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Le monde libre face au terrorisme américain

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Photo : les États-Unis sont en train de devenir pour le monde un problème. Emmanuel Todd

 

 

Le monde libre face au terrorisme américain

Par Nicolas Bonnal (*)

 

L’Amérique s’impose de plus en plus comme une puissance tératologique et apocalyptique, illustrant une destinée de violence depuis presque deux siècles maintenant. En guerre elle donne Hiroshima, l’Irak ou le Vietnam, en culture les Tortues Ninja, Madonna ou Lady Gaga, en économie inégalités et dettes, des zones zombies ou la hideuse guirlande des Urban Sprawls (prolifération cancéreuse et géométrique des banlieues) qui défigurent le monde, et que le grand essayiste et écologue Dean Kunstler a brillamment dénoncé.

 

Dean Kunstler parle d’une économie hallucinée ; on peut dire que le militarisme américain est aussi halluciné, qui propose aux Européens une extermination sous anesthésie pour cet été — car où est passée l’opinion publique susceptible de réagir ici ou là, où est passé le gouvernement européen susceptible de demander aux Américains d’arrêter leur délire ? Je me souviens des manifestations menées par nos partis communistes en Occident, et qui rassemblaient 300.000 personnes, ou même des manifestations européennes contre la guerre en Irak… Aujourd’hui personne ne réagit.

 

Mais en Asie aussi, la Thaïlande, les Philippines, d’autres États vassaux et corrompus, quadrillés par les bases US, promeuvent cette idée d’une guerre d’influence contre la Chine.

 

Faisons quelques rappels pour situer notre lecteur.

 

Tocqueville a recensé les désastres humains et culturels qui allaient venir d’Amérique (l’argent, le messianisme, le féminisme, le racisme, les médias aux ordres, la vulgarité…). Et alors que l’Amérique est encore loin de tout, il consacre plusieurs chapitres à la question militaire en « démocratie » américaine (Tome II, Troisième partie) :

« De toutes les armées, celles qui désirent le plus ardemment la guerre sont les armées démocratiques. (…). On peut donc dire d’une manière générale que, si les peuples démocratiques sont naturellement portés vers la paix par leurs intérêts et leurs instincts, ils sont sans cesse attirés vers la guerre et les révolutions par leurs armées. »

 

Puis Tocqueville se fait encore plus inquiétant :

 

« Il y a deux choses qu’un peuple démocratique aura toujours beaucoup de peine à faire : commencer la guerre et la finir… (…) Il n’y a pas de longue guerre qui, dans un pays démocratique, ne mette en grand hasard la liberté. »

 

Deux éléments importants sont soulignés par le grand analyste français :

 

D’abord les Américains n’aiment pas faire la paix — ou la bâclent du mieux qu’ils peuvent. Du Traité de Versailles en 1919 en passant par le Vietnam ou la Guerre Froide après 1945 et l’actuelle ébullition russophobe et antichinoise, ils se livrent à la « guerre perpétuelle ».

 

Deuxièmement, Tocqueville voit que la guerre mettra fin aux libertés, comme l’a fait la guerre contre le terrorisme (cet EGM, être généré médiatiquement) à partir des années 90 ou du 11 septembre ; la fascisation américaine peut être datée de Clinton, mais Chesterton la voyait poindre au cœur des années vingt : lynchage des noirs, chasse au facies (pas de juif, d’Italien ou de Balkanique en Amérique !), chasse au bolchevik-anarchiste, chasse enfin au buveur de bière ou de vin rouge…

 

Voilà où nous en sommes deux siècles après Tocqueville, quand les vassaux et les politiciens choisis (un politicien européen n’est plus élu, il est choisi, a déclaré un historien américain) vont accepter leur ruine avec un bel esprit de renoncement et dans l’indifférence d’une opinion publique momifiée. Les prétextes incriminés relèvent de la plus criante hypocrisie, hypocrisie qui existait déjà à l’époque de Rudyard Kipling ou Jules Verne quand on envahissait et pillait un pays pour les mêmes éhontés prétextes humanitaires. On évoque souvent l’hypocrisie de cette civilisation « démocratique » anglo-saxonne ; l’analyste anti-impérialiste Hobson parlait en 1900 d’inconsistance de l’esprit humanitaire et impérial britannique. Peu cher payé pour les camps de concentration des Boers

 

On pourra enfin rappeler une chose : ces démocraties se pensent meilleures, mais elles ne sont meilleures que parce qu’elles ont gagné leurs récentes guerres. Robert McNamara, dans Le Brouillard de la Guerre, le rappelle : « si nous avions perdu en 1945, nous aurions mérité d’être pendus. »

 

Il fut un temps où les démocraties prenaient plus de gants. On avait peur du péril jaune, du péril rouge, mais aujourd’hui on n’a même plus besoin de prétextes. L’Europe devient une colonie d’esclaves au service de l’étranger ou du bankster américain. À ce titre, elle et sa population sont « expendable », liquidables sur un champ de bataille ou dans une salle de marché. On fait confiance à la télé et aux ordinateurs pour anesthésier tout le petit monde.

