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La Gazette des campus de LLN et de WSL-UCL ainsi que diverses infos intéressantes visant la vérité ou l'autre vérité (qui que ce soit qui la dise, mais sans forcément prôner l'auteur).  -  Duc
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Vidéo - Voiture : Ford travaille sur un nouveau système d’éclairage intelligent

Vidéo - Voiture : Ford travaille sur un nouveau système d’éclairage intelligent | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photo : le prototype de système d’éclairage de Ford utilise une caméra infrarouge reliée à deux projecteurs indépendants pour détecter les piétons et les animaux de grande taille sur les portions de routes non éclairées. Un faisceau lumineux révèle leur présence qui est également matérialisée sur l’écran central du tableau de bord. © Ford

 

 

 

Voiture : Ford travaille sur un nouveau

système d’éclairage intelligent

 

Le constructeur automobile Ford travaille sur une technique d’éclairage sophistiquée avec, notamment, une caméra infrarouge pour repérer les personnes et les animaux de grande taille. Il peut également reconnaître des routes déjà empruntées afin d’optimiser l’éclairage en conséquence.

 

La conduite de nuit sur des routes dépourvues d’éclairage public n’est au mieux pas très plaisante et au pire vraiment dangereuse. Les voitures d’aujourd’hui sont dotées de systèmes d’éclairage beaucoup plus performants qui ont considérablement amélioré le confort visuel dans les conditions de faible visibilité. Mais il y a moyen de faire encore plus. C’est en tout cas ce à quoi travaille Ford. Le constructeur automobile nord-américain planche sur un système d’éclairage qui s’adapte aux routes non éclairées afin de détecter la présence de piétons et d’animaux et sait aussi anticiper les virages et intersections.

 

Cette technologie baptisée Advanced Front Lighting System est actuellement en phase de prototypage dans le centre de recherche et développement Ford à Aachen (Allemagne). Elle repose sur deux innovations existantes mises au point par le constructeur : un éclairage adaptatif et un système de détection des panneaux de signalisation. En combinant les deux technologies avec le GPS de la voiture, le nouveau système est capable d’interpréter la signalisation et d’anticiper le profil de la route afin d’adapter l’éclairage en conséquence. Et, lorsque les informations GPS sont indisponibles, une caméra vidéo prend le relais pour détecter le marquage au sol afin de prévoir les virages. Par ailleurs, le système est doté d’une mémoire grâce à laquelle il saura se rappeler d’une route sombre déjà empruntée pour déclencher automatiquement l’éclairage le plus performant.

 

 

 

 

Deux à trois secondes d’anticipation supplémentaires

 

En ce qui concerne la détection des piétons et d’animaux de grande taille tels que les chiens, elle repose sur une caméra infrarouge placée dans la calandre de la voiture dont la portée est de 120 mètres. Elle est reliée à deux projecteurs indépendants qui se braquent sur les animaux ou les personnes pour révéler leur présence tandis qu’ils apparaissent également sur l’écran principal du tableau de bord entourés d’un cadre lumineux jaune ou rouge selon le niveau de risque.


D’après Ford, ce système permettrait de gagner deux à trois secondes supplémentaires pour anticiper ce genre d’événement et pouvoir freiner ou tourner. Une seconde caméra se charge de lire les panneaux de signalisation et de détecter les intersections ainsi que les ronds-points. À l’approche de ces derniers, les phares élargissent le rayon lumineux en éventail afin de pointer dans la direction que va prendre le véhicule, mais aussi éclairer le trafic éventuel provenant de la direction opposée. Bien qu’il ne donne pas de date précise, Ford indique qu’il compte introduire cet éclairage intelligent « à court terme ».

 

 

 

Par Marc Zaffagni - Futura-Sciences – le 21 juillet 2015.

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L’Amazonie fertilisée par… la poussière du Sahara

L’Amazonie fertilisée par… la poussière du Sahara | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photo : portion du fleuve Amazone vue depuis l’espace. © NASA.

 

 

L’Amazonie fertilisée par… la poussière du Sahara

Par Pierre Barthélémy (*)

 

 

Représentant à elle seule environ la moitié des forêts tropicales de la planète, l’Amazonie est un écosystème important pour la régulation de toute la Terre. Comme l’explique une équipe américaine dans une étude à paraître dans les Geophysical Research Letters (GRL), « des changements relativement modestes dans la couverture et la productivité forestières pourraient avoir des conséquences importantes, à l’échelle régionale ou globale, sur le cycle du carbone, celui de l’eau, la circulation atmosphérique et le climat ». Or cette productivité est limitée par la disponibilité des nutriments et en particulier par la présence ou non de phosphore dans le sol.

