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La Gazette des campus de LLN et de WSL-UCL ainsi que diverses infos intéressantes visant la vérité ou l'autre vérité (qui que ce soit qui la dise, mais sans forcément prôner l'auteur).  -  Duc
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Vidéo - Révisionnisme : 10 h d’audience pour Robert Faurisson, Paul-Éric Blanrue et Marc George

Vidéo - Révisionnisme : 10 h d’audience pour Robert Faurisson, Paul-Éric Blanrue et Marc George | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Vidéo - Révisionnisme : 10 h d’audience pour Robert Faurisson, Paul-Éric Blanrue et Marc George

 

 

Robert Faurisson, Paul-Éric Blanrue et Marc George ont comparu le mardi 16 juin devant la 17e chambre correctionnelle du TGI de Paris pour des propos tenus dans le documentaire « Un homme » jugés contraires à la loi Gayssot par la LICRA. L’association, qui prétend lutter contre le racisme et l’antisémitisme, accuse Robert Faurisson d’avoir tenu des propos révisionnistes dans ce documentaire réalisé par Paul-Éric Blanrue. Marc George, quant à lui, est accusé d’avoir relayé le film sur le site medialibre.eu.

 

Nous avons pu recueillir leurs propos avant et après l’audience qui s’est terminée aux alentours de minuit après plus de 10 heures de débats. À noter que Kémi Séba était lui aussi appelé devant la 17e chambre le même jour pour répondre à une plainte pour « incitation à la haine raciale » déposée par Ahmed Meguini, un journaliste proche de Bernard Henry Lévy et de Caroline Fourest.

 

 

>>> voir la vidéo ici

 

 

 

Vidéo ajoutée par l’Agence Info Libre sur YouTube le 17 juin 2015.

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Vidéo - Un Français de confession juive recadre Valls, le CRIF et la Licra : « Je n’ai jamais ressenti d’antisémitisme durant ma petite vie »

Vidéo - Un Français de confession juive recadre Valls, le CRIF et la Licra : « Je n’ai jamais ressenti d’antisémitisme durant ma petite vie » | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it



Vidéo - Un Français de confession juive

recadre Valls, le CRIF et la Licra : « Je n’ai jamais ressenti d’antisémitisme durant ma petite vie »

 


« J’ai 38 ans, je n’ai jamais ressenti d’antisémitisme durant ma petite vie. »

 

Voilà comment débute cette vidéo, où il nous est donné l’occasion d’entendre un témoignage qui ne sera très certainement jamais relayé sur les médias de masse. En effet, à travers le témoignage de ce citoyen de 38 ans, se définissant lui-même comme un juif non pratiquant, un « juif du quotidien », nous découvrirons une autre vision de l’antisémitisme que celle qui nous est distribuée à longueur d’antenne par les organisateurs de la bonne conscience. À l’ère de l’information sensationnelle, on est toujours plus hâtif dans la quête de ce qui choque, ce qui attire l’attention et la retient, plutôt que de ce qui informe réellement, que de ce qui est juste, exact, comme l’illustre d’ailleurs la fameuse fausse agression antisémite du RER D.

 


« Il est beaucoup plus difficile en France d’être black ou de s’appeler Mohammed que d’être juif, ça se voit pas si vous voulez. »

 

C’est le constat qui est fait, et si, pour certains, c’est enfoncer des portes ouvertes que de prononcer de tels propos, pour d’autres cela sonnera comme le retour aux heures les plus sombres de notre Histoire, évidemment.