 

Je pense au grand écrivain américain Gore Vidal ; dans son beau pamphlet sur la guerre perpétuelle US, il écrivait :

 

« La junte du Pentagone en charge de nos affaires a programmé son président pour nous dire que Ben Laden était un maléfique qui enviait notre bonté, notre richesse et notre liberté. »

 

Gore Vidal recense après 200 opérations militaires US de 1960 à 2000 puis il fait le lien entre la cruelle oligarchie boursière des années Clinton-Bush et la militarisation de la politique US devenue ultra :

 

« L’administration US, à peu près inepte dans tous les domaines sauf dans l’exemption des impôts pour les plus riches, a déchiré tous les traités auxquels les nations civilisées souscrivent, les accords de Kyoto, puis les accords nucléaires avec la Russie. »

 

Enfin, Vidal rappelle ce que c’est qu’un terroriste. Et ce n’est pas pour lui un fou d’Allah :

 

« Selon le dictionnaire américain d’Oxford, le mot terroriste désigne un supporteur des Jacobins, qui défend et pratique la Terreur, soit la répression et le bain de sang dans la propagation des principes de démocratie et d’égalité. »

 

Le grand romancier de conclure : la plupart des terroristes actuels se trouvent dans nos gouvernements occidentaux.

 

 

 

Par Nicolas Bonnal (*) (fr.sputniknews.com) -

reseauinternational.net – le 23 juin 2015

 

Les opinions exprimées dans ce contenu n’engagent que la responsabilité de l’auteur.

  

(*) Nicolas Bonnal, signant également Nicolas Pérégrin est un écrivain français né à Tunis en 1960. Il fut lors de ses études, un des responsables du Groupe union défense (GUD). Auteur de plusieurs ouvrages sur des sujets sociétaux, politiques et artistiques, il a écrit notamment sur Tolkien, François Mitterrand, Jean-Jacques Annaud et Nostradamus. Il a contribué à plusieurs périodiques dont Le Libre Journal de la France courtoise, Les 4 Vérités et Contrelittérature… (Source Wikipédia)

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Dix « théories du complot » qui se sont avérées être exactes

Dix « théories du complot » qui se sont avérées être exactes | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Dix « théories du complot » qui se sont

avérées être exactes

 

Bien que le terme « théorie du complot » est devenu un terme péjoratif utilisé contre quiconque remet en question la version officielle des événements, il y a d’innombrables exemples dans l’histoire de conspirations qui se sont avérées exactes.

 

 

1) Opération AJAX et les opérations sous fausse bannière

 

L’idée que les gouvernements et les agences de renseignement commettent des actes terroristes sous « faux drapeau » a été maintes fois ridiculisée et accusée de « théorie du complot » par les médias traditionnels en dépit de l’existence d’un grand nombre de cas documentés historiquement.


Les documents déclassifiés : 

http://www2.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB28/

 

 

2) Golfe du Tonkin

 

Le 4 août 1964, le président Lyndon Johnson se rend à la télévision nationale pour annoncer à la nation que les forces nord-vietnamiennes ont lancé des attaques sur des destroyers américains dans le golfe du Tonkin. Le Nord-Vietnam avait attaqué des navires américains.

 

« La multiplication des actes de violence contre les forces armées des États-Unis doit non seulement mettre notre défense en alerte, mais appelle également à une réponse directe. Cette réponse est donnée dans mon discours de ce soir », a déclaré Johnson.


Le congrès passa bientôt la résolution du golfe du Tonkin, qui a permis de donner à Johnson une autorité préapprouvée pour mener des opérations militaires contre le Nord-Vietnam. En 1969, plus de 500.000 soldats se battaient en Asie du Sud-Est.

 

Johnson et son secrétaire à la Défense, Robert McNamara, ont dupé le Congrès et le peuple américain. En fait, le Nord-Vietnam n’avait pas attaqué le USS Maddox, comme le Pentagone le revendiquait, et la « preuve irréfutable » d’une seconde attaque « non provoquée » contre le navire de guerre américain était une ruse.

