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Nous avons testé le nouveau bolide électrique de Tesla

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Photos : Le nouveau bolide de Tesla flatte la rétine – © E.F.

Difficile de ne pas tomber sous le charme de son design… – © E.F.

Le tableau de bord est un véritable régal – © E.F.

Le chargement se fait en un peu plus de 30 minutes dans l’un des Superchargers ! – © E.F.

 

Nous avons testé le nouveau

bolide électrique de Tesla

 

Connu pour ses véhicules électriques aux performances étonnantes, Tesla poursuit son expansion en Belgique avec la commercialisation du nouveau Model S P85 D.

 

S’il ne s’adresse pas au grand public – il faudra attendre le Model 3, prévu pour 2016 pour atteindre un prix de vente « raisonnable » (environ 30.000 €) —, le nouveau Model S de Tesla fait incontestablement partie de ces belles cylindrées qui vous font rêver.

 

La petite startup américaine, qui a été fondée en 2003 est depuis quelques années devenue l’une des entreprises qui fait le plus parler d’elle sur Internet. Et pour cause, puisque son premier bolide, le Roadster, était le premier véhicule de course 100 % électrique à offrir une autonomie de plus de 300 kilomètres. Son successeur, le Model S, est une berline au look beaucoup plus élégant qui n’est pas sans rappeler le look de la Ford Mondeo. Comme son ainé, le Model S est 100 % électrique et affiche des performances étonnantes. Le dernier modèle en date, le P85D est un véritable monstre de puissance catapulté par deux moteurs, un à l’avant de 224 chevaux, et l’autre à l’arrière de 476 chevaux. Doté de quatre roues motrices, le Model S de nouvelle génération supplante ses prédécesseurs en terme de puissance et s’offre une autonomie tout à fait respectable, qui flirte avec les 400 kilomètres.

 

 

Une autonomie respectable

 

En théorie, le Model S P85D est capable de tenir jusqu’à 400 kilomètres avec une seule charge. Dans la pratique, bien sûr, son autonomie dépendra fortement de votre type de conduite. Une conduite sportive fera tomber le compteur à 300 kilomètres, tandis qu’une conduite beaucoup plus souple vous permettra d’ajouter 50 kilomètres au compteur. Suffisant pour l’utilisateur lambda ? Pas forcément.

 

Pour recharger son véhicule, son propriétaire a plusieurs choix : soit il profite des bornes pour véhicules électriques que l’on retrouve désormais un peu partout, et notamment chez IKEA, qui en a fait un véritable faire-valoir, soit il recharge son véhicule chez lui. Certaines bornes (appelées « Superchargers ») installées par Tesla permettent également de recharger son véhicule gratuitement.

 

C’est sans doute l’option la plus intéressante pour le consommateur, dans la mesure où le chargement est très rapide – comptez 40 minutes pour un « plein » complet ! – et ou l’électricité est gratuite (contre environ 10 à 15 € par charge, à votre domicile).

 

Malheureusement, la Belgique ne compte que quatre superchargers à l’heure actuelle, et 3 d’entre eux sont situés en Flandre (Maasmechelen, Gand et Anvers). Le dernier est situé dans le Brabant Wallon. (Le chargement se fait en un peu plus de 30 minutes dans l’un des Superchargers !)

 

Autant dire que ceux qui habitent dans le sud du pays ou en région bruxelloise n’en profiteront presque pas ! Ceci étant dit, le réseau de superchargers installés en Europe permet d’organiser un véritable road-trip et de profiter d’une infrastructure absolument irréprochable. Même si, dans la pratique, le réseau reste limité aux pays les plus développés (oubliez l’Europe du Sud et de l’Est).

 

Charger son véhicule chez soi reste une alternative, assez coûteuse ceci dit puisqu’il faudra impérativement installer un complément pour accélérer le chargement de son véhicule, sans quoi l’autonomie ne grimpera que de quelques kilomètres en une seule nuit. Autant dire que les bornes publiques resteront encore votre meilleure option !

 

 

Une berline qui décoiffe

 

Si le Model S aux fonctionnalités les plus basiques reste relativement « accessible » – comptez un peu plus de 71.000 € tout de même —, le Model S P85D, qui est sans aucun doute le plus puissant, est facturé plus de 107.000 €. La différence de prix entre le modèle standard le modèle de luxe s’explique en grande partie par sa puissance. Avec 700 chevaux, le Model S P85D est capable de dépasser un bolide de Porsche ou de Ferrari sans difficulté. L’accélération est sans doute le facteur le plus impressionnant puisqu’il lui faut un peu moins de 4 secondes pour dépasser les 100 km/h. Le tout se fait avec un léger sifflement qui témoigne de la puissance du moteur, lequel vous scotchera littéralement à votre siège.

