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François Gervais : défendons l’innocence du carbone !

François Gervais : défendons l’innocence du carbone ! | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Le Pr François Gervais, auteur de « l’innocence du carbone » (Éd. Albin Michel) - Crédit : Institut Schiller

 

 

François Gervais :

défendons l’innocence du carbone !

 

Voici la transcription de l’intervention du Pr François Gervais, professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours, rapporteur critique auprès du GIEC – ARS5, Tours, lors de la conférence internationale de l’Institut Schiller du 13-14 juin 2015 à Paris.

 

Je voudrais commencer par remercier l’Institut Schiller de m’offrir l’opportunité de présenter mes travaux à l’Université François Rabelais, travaux publiés en anglais dans l’International Journal of Modern Physics et en français par Albin Michel. Les résumer pourrait se ramener à répondre à la question : le climat réel valide-t-il les modèles de climat virtuel ? Nous verrons en particulier que l’alarmisme climatique n’est pas fondé sur les mesures, mais exclusivement sur les projections des modèles de climat jusqu’à la fin de ce siècle. D’où l’importance de la question : sont-ils validés par les observations ?

 

La Banque mondiale – grande spécialiste du climat comme chacun sait – a récemment chiffré le coût de la lutte contre les émissions de dioxyde de carbone, le CO2, émis par combustion des ressources fossiles, charbon, pétrole, gaz naturel ou gaz de schiste. Le coût de cette lutte atteindrait 89 000 milliards de dollars, autrement dit 16 milliards par jour d’ici 2030. Cet effort considérable est censé contenir un réchauffement de notre Planète par effet de serre en dessous du seuil de 2 °C.

 

Face à un tel enjeu, une première démarche toute simple consiste à vérifier si dans un passé récent, les émissions de CO2 ont bien provoqué une hausse de la température. La corrélation est loin d’être évidente puisque la température baissait lorsque les émissions ont commencé à accélérer et que la température montait tout autant de 1910 à 1945, de 0,6 °C, alors que les émissions étaient encore faibles, autant donc que de 1970 à 1998 alors que les émissions étaient alors 6 fois plus élevées. La corrélation est ainsi loin d’être frappante.

 

Quels sont les gaz à effet de serre dans l’air ? La réponse est simple : ceux dont la molécule est constituée d’au moins deux atomes différents. Le principal est la vapeur d’eau. Arrive loin derrière le CO2. Sa concentration dans l’air est passée en un siècle de 0,03 % à 0,04 %. Quel peut être l’impact de cette augmentation sur la température de la Terre ?

 

Plus précisément, quel en a été l’impact sur la température ici mesurée par satellite vers 17 km d’altitude ? Pourquoi à cette altitude ? Parce que c’est dans la partie haute de l’atmosphère, dans la basse stratosphère, là où la pression atmosphérique est plus faible, que la théorie de l’effet de serre prévoit la signature la plus nette. En revanche, à la surface de la Terre, la pression est plus élevée et l’effet est déjà presque saturé. De fait, la température n’augmente plus de façon significative ou mesurable dans les limites de l’incertitude expérimentale depuis presque 20 ans.

 

Dans la période de 1993 à 2015, le taux de CO2 dans l’air est passé de 355 millionièmes, ou ppm, pour « parties par million », à 400 ppm, soit presque la moitié du total des émissions depuis le début de l’ère industrielle. Quel en a été l’impact sur la température ? Nul ! Aucune évolution mesurable n’est constatée.

 

Conclusion : la théorie de l’effet de serre atmosphérique n’est pas vérifiée par les mesures. Et c’est sur cette théorie, non validée, que sont basés les modèles de climat qui prévoient un réchauffement de la planète. Comme le disait le Prix Nobel de Physique Richard Feynman, si une théorie n’est pas vérifiée par l’expérience, elle est fausse. Peu importe qui l’a proposée. Si elle n’est pas vérifiée par l’expérience, elle est fausse.

