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La Gazette des campus de LLN et de WSL-UCL ainsi que diverses infos intéressantes visant la vérité ou l'autre vérité (qui que ce soit qui la dise, mais sans forcément prôner l'auteur).  -  Duc
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Mort d'un amour

Mort d'un amour | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Heurtée par une voiture, une hirondelle se meurt tandis que son compagnon fait tout son possible pour l'aider. Il lui apporte aussi de quoi se nourrir, mais en vain, et il lui tient compagnie jusqu'à sa mort qu'il pleure à sa façon de volatile, mais la tristesse est bien là !


Désolé pour la source dont je n'ai pas connaissance, sauf que je sais que ces images ont été publiées par un journal français dont tous les exemplaires ont été vendus, comme quoi il reste encore beaucoup de gens sensibles sur la Terre, c'est rassurant !


Duc

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Cliché d'une réalité

Cliché d'une réalité | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Un cliché ?  Peut-être, mais aussi une réalité !


C'est à vous de faire la part des choses, mais le nombre d'arnaques à l'amour est énorme, il faut le savoir pour en tenir compte et afficher la plus grande prudence dans ce domaine.


Duc

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Laborit et ses rats

Laborit et ses rats | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photo : Henri Laborit

 

 

Laborit et ses rats

 

Si un organisme subit une agression, il a seulement que 3 options qui s’offrent à lui : Soit se révolter, soit ne rien faire (et donc subir l’agression), soit fuir. Pour Henri Laborit (1914-1995), le seul choix raisonnable c’est la fuite !

 

C’est dans son célèbre essai l’Éloge de la fuite que Laborit nous expose ce que l’on pourrait appeler sa théorie unifiée de l’Homme dans son ensemble.  Loin de moi l’idée de résumer la pensée de Laborit, je vais plutôt parler ici d’une petite expérience qui introduit son livre et qui implique des rats et des chocs électriques !

 

Henri Laborit est un médecin chirurgien, mais aussi neurologiste et philosophe, à qui nous devons entre autres la mise au point du premier neuroleptique au monde en 1951. Cependant, nous allons ici nous intéresser à l’une des expériences qu’il a menées durant sa carrière dont le but était d’étudier la réponse au stress chez le rat. 

 

 

Sans plus tarder, voici les grandes lignes de son expérience :

 

Prenons un rat et mettons-le dans une chambre à deux compartiments. Faisons subir au rat un choc électrique plantaire (ça doit faire mal !), précédé de quelques secondes par un signal lumineux et sonore, tout en laissant la possibilité au rat de fuir dans le compartiment d’à côté. Que se passe-t-il ? On remarque sans surprise que le rat ne se fait pas prier pour se réfugier dans le compartiment d’à côté (qui n’est pas électrifié). Ouep... ça, c’est de la Science 2.0 !

 

« Conclusion de l’expérience : les rats n’aiment pas l’électricité ...  that's science ! »

 

Mais que se passe-t-il si nous fermons la porte entre les deux compartiments ? Le rat subit le choc électrique bien évidemment, mais ne peut fuir dans le deuxième compartiment. Il va alors se figer, ce que Laborit appelle un comportement d’inhibition motrice. Rendons maintenant l’expérience régulière à hauteur de 7 minutes par jour pendant une semaine. Nous constaterons que l’animal fait de l’hypertension artérielle, et même pire, est ulcéreux ! Cela ne s’arrête pas là, si nous prenons sa tension jusqu’à un mois après la fin de l’expérience, on constatera que l’animal est toujours en hypertension ! Laborit parle d’une somatisation du corps, causée par le stress.

 

Vous pourriez dire que la cause de la somatisation n’est pas le stress, mais le choc électrique lui-même. Et pourtant ce n’est pas le cas. En effet, Laborit va plus loin : si après chaque séance l’animal est soumis à un choc électrique convulsivant, qui empêche l’établissement de la mémoire à long terme, alors il n’y aura pas d’hypertension artérielle. L’inhibition de la mémoire empêche la somatisation. La mémoire est nécessaire à la somatisation, car c’est elle qui mémorise l’inefficacité de l’action face au stimulus.

 

Pour le dire autrement, c’est la mémoire qui dit au rat qu’il ne peut rien pour éviter le choc, et c’est cela qui crée la somatisation.

 

 

Attendez ! C’est là que ça devient intéressant

(enfin, pas si on est un rat) !

