Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL
686.4K views | +0 today
Follow
Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL
La Gazette des campus de LLN et de WSL-UCL ainsi que diverses infos intéressantes visant la vérité ou l'autre vérité (qui que ce soit qui la dise, mais sans forcément prôner l'auteur).  -  Duc
Curated by Koter Info
Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

UCL - Regards croisés sur le doctorat

UCL - Regards croisés sur le doctorat | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


UCL - Regards croisés sur le doctorat

 

Quatre capsules vidéo présentent le doctorat à travers le témoignage de personnes issues de l’UCL, de l’Université Saint-Louis de Bruxelles et de l’Université de Namur

 

« Il faut sortir de l’équation docteur=chercheur », dit Philippe Fonck, directeur du centre d’information et d’orientation de l’UCL. À l’œuvre dans différents secteurs, les doctorants sont managers, gestionnaires d’équipe, chargés de projet, consultants. Et acquièrent, à ce titre, plus d’un savoir générique durant leur parcours de recherche.

 

En termes de chiffres, la mise en place du décret de Bologne a engendré une augmentation des doctorants inscrits en thèse ainsi que des défenses de thèse soutenues pour l’ensemble de la FWB. Rien qu’à l’UCL, le nombre de doctorants inscrits en thèse a augmenté de plus de 13 % entre 2003 et 2013. Le nombre de diplômés a également augmenté de plus de 10 %. Au niveau des 3 universités (UCL, UNamur et Saint-Louis), en 2014-2015, on compte près de 2.500 doctorants inscrits et près de 350 thèses défendues chaque année.

 

 

Le doctorat à l’UCL

 

  • Plus de 2.000 doctorants inscrits régulièrement chaque année académique répartis dans tous les secteurs et domaines. En 2013-2014 : 2.038 doctorants ; Sciences humaines = 852 – Sciences et technologies = 759 – Soins de santé = 427


  • Entre 250 et 300 thèses défendues chaque année :                         En 2013-2014 : 288 thèses défendues ; Sciences humaines=105 – Sciences et technologies=118 – Soins de santé=65


  • Nationalité des doctorants : Belges = 58% - Internationaux = 42% - près de 100 nationalités différentes


  • Sexe doctorants : Homme = 56% - Femmes = 44%

 

 

>>> Vidéo - Regards croisés sur le doctorat

 

 

Par l’Université catholique de Louvain – avril 2015.

No comment yet.
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

BE/UCL - Succès pour le certificat en sécurité urbaine

BE/UCL - Succès pour le certificat en sécurité urbaine | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it



Succès pour le certificat en sécurité urbaine

 

Ce 22 janvier 2015, une cérémonie permettra de remettre leur diplôme aux premiers participants au certificat interuniversitaire en gestion des politiques de sécurité urbaine. Suite au succès de la 1re édition, l’UCL, l’ULg et l’UNamur ont directement lancé une 2e édition certificat interuniversitaire en gestion des politiques de sécurité urbaine.

 

L’objectif de ce certificat ? Donner les outils aux participants pour améliorer et mettre en place de nouvelles stratégies en matière de sécurité urbaine.

 

 

Pourquoi une telle formation ?

 

Les cambriolages augmentent dans les quartiers, des équipements publics sont dégradés, les habitants d’une commune n’osent plus circuler dans un parc, les vols dans les véhicules explosent, des déchets sont de plus en plus souvent abandonnés sur l’espace public, les commerçants d’un centre commercial s’émeuvent de l’augmentation des vols à l’étalage, etc. On entend quotidiennement ces constats dans nos villes et nos communes.

 

Pour rencontrer efficacement ces préoccupations, les autorités publiques doivent identifier clairement les problèmes qui se posent, mobiliser et évaluer des stratégies multiples relevant de la prévention, de la surveillance de l’espace, de la répression ou de l’organisation sociale. Des réactions strictement policières ou judiciaires ne suffisent plus aujourd’hui. Des acteurs appartenant à des univers parfois fort différents (magistrats, policiers, urbanistes, responsables de services de prévention, ingénieurs, architectes, éducateurs de rue) doivent être, désormais, en mesure de travailler ensemble afin de construire les réponses les plus pertinentes (or aujourd’hui, ces acteurs de terrain ne se connaissent pas, ou peu).

 

D’où l’importance pour ces acteurs de terrain de bénéficier d’une formation continue, adaptée et de qualité. Or, jusqu’à présent, une telle formation n’existait pas. Forts de ce constat, l’UCL, l’ULg et l’UNamur ont mis au point un nouveau certificat interuniversitaire. Pourquoi 3 universités pour 1 certificat ? Afin de mettre en commun les compétences spécifiques de leurs experts et ainsi permettre aux participants de bénéficier d’une formation la plus complète possible.