Malencontreusement pour les cadres de la falsification, cette fois, il sera très difficile de taxer le porteur de cette parole d’antisémitisme, et le degré de mauvaise foi requis pour le faire semble trop élevé pour que certains daignent tenter une telle argumentation fallacieuse. Et si jamais on doutait de la véracité d’une telle constatation sur le traitement différentiel des différentes populations, prenons donc le Rapport de la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme, relayé par le CRIF notamment, qui statue que : « Les indices longitudinaux de tolérance par minorités indiquent que les juifs restent la minorité la mieux acceptée, avec un indice frôlant les 80, supérieur de 6 points à celui des noirs, de 17 points à celui des Maghrébins et de 26 à celui des musulmans. »

 

« J’ai compris une chose avec les années, c’est que si je le dis pas, ils l’auraient jamais su. »

 

Dès son enfance, sa famille, pratiquant la religion juive, lui a appris qu’il valait mieux ne pas dire qu’il était juif autour de lui. Il se demande pourquoi, on lui rétorque que « c’est mieux », sans jamais lui formuler de réponse très claire. À l’école, lorsqu’il annonce qu’il est juif, il s’attend à en subir les « retombées », mais rien de tout cela n’arrive. L’impression qui se dégage de son expérience, c’est que partout où sa famille, et par la suite les médias, s’attendent, voire le préparent à un antisémitisme virulent, automatique et acharné, lui ne rencontre rien de tout cela.


À ce sujet, l’excellent documentaire de Yoav Shamir, Defamation, nous montre l’envers du décor, la fabrication de l’antisémitisme directement en Israël, et la propagande pratiquée sur les enfants pour en faire des êtres totalement paranoïaques, plongés dans une psychose, voyant le monde entier comme leur ennemi, et Israël comme leur unique allié et seul défenseur.

 

 

« Il faut vraiment que les gens fassent la différence entre les juifs et les sionistes, ça n’a absolument rien à voir. »

 

Rejetant le communautarisme à partir de son adolescence, il déclare que celui-ci lui « fait peur ». L’idée d’un monde où il y aurait des écoles pour chaque minorité, et où l’on serait séparé des personnes qui ne partagent pas notre culture lui apparait comme effrayante, et lui voit à travers le sionisme de certains membres de sa famille une volonté ségrégationniste, isolatrice, encouragée par la politique d’Israël. Il raconte que régulièrement, il reçoit du courrier, en hébreu et en français, pour des cours de langue, ou des voyages vers Israël, tout cela émis directement par le gouvernement de Benjamin Netanyahou, et évidemment, à des tarifs réduits. Dans ce témoignage, c’est la politique sioniste qui est dénoncée comme étant raciste, et les propos de Manuel Valls comme incitants à la peur, voire à la haine des autres, puisque notre invité déclare se sentir « protégé ».

 


« Je suis à l’avant-garde, mais y a qui à l’arrière-garde ? »

 

Tout le monde se souvient des propos de notre Premier ministre, qui qualifiait alors les juifs de France « d’avant-gardes de la République ». « J’ai pas envie de faire partie de cette avant-garde surprotégée, avec une justice à deux vitesses selon la couleur de notre peau » lui répond notre interlocuteur. Il rappelle que l’idéologie sioniste est « un projet raciste d’un État d’extrême droite », État auquel Manuel Valls se déclare éternellement lié, ce qui a d’ailleurs pu sembler choquant à de nombreuses personnes en France, et ailleurs dans le monde.


La situation en Israël témoigne de la volonté d’une avant-garde privilégiée, ultra-raciste et extrêmement agressive, aux volontés colonialistes, et dont les attaques incessantes envers les populations voisines ne semblent pas connaitre de limites. On peut donc, à juste titre, s’interroger et questionner le souhait de notre Premier ministre quand il réitère de manière multipliée des propos qui invitent à une forme d’« apartheid », que celui-ci s’empresse de dénoncer, tel un pompier pyromane.

 

En conclusion, il est important de remettre à l’ordre du jour la lecture de notre Constitution pour tous, même nos élus, puisque celle-ci statue en son Article 3 :

 

« La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum.

Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. »

 

 

 

Par Arby - Propos recueillis par Gérôme-mary Trebor - cercledesvolontaires.fr – le 30 avril 2015.

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