 

Et si le Model S est comme tous les autres véhicules de la marque un véhicule automatique, il n’en demeure pas moins un véritable bolide de courses qui n’a rien à envier aux derniers monstres de BMW, Audi ou Porsche.

 

 

La personnalisation au cœur de l’expérience

 

Autre très gros atout du dernier bolide de Tesla, il est entièrement customisable. Contrairement aux autres marques, Tesla ne propose pas de choisir son véhicule chez un concessionnaire, mais de se créer le véhicule de ses rêves directement sur son site Internet. Tout est customisable, de l’apparence extérieure à la peinture en passant par l’habitacle. Malheureusement, si la qualité de finition est irréprochable à l’intérieur du véhicule, le métal qui recouvre tout le véhicule semble facilement se griffer, preuve en est des nombreuses petites griffes que nous avons constatées sur les dizaines de véhicules présents lors d’un événement organisé par la marque à Maasmechelen. Ceci étant dit, l’ensoleillement pourrait très bien avoir joué en la défaveur de Tesla ce jour-là…

 

 

La voiture du futur

 

Mais ce qui surprend le plus avec le véhicule de Tesla, c’est la manière avec laquelle le fabricant a intégré l’électronique dans son véhicule. Le Model S P85D est un véritable véhicule de luxe, avec tout le confort qu’on est en droit d’attendre d’un véhicule vendu à un tel tarif (sièges chauffants, toit ouvrant, haut-parleurs de qualité premium), mais aussi des petits plus délicieusement geeks (la poignée qui « sort » du véhicule lorsqu’on s’en rapproche !), et surtout un gigantesque écran tactile qui fait office de tableau de bord. Divisible en deux parties, l’écran permet d’afficher toutes les options du véhicule (ouverture du toit ouvrant, mode de conduite…), mais aussi d’accéder à la radio, à la navigation (avec Google Maps), à son agenda, au navigateur (qui vous permet de surfer à votre guise, même depuis l’étranger), aux options de votre téléphone et même à la caméra embarquée, pour ne plus rater aucun créneau. L’écran tactile de 17″ est non seulement un formidable outil pour le pilote, mais aussi un véritable argument de vente pour Tesla qui joue très clairement la carte de la voiture connectée. On notera d’ailleurs que l’abonnement en Data est fourni avec le véhicule, et sans aucune limite, même à l’étranger.

 

En théorie, le Model S est également en mesure de rouler de manière autonome. Malheureusement, la législation européenne ne permet pas encore de laisser son véhicule prendre le contrôle de la direction et il faudra probablement attendre une mise à jour pour en profiter. Car comme les smartphones, le Model S peut être mis à jour, directement depuis un réseau Wifi… Récemment, Tesla a par exemple mis à disposition des propriétaires du véhicule une option qui les alerte automatiquement lorsqu’ils ont atteint le point de non-retour par rapport à un supercharger. Pratique pour éviter de tomber à court d’énergie au milieu de nulle part !

 

Parmi les options « Smart » mises en avant par Tesla, la possibilité de laisser son véhicule sortir seul du garage pour vous attendre dans l’allée est sans doute celle qui nous a le plus étonné. S’il faut ajouter 4.400 € à la facture pour profiter des fonctionnalités liées au mode autopilote, nul doute que les acheteurs du Model S seront subjugués par ces fonctionnalités tape à l’œil qui ont le mérite de donner un bel aperçu de ce qui nous attend d’ici quelques années…

 

 

Avantageux pour les indépendants

 

Reste alors la question des finances. Est-il intéressant d’acheter à l’heure actuelle un véhicule électrique ? Si vous êtes indépendant, la réponse est oui. Dans le cas contraire, le bolide de Tesla reste un investissement plutôt intéressant, dans la mesure où si vous habitez à proximité d’un Supercharger vous n’aurez plus jamais à payer votre « carburant ». Si ce n’est pas le cas, l’économie reste néanmoins supérieure à 70 % par rapport à un carburant fossile. Autant dire donc que si vous avez l’habitude des longues distances, le bolide vous permettra d’économiser quelques milliers d’euros par année…

 

Pour les entreprises et les indépendants, il est possible de déduire à 120 % l’achat du véhicule de ses charges professionnelles. Autant dire que la facture est en réalité nettement inférieure au montant que l’on vous annonce lors de l’achat. Reste que, malgré tous les avantages fiscaux et financiers à acheter le véhicule, le Model S reste un bolide qui ne séduira pas forcément tous les publics, ne serait-ce que pour ses dimensions, son design très tape-à-l’œil ou le fait qu’il s’agit d’un véhicule électrique. Les amoureux du volant lui préféreront sans doute une grosse cylindrée au moteur vrombissant. Avec son écran tactile surdimensionné et ses performances de haute vole, le Model S demeure néanmoins le véhicule qui fera fantasmer toute une génération de geeks et de passionnés de belles mécaniques un peu bobos, qui y trouveront sans doute une manière de se démarquer tout en faisant une bonne action pour l’environnement.

