conclut jamais définitivement ».

 

« M. Obama et autres idéologues peuvent penser que la vérité est fixée une fois pour toutes « la science est indiscutable (incontestable), mais la réalité de notre compréhension de la maladie et des traitements doit constamment être remise à jour. Tout juste comme le paradigme d’un univers mécanique de Newton a été supplanté par la physique d’Einstein, les physiciens d’aujourd’hui continuent de modifier ce point de vue. C’est comme cela que l’on peut dire que « la vérité » médicale n’est pas une vérité pour très longtemps. Dans une tentative de quantifier le changement en médecine il y a quelques années, un journal de cardiologie a évoqué « la demi-vie de la vérité ».

 

Les cardiologues ont jeté un coup d’œil sur leurs journaux parus 20 ans plus tôt pour se rendre compte à quel point ce que l’on croyait à cette époque était encore vrai aujourd’hui. La réponse ? 50 pour cent ! Ainsi, en cardiologie au moins, — et dans toute la médecine, à des degrés divers, — seulement la moitié de ce que nous croyons vrai aujourd’hui le sera encore dans une vingtaine d’années.

 

Le dernier mot sur la vaccination n’a pas encore été dit. On n’a même pas encore commencé à l’écrire. »

 

Ici à « Health Impact News », nous continuerons à écrire et à publier.

 

Source : Health Impact News

 

Ce que dit le Dr Lee Hieb est tout à fait évident. Plus de 50 ans plus tôt, un parlementaire comme le Français Roger Duveau, sonnait le même tocsin dans un texte absolument superbe qui était en fait une proposition de loi en vue d’empêcher toute obligation vaccinale, précisément pour éviter ce type de tyrannie. Encore avant lui, le Dr Emery Coderre, de l’Université de Montréal, publiait en 1875 un avertissement conséquent sur les vaccinations, leurs funestes effets et la véritable idéologie officielle qui n’entend pas appliquer le débat ou le questionnement proprement scientifique à cette pratique.

 

Le temps est venu de constater le chemin parcouru, et d’oser voir que la santé globale des populations s’est considérablement aggravée/dégradée, en n’ayant pas la bêtise de ne se focaliser QUE sur telle ou telle maladie infectieuse, mais en regardant GLOBALEMENT. Le temps est venu de dire que ceux qui veulent s’entêter dans la vaccination pour eux et leurs enfants n’ont qu’à le faire en gardant leurs croyances pour eux, sans espérer les imposer jusque dans le corps d’autrui, tout simplement parce qu’il n’y a pas d’un côté, certains hommes qui auraient des droits sur plus que leur corps et de l’autre, des personnes qui en auraient sur moins que leur corps.

 

La liberté de ne pas se faire injecter de force des substances chimiques dans le corps au prétexte qu’elles ont une étiquette factice de « scientifiquement prouvée » constitue la liberté la plus évidente, la plus primordiale et la plus urgente à faire respecter, tout simplement parce que sans santé, aucune qualité de vie, aucune vigilance politique ne sont réellement possibles pour une collectivité. Il est donc urgent de le dire et urgent d’agir et l’avenir des générations futures dépend clairement de ce choix.

 

 

 

Par initiativecitoyenne.be – le 14 février 2015


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PARACÉTAMOL : DES RISQUES À HAUTES DOSES ET LONG TERME

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PARACÉTAMOL :

DES RISQUES À HAUTES DOSES ET LONG TERME

Par J.Maherou

 

Médicament anti-douleur le plus vendu au monde, le paracétamol est à consommer avec modération ! Une étude anglaise vient en effet de montrer qu’à haute dose et à long terme, il peut avoir des effets cardiovasculaires et rénaux, pouvant même augmenter le risque de décès.

 

Le paracétamol est la star de nos armoires à pharmacie ! En 2012, 500 millions de boîtes ont été vendues en France. Disponible sans ordonnance, ce médicament, que l’on trouve sous les marques « Doliprane », « Dafalgan » ou « Efferalgan », est utilisé pour soulager la douleur dans le cas de nombreuses pathologies. Mais comporte-t-il des risques ? Des chercheurs anglais se sont sérieusement penchés sur la question.

 

En décortiquant huit études existantes, ils ont montré une augmentation du taux de mortalité pouvant atteindre jusqu’à 63 % pour une consommation de 3 g par jour de manière répétée. Des risques de maladies cardiovasculaires (crises cardiaques et AVC) ont également été mis en évidence : jusqu’à 68 % de risque en plus en cas de consommation de plus de 15 comprimés par semaine. Quant aux risques de problèmes rénaux, il est multiplié par deux lorsqu’on en consomme plus de 500 g au cours de la vie.

