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Comment perdre du poids sans suivre de régime

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Image : L’activité physique est un élément clé d’un programme de perte de poids, mais elle doit être combinée à d’autres interventions pour produire des effets durables.


 

Comment perdre du poids sans suivre de régime

 

Janvier éveille chez le commun des mortels un désir profond de changement qui s’incarne dans les traditionnelles résolutions du Nouvel An. Parmi les grands classiques du genre se trouve l’incontournable « perdre du poids ». Pour vous aider à tenir le cap cette année, Jacinthe Leclerc, Nadine Bonneville, Audrey Auclair, Marjorie Bastien, Marie-Ève Leblanc et Paul Poirier, de la Faculté de pharmacie et de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec, ont passé en revue ce que la science nous apprend sur les meilleures façons de perdre du poids. Le fruit de leurs analyses, publié dans un récent numéro de Postgraduate Medicine, a inspiré les six conseils suivants.

 

 

1)   Admettre que les régimes ne fonctionnent pas

  

En théorie, perdre du poids est une simple question de bilan énergétique : il suffit de consommer moins de calories qu’on en brûle. D’où la multitude de régimes amaigrissants qui promettent beaucoup, mais réalisent peu de ces promesses. « Aucun de ces régimes ne fonctionne à long terme, constate le professeur Paul Poirier. Nous sommes des êtres de plaisir et nous ne parvenons pas à nous priver très longtemps. De plus, comme le métabolisme de base diminue avec la perte de poids et que le corps devient plus efficace à stocker des graisses, l’effet des régimes s’atténue progressivement, les gens se découragent, retombent dans leurs anciennes habitudes et regagnent le poids perdu. » Ne vous laissez pas berner par les publicités : il n’y a pas de nouvelles méthodes révolutionnaires qui donnent de meilleurs résultats que les régimes miracles de l’année dernière.

 

 

2) Éviter de démoniser certains aliments

 

La pensée dichotomique qui conduit à un classement des aliments en deux catégories — les bons qu’il faut consommer à profusion et les mauvais qu’il faut bannir à tout prix — ne produit rien de bon.  


« Cette attitude rigide décourage les gens qui envisagent des améliorations à leur alimentation. Les gens veulent avoir du plaisir lorsqu’ils mangent et ils ont besoin de récompenses », rappelle le professeur Poirier. Mieux vaut adopter des règles générales qui touchent la globalité de notre alimentation, par exemple manger plus de fruits et de légumes, diversifier notre alimentation, faire montre de modération tout en ne boudant pas nos plaisirs.

 

 

3) Modifier son environnement alimentaire

 

De nombreuses études montrent que, pour perdre du poids, il ne faut pas seulement s’attaquer au choix des aliments qu’on consomme, mais aussi à l’environnement alimentaire. Il y a davantage de risques de surconsommation lorsque les aliments sont à portée de main à toute heure du jour et que de généreuses portions sont possibles. « Pour modifier son environnement alimentaire à la maison, on peut utiliser de plus petites assiettes, des verres longs et étroits plutôt que courts et évasés ou encore des cuillères plus petites. Ça peut aussi se faire en plaçant des aliments santé à portée de la main sur le comptoir de la cuisine ou dans la première rangée sur les tablettes du frigo », suggère Paul Poirier.

 

 

4) Ne pas se fier uniquement à l’activité physique

 

Comme l’activité physique augmente la dépense énergétique, elle devrait théoriquement conduire à une perte de poids si on augmente la dose. En pratique toutefois, les programmes qui misent uniquement sur un accroissement du volume de l’exercice produisent peu ou pas d’effets durables sur la perte de poids. « Il se peut que les gens compensent en mangeant plus ou encore qu’ils dépensent moins de calories parce qu’ils sont moins actifs entre les séances d’exercice, avance le chercheur. Peu de gens réalisent à quel point il faut s’activer pour brûler 500 calories. » Cela dit, l’activité physique est un élément clé d’un programme de perte de poids. Il faut toutefois y aller de façon dosée et progressive et la combiner à d’autres interventions.

 

 

5) Personnaliser sa perte de poids et respecter son rythme

 

Il ne faut pas chercher à obtenir des résultats spectaculaires pour « épater la galerie ». La perte de poids doit être lente, sécuritaire et personnalisée. « Un rythme raisonnable et atteignable se situe entre 0,5 et 1 kg par semaine. À ce train, une personne peut perdre facilement 10 kg en six mois. Pour quelqu’un qui pesait, 100 kg au départ, c’est suffisant pour produire des effets positifs sur la glycémie, les triglycérides, le cholestérol et la tension artérielle », souligne le cardiologue.