 

 

 

Par Étienne Froment - geeko.lesoir.be - le 4 juillet 2015.

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Dans quelques années, vos livres préférés auront peut-être été écrits par des robots

Dans quelques années, vos livres préférés auront peut-être été écrits par des robots | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Dans quelques années, vos livres préférés auront

peut-être été écrits par des robots

 

Les robots pourront-ils bientôt remplacer les écrivains ? C’est sur cette question que se sont penchés plusieurs chercheurs depuis quelques années. DGS vous propose de découvrir quelques projets fascinants, qui pourraient bientôt révolutionner la littérature traditionnelle.


L’intelligence artificielle est un thème qui passionne depuis longtemps les auteurs de science-fiction. Aujourd’hui, les visions futuristes de ces écrivains deviennent réalité. Le spécialiste en intelligence artificielle Ray Kurzwell, qui travaille chez Google, a prédit qu’en 2029 les ordinateurs seront plus intelligents que le plus intelligent des humains. Le scientifique Stephen Hawking et l’entrepreneur Elon Musk, fondateur d’entreprises comme PayPal et Tesla, pensent que l’humanité est à l’aube d’une nouvelle ère. Ils ont tous les deux signé une lettre ouverte appelant au développement responsable de l’intelligence artificielle, afin d’éviter toutes menaces liées à cette dernière.


Les romanciers doivent-ils s’inquiéter de la montée en puissance des intelligences artificielles et prendront-elles un jour leur place ? Dans le célèbre roman d’anticipation « 1984 » de George Orwell, le peuple lit des livres générés automatiquement par une machine.


Seulement voilà, une machine remplacera difficilement Victor Hugo. La littérature est en effet remplie d’émotions humaines, l’auteur puisant son inspiration dans son expérience personnelle, qu’elle soit sensorielle ou émotionnelle. Si un jour une intelligence artificielle évolue au point de savoir ce que représentent les souvenirs liés aux plats de notre enfance ou la satisfaction de découvrir le premier rayon de soleil du printemps après un long hiver, l’algorithme ne sera pas en mesure de véritablement « connaitre » de telles expériences. Pour toutes ces raisons, il est assez peu raisonnable, de prime abord, de penser qu’un robot puisse rivaliser avec un romancier fait de chair, d’os et de pensées. Mais certains chercheurs pensent l’inverse…


Selon le futurologue (spécialiste de l’observation des changements qui s’amorcent et de la prédiction des évènements à venir) Kevin Warwick, un robot pourrait écrire aussi bien qu’un homme dans un futur proche. Pour tous ceux qui sont sceptiques, ce spécialiste avait prédit l’avènement des drones plusieurs années avant leur apparition. Nous vous en parlions il y a quelque temps, des intelligences artificielles sont déjà capables de rire et de faire rire. Elles peuvent composer de la musique, créer des œuvres visuelles et écrire de la poésie (depuis 1983 et la sortie du livre « The Policeman’s Beard is Half Constructed » écrit par un programme du nom de Racter). Les machines sont aussi capables d’écrire des romans, mais ces derniers sont encore d’une piètre qualité, comme le roman True Love, écrit par un algorithme créé par Alexander Prokopovich en 2008.


Des programmes informatiques permettent déjà de nous aider dans la rédaction de textes grâce à des outils de correction orthographique ou stylistique. Mais les machines apprennent aussi de nous. « Take the What If Machine » est une création d’un groupe international d’experts en apprentissage. Voici comment se présente ce projet : un homme choisit le genre littéraire ainsi que plusieurs autres détails à partir d’une liste, puis la machine réfléchit et recrache un court texte. Pour l’instant, le résultat est encore un peu chaotique. Si vous choisissez l’option Kafka, le résultat sera… très kafkaïen ! Ainsi, voici le genre de phrases écrites par cette machine : « Et si un vieux chien, qui ne pouvait plus marcher, décidait de monter sur un cheval ? » Le travail le plus difficile pour les chercheurs est d’apprendre à la machine à comprendre ce qui est intéressant du point de vue de la fiction.