 

Un réchauffement a-t-il été observé à la surface de la Terre ? Oui. Mais il est pour partie dû à une composante cyclique. On a passé le dernier sommet d’un cycle de 60 ans et maintenant la température commence à légèrement redescendre.

 

C’est ce que montre un zoom sur les toutes dernières mesures du Hadley Center britannique en les recoupant par les mesures effectuées par différents satellites. Aucun modèle de climat repris par le GIEC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, n’a prévu cette évolution négative. Mais reconnaissons que la tendance mesurée reste encore en deçà de l’amplitude des fluctuations. À suivre donc...

 

Les médias – toujours prompts à annoncer un record – nous ont-ils annoncé le dernier record de superficie de banquise antarctique, pulvérisé le 21 septembre dernier ? Il a battu le précédent record de 2013 d’une quantité égale à la superficie de la France. Pourquoi ce silence ? La banquise arctique avait fondu jusqu’en 2012. C’est normal puisque l’on a passé le sommet du cycle durant la première décennie de ce siècle. Mais regardez comme le volume de glace à son minimum s’est reconstitué rapidement ces deux dernières années alors que les alarmistes prévoyaient leur disparition dès l’été dernier... En réalité, la superficie totale de banquise est redevenue supérieure à la moyenne depuis deux ans et demi, contredisant les modèles de climat repris par le GIEC. En effet, où est l’impact des émissions de CO2 puisque la superficie de banquise est redevenue excédentaire ?

 

Ce cycle d’environ 60 ans se manifeste ainsi non seulement sur la température (figure au-dessus à droite), sur les banquises comme nous venons de le voir (figure de gauche en bas), mais aussi sur la hausse du niveau des océans (figure du haut à gauche). Les données sont celles de la Figure 3.14 du rapport AR5 du GIEC, ici simulées par le cycle de 60 ans.

 

Dans mes deux rapports successifs envoyés au GIEC début 2012 puis fin 2012, je lui ai adressé les références sur ce cycle publiées dans des revues internationales à comité de lecture. C’est donc en parfaite connaissance de cause que le GIEC a fait le choix de ne pas tenir compte de la variabilité naturelle dans son rapport. En science, cela s’appelle du cherry picking, du tri sélectif, pas de la science.

 

Parce qu’ils ignorent ce cycle, les modèles CMIP3 et CMIP5 repris par le GIEC sont incapables de seulement retrouver le climat passé et en particulier la hausse de température de 0,6 °C entre 1910 et 1945. C’est flagrant. Ils divergent aussi des observations depuis le début de ce siècle comme nous allons maintenant l’examiner en détail.

 

Première remarque : regardez ce fouillis de « spaghettis », les modèles ne sont pas du tout d’accord entre eux, y compris ceux reprenant le même scénario d’émissions. Deuxième remarque, comme la température n’a pas augmenté depuis la fin du siècle dernier, leurs projections sont systématiquement au-dessus des mesures.

 

Enfin, aucun modèle n’a prévu le léger déclin de la température mesurée par les outils les plus précis, les satellites, depuis 2002. Si ce déclin se poursuit et surtout s’amplifie, gageons que les modélisateurs du climat auront un sérieux problème, et sans doute plus encore les politiques qui ont tout misé sur les prédictions du GIEC.

 

Les modèles envisagent différents scénarios d’émissions de CO2. Mais que nous apprennent les mesures en ce domaine ? Elles montrent que l’augmentation annuelle du CO2 dans l’air est très variable d’une année à l’autre.

 

Elle peut n’être que de 0,1 % ou atteindre 0,75 %. L’augmentation annuelle est faible lorsque la Terre est momentanément plus froide. Elle est beaucoup plus forte lorsque la Terre est sous l’influence d’une fluctuation de température chaude. La courbe bleue représente les fluctuations de température.

 

Les fluctuations de l’augmentation du CO2, en vert, les suivent comme leur ombre avec un retard de 9 à 11 mois. Sans rentrer dans les interprétations possibles de ce phénomène que le GIEC se plait à ignorer même lorsque le relecteur critique l’invite à le discuter, quelle est l’augmentation moyenne annuelle du CO2 dans l’air ? Environ 0,5 % par an depuis 20 ans. À ce rythme, le taux sera loin d’avoir doublé à la fin de ce siècle.