 

Si maintenant on met 2 rats dans la boite, et qu’on recommence l’expérience des chocs électriques, que se passe-t-il ? Dans ce cas-là, les rats se mettent à se battre lorsqu’ils reçoivent les chocs. Et le résultat est saisissant : aucune hypertension artérielle n’est mesurée, même pendant une semaine d’expérience ou après ! Laborit nous dit ici que les rats ont chacun extériorisé leur agressivité par une action sur l’autre. Et cela a empêché la somatisation. Notez en plus que le combat ne permet pas d’éviter les chocs électriques.

 


Résumons donc l’expérience :

 

Soumis à un choc électrique, le rat a seulement 3 choix :

 

- Soit, il fuit.

 

- Soit, il extériorise son agressivité (par l’action sur autrui), même si cela ne permet pas d’éviter le choc.

 

- Soit, il somatise s’il n’a pas d’autres choix.

 

Pour Laborit la messe est dite. Face à une agression, les individus pensent d’abord à fuir ; et s’ils ne le peuvent pas, ils déversent leur agressivité sur autrui.

 

Voyez-vous à quel point cette découverte peut servir de grille de lecture à la psyché humaine ? En tout cas pour Laborit, cela ne fait aucun doute. L’être humain, cet animal énigmatique, peut être décodé si tant est que l’on veuille bien le soumettre à la « froideur » de l’analyse comportementaliste. Et tout y passe, l’Amour, l’Enfance, la Liberté, la Mort, le Bonheur, mais aussi la Politique, la Société et la Foi ! C’est avec une grande clarté que Laborit nous expose dans l’Éloge de la fuite ce que l’on pourrait appeler une théorie unifiée de l’Homme.

 

Au premier abord, ce livre peut nous sembler profondément antihumaniste, surtout lorsque Laborit s’évertue à détruire notre conception idéaliste de l’Amour en le décrivant comme étant le sentiment le plus narcissique qui soit. Je vous passe aussi sa description de l’amour parental... (lecture à déconseiller aux parents !).

 

Cependant, il y apparait peu à peu un espoir en l’Homme. En effet, pour Laborit le seul choix raisonnable face à une agression c’est la fuite.


Contrairement aux animaux, Laborit voit en l’Homme une formidable capacité de fuite qu’il définit comme étant tout simplement l’imaginaire. L’Homme stressé peut fuir comme un animal (en prenant ses jambes à son cou), mais peut aussi fuir dans un autre monde... un monde imaginaire. 

Après tout, pourquoi aimons-nous autant lire des livres, regarder des films ou écouter de la musique ?

 

Par danslestesticulesdedarwin.blogspot.com.es – le 16 mars 2015

 

Les auteurs de ce blog : ici

Sources : 

- L’Éloge de la fuite. Henri Laborit. Edition Robert Laffont, SA., Paris, 1976.

Ici un site internet dédié à Laborit et son œuvre. 

- Une interview en 2 parties de Laborit résumant brièvement ses idées (14 min en tout) :

- 1ère partie

- 2ème partie 

- Un extrait du film Mon Oncle d’Amérique (1980) ICI avec des images de l’expérience (et des images un peu WTF).

 

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Bonne fête de Saint-Valentin

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Depuis les années 1980, la traditionnelle fête importée des pays anglo-saxons, la fête de la Saint-Valentin est la fête des amoureux !


Même si, comme bien d'autres fêtes, il s'agit d'une bonne opération commerciale, cela reste sympathique de consacrer "une" journée à fêter un élément particulier, ainsi nous prenons au moins le temps de le faire.


Duc


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Abbé Pierre, cher Abbé Pierre !

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Abbé Pierre :

 

"Vivre, c'est apprendre à aimer"

 

"On n'est jamais heureux que dans le bonheur qu'on donne.  Donner, c'est recevoir."

 

"Ils nous montrent comment on peut rendre la vie ignoble, profitons de la leçon et faisons là splendide."


Via Scoop.it Infos
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Couple fatigué ? Donc divorce ?

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Histoire peut-être vécue ou jolie fiction, mais belle manière d'aborder la fatigue d'un couple. Retenez que tout divorce a commencé par une formidable histoire d'amour qui n'a pas pu s'adapter à l'évolution de la vie.


Le sentimental que je suis n'a pu s'empêcher de la publier en espérant recadrer certaines personnes omettant de porter un bon regard envers leur couple un peu usé par le temps et la routine de vie.


Si comme moi, vous pouvez dire que vous aimez toujours votre conjoint après 43 ans de mariage, alors vous savez que c'est le bien le plus précieux que vous ayez acquis au travers d'une vie.