 

Le 2 août, le destroyer Maddox prétendait avoir identifié trois bateaux torpilleurs nord-vietnamiens s’approchant de lui. Selon Washington, le navire était dans les eaux internationales, mais plusieurs historiens ont des raisons de croire que le destroyer américain passait en revue (volontairement ou non) sur le territoire de la République démocratique du Vietnam. Puis il a provoqué une lutte, après que des navires de guerre nord-vietnamiens ont été endommagés tandis que le destroyer américain n’a pas été touché. Le deuxième incident s’est produit au cours d’une tempête tropicale dans le golfe du Tonkin, lorsque le radar d’un destroyer américain aurait détecté dix navires.

 

Complément : 

Opérations sous fausse bannière : le Sénat américain déclassifie les débats sur l’incident du golfe du Tonkin le 4 août 1964

Archives déclassifiées :

http://www2.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB132/press20051201.htm

 

 

3) Opération Gladio : Terrorisme sponsorisé par l’État pour blâmer la gauche #StayBehind #OTAN

 

Après la Seconde Guerre mondiale, la CIA et le MI6 britannique ont collaboré avec l’OTAN pour l’Opération Gladio, un effort pour créer une « armée sous couvert » pour lutter contre le communisme dans le cas d’une invasion soviétique de l’Europe de l’Ouest.

 

Gladio a vite transcendé sa mission initiale et est devenue un réseau terroriste secret composé de milices d’extrême droite, des éléments du crime organisé, des agents provocateurs et des unités militaires secrètes. La soi-disant armée sous couvert était active en France, en Belgique, au Danemark, aux Pays-Bas, en Norvège, en Allemagne et en Suisse.

 

La « stratégie de la tension » Gladio a été conçue pour désigner les groupes politiques de gauche en Europe comme des terroristes et effrayer la population afin qu’elle vote pour des gouvernements autoritaires. Pour réaliser cet objectif, les agents de Gladio menaient un certain nombre d’attentats terroristes meurtriers qui ont été attribués aux gauchistes et marxistes.

 

En août 1980, les agents de Gladio ont fait exploser une gare de Bologne, tuant 85 personnes. Initialement attribué aux Brigades rouges, il a été découvert plus tard que les éléments fascistes dans la police secrète italienne et Licio Gelli, le chef de la loge maçonnique P2, étaient responsables de l’attaque terroriste. D’autres groupes fascistes, y compris Avanguardia Nazionale et Ordine Nuovo, ont été mobilisés et engagés dans la terreur.

 

L’Opération Gladio a finalement coûté la vie à des centaines de personnes à travers l’Europe.

 

Selon Vincenzo Vinciguerra, un terroriste Gladio qui purge une peine à vie pour le meurtre de policiers, la raison de Gladio était simple. Il a été conçu pour forcer le public italien à se tourner vers l’État pour demander une plus grande sécurité. C’est la logique politique qui se cache derrière tous les massacres et les attentats qui restent impunis, parce que l’État ne peut pas se condamner lui-même ou être tenu pour responsable de ce qui s’est passé.

 

 

4) l’opération Northwoods

 

Dans la guerre secrète contre le régime communiste à Cuba dans le cadre de l’opération Mongoose de la CIA, les chefs d’état-major ont proposé à l’unanimité des actes de terrorisme au sein des États-Unis, financés par l’État.

 

Le plan prévoyait d’abattre des avions américains détournés, le naufrage de navires américains, et le meurtre d’Américains dans les rues de Washington DC. Le plan scandaleux incluait même une catastrophe mise en scène par la NASA qui mettait en jeu la vie de l’astronaute John Glenn.

 

Titubant sous l’échec cuisant de la CIA à la baie des Cochons de Cuba, le président Kennedy a rejeté le plan en mars 1962. Quelques mois plus tard, Kennedy a refusé à l’auteur du plan, le général Lyman Lemnitzer, un second mandat en tant que commandant militaire le plus haut gradé de la nation.

 

En novembre 1963, Kennedy a été assassiné à Dallas, Texas.

En complément :

Opération Northwoods – Wikipédia 

Quand l’état-major américain planifiait des attentats terroristes contre sa population

Opération Northwoods : l’US Army projetait d’utiliser le terrorisme

northwoods.pdf by Noname

***Le document traduit en français par Reopen911***

 

 

5) L’incident de Gleiwitz : Opération Himmler

 

L’incident de Gleiwitz se réfère à une opération sous fausse bannière menée par les nazis le 31 août 1939 pendant laquelle les troupes SS ont organisé une attaque contre une station de radio allemande puis blâmé les troupes polonaises.