 

La sensibilité climatique – en anglais « transient climate response » – est définie comme l’élévation de température en cas de doublement du taux de CO2 dans l’air. Le GIEC rapporte qu’elle serait comprise entre 1 et 2,5 °C. Mais la Figure 11.25 (b) du rapport considère la valeur basse comme la plus probable. Ce « jugement » n’est toutefois pas reporté dans le « résumé à l’attention des décideurs ».

 

Trois articles plus récents que le rapport AR5 rapportent une sensibilité climatique comprise entre 0,6 °C et 1,4 °C, encadrant ainsi la valeur basse du GIEC. Au rythme actuel de hausse de 0,5 % par an du CO2 dans l’air depuis 20 ans, un calcul simpliste indique une augmentation de température comprise entre 0,3 °C et 0,6 °C.

 

Y a-t-il vraiment matière à hurler à la catastrophe annoncée ? Entre vendredi 5 juin et samedi 6 juin, la température en France a chuté d’environ 15 °C en 24 heures. Le vent du sud a tourné au nord. Les femmes en jolies toilettes légères ont remis leur pull à la nuit tombée. Mais ressentirions-nous vraiment une hausse virtuelle sur un siècle comprise entre 0,3 et 0,6 °C ?

 

Le réchauffement réel a pris fin. Les émissions de CO2 qui, elles, continuent au même rythme ne peuvent donc plus en être accusées. Qu’à cela ne tienne, tel le bouc émissaire, on accuse le CO2 de tout et n’importe quoi : des tempêtes, des ouragans, des sécheresses, des inondations, des vagues de froid aux États-Unis et au Canada, et même dans l’enthousiasme du moment des tsunamis et des tremblements de terre pour faire bonne mesure...

 

Pourtant, les mesures montrent que l’énergie cyclonique cumulée a tendance à décroitre comme on le constate depuis 20 ans sur la courbe bleue.

 

Torricelli a inventé le baromètre il y a 3 siècles. Il a vite remarqué qu’une pression plus faible annonçait de la pluie et une pression plus faible encore du vent, voire une tempête. Pour une pression moyenne, le temps reste incertain, variable. En revanche, une pression élevée laisse augurer un beau temps stable.

 

L’aurions-nous oublié ? Un ministre avec lequel je débattais sur RTL semblait, lui, l’avoir oublié. Je lui ai gentiment fait remarquer que sur un thermomètre n’était pas indiqué « tempête », « pluie », « vent ». Ce sont les indications reportées sur un baromètre...

 

Pour finir, et je le rappelle à chaque fois, car surtout ceux qui se prétendent « verts » semblent avoir un peu trop tendance aussi à l’oublier. Le CO2 est, par photosynthèse et via la production de glucose C6H12O6, un sucre, la nourriture indispensable et irremplaçable de la végétation, en particulier des plantes nutritives, des récoltes, tout en régénérant l’oxygène de l’air. Le CO2 dans l’air est passé en un siècle de 0,03 % à 0,04 %.

 

Est-ce trop ? Ou trop peu ? Au printemps et en été, dans l’hémisphère nord, on observe chaque année une chute du taux de CO2 dans l’air, consommé par une végétation en pleine croissance saisonnière. L’amplitude de cette chute a augmenté entre 1969 et 2013 comme mesuré ici à La Jolla en Californie. Cette amplitude a surtout augmenté plus vite que le taux de CO2 lui-même, preuve que la végétation semblait et semble toujours en manque de son nutriment préféré. Cet effet « collatéral » est donc éminemment bénéfique pour l’Humanité. Le bénéfice de l’augmentation du rendement des récoltes a été chiffré à 3000 milliards d’euros depuis 1961. Alors pourquoi devrions-nous le combattre alors même que l’effet minuscule sur la température n’a pas l’air de contrarier cette augmentation du rendement des récoltes.

