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Club Bilderberg : La réunion secrète des « maîtres du monde » entretient le mystère…

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Club Bilderberg :

La réunion secrète des « maîtres du monde » entretient le mystère…

 

Yves Calvi, « meilleur journaliste politique » pour son « impartialité, indépendance, pertinence… » selon les lecteurs de Télé Poche, ne connait pas Bilderberg, heureusement que 20Minutes, nous en parle.


— NDLGazette : voir au sujet de Calvi/Bilderberg la vidéo suivante « Bilderberg ? Connais pas. » —


« Contrairement aux fantasmes, aucune décision n’y est prise », ça doit juste être un repas entre amis, pour discuter du sexe des anges…

 

Une réunion très secrète. Le groupe Bilderberg réunit chaque année à huis clos une partie du gratin mondial de la politique, du patronat et du savoir. Cette année, la rencontre se déroule de jeudi à dimanche dans le village autrichien de Telfs-Buchen. Le club, entouré de mystères, fascine les conspirationnistes et entretient le mythe d’un complot mondial. 20 Minutes vous dit pourquoi.

 

Des origines sulfureuses

 

La première rencontre date de 1954. Elle est organisée par l’homme d’affaires américain et milliardaire David Rockefeller et le prince Bernhard des Pays-Bas. En pleine guerre froide, le groupe Bilderberg rassemble dans un hôtel du même nom aux Pays-Bas plusieurs dizaines d’invités, dont les Français Guy Mollet et Jean Monnet. Un but : lutter contre le communisme.

 

« À l’époque, le but était de convaincre les dirigeants européens et américains de resserrer leurs liens et de ne pas baisser la garde face à la puissante Union soviétique », expliquait à L’Obs l’ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine en 2013. L’existence du club n’éclate au grand jour qu’en 1976 après une affaire de corruption impliquant le prince Bernhard et le groupe d’armement Lockheed.

 

 

Des invités « très sélects »


Si vous n’avez pas encore reçu d’invitation, pas de panique. Seul le gratin mondial est convié : 140 participants, issus de 22 pays. Depuis 1954, les invités sont triés sur le volet par le comité directeur du club [une trentaine de membres], présidé depuis 2012 par le PDG français du groupe d’assurance Axa, Henri de Castries.

 

Sur la liste cette année, le PDG de Google Éric Schmidt, celui d’Airbus Thomas Enders, de Goldman Sachs Robert Zoellick. Mais aussi des politiques, comme le Premier ministre belge Charles Michel, le ministre néerlandais des Finances et patron de l’Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem, le président autrichien Heinz Fischer et le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg. Côté français, Alain Juppé, Laurence Boone, conseillère économique de François Hollande, le patron de Michelin Jean-Dominique Senard, ou encore l’universitaire spécialiste du monde arabe Gilles Kepel seront de la partie.

 

 

Rien ne doit filtrer

 

Depuis sa création, le club entretient l’opacité. Les réunions se déroulent sans ordre du jour et ne font l’objet d’aucune déclaration publique. Les participants restent tout le week-end et doivent respecter une confidentialité absolue. « Ils ont la règle la plus dure. Non seulement on n’a pas le droit d’attribuer des propos à des personnes, mais on n’a pas le droit de dire ce qui est dit. Ils veulent avoir les personnalités les plus importantes et qu’elles puissent se parler de manière la plus détendue possible » résumait le journaliste Vincent Jauvert à France Info.

 

 

Débats, et prises de décision ?

 

Ses détracteurs reprochent au groupe Bildeberg de défendre une mondialisation ultralibérale. D’autres y voient le « vrai gouvernement du monde ». Thèse parfois alimentée par les membres fondateurs eux-mêmes.

 

« Dire que nous cherchions à mettre en place un gouvernement mondial unique est très exagéré, mais pas totalement absurde. Nous autres à Bilderberg pensions qu’on ne pouvait pas continuer à se faire la guerre éternellement et tuer des millions de gens pour rien. Nous avons pensé qu’une communauté unique à travers le monde pouvait être une bonne chose », confiait ainsi en 2001 Denis Healey au Guardian.

 

« Contrairement aux fantasmes, aucune décision n’y est prise », assure l’économiste et membre du comité directeur Nicolas Baverez à L’Obs. « En fait, on est là pour travailler. Les deux jours et demi sont très intenses. De 8 h à 20 h, il y a une succession de débats ». Depuis peu, le club laisse filtrer le thème des discussions. Cette année, l’objectif affiché est de « promouvoir le dialogue entre Europe et l’Amérique du Nord ». Sécurité, technologies de l’information et grands dossiers géopolitiques seo. Source 20Minutes.

 

 

Par lesmoutonsenrages.fr – le 11 juin 2015

 

 

***

 

 

>>> Voir la liste des participants à la conférence du groupe Bilderberg 2015 ainsi que les thèmes qui devraient y être abordés.