 

 

6) Ne jamais perdre de vue l’objectif de l’intervention

 

Pour persévérer dans ses efforts de perte de poids, il faut régulièrement se rappeler ce qui les motive : améliorer son bien-être et réduire le risque de maladies comme le diabète de type 2, l’hypertension ou les maladies cardiovasculaires. « L’objectif final ne doit pas être d’avoir le corps idéal des gens qu’on voit dans les magazines. Sinon, on risque de se rendre malade en adoptant des régimes délétères pour la santé. »

 

Selon le professeur Poirier, les professionnels de la santé connaissent maintenant l’essentiel de ce qu’il faut faire pour perdre du poids, mais le problème est que leurs patients ne mettent pas leurs recommandations en pratique. « Le défi actuel est de mieux comprendre les facteurs qui influencent les comportements humains et d’adapter nos messages en conséquence. Il faut aussi faire montre de plus de souplesse et de créativité pour adapter nos recommandations à la réalité de chaque patient. »

 

 

 

Par Adrien - techno-science.net - le 27 janvier 2015

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Les USA changent les régimes...

Les USA changent les régimes... | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Les douze étapes employées par les USA

pour changer un régime

 

Désormais, nous savons que la Russie connaît bien les méthodes des changements de régime, dont l’empire du Chaos use et abuse afin de maintenir sa suprématie. C’était apparu très clairement dans l’allocution de Poutine au Club Valdaï :

 

« De fait, depuis un bout de temps, nos collègues (les USA) ont tenté de gérer les dynamiques politiques, en utilisant les conflits régionaux et en concevant des « révolutions de couleur » correspondant à leurs intérêts, mais… le génie aux trois vœux s’est échappé de la bouteille. Il semble que les pères de la théorie du « chaos sous contrôle » ne savent plus eux-mêmes qu’en faire ; c’est une complète débandade dans leurs rangs. »

 

La Chine a aussi été l’objet de tentatives de changement de régime dans sa province du Xinjiang, dans l’ouest de la Chine, et plus récemment à Hong Kong. La question est : dans quelle mesure la Chine est-elle consciente du rôle des USA dans ces mouvements de protestation ? Une récente vidéo sur YouTube fait clairement apparaître que la Chine a une très nette compréhension de l’échiquier géopolitique et de ses enjeux, même s’il n’est pas sûr que les opinions présentées sont celles du peuple chinois en général.

 


La vidéo relève douze étapes utilisées par les USA pour changer un régime politique, et poursuit en expliquant comment ces dynamiques de changement de régime partout dans le monde, ainsi que l’antagonisme envers la Russie et la Chine, s’inscrivent dans un schéma qui pourrait mener à la troisième guerre mondiale.

 

1 — Envoyer des agents de la CIA, du M16 et d’autres officines vers le pays cible, comme touristes, étudiants, volontaires, hommes d’affaires ou encore journalistes.

 

2 — Lancer des ONG estampillées, luttant pour la démocratie et les droits de l’homme, afin d’attirer les promoteurs de la liberté et des idéaux supérieurs.

 

3 — Attirer les traîtres, en particulier des universitaires, des politiciens, des journalistes, des soldats, etc., par l’argent, ou le chantage, pour ceux qui ont commis quelque chose de répréhensible.

 

4 — Si le pays a des syndicats, les contrôler par la corruption.

 

5 — Choisir une appellation sympa ou une couleur pour la révolution, par exemple le Printemps de Prague (1968), la révolution de velours dans l’Est-européen (1969), la révolution des roses en Géorgie (2003), la révolution du cèdre au Liban (2005), la révolution orange en Ukraine, la révolution verte en Iran, la révolution de jasmin, le printemps arabe ou encore la révolution des parapluies à Hong Kong.

 

6 — Commencer des manifestations sur n’importe quel motif, juste pour lancer la révolution. Ça peut être les droits de l’homme, la démocratie, la corruption du gouvernement, une fraude électorale. Pas de preuves nécessaires, une justification suffit.

 

7 — Écrire les calicots et autres banderoles en anglais, afin qu’ils puissent être lus aux USA, et ainsi impliquer les politiciens et citoyens américains.