 

On parle peu de lui, pourtant le phosphore est un élément indispensable aux plantes et aux animaux, un « véritable facteur limitant du vivant », pour reprendre l’expression de feu Jean-Claude Fardeau, qui était spécialiste de la question à l’Institut national de recherche agronomique (INRA). En plus de constituer un des éléments de base de la double hélice d’ADN, le phosphore est la clé de voûte du métabolisme énergétique chez tous les êtres vivants, par l’entremise de la molécule d’ATP (adénosine triphosphate). Qu’on soit arbre ou humain, champignon ou escargot, rien n’est possible sans phosphore. Or on estime que 90 % des sols de l’immense bassin amazonien – 960 millions d’hectares – en manquent, lessivés par les pluies et les eaux de ruissellement. D’où l’intérêt de ces chercheurs américains pour la manière dont cet élément est naturellement apporté à la région, le plus surprenant de ces apports étant celui... du désert du Sahara.

 

À des milliers de kilomètres de l’Amazonie, par-delà l’océan Atlantique et par-delà une bonne part du continent africain, on trouve la dépression du Bodélé. Ce vestige du méga lac Tchad, lequel, il y a quelques dizaines de millénaires, couvrait au moins 1 million de kilomètres carrés, est une zone aride et la plus abondante source de poussières du monde. Le sol a gardé la trace de son passé lacustre sous forme de diatomite, une roche faite de carapaces de diatomées, des algues unicellulaires. Extrêmement friable, la diatomite part en poussières et avec celles-ci s’envole, pour un long voyage, le phosphore autrefois contenu dans les algues.

 

L’étude à paraître dans les GRL a quantifié la quantité de poussières africaines transportées chaque année par les vents en direction du continent américain et la part qui se dépose dans le bassin amazonien. Pour ce faire, les chercheurs ont analysé sept ans de données de Calipso, un satellite scientifique franco-américain (CNES-NASA) lancé en 2006 pour étudier l’impact des nuages et des aérosols, ce afin d’améliorer les modélisations du climat. Calipso utilise un lidar (sorte de radar où les ondes radio sont remplacées par un laser) qui « scanne » les différentes strates de l’atmosphère.

 

Les quantités de poussières arrachées au sol varient d’une année sur l’autre, beaucoup si le Sahel est resté sec, peu s’il a plu sur la région. Quoi qu’il en soit, en moyenne, ce sont 182 millions de tonnes d’aérosols qui, chaque année, quittent le Sahara pour traverser l’Atlantique. Cela en fait le plus grand transport de poussières à l’œuvre sur cette planète. Sur ce total 27,7 millions de tonnes retombent sur l’Amazonie, soit presque 29 kilogrammes par hectare et par an, une estimation cohérente avec les mesures de particules effectuées au sol en Guyane. Évidemment, la quantité de phosphore contenue dans les poussières est nettement plus faible. Les chercheurs ont estimé que 22 000 tonnes annuelles de phosphore saharien se déposaient dans le bassin amazonien, ce qui donne un petit 23 grammes par hectare et par an.

 

Cela ne représente que 13 % de l’apport de phosphore via l’atmosphère, mais, selon l’étude, ce sont 23 grammes capitaux, car cette quantité est comparable à ce qui est perdu annuellement par un hectare (entre 8 et 40 grammes). L’apport saharien compense donc la perte naturelle. L’étude conclut que, sans les poussières venues d’Afrique, le lessivage des sols viderait le réservoir amazonien de phosphore en l’espace de quelques siècles voire en quelques décennies. Le premier auteur de ce travail, Hongbin Yu, chercheur à l’université du Maryland et à la NASA, souligne à quel point la poussière « est une composante essentielle du système Terre. La poussière a un effet sur le climat et, à l’inverse, le changement climatique aura un effet sur la poussière. » Ajoutons qu’il y a une certaine beauté à voir une des zones les plus inhospitalières et les plus vides de plantes de la planète fertiliser la région qui symbolise la plus luxuriante des végétations.