 

 

Liens connexes :

 

— Ce que vous ignorez sur le Groupe de Bilderberg par Thierry Meyssan

 

— Le groupe Bilderberg et son réseau d’influence qui donne mal à la tête

 

— Quand TF1 parlait du groupe Bilderberg... avant 40 ans de silence médiatique !

 

— We are change se fait harceler par le Marriott Hôtel et arrêter par la police pour des images volées

 

— Bilderberg 1955 : Fuite de documents avec un plan pour une monnaie unique Européenne

 

— D’après un haut dirigeant européen : « l’Europe peut et doit être une sorte de laboratoire de ce que pourrait être un gouvernement mondial »

 

 

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Le mystère du copilote Andreas Lubitz

Le mystère du copilote Andreas Lubitz | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Dessin : air-journal.fr


 

 

Le mystère du copilote Andreas Lubitz

 

D’après les premiers éléments de l’enquête, cet Allemand de 28 ans aurait délibérément précipité l’avion contre la montagne. L’hypothèse du suicide est privilégiée mais les mobiles restent inexpliqués.

 

«Inimaginable » pour le patron de la Lufthansa, « inconcevable » selon Angela Merckel… Beaucoup étaient sous le choc, jeudi, après les premières révélations sur le crash de l’Airbus A320 de Germanwings, filiale low cost de la Lufthansa, lequel a fait 150 morts, mardi. D’après les premiers éléments de l’enquête, révélés hier par le procureur de Marseille, Brice Robin, le copilote de l’appareil a « volontairement » précipité l’avion contre la montagne, seul dans le cockpit après avoir refusé d’en ouvrir la porte au commandant de bord, qui en était sorti pour aller aux toilettes. La première boîte noire retrouvée seulement quelques heures après la catastrophe révèle, en effet, minute par minute, les derniers instants à bord.

 

Environ dix minutes avant le crash, elle enregistre une conversation entre le commandant de bord – un homme avec une dizaine d’années d’expérience et 6 000 heures de vol – et son copilote de 28 ans, Andreas Lubitz. Les réponses de ce dernier sont « laconiques », d’après le procureur de Marseille. Alors que l’avion, qui a décollé une demi-heure plus tôt de Barcelone, survole Toulon, le pilote sort du cockpit « visiblement pour satisfaire un besoin naturel ». Il ne pourra plus jamais y rentrer.

 

Une fois seul, Andreas Lubitz s’enferme dans le cockpit, puis tourne les boutons du Flight Monitoring System, qui actionne la descente. L’activation de ce bouton, qui doit être tourné, « ne peut être que volontaire », précise le procureur. L’avion entame alors une longue descente de huit minutes, à raison de 1 000 mètres par minute, pour finir par s’écraser dans les Alpes, près de Barcelonnette.

 

 

Le pilote tente de rentrer dans 
le cockpit, fermé de l’intérieur

 

Pendant tout le temps de cette descente, deux éléments sont audibles sur les bandes de la boîte noire. D’une part, la respiration du copilote, qui reste constante jusqu’au bout. Pas de panique, donc, ni de malaise, Andreas Lubitz serait resté conscient et silencieux jusqu’à la fin.


D’autre part, le pilote, qui tente pendant ce temps de rentrer dans le cockpit. D’abord en frappant à la porte, puis en cognant dessus. Il aurait activé le code lui permettant d’ouvrir la porte blindée, mais le copilote avait visiblement fermé la porte manuellement de l’intérieur.


Durant ces huit minutes, le copilote reste silencieux aux coups frappés sur la porte comme aux nombreux appels du contrôle aérien.

 

Quelques minutes avant l’impact, les sirènes de l’avion se déclenchent pour alerter sur la proximité du sol. « On entend alors des coups comme pour enfoncer la porte », décrit Brice Robin.


Enfin, juste avant l’impact final, les cris des passagers résonnent. Leur mort a été « instantanée », a rappelé jeudi le procureur, l’avion ayant percuté la montagne à une vitesse de 700 km/h. Les corps ont été pulvérisés et l’identification des restes à partir de l’ADN prélevé sur les proches prendra sans doute plusieurs semaines. Les familles des victimes sont arrivées jeudi après-midi à Seyne-les-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence). Y compris celle du jeune copilote, qui devrait être entendue par les gendarmes, vendredi.

 

 

Lubitz avait interrompu sa formation de pilote pendant onze mois

 

Andreas Lubitz est décrit par ses voisins et amis comme un homme « très calme », sans histoire, qui partageait son temps entre la commune allemande de Montabaur, où ses parents vivent dans un petit pavillon, et son appartement à Düsseldorf. Il comptait 630 heures de vol sur l’A320. Engagé en septembre 2013 par Germanwings, il avait commencé sa formation de pilote en 2006. Il y a six ans, il l’avait interrompue pendant onze mois, période durant laquelle il avait officié comme steward. La direction de la Lufthansa est restée évasive sur les raisons de cette interruption, mentionnant simplement que cela n’est pas inhabituel. Mais, selon des amis cités par le Spiegel, cette coupure était due à un burnout ou une dépression.