Darius Kazemi, ancien développeur de jeux vidéo, a lancé le projet National Novel Generation Month (ou NaNoGenMo), un concours littéraire avec une seule contrainte :  les textes doivent être entièrement générés grâce à un code informatique.


Bien sûr, cela implique encore beaucoup d’intervention humaine dans l’écriture du code. Kazemi a par exemple indiqué que les personnes qui avaient écrit ces algorithmes y avaient mis toutes leurs expériences humaines. « Je pense que les programmes informatiques pourront écrire un jour de bons romans », explique-t-il. Il continue : « Je ne crois pas que nous aurons des romans tels que Moby Dick, mais je pense que nous écrivons déjà du code qui génère d’excellents romans conceptuels. Et je suis très excité à l’idée de romans écrits à la fois par un humain et par du code informatique. »


Pour l’instant, aucun écrivain professionnel ne l’a encore contacté. Simplement des enfants intéressés par un code qui pourrait écrire leurs devoirs à leur place.

 

 

Par Bertrand-Noël Roch - dailygeekshow.com – le 25 janvier 2015

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Batteries domestiques : la révolution est en marche

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Photo : Après Tesla, le Groupe Daimler présente sa batterie domestique.-Daimler

 

Batteries domestiques :

la révolution est en marche

 

Le groupe Daimler (Mercedes) lance lui aussi sa batterie domestique. Le mouvement grand public est en marche. Intéressant financièrement.

 

La batterie domestique ou la batterie de foyer : ce n’est plus un effet d’annonce. Ces batteries existaient déjà, mais dans l’ombre d’un prix élevé et d’une absence de marketing. En braquant les projecteurs sur sa nouvelle batterie, Tesla a changé la donne le 30 avril. En proposant un produit abordable et devenu « réel » aux yeux du grand public.


Hier, c’est Daimler (Mercedes) qui a présenté sa batterie au salon Intersolar Europe, le salon consacré à l’énergie solaire. Comme Tesla, fabricant de voitures électriques, on parle ici d’un produit fini. Si Tesla l’a déjà mis sur le marché et semble débordé par la demande, Daimler a annoncé que ses batteries seraient commercialisées à partir du mois de septembre. Mais le groupe n’a pas encore communiqué de prix.

 

Rappel : Tesla affiche sa Powerwall de base à 3 000 dollars (7 kWh) et sa grande sœur (10 kWh) à 3 500 dollars. Pour les professionnels du secteur : « Ce sont déjà des prix très intéressants par rapport à ce qui existe actuellement. En plus de proposer un encombrement réduit. » Mais aussi en regard de la garantie et des capacités proposées. Sur ce dernier point, Daimler franchit un palier supplémentaire avec 20 kWh.


L’intérêt de ces batteries, c’est qu’elles sont rechargeables via les panneaux photovoltaïques. L’intérêt saute aux yeux : les pics de consommation domestiques, matin et soir, ne correspondent pas aux pics de production des panneaux. Là ou les batteries stockent votre production pendant ces heures-là et vous restituent l’énergie quand vous en avez besoin. On peut ainsi commencer à envisager, et non plus rêver, à l’autonomie ou une plus grande autonomie électrique par rapport aux grands producteurs et distributeurs. À noter que des unités de stockages de plus grande capacité sont maintenant proposées pour les entreprises.

 

 

À vos calculettes, il y a intérêt

 

Alors ? Dans les mois et les années à venir, il sera impératif de se pencher sur votre facture d’électricité, avec les panneaux photovoltaïques comme condition de départ. Attention cependant, en plus du coût de la batterie (3 500 €) il faut compter le prix de son installation, 500 €, et l’achat d’un onduleur. Et là, on est vite à 1 500 €. Auquel, on ajoute la TVA. Bref, on arrive à un coût de stockage aux alentours de 0,15 euro du kWh stocké. Si on part sur une durée de vie de 10 ans pour la batterie. Durée de la garantie. Ensuite, à vous de voir l’impact financier de votre installation photovoltaïque sur votre consommation de kWh. Ça, c’est un calcul au cas par cas. Mais les installations, jusqu’à présent, demeurent profitables pour votre portefeuille.

 

Si vous n’êtes pas convaincu armez-vous de patience, la Deutsche Bank annonce que le prix du stockage pourrait être divisé par sept dans les cinq années à venir. À cela devrait se cumuler une baisse du prix de fameuses batteries. Bref, le secteur de l’électricité devrait subir une profonde mutation dans les cinq années à venir. Les grosses unités de production devenant ainsi nettement moins indispensables pour le marché des particuliers et pour une partie de celui des entreprises.

 

 

 

Par Albert Jallet - lavenir.net – le 11 juin 2015.

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