 

 

 

Par Pierre Barthélémy (*) - passeurdesciences.blog.lemonde.fr – le 1er mars 2015


(*) Pierre Barthélémy, journaliste au Monde où il a dirigé le service Sciences et Environnement, devenu ensuite rédacteur en chef du mensuel Science & Vie et finalement journaliste indépendant pour passeurdesciences.blog.lemonde.fr…

 

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Vietnam - Des milliers de chats de contrebande enterrés, certains vivants !

Vietnam - Des milliers de chats de contrebande enterrés, certains vivants ! | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

 

 

Vietnam - Des milliers de chats de contrebande

enterrés, certains vivants !

 

La viande de chat, connu localement sous le nom de « petit tigre », est populaire au Vietnam bien que sa consommation soit officiellement interdite.

 

Des milliers de chats, qui avaient été illégalement introduits au Vietnam pour être consommés, ont été enterrés, certains vivants, a expliqué mercredi la police vietnamienne, malgré les protestations des défenseurs des animaux, dénonçant un « abattage inhumain ». « Les chats provenaient de Chine, n’avaient pas de papiers d’origine et n’avaient pas subi de quarantaine », a expliqué à l’AFP un policier du district de Dong Da, sous couvert de l’anonymat.

 

« Plusieurs d’entre eux étaient morts, il y avait une odeur terrible et un risque de propagation de maladies », a-t-il ajouté avant de préciser : « par conséquent, nous les avons tués en les enterrant ».

 

Les images des chats entassés dans des centaines de caisses de contrebande ont été largement partagées sur les réseaux sociaux. Une pétition en ligne, exhortant les autorités vietnamiennes à « changer leurs politiques de manipulation des animaux » avait recueilli mercredi plus de 23.000 signatures.

 

L’Asian Canine Protection Alliance, regroupement d’associations de défense des animaux, a dénoncé un « abattage inhumain d’animaux victimes de la traite ».

 

Même si certains chats étaient vivants, cet abattage est conforme la procédure vietnamienne concernant les marchandises de contrebande. D’autres animaux illégalement importés dans le pays, comme les poulets, sont systématiquement éliminés de cette façon.

Mardi dernier, un camion contenant ces milliers de chats, d’un poids total de trois tonnes, avait été découvert à Hanoï.

 

La viande de chat, connu localement sous le nom de « petit tigre », est populaire au Vietnam bien que sa consommation soit officiellement interdite.

 

 

  


Par dhnet.be – Belga – le 4 février 2015

Koter Info's insight:


Vous aimez les chats ?

A quelle sauce ?


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VIDÉO. Ces animaux sont les rois de l’évasion : mais comment font-ils ?

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VIDÉO. Ces animaux sont les rois de l’évasion :

mais comment font-ils ?

 

 

Ils relèvent les défis avec une facilité déconcertante. Aucune barrière, aussi haute soit-elle ne les empêche de passer. Aucune poignée ne les empêche de jouer la fille de l’air. Ces animaux escaladent et ouvrent les portes comme personne.

 

La preuve ? Ce sont nos confrères du Huffington Post US qui vous l’apportent avec cette vidéo réalisée par leurs soins, et visible ci dessous.

 

 

 

 

Par Alexis Annaix - Le HuffPost – le 18 janvier 2015


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Animaux avec leur jumeau

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25 animaux qui posent avec leur jumeau

pour être deux fois plus beaux !

 

Les jumeaux, il n’y a rien de plus beau ! Encore plus lorsqu’il s’agit d’animaux… Voici 25 petites bêtes très mignonnes qui posent avec leur frère ou leur sœur jumelle ! Vous allez fondre de tendresse…

 

>>> Pour les voir, veuillez cliquer ici

 

Par Laura Gonçalvez - dailygeekshow.com

le 30 décembre 2014

Koter Info's insight:


Superbes photos très originales !


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Les meilleurs amis du monde…

Les meilleurs amis du monde… | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


 

Ces animaux sont les meilleurs amis du monde,

peu importe leur espèce

 

« Copains comme cochons » ces animaux ?


Mieux que ça « copains comme cochons et perruche » ou « comme chien et lapin » ou encore « comme éléphant et mouton ». Car visiblement l’amitié chez les animaux est une chose universelle.


Voilà qui réchauffe le cœur.

 

Car si la solidarité au sein d’une espèce existe, comme lorsqu’une tortue vole au secours d’une autre, dangereusement retournée sur le dos, on sait désormais que la tendresse est « inter-espèce ».