Alors, prêt pour cette expérience si riche ?


Duc


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Je revenais à la maison, ma femme servait le souper. Je lui ai pris la main et lui ai dit : j’ai quelque chose à t’annoncer. Elle s’assis et mangea tranquillement sans dire un mot. Encore une fois je vis la peine dans ses yeux.


Soudainement je ne savais plus ouvrir la bouche. Mais je devais lui faire part de ce que je pensais. Je veux divorcer. J’ai soulevé le sujet calmement. Elle n’a pas semblé contrarié par mes paroles, elle m’a simplement demandé : <<pourquoi ?>>


J’ai fui sa question. Elle s’est alors fâchée. Elle lança les baguettes et cria vers moi, tu n’es pas un homme !


Ce soir-là nous ne nous sommes pas adressé la parole. Elle pleurait. Je savais qu’elle voulait savoir ce qui était advenu de notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une explication satisfaisante, elle avait perdu mon coeur pour Julie. Je ne l’aimais plus. J’avais seulement de la pitié pour elle.


Avec une énorme culpabilité, je lui fis part de mes arrangements pour le divorce, que je lui léguais la maison, l’auto et je mettais en jeu 30% de mon entreprise. Elle y jeta un coup d’oeil et le détruisit en morceaux.


Cette femme qui avait passé 10 ans de sa vie avec moi, était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle de ce temps gaspillé, de ressource et d’énergie, mais je ne pouvais reprendre ce que je venais de lui dire, car j’aimais beaucoup Julie.


Soudainement elle s’est mise à pleurer très fort devant moi, ce à quoi je m’attendais. Dans le fond, ses pleurs étaient pour moi une délivrance. Cette idée de divorce qui m’obsédait depuis plusieurs semaines, me semblait maintenant plus ferme et claire.


Le jour suivant, je suis revenu à la maison très tard, et l’ai trouvée assise à la table en train d’écrire. Je n’ai pas soupé et je suis directement allé me coucher et m’endormir aussitôt car j’étais fatigué de ma journée mouvementée avec Julie.


Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours assise à la table à écrire. Je ne m’en suis pas occupé, je me suis retourné de côté et rendormi à nouveau.


Au matin elle me présenta ses conditions de divorce : elle ne voulait rien de moi, mais avait besoin d’un mois d’avis avant le divorce.


Sa requête était que, durant ce mois, nous devions tous deux se battre pour vivre une vie aussi normale que possible. Sa raison était simple : notre fils devait passer un examen à la fin de ce mois-là et ne voulait en aucun cas, le déranger avec un mariage brisé.


C’était parfait pour moi. Mais elle ajoutait autre chose, elle me demanda de lui rappeler comment je l’avais transportée dans notre chambre nuptiale le jour de notre mariage.


Sa deuxième requête était que durant ce mois, je devais la transporter de notre chambre au seuil de la porte tous les matins. Je croyais qu’elle devenait folle. Pour faire de ses derniers jours supportables, j’acceptais son étrange requête.


J’avisais Julie des étranges conditions de divorce. Elle s’est mise à rire et croyait elle aussi, que c’était absurde. Julie me dit avec mépris, que peu importe les ruses qu’elle prendrait, elle devait faire face au divorce.


Ma femme et moi n’avions plus aucun contact physique depuis que j’avais pris la décision de divorcer.


Alors quand j’ai dû la sortir de la chambre le premier jour, nous étions tous les deux maladroits. Notre fils applaudissait derrière nous, papa porte maman dans ses bras. Ces mots m’apportaient de la peine. De la chambre au salon, ensuite à la porte, j’ai marché environ 10 mètres avec elle dans mes bras.


Elle ferma les yeux et me demanda doucement de ne pas parler du divorce à notre fils. J’ai fait oui de la tête, j’ai ressenti un étrange sentiment plutôt bouleversant. Je l’ai déposée par terre à l’extérieur de la porte. Elle est partie attendre l’autobus pour le travail. J’ai conduit seul jusqu’au bureau.


Le deuxième jour, tous les deux agissions plus facilement. Elle s’appuya sur mon estomac. Je pouvais sentir la fragrance de sa chemise. Je réalisais que je n’avais pas regardé cette femme attentivement depuis un bon bout de temps. Je réalisais qu’elle n’était plus jeune. Il y avait des rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient ! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pour une minute je me suis demandé ce que je lui avais fait.


Le quatrième jour, j’ai ressenti un retour d’intimité. C’est cette femme qui m’avait donné 10 ans de sa vie.