 

En conclusion, plus de 1 350 publications dans des revues internationales à comité de lecture excluent tout risque d’un réchauffement supérieur à 2 °C et/ou insistent sur la variabilité naturelle du climat. Leur nombre a doublé depuis 2007. Le nombre de 1350 est à comparer aux 1 637 articles listés par la base de données Web of Science en croisant les mots-clés [anthropogenic] AND [greenhouse OR CO2] AND [warming].

 

D’autres articles habituellement considérés comme allant dans le sens des conclusions du GIEC se contentent en fait, soit de rapporter les observations que les chercheurs utilisent comme je l’ai fait pour montrer qu’il n’y a pas de corrélation entre température et CO2 atmosphérique, soit de simuler quel serait l’impact sur tel ou tel écosystème si la température montait de 2°, 3°, 4°.... Si la température montait... Rassurons-nous, elle ne monte plus. Le catastrophisme est uniquement basé sur les projections de modèles de climat. Tout modèle est faux par définition. Plus ou moins faux. Dans le cas des modèles de climat, la sensibilité climatique TCR est rapportée entre 0,6 et 2,5 °C. Ils ne sont donc pas du tout d’accord entre eux et ils reconnaissent une incertitude de 2,5/0,6 = 417 %.

 

Les plus alarmistes ne sont pas validés par les mesures. Faudrait-il donc leur faire confiance alors que l’évolution du climat réel, elle, n’apparaît pas foncièrement inquiétante ?

 

Je vous remercie.

 

 

 

Par la Rédaction de Solidarité & Progrès – le 21 juin 2015

Source : Institut Schiller

Vers les autres discours de la conférence.

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Réchauffement climatique : l’effet de serre remis en question

Réchauffement climatique : l’effet de serre remis en question | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Légendes 1 & 2 : François Gervais couverture du Livre  « L’innocence du Carbone » - L’effet de serre remis en question – Contre les idées reçues de François Gervais – Éditions Albin Michel



Réchauffement climatique :

l’effet de serre remis en question

 

Conférence-débat avec François Gervais, physicien, spécialiste de thermodynamique. Professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours, médaillé du CNRS et primé par l’Académie des Sciences, il a récemment été choisi comme rapporteur critique par le GIEC.

 

Liens :

 

1  La présentation de François Gervais en PDF

La réponse point par point de François Gervais au journal Le Monde, suite à la publication d’une tribune à charge contre son livre. Le Monde a refusé de publier ce texte, y compris de le mettre en ligne sur leur site internet.

 

 

Questions/réponses :

 


 

 


 

 

 

Revue de livre : « L’innocence du Carbone » - L’effet de serre remis en question – Contre les idées reçues de François Gervais - Éditions Albin Michel (315 pages, 22 €)

 

Si vous voulez prendre un bon bol d’air, je vous invite à vous projeter dans l’esprit d’un chercheur (ancien responsable d’un laboratoire mixte de recherche CNRS/Université de Tours, spécialiste des rayonnements infrarouges et des matériaux), qui a abandonné l’écriture du livre retraçant sa carrière pour creuser un paradoxe scientifique.

 

Plongé dans la rédaction du dernier chapitre sur le monde que nous allons laisser à nos enfants et la responsabilité de l’homme dans le réchauffement climatique, il bute sur un os carboné. Il réalise que la communauté scientifique n’est pas aussi convaincue que nos manuels scolaires et nos ministres que le CO2 soit la cause du réchauffement climatique. Choc, pour un défenseur de la recherche publique, de réaliser que cette vérité à laquelle tout le monde croit n’est pas prouvée par les experts du climat du GIEC.

 

Débute alors pour François Gervais une aventure. Il met de côté son projet de livre pour se lancer dans plus de trois ans de recherche à travers les milliers d’articles que compte la littérature sur le Climat.