 

D’après les auteurs de l’étude, compte tenu de son usage important et du fait qu’il est disponible sans ordonnance, il paraît justifié de faire une revue systématique de son efficacité et de sa tolérance dans des pathologies particulières.

 

Si l’étude ne remet pas en cause l’efficacité du paracétamol pour soulager la douleur et faire baisser la fièvre, elle rappelle que cela reste un médicament et comme tout médicament, il comporte des effets indésirables. Il est donc recommandé d’éviter de le prendre en continu pendant plus de deux à trois semaines.

 

 


Par J.Maherou - asef-asso.fr – le 5 mars 2015

  

Références bibliographiques :

Roberts E, Delgado Nunes V, Buckner S, Latchem S, Constanti M, Miller P, Doherty M, Zhang W, Birrell F, Porcheret M, Dziedzic K, Bernstein I,Wise E, Conaghan PG, Paracetamol: not as safe as we thought? A systematic literature review of observational studies, Ann Rheum Dis. 2015 Mar 2.

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Nanotechnologies : gros risques

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Nanotechnologies : petits ingrédients, mais gros risques

 

Dans ce rapport nos collègues des Amis de la Terre Etats-Unis citent de nombreux produits alimentaires consommés quotidiennement et qui contiennent des nanomatériaux comme ingrédients : fromages fondus ou à la crème, cookies, beignets, crèmes à café, sirop et autres produits à base de chocolat, flans, mayonnaise, purée, lait, soja, boissons à base d’amende ou de riz, yaourts, céréales, bonbons, crackers, pâtes et boissons pour sportifs.

 

Des nanomatériaux sont de plus en plus utilisés en contact avec les aliments : emballages et conservation des fruits et légumes, planches à découper, biberons, saladiers, coutellerie, bacs à glace, etc. Ces produits sont fabriqués et vendus par les plus grandes compagnies alimentaires. Qu’en est-il en France ?

 

Pourtant, les données scientifiques s’accumulent sur les risques pour la santé humaine et l’environnement que les nanomatériaux, notamment ceux utilisés dans l’alimentaire, représentent. Mais que pèsent-elles face aux de 200 multinationales de l’agroalimentaire qui ont investi des milliards de dollars dans les nanoaliments et les nano-emballages ? Il est prévu que le marché des nanoaliments augmente pour atteindre 20,4 milliards de dollars en 2020.

 

Pour Christian Berdot des Amis de la Terre France : « Avec ces technologies, nous assistons à une artificialisation encore plus poussée de notre alimentation. Ces mêmes industriels, qui ont déjà disséminé dans l’environnement des milliers de produits chimiques sans aucune étude de risques, commercialisent déjà des produits encore plus puissants, alors que nous ne savons pas grand-chose des risques auxquels ils exposent les ouvriers qui les manipulent, les consommateurs et l’environnement. »

 

Les nanomatériaux ont des propriétés particulières qui offrent de nombreuses et nouvelles possibilités d’emploi pour l’industrie alimentaire, en tant qu’additifs alimentaires, agents de saveurs ou colorants très puissants, ou comme agents antibactériens dans les emballages. Cependant, ces mêmes propriétés présentes à l’échelle nanométrique peuvent aussi provoquer une plus grande toxicité pour les humains ou l’environnement :

 

  • réactivité chimique, biodisponibilité et bioactivité plus importantes que chez des particules de plus grandes tailles du même composant chimique.

 

  • pénétration plus facile dans nos corps, nos cellules, nos tissus et organes.

 

  • perturbations des réponses de notre système immunitaire.

 

  • effets pathologiques à long terme.

 

 

Christian Berdot conclut : « Comme avec les OGM, il y a presque 20 ans, on nous promet avec les nanotechnologies de tout résoudre : guérir les maladies, lutter contre les changements climatiques, résoudre la crise énergétique, etc., etc. Comme avec les OGM, la majorité de nos dirigeants ne demande qu’à se laisser aveugler par ces promesses mirobolantes et néglige grossièrement les risques réels. Maintenant, c’est aux citoyens de réagir pour leur santé et pour leur environnement. »

 

Contact presse : Caroline Prak – 06 86 41 53 43

 

 

>>> Le rapport « Nanotechnologies : petits ingrédients, mais gros risques » : ici


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