 


>>> Des preuves d'amour à découvrir dans

la vidéo du HuffPost US, ici.

 

 

Par Alexis Annaix - Le HuffPost - le 27 décembre 2014

Koter Info's insight:


Si tous les humains pouvaient faire pareil  !


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Les animaux auront-ils bientôt des droits fondamentaux ?

Les animaux auront-ils bientôt des droits fondamentaux ? | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Les animaux auront-ils bientôt

des droits fondamentaux ?

 

Une opinion de Vincent Chapaux, chargé de cours à l’ULB et créateur du site InternationAnimals.

 

Selon la Cour suprême de New York, deux chimpanzés (placés en laboratoire) bénéficieraient d’un droit fondamental à la liberté. Les rapports entre êtres humains et animaux évoluent et mettent mal à l’aise.

 

Lundi dernier, la Cour suprême de l’État de New York a déclaré recevable la demande d’un groupe de défense des animaux qui exige la libération de deux chimpanzés pour la simple raison que ceux-ci auraient un droit fondamental à la liberté. Cette décision fait depuis lors grand bruit, à la fois à tort et à raison. À tort, parce qu’il ne s’agit que d’une décision relativement formelle qui emporte peu de conséquences sur le fond. La juge qui a rendu la décision a d’ailleurs insisté dès le lendemain sur le caractère technique de la sentence (qui vise surtout à permettre que les parties puissent exposer leur point de vue). Mais si la décision a suscité tant de réactions, c’est aussi en partie à raison.

 

Il existe depuis plusieurs années une lame de fond politique, juridique — et plus récemment judiciaire — qui vise à limiter la discrétion auparavant très large dont disposaient les êtres humains dans leurs rapports avec les animaux.

 

On a fait beaucoup de cas de la récente reconnaissance par l’Assemblée nationale française de l’animal comme « être sensible ». Mais la France, comme tous les États européens d’ailleurs, avait reconnu cette particularité depuis 2007 lors de la modification des traités fondateurs de l’Union européenne.

 

L’organisation mondiale du commerce (OMC) de son côté, longtemps réfractaire à toute limitation des échanges commerciaux pour raison de protection du bien-être animal, a fait volte-face en 2013 et a considéré comme légitime que l’Union européenne refuse l’importation de produits dérivés du phoque au nom de la cruauté inutile que la chasse au phoque implique nécessairement.

 

Sur le plan judiciaire, les choses évoluent également très rapidement. Les associations de défense des animaux cherchent aujourd’hui non plus simplement à contester les mauvais traitements que subissent les animaux, mais le droit même des êtres humains à les maintenir captifs.

 

C’est cet argument que la juge étasunienne a accepté d’entendre la semaine passée et c’est en effet une première. Les détenteurs d’un animal (il s’agit ici d’un animal de laboratoire) vont devoir justifier la raison pour laquelle ils considèrent que cet animal peut légitimement être maintenu en captivité. De là à reconnaître que cet animal dispose d’un droit fondamental à la liberté, il y a un pas qui n’est pas encore franchi, mais qui pourrait bien l’être un jour.

 

D’autres tribunaux dans le monde sont d’ailleurs confrontés aux mêmes questions avec des résultats parfois surprenants. En Argentine, par exemple, la plus haute juridiction pénale vient de reconnaître que les animaux sont des « sujets de droits non humains » et a invité les tribunaux inférieurs à en tenir compte. La portée exacte de cette décision dépendra de ce que ces tribunaux en feront.

 

Tous ces éléments montrent que la décision américaine de la semaine passée n’est pas un fait isolé, mais doit être comprise comme la partie visible d’une vague toujours plus profonde. De Bruxelles à New York en passant par Buenos Aires, les êtres humains semblent être de plus en plus mal à l’aise avec la manière dont ils organisent leurs rapports avec les animaux. La binarité habituelle entre humain et animal, la rupture hermétique que les sociétés — en particulier occidentales et chrétiennes — ont patiemment construite entre la nature et la culture semble peu à peu s’effriter.

 

Rejeter l’animal dans le royaume des simples objets dépourvus de volonté, de sensibilité et d’autonomie est une fiction à laquelle de plus en plus de nos contemporains ont du mal à croire. Dans le même temps, un modèle dans lequel les êtres humains s’interdiraient tout rapport de domination envers les animaux semble hors de portée immédiate.