Convaincu qu’il y a un bug dans la matrice, le professeur Gervais va pousser le bouchon plus loin pour en avoir le cœur net. Il postule donc pour devenir relecteur critique du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat), à l’occasion de la rédaction de son cinquième rapport. Sa candidature acceptée, il va pouvoir expérimenter son hypothèse et voir si ses critiques, et les lièvres qu’il a soulevés entre les théories et la réalité seront honnêtement étudiés par les experts du climat. Par deux fois ses commentaires critiques resteront sans réponse.

 

Convaincu de la mauvaise foi de ces scientifiques de profession que dénonçait en son temps le poète Friedrich Schiller, il prendra sa plume pour écrire ce livre que je vous invite à lire, afin de prendre le temps de connaître cette molécule soi-disant méchante baptisée CO2, qui asphyxie vos rêves.

 

D’autant plus que cette année, la France mobilise tous les pays pour en exiger l’interdiction, avec la COP21 (21ème Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques) qui aura lieu à Paris en décembre.

 

Vous pourrez poser vos questions à François Gervais à l’occasion de la conférence diffusée en direct sur notre site internet le 6 mai prochain. Bon travail d’ici là.

 

 

 

Par Alexandre Noury - solidariteetprogres.org – le 6 mai 2015

 

Légendes images :


Image 3 :

« Distinguons-nous le point au bout de la flèche ? Non ? C’est normal. Il est trop petit pour être visible à l’œil nu. Il représente l’accroissement annuel de la proportion de CO2 anthropique dans un volume d’air schématisé par la surface du carré. C’est ce point imperceptible que le protocole de Kyoto prétend éradiquer à grands coups de milliers de milliards d’euros. Le principal gaz à effet de serre dans l’atmosphère est la vapeur d’eau. Au niveau de la mer, elle peut être jusqu’à quarante fois plus concentrée que le dioxyde de carbone. La vapeur d’eau est émise en quantités comparables au CO2 lors de la combustion des carburants ou de gaz naturel. Elle est pourtant exclue des engagements de Kyoto. Pourquoi cette ségrégation ? »

Extrait de « L’Innocence du Carbone » par François Gervais.

 

 

Image 4 :

L’Afrique n’émet pas assez de CO2 !

« L’écologie radicale ne s’avère-t-elle pas carrément nauséabonde lorsqu’elle considère la Terre trop peuplée et prône le malthusianisme ? Comme l’a si bien mis en scène Jean-Christophe Ruffin, de l’Académie française, lauréat du prix Goncourt, dans Le parfum d’Adam, autant commencer à limiter la population en s’en prenant aux gueux, crève-la-faim, loqueteux, va-nu-pieds, bref aux pauvres qui déparent une si belle planète aux yeux de certains nantis. »

Extrait de « L’Innocence du Carbone » par François Gervais.

 

Image 5 :

Le réchauffement climatique, c’est comme le rugby.

« Le spectre de vibration atomique de la vapeur d’eau, principale origine de l’absorption du rayonnement électromagnétique émis par la Terre, s’étale sur la majeure partie de la gamme infrarouge. En revanche celui du CO2 est une vraie « passoire » au rayonnement. Cette molécule n’absorbe qu’à deux fréquences principales, 20 et 70 mégahertz (chapitre 3). Tout joueur de rugby confirmera qu’il est moins difficile de passer le drop entre les poteaux que de viser et toucher l’un des deux… »

Extrait de « L’Innocence du Carbone » par François Gervais.

 

 

Image 6 :

Attention à l’effet de serre(s) !

« Ecofascisme, écototalitarisme, écologie profonde ont pour point commun de rejeter toute idée de démocratie et de prôner une dictature verte. Ils se sont approprié la lutte impitoyable contre le CO2. Mais cette écologie extrémiste qui place la Nature au-dessus de l’Homme n’est-elle pas une insulte à l’humanisme ? Force est de constater que la Nature est en fait l’incarnation de la victoire du fort sur le faible. Elle personnifie la compétition impitoyable pour la survie. »

Extrait de « L’Innocence du Carbone » par François Gervais.

 

Koter Info's insight:



Un très intéressant article à lire ainsi que deux vidéos à voir attentivement afin de nous éclairer sur la question du réchauffement climatique.



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