Le cinquième et sixième jours, je réalisais que l’intimité ressentie grandissait à nouveau. Je n’ai pas parlé de ceci à Julie. Il était plus facile de la transporter au fur et à mesure que le mois avançait. Peut-être que ce travail chaque jour me rendait plus fort.


Un matin qu’elle tentait de choisir quoi porter, elle essaya quelques robes mais ne parvenait pas à trouver la convenable. Elle murmura que toutes ses robes étaient devenues trop grandes.

Soudainement je prenais conscience qu’elle avait maigri, et c’est la raison pour laquelle je pouvais la transporter plus facilement.


Ça me frappa… elle avait enterré tant de peine et d’amertume dans son coeur. Inconsciemment j’ai atteint et touché sa tête.


Notre fils est arrivé à ce moment et a dit : « papa il est temps de porter maman dehors ». Pour lui, voir son père transporter sa mère dehors était devenu une partie essentielle à sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra très fort.


J’ai tourné la tête parce que j’avais peur en cette minute de changer d’idée. Je l’ai ensuite prise dans mes bras, marchant de la chambre au salon et dans l’entrée. Elle mit ses bras autour de mon cou tout doucement et naturellement. J’ai tenu son corps serré, c’était comme le jour de notre mariage. Mais sa maigreur me rendait triste.


Le dernier jour, lorsque je l’ai prise dans mes bras, je pouvais à peine bouger d’un pas. Notre fils était parti pour l’école.


Je la tenais fermement et lui dit: « je n’avais pas remarqué que notre vie avait manqué d’intimité ».


Je conduisis jusqu’au bureau… Rapidement je sautai hors du véhicule, sans barrer les portes. J’avais peur qu’un seul délai puisse me faire changer d’idée… Je montais les marches. Julie ouvrit la porte et je lui dis : « désolé Julie, je ne souhaite plus divorcer maintenant ».


Elle me regarda sidérée et me toucha le front. Fais-tu de la fièvre? Je retirai sa main de mon front. Désolé Julie, mais je ne divorce pas. Ma vie de mariage était probablement devenue ennuyeuse parce que, ni elle ni moi n’avions évalué les détails de nos vies, mais non parce que notre amour était mort. Maintenant je réalise que depuis le jour ou je l’ai transportée dans notre demeure le jour de notre mariage, c’est mon devoir de la soutenir jusqu’à ce que la mort nous sépare.


Julie semblait soudainement comprendre. Elle me gifla violemment et claqua la porte puis éclata en sanglots. Je redescendis l’escalier et je suis parti.


En route, j’arrêtai chez un fleuriste, j’ai commandé un bouquet de fleurs pour mon épouse. La vendeuse me demandait ce qu’elle devait écrire sur la carte. Je souris et écrivis « je te porterai dehors tous les matins jusqu’à ce que la mort nous sépare ».


Cet après-midi-là j’arrivais à la maison, fleurs à la main, sourire aux lèvres, je montais les marches à la course, pour retrouver ma femme seule dans notre lit. Morte.

Ma femme se battait contre un cancer depuis des mois, mais j’étais tellement préoccupé avec Julie que je ne m’en suis jamais aperçu.


Elle savait qu’elle allait mourir sou peu et elle voulait me préserver, peu importent les réactions négatives de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. – Au moins, aux yeux de mon fils – je suis un mari aimant…


Les plus petits détails de votre vie sont ce qui compte vraiment dans une relation; ce n’est pas la maison, l’auto, la propriété, l’argent en banque. Ceci crée un environnement favorable pour la joie mais ne peut donner la joie à soi-même.


Source : Ayoye

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Emma partage une complicité sans limites avec un renard qu’elle a recueilli et élevé avec amour

Emma partage une complicité sans limites avec un renard qu’elle a recueilli et élevé avec amour | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Emma partage une complicité sans limites avec un renard qu’elle a recueilli et élevé avec amour

 

Emma a sauvé un petit renard de seulement quelques mois. La jeune femme a décidé de garder l’animal, encore fragile, sous son aile et de s’en occuper corps et âme, comme elle l’aurait fait avec un petit chiot. Au fil du temps, une complicité incroyable s’est créée entre Todd et sa maîtresse à tel point que celui-ci se comporte aujourd’hui comme un véritable animal de compagnie. Réclamant des caresses ou remuant la queue à l’heure du repas, le jeune renard est aussi câlin que joueur. Partagez un petit moment de douceur avec Todd et Emma.