 

 

À qui s’adresse ce certificat interuniversitaire ?

 

Aux professionnels concernés par les questions de sécurité publique, amenés à élaborer des politiques de sécurité ou à participer à leur élaboration, soit les magistrats de parquet, les policiers, les fonctionnaires de prévention, les fonctionnaires qui sanctionnent, les responsables politiques, les responsables de la sécurité au sein des institutions publiques, parapubliques ou privées (transports publics, hôpitaux, centres commerciaux, etc.)… Parmi les participants déjà inscrits, on retrouve des substituts de procureurs, des chefs de corps de police et du personnel de services de prévention.

 

 

Les objectifs du certificat ?

 

Apprendre à identifier de manière précise les problèmes qui se posent, sur base d’indicateurs et via la construction, notamment à partir d’expériences menées antérieurement en Belgique et à l’étranger, de réponses adaptées, etc. Autre volonté, l’évaluation des stratégies policières, judiciaires, urbanistiques et technologiques ; un zoom sur les aspects managériaux et de communication ; ainsi que des journées thématiques (stupéfiants, prostitution, mendicité, circulation routière, incivilités et délinquance, cambriolages).

 

À l’issue de la formation, les participants auront une meilleure vue d’ensemble des acteurs concernés par la sécurité : leurs prérogatives, les limites de leur sphère d’intervention et auront acquis durant la formation la capacité d’interagir de façon pertinente. Ils sauront analyser et conduire un diagnostic de la sécurité à l’échelle d’une entité territoriale et mettre en place des stratégies pertinentes.

 

Concrètement, elle compte 88 h d’enseignement, réparties sur 11 jours. En outre, une journée de post-formation est prévue afin de permettre aux participants d’échanger sur les pratiques mises en place dans leur activité professionnelle.

 

 

Témoignages de participants au certificat

 

 

 

 

Qui sont les experts qui transmettront leur savoir ?

 

La formation fait interagir des professeurs d’université et des acteurs de terrain :

 

Christian De Valkeneer, professeur à l’UCL et procureur général de Liège ;

Bertrand De Buisseret, responsable du service de police administrative de la commune d’Ixelles, fonctionnaire sanctionnateur communal ;

Vincent Francis, chargé de cours invité à l’Institut pour la recherche interdisciplinaire en science juridique de l’UCL ;

Martin Moucheron, maître de conférences invité à l’UCL, criminologue au service de prévention de la ville de Mons ;

Ingrid Verhoeven, juriste à la police de Namur, fonctionnaire responsable de la planification d’urgence pour la ville de Namur ;

Marc Nihoul, professeur ordinaire à l’UNamur, directeur du centre Projucit, président du collège scientifique de l’École d’administration publique commune à la Région wallonne et à la CfB, avocat au barreau de Bruxelles ;

Nathalie Colette-Basecqz, chargée de cours à l’UNamur, avocate au barreau de Nivelles, membre du centre Projucit ;

Vincent Seron, chargé de cours adjoint à l’ULg, coordinateur de la formation certifiée « criminologie et police » ;

Michaël Dantinne, professeur de criminologie à l’ULg ;

10 Étienne Gaublomme, substitut du procureur du Roi à Namur.

 

 

 

Par l’Université catholique de Louvain – janvier 2015

No comment yet.
Scooped by Koter Info
Scoop.it!

Filtrer les études de vétérinaire le nombre d’étudiants devient « ingérable »

Filtrer les études de vétérinaire  le nombre d’étudiants devient « ingérable » | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it



Filtrer les études de vétérinaire :

le nombre d’étudiants devient « ingérable »

 

Les doyens des facultés vétérinaires de Liège, de l’Unamur, de l’ULB et de l’UCL demandent la mise en place d’un filtre pour les études de vétérinaire en Communauté française. Le nombre d’étudiants devient ingérable, lit-on vendredi dans le journal Le Soir.


Actuellement, on compte 950 étudiants en première bac et 377 en premier master. « Si l’enthousiasme pour ces études reste égal à lui-même, dans 10 ans, ce ne sont plus 950 jeunes qui voudront entrer en première bac, mais plus de 2.000 », souligne Le Soir.


Trois doyens sur quatre prônent un concours en fin de première calqué sur l’actuel projet en médecine. « Il faut privilégier la sélection à ce moment, car on sait que le ministre Marcourt ne veut pas d’un examen d’entrée », dit Pascal Leroy, doyen de l’ULg.

 

 

 

Par rtl.be – le 24 avril 2015


No comment yet.