 

Des agents allemands habillés en tenues militaires polonaises ont saisi la station de radio, située près de la frontière polonaise, avant de diffuser un message de propagande court en polonais. Ils ont tué alors des victimes des camps de concentration qui ont également été habillés en uniformes polonais et les ont laissés sur les lieux, ce qui faisait que l’incident ressemblait à un acte d’agression polonais. Le lendemain, l’Allemagne envahit la Pologne, Hitler citant l’incident comme un des prétextes.

 

Neuf jours avant l’incident, Hitler avait dit à ses généraux : « Je vais vous donner un casus belli de propagande. Sa crédibilité n’a pas d’importance. On ne demandera pas au vainqueur s’il avait dit la vérité ».

 

 

6) Les compagnies de tabac ajoutaient délibérément des produits chimiques à la cigarette pour créer la dépendance

 

Les Conspirations ne sont pas toujours de nature gouvernementale, elles peuvent aussi cibler les consommateurs.

 

Comme l’a rapporté la BBC, les compagnies de tabac aux États-Unis ont été surprises à créer des cigarettes qui augmentent la dépendance en incluant des produits chimiques qui ont augmenté artificiellement le pouvoir addictif du produit et leur donnant meilleur goût.

 

Clive Bates, directeur de l’ASH, a déclaré que la découverte exposait un « scandale dans lequel les compagnies de tabac utilisent délibérément des additifs pour rendre leurs mauvais produits encore pires ».

 

Mad Scientists

 

Tobacco companies have been making cigarettes more addicting for decades. In 1973, a senior scientist for a tobacco company wrote in a secret report: « Methods which may be used to increase smoke pH and/or nicotine ‘kick’ include: (1) increasing the amount of (strong) burley in the blend, (2) reduction of casing sugar used on the burley and/or blend, (3) use of alkaline additives, usually ammonia compounds, to the blend, (4) addition of nicotine to the blend, (5) removal of acids from the blend, (6) special filter systems to remove acids from or add alkaline materials to the smoke. »

 

SOURCE : R.J. Reynolds senior scientist, 1973 Bates No. 502193199/3 228

PDF

 

Addicted to Lies

Even the tobacco executives are concerned about the addictiveness of their products. Well, sort of. In a confidential memo from 1980, a tobacco institute executive wrote: « [T]he entire matter of addiction is the most potent weapon a prosecuting attorney can have in a lung cancer/cigarette case. We can’t defend continued smoking as ‘free choice’ if the person was ‘addicted’. »

SOURCE : Tobacco Institute executive, 1980. Bates No. TIMN0097164/7165

PDF

 

Nicotine = Poison

 

Back in 1978, one tobacco company executive said: « Very few consumers are aware of the effects of nicotine, i.e., its addictive nature and that nicotine is a poison. »

SOURCE : H.D. Steele. Memorandum, August 24, 1978. Future Consumer Reaction to Nicotine. Brown and Williamson collection. Document Date : 08/24/1978. Bates No. : 776 078 962

PDF

 

D’autres documents sur l’industrie du tabac :

http://www.tobaccofreeflorida.com/teens/top_secret_files.html

 

 

7) Opération Fast and Furious

 

L’Opération Fast and Furious, en vertu de laquelle l’administration Obama à fourni des armes de contrebande aux barons de la drogue mexicains dans un effort apparent de retracer les armes à feu et retrouver les gangs de drogue, faisait en fait une partie d’un complot visant à diaboliser le second amendement.

 

Des documents obtenus par CBS News en décembre 2011 prouvent que les agents ATF ont discuté de comment ils pourraient lier les armes impliquées dans la violence au Mexique à des marchands d’armes basés aux États-Unis en vue de passer une réglementation plus stricte sur le contrôle des armes à feu.

 

Une source des forces de l’ordre a déclaré à CBS News que les e-mails suggéraient que l’ATF avait créé le problème lui-même dans le cadre d’un stratagème politique.

 

« C’est comme si l’ATF avait créé ou aggravé le problème afin qu’ils puissent être la solution à ce problème et s’en glorifier. C’est une façon de pensée circulaire », a dit la source.

 

 

8) L’espionnage de la NSA et la surveillance de masse

 

Dans les années 1990, quand des militants anti-surveillance et personnalités des médias mettaient en garde contre la vaste opération d’espionnage intérieur de la NSA, ils ont été traités de théoriciens de la conspiration paranoïaque.