 

Les sociétés contemporaines semblent donc pour le moment paralysées par l’enjeu — qui est en effet majeur. Dans un système binaire où ce qui n’est pas Homme est animal, toute modification de la définition d’un terme de l’alternative a des conséquences directes sur la définition de l’autre. Définir ce qui est animal c’est établir automatiquement ce qui est humain. Et c’est peut-être là le problème majeur. Peut-être est-il temps en effet de sortir de la binarité et de proposer des modèles normatifs dans lesquels humains et animaux partagent un continuum de protection et cessent de défendre des zones de droit comme si elles étaient mutuellement exclusives. Étendre l’application des droits fondamentaux à un nouveau groupe d’individus n’a jamais contribué à affaiblir les droits de ceux qui étaient auparavant exclusivement protégés. En général, c’est même l’inverse qui se produit. Mieux protéger l’animal c’est donc peut-être, au final, une manière de mieux protéger l’humain.

 

 

 

Par Vincent Chapaux, chargé de cours à l’ULB et créateur du site InternationAnimals - lalibre.be – le 29 avril 2015.

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L’amour est partout, absolument partout et les animaux nous le prouvent

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L’amour est partout, absolument partout

et les animaux nous le prouvent

 


Il n’y a pas que les humains qui sont doués de sentiments amoureux et de tendresse, le royaume des animaux est aussi touché par cette sensibilité.

 

La science les a récemment reconnus comme étant des êtres doués d’affectivité, et ce n’est pas cette photo ci-dessus qui va nous faire dire le contraire.

 

Pour voir une sélection d’autres photos toutes plus belles les unes que les autres, veuillez cliquer ici

  


Par Anna Valdez - minutebuzz.com – le 18 février 2015

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Il soigne ses bêtes avec des plantes, et elles s’en portent mieux !

Il soigne ses bêtes avec des plantes, et elles s’en portent mieux ! | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Il soigne ses bêtes avec des plantes,

et elles s’en portent mieux !

 

Chaque année, de plus en plus d’éleveurs optent pour des soins doux aux animaux. La médecine vétérinaire à base de plantes permet en effet de prévenir les maladies et renforce la santé des troupeaux. Mais la législation n’est pas favorable aux techniques alternatives.

 

Châteaubriant (Loire-Atlantique), reportage


Gildas Laurant sort de sa réserve des flacons et un bidon d’un liquide orangé, qu’il pose sur la table installée dans la cour de sa ferme. Ces récipients renferment des préparations à base de plantes, que le jeune agriculteur utilise pour soigner ses charolaises. Il a repris la ferme de son père il y a trois ans, une exploitation traditionnelle blottie dans le bocage, près de Châteaubriant.

 


Les flacons : une partie de la méthode

 

De l’huile essentielle de lavande en guise de vermifuge, de l’eucalyptus pour les problèmes respiratoires, du ravinsara pour booster un veau un peu faible. L’éleveur castelbriantais achète ses préparations au Comptoir des plantes médicinales, une boutique en ligne de compléments alimentaires à base de plantes, pour les animaux. L’entreprise conseille également les éleveurs dans l’utilisation de leurs produits.

 

Car la phytothérapie et l’aromathérapie – respectivement le traitement par les plantes et par les huiles essentielles – c’est toute une science. Gildas Laurant ne s’est pas lancé seul dans l’aventure. Il est allé de stage en stage pour apprendre la médecine vétérinaire alternative. En Loire-Atlantique, le Gab (Groupement d’agriculteurs biologiques) et le Civam (Centre d’initiatives pour valoriser l’agriculture et le milieu rural) en organisent régulièrement.

 

Les flacons et les bidons de mélanges végétaux et d’huiles essentielles ne sont qu’une partie de la méthode. « 95 % du temps, j’apprends aux éleveurs à ne pas utiliser ces produits ni les médicaments ! », s’exclame Gilles Grosmond, vétérinaire et conseiller technique pour le Comptoir des plantes, qui anime régulièrement des formations destinées aux éleveurs. Tout se joue sur le renforcement du système immunitaire des animaux, afin qu’ils se protègent eux-mêmes des maladies.