 

Todd est un petit renard qui a été secouru par une famille qui ne pouvait malheureusement pas s’occuper de lui. Il a trouvé refuge dans les bras d’Emma, qui l’a adopté sans hésiter alors qu’il n’avait que 4 mois. Dès lors, la jeune femme s’est occupée de lui, l’a apprivoisé, nourri, élevé, câliné et promené, comme elle l’aurait fait avec un petit chiot.

 

Devenu un véritable animal domestique, le jeune Todd s’est lié à sa maîtresse, qu’il n’a plus quittée depuis. Il se comporte d’ailleurs comme un véritable petit chien, il la suit, lui réclame des caresses, remue la queue à l’heure du repas… Ses caractéristiques canines sont innombrables.

 

Il sort ainsi se promener en laisse avec sa maîtresse. Il s’amuse aussi énergiquement avec ses amis labradors Sky et Oakley dans le parc. Il dort dans sa propre niche dans le jardin familial. Une famille qu’il partage d’ailleurs avec d’autres animaux tels qu’une mouffette, un raton laveur, des lézards et des serpents. Todd s’épanouit dans cet environnement où il est chouchouté et adoré. On vous laisse d’ailleurs découvrir le témoignage de sa maman humaine…

 

« Les gens viennent souvent me voir pour me demander s’il s’agit bien d’un renard et s’ils peuvent le caresser. » 

 

« Il était un peu fou quand il m’a approchée pour la première fois (l’année dernière), mais maintenant il a un lien très fort avec moi. »

 

« Todd est allé rendre visite à des enfants dans une école et [ils] l’ont vraiment apprécié, le caressant alors qu’il était dans mes bras. »

 

« Au début, il était dingue, mais maintenant, il est habitué à être en compagnie d’autres personnes. »

 

« Il ressemble à un chien, mais il est un peu plus hyperactif. Il s’entend bien avec mes deux chiens et veut jouer avec eux tout le temps. »

 

« Il pourrait habiter dans notre maison, mais il a eu le droit à un abri [spécialement conçu pour lui] et il préfère largement être à l’extérieur. »


« [Il a] un petit chenil en plastique dans son enclos avec des couvertures comme un lit de chien. »

 

« Il court vers moi en remuant la queue quand je vais le nourrir et se roule par terre pour que je lui chatouille le ventre. »

 

« Il essaie de faire ce que les chiens font, mais je ne peux pas le lâcher sans laisse parce qu’il est un peu sourd, je ne pourrais alors pas lui crier de rentrer. »

 

« Si des gens ou des chiens viennent vers lui dans le parc, il aura tendance à se coucher ou à se figer, mais après quelques secondes, il va renifler [ceux qui l’approchent] ou s’asseoir patiemment. » 



>>> Découvrez la tendre complicité que partagent Todd et Emma dans cette vidéo.

 

 

Par Precila Rambhunjun - soocurious.com – mars 2015.

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L’amour est partout, absolument partout et les animaux nous le prouvent

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L’amour est partout, absolument partout

et les animaux nous le prouvent

 


Il n’y a pas que les humains qui sont doués de sentiments amoureux et de tendresse, le royaume des animaux est aussi touché par cette sensibilité.

 

La science les a récemment reconnus comme étant des êtres doués d’affectivité, et ce n’est pas cette photo ci-dessus qui va nous faire dire le contraire.

 

Pour voir une sélection d’autres photos toutes plus belles les unes que les autres, veuillez cliquer ici

  


Par Anna Valdez - minutebuzz.com – le 18 février 2015

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Une jolie histoire d'amour

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Regardez (jusque la fin) cette émouvante vidéo animée qui en fera pleurer plus d'un(e).!


Carl et Ellie, c'est une histoire d'amour comme je les aime par-dessus tout, parce qu'à l'ancienne, soit : "depuis le début jusqu'à ce que la mort nous sépare !"


Pour moi, c'est ça le véritable amour, peut-être trop démodé aujourd'hui, mais si merveilleux quand on le vit réellement en pratique.


Alors les âmes romantiques ou très sensibles, regardez ce joli extrait et si, comme moi, vous avez une larme à l'œil après, n'en soyez que ravies, car cela traduit une sensibilité affective primordiale trop absente dans le Monde actuel où le chaos domine.


J'ai dû choisir entre différents montages et j'ai retenu une version espagnole, mais peu importe si vous ne comprenez pas tous les mots au début, car dès la moitié du film, les images sont des plus claires et vous conduiront à la fin sans équivoque.


Merci pour cette belle aventure … - Duc


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