 

Le ministre allemand de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a assuré, jeudi, qu’il n’y avait « pas d’indice d’un contexte terroriste » chez le jeune homme. La possibilité d’un malaise étant également écartée, reste l’hypothèse du suicide. Dans ce cas, les mobiles d’Andreas Lubitz restaient inexpliqués, jeudi, en fin de journée. Dans l’après-midi, le patron de la Lufthansa avait indiqué qu’il n’avait « pas le moindre indice » sur les motivations du copilote, précisant qu’il « avait réussi tous les tests médicaux ».

 

 

Les précédents suicides.


Si l’hypothèse du suicide est avérée, Andreas Lubitz ne serait pas le premier pilote à avoir entraîné dans la mort ses passagers.

  • En 1997, le pilote d’un Boeing 737, criblé de dettes, aurait écrasé son avion en Indonésie, faisant 104 morts.
  • En 1994, un pilote 
de la Royal Air Maroc (RAM) entraînait dans la mort 43 passagers et collègues en se suicidant.
  • En 1982, le pilote d’un DC8 de la Japan Airlines met son appareil en piqué au moment de l’atterrissage près de Tokyo et s’écrase, faisant 24 morts. L’enquête conclut à une crise de folie suicidaire.
  • Le suicide 
du pilote est aussi l’une des hypothèses avancées après la disparition en mars 2014 du vol MH370 de la Malaysia Airlines.

 

 

Par MARIE BARBIER - humanite.fr – le 27 mars 2015.

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Le château de Corail de Edward Leedskalnin

Le château de Corail de Edward Leedskalnin | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photos :

Une vue du château de corail

En bas : la table Floride

 

 

 

Le château de Corail de Edward Leedskalnin

 


>>> voir la vidéo intitulée « Coral Castle

- le château de corail » ici


 

Le Château de Corail (Coral Castle) est une structure mégalithique créée par Edward Leedskalnin et située en Floride, au nord de la ville de Homestead.

 

Histoire

 

Edward Leedskalnin est né en 1887 à Riga (Lettonie). À l’âge de 26 ans, il allait se marier avec Agnes Scuffs, 16 ans ; mais celle-ci, la veille du mariage, préféra « laisser tomber » Edward1. Quelques années plus tard, il émigra en Amérique du Nord (Canada puis États-Unis) ; atteint alors d’une forme de tuberculose, il déménagea vers les régions chaudes de Floride en 1919. Ne s’étant jamais remis de sa séparation douloureuse d’avec Agnes, il entreprit alors, durant plus de 20 ans, la construction d’un édifice mégalithique de pierre et de corail, dédié à son amour de jeunesse, pour sans doute, l’impressionner de cette attention.

 

 

Le Mystère de la construction

 

Leedskalnin, qui pesait environ 40 kg (100 livres) pour 1,50 m, travailla seul durant les 28 années de construction, et essentiellement de nuit, à l’abri des regards. Le mystère reste donc entier quant à la technique qu’il utilisa pour découper, déplacer, sculpter et positionner des blocs de pierre dont certains pèsent jusqu’à 30 000 kg, dont une porte de 9 tonnes. Le seul outil dont l’utilisation est connue avec certitude est une grue en bois. Pour rajouter à la confusion et au mystère autour de ce château, des enfants auraient affirmé avoir épié Leedskalnin et déclaré que ce dernier déplaçait les blocs de pierre comme de vulgaires ballons ; ce qui entraîna diverses théories sur le fait que Leedskalnin aurait eu recours à l’antigravité, au magnétisme voire à des ondes sonores harmoniques ; Leedskalnin déclara lui, qu’il avait percé le secret de la construction des Pyramides égyptiennes.

 

 

Visites guidées


Lorsque le château fut achevé, Leedskanin organisa des visites guidées de son château. Des touristes lettons le visitèrent et son château gagna en notoriété dans son pays d’origine. Lorsqu’il fut interrogé sur les motivations quant à la construction de son œuvre, il déclara, se tournant vers l’est vers la Lettonie, qu’il voulait juste qu’Agnès entende parler de sa construction, vienne la voir et réalise l’amour qu’il témoignait encore à son égard. Mise au courant de l’existence de ce château, Agnes Scuffs déclara à son tour : « Je ne voulais pas me marier avec lui à 16 ans et je ne veux pas me marier avec lui maintenant ».

 

Leedskalnin mourut quelques années plus tard, en 1951 laissant derrière lui une histoire d’amour inachevée et les mystères de la construction de son Château de Corail.

Le Château, toujours présent, est devenu une attraction touristique du sud de la Floride.

Cette histoire a inspiré la chanson « Sweet sixteen » (1987) au chanteur Billy Idol.

 

 

 

Source : 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Château_de_Corail

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