 

8 — Laisser les politiciens, les intellectuels et syndicalistes corrompus rejoindre les manifestations, et en appeler au peuple pour qu’il se joigne à eux, toute doléance étant la bienvenue.

 

9 — Faire en sorte que les médias officiels, tant US qu’européens, soulignent que la révolution est causée par l’injustice, de façon à gagner l’opinion de la majorité silencieuse.

 

10 — Quand le monde entier regarde, monter une opération sous fausse bannière. Le gouvernement ciblé sera très vite déstabilisé, et perdra du crédit auprès de son propre peuple.

 

11 — Faire intervenir des agents provocateurs, pour forcer la police à utiliser la violence. Le gouvernement ciblé perd alors soutien des autres pays et devient délégitimé aux yeux de la communauté internationale.

 

12 — Envoyer des politiciens locaux aux USA, en Europe et aux Nations-Unies demander des sanctions économiques à l’encontre du gouvernement ciblé, des zones d’exclusion aérienne, voire des frappes aériennes, et soutenir un soulèvement de rebelles armés.

 

Quiconque a fait un peu attention aux événements récents de ce monde peut reconnaître le schéma décrit. Les psychopathes ne sont pas à ce point, imaginatifs. Ils utilisent jusqu’à la corde les mêmes méthodes, encore et encore. Et la plupart du temps, cela bénéficie à ces psychopathes qui gouvernent, pour qui ça ne pose pas de problèmes si, une fois leur marionnette installée au pouvoir, on révèle leur rôle dans la combine.

 

Les médias de masse, serviles et obéissants, sont toujours disponibles pour poursuivre le travail de propagande et annihiler toute contestation qui dévoilerait la main du marionnettiste derrière le décor, ou salir des réputations, quand les arguments manquent.

 

Un exemple édifiant de ce genre de situation est à trouver à Hong Kong, dans les événements récents, est à voir dans un article intitulé « Le New York Times part en vrille à propos de la liberté d’association en Chine ».

 

Et, ça tombe bien, la mémoire du grand public est assez courte, avec les distractions à la sauce d’Hollywood, les médias sociaux sur internet, et carrément la Loi constitutionnelle au sens strict pour faire bonne mesure.

 

La vidéo se poursuit :

 

« Si les douze étapes n’aboutissent pas à renverser le régime, les USA trouvent une excuse pour intervenir militairement et finalement faire tomber le gouvernement ciblé par la force. En fait, cette démarche a montré son efficacité.

[…]

Ainsi ce n’est pas par des mouvements civils spontanés que des pays sont renversés. Bien au contraire, les révoltes sont préparées avec soin, et orchestrées jusqu’au moindre détail. En fait, renverser un pays par civils interposés est de loin meilleur marché qu’envoyer des troupes pour attaquer et détruire ledit pays. C’est pourquoi les USA continuent à appliquer ces douze étapes contre les pays qu’ils considèrent comme des ennemis. »

 

La vidéo blâme les francs-maçons, mais il serait plus pertinent d’accuser l’élite psychopathe. Un de ses traits majeurs est le fait qu’elle n’a aucune conscience spirituelle, et donc se moque absolument des souffrances humaines, et même du nombre de morts occasionné. On pourrait même avancer qu’elle goûte la souffrance…

 

Comme toujours, il ne tient qu’à nous de prendre conscience de ce cauchemar et de nous réveiller, de comprendre qu’il y a, parmi nous, des prédateurs dénués de valeurs éthiques ou d’humanité.

 

C’est devenu plus facile, à mesure que l’empire du Chaos, dans sa lutte désespérée pour maintenir son hégémonie, montre sa vraie nature, à qui veut voir. Et ainsi donc, une réalité que les pays des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), et même d’autres, commencent à pleinement saisir. Il est certain qu’une plus grande coopération parmi ces pays a permis de diffuser la prise de conscience du modus operandi de ces psychopathes. La vidéo chinoise en est une de ses illustrations.



 

 

Par Aeneas Georg - Source : http://www.manartv.com.lb/
Le 9 décembre 2014
 - Article original : Global Research http://www.globalresearch.ca/ - radioairlibre.be


Koter Info's insight:


Douze étapes de l’élite psychopathe pour créer l'empire du chaos ou le modus operandi des psychopathes qui nous dominent.


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