Plus d’une décennie avant les révélations de Snowden, la NSA était occupée à intercepter et enregistrer toutes les communications électroniques à travers le monde entier dans le cadre du programme Échelon.

 

En 1999, le gouvernement australien a reconnu qu’il faisait partie d’un programme d’interception et de surveillance mondiale de la NSA appelé Échelon en alliance avec les États-Unis et la Grande-Bretagne qui permet d’écouter « chaque appel international de téléphone, fax, e-mail, ou transmission radio, » sur la planète.

 

En outre, un rapport du Parlement européen de 2 001 a déclaré que « dans l’Europe toutes les communications e-mail, téléphone et de télécopieur sont régulièrement interceptés » par la NSA.

 

 

9) Le trafic de drogue de la CIA

 

L’Agence centrale de renseignement a été impliquée dans des opérations de trafic de drogue dans le monde entier ainsi que dans le pays, notamment lors de l’affaire Iran-Contra, en vertu de laquelle les miliciens Contras faisaient de la contrebande de cocaïne aux États-Unis avec la bénédiction de la CIA. Celle-ci a été ensuite distribuée sous forme du crack à Los Angeles, les bénéfices étant canalisés par les Contras.

 

L’ancien officier de police de Los Angeles Michael Ruppert a également déclaré qu’il avait été témoin du trafic de drogue de la CIA.

 

Des barons de la drogue mexicains comme Jésus Vicente Zambada Niebla ont également affirmé qu’ils ont été embauchés par le gouvernement américain pour des opérations de trafic de drogue. Il y a une quantité de preuves importantes qui confirment que la CIA et les cartels bancaires américains sont des pivots du commerce mondial de la drogue d’une valeur de centaines de milliards de dollars par an, d’après les informations rendues publiques grâce à Gary Webb.

 

 

10) Le pistolet attaque cardiaque de la CIA

 

Pendant un témoignage devant le Sénat en 1975 concernant les activités illégales de la CIA, il a été révélé que l’agence avait mis au point un pistolet à fléchettes susceptible de provoquer une crise cardiaque. « Lors de la première audience télévisée, mise en scène dans la salle de caucus du Sénat, un pistolet à fléchettes empoisonnées a été montré ; mettant en évidence la découverte de la commission que la CIA a directement violé un décret présidentiel par le maintien de stocks de toxine de crustacés suffisant pour tuer des milliers de gens, » d’après une page Web du Sénat.

 

« Le poison mortel pénètre rapidement dans la circulation sanguine provoquant une crise cardiaque. Une fois que le mal est fait, le poison se dénature rapidement, de sorte que l’autopsie a très peu de chance de détecter que l’attaque cardiaque résulte de causes autres que naturelles. Cela sonne comme la parfaite arme de James Bond, n’est-ce pas ? Pourtant, tout cela est vérifiable dans le témoignage du Congrès », écrit Fred Burks.

 

« Le dard de cette arme secrète de la CIA peut traverser les vêtements et il ne reste rien d’autre qu’un petit point rouge sur la peau. Au moment de la pénétration de la flèche mortelle, l’individu ciblé pour assassinat peut sentir une piqûre de moustique, ou tout aussi bien rien du tout. Le dard venimeux se désintègre complètement en entrant dans la cible ».

 

Burks suggère que Mark Pittman, un journaliste qui avait prédit la crise financière et exposé les méfaits de la Réserve fédérale qui a conduit à un procès Bloomberg contre le cartel de bankster, a pu être assassiné avec l’arme de la CIA.

 

 

On pourrait rajouter :

 

— La DARPA finance des études d’influence sur les réseaux sociaux

— Comment les États-Unis tentent de déstabiliser l’Ukraine (2007 /2 014) pour s’attaquer à la Russie :

Comment les États-Unis ont participé activement à la création de l’UE 

Comment le FBI fabrique les terroristes

La mise en place prévue de Mario Monti à la tête de l’Italie

— Projet de false flag en #Syrie par la #TURQUIE ! – Conversation fuitée – #Erdogan

….

 

>>> Voir d’autres photos et images relatives à ce qui précède : ici

 

 

 

Par openews.eu – le 5 septembre 2014

Koter Info's insight:


Article à mettre en relation avec celui intitulé

« Et la CIA créa le label

Théoriciens du complot… » 

repris en deux parties ici :

http://sco.lt/85vE49

http://sco.lt/5qCBHt

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