 

Ainsi, les vaches de Gildas peuvent aller et venir à leur guise entre les stabulations et le pré. « Le but est d’éviter le confinement, explique-t-il, contre la prolifération de parasites ou de maladies. » La porte des champs est ouverte y compris l’hiver et il n’est pas rare que des veaux naissent dans l’herbe humide et dans le froid. « Ceux-là résistent mieux, en général ! »

 

 

Une méthode qui dérange

 

Mais la méthode ne plaît pas à tout le monde. « On dérange », souffle Jérôme Dubois, vétérinaire à Rougé (Loire-Atlantique). Dans son cabinet, il soigne les animaux avec des mélanges de sa propre fabrication, à base d’extrait de plantes fraîches.

 

Il faut dire que la législation qui entoure l’aromathérapie et la phytothérapie est assez complexe. Pour pouvoir les utiliser, les éleveurs faisaient passer les huiles essentielles pour des additifs alimentaires sensoriels de type aromatique, destinés à donner du goût aux rations des animaux. Dans les faits, bien sûr, leur utilisation était thérapeutique.

 

Mais en mars 2013, un règlement de l’Union Européenne retire du marché de l’alimentation animale plus de 250 huiles essentielles (dont l’huile essentielle de chardon, de curcuma, d’aubépine, de pâquerette, etc.).

 

Quelques mois plus tard, en août 2013, l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) publie une note sur le statut juridique des médicaments. Elle y rappelle que les produits utilisés pour un usage thérapeutique sont considérés comme des médicaments vétérinaires. Or, pour être vendus, ils doivent être validés par une autorisation de mise sur le marché (AMM).

Voir la note de l’Anses : ici

 

« Rien n’était nouveau, dans cette note, explique Sylvie Dartois, de l’Institut technique d’agriculture biologique (Itab). Mais le ton était menaçant et on a senti la crispation des éleveurs. »

 

L’autorisation de mise sur le marché coûte cher. « Très peu de produits à base de plantes en ont une », dit Sylvie Dartois. Le vétérinaire peut tout de même prescrire des préparations à base de plante sans AMM, à condition d’attendre un certain nombre de jours avant de commercialiser le produit animal. Ce délai s’élève à sept jours pour la vente du lait et 28 jours pour la vente de la viande. En agriculture bio, les temps sont doublés : 14 jours pour le lait, 56 pour la viande.

 

 

De plus en plus d’adeptes

 

Pour Sylvie Dartois, le problème de cette lourde règlementation, c’est qu’elle limite considérablement la recherche. « Il n’y a pas de transmission de savoirs. Comme c’est plus ou moins légal, ceux qui la pratiquent n’en parlent pas. »

 

Pourtant, la médecine par les plantes gagne des adeptes, y compris chez les éleveurs dits conventionnels. « Les antibiotiques sont chers », explique Jérôme Dubois, le vétérinaire de Rougé.


Le succès de ces méthodes se transmet de bouche à oreille. « Les clients sont curieux, ils veulent essayer, parce qu’ils ont vu que les animaux soignés par les plantes n’étaient plus les mêmes ! »

 

 

Par FLORA CHAUVEAU REPORTERRE – le 14 janvier 2015

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On inverse les rôles !

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Quand les animaux martyrisent les hommes : ces illustrations originales inversent les rôles

 

Les images que vous pouvez voir en cliquant ici se concentrent sur les rapports entre les hommes et les animaux. Ces derniers prennent ici la place des hommes pour clairement dénoncer certains comportements de la race humaine

 

On retrouvera par exemple un homme se faire couper le nez par un rhinocéros ou un cochon qui se découpe une petite tranche de cuisse humaine.

 

Bref, des images, certes choquantes, mais qui ont le mérite de remettre les choses en perspective.

 

 

Par bridoz.com – décembre 2014


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Familles animales touchantes

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Photo : des oisillons sous les ailes de leur mère

 


31 photographies de familles animales

qui prouvent que nos amies les bêtes

sont des êtres au grand cœur

 

 

En général, lorsqu’on parle de portraits de famille, on fait surtout référence aux humains.

Mais figurez-vous que nos amies les bêtes sont également très friandes des photos souvenirs avec leurs petits ! La preuve avec ces 31 clichés qui prouvent que les animaux aussi ont le sens de la famille ; clichés qui peuvent être vus ici !

 

Ces animaux avec leur progéniture sont tous plus adorables les uns que les autres ! On fond littéralement devant ces photos de famille qui ne dégagent qu’amour et tendresse.

 

 

Par Romain Pernet - dailygeekshow.com – le 25 décembre 2014

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