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Ukraine/Donbass : attaque ukrainienne sur Marinka en préparation

Ukraine/Donbass : attaque ukrainienne sur Marinka en préparation | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photos :

à gauche en haut : capture d'écran de la vidéo ci dessous " La guerre en Ukraine – L’ennemi à leurs portes - un reportage en images sur les souffrances endurées par le Donbass"

à gauche en bas : les pluies de ces derniers jours ont mis à mal les fameuses défenses ukrainiennes. L’infranchissable « Ligne Poro » est à l’eau… ! Vue d’un Blok Post près de Krymskoe sur la Seversky Donets, au nord-ouest de Lugansk.

Photo de droite : le sénateur US néoconservateur John McCain, en visite à Dniepropetrovsk.

 

 


Ukraine/Donbass : attaque ukrainienne

sur Marinka en préparation



Les chances du potentat de Kiev de se maintenir encore un peu au pouvoir pourraient n’avoisiner que 18 mois tout au plus. Le coup d’État du Maïdan a mené directement à une catastrophe sans précédent, la politique du régime « proeuropéen » est un échec cuisant. Le régime se meurt progressivement et, tel un animal blessé, il devient imprévisible. D’autant que les États-Unis semblent peu pressés de lui fournir de l’armement sophistiqué de crainte que celui-ci ne tombe entre les mains des Russes. Mais il faut que la ligne de front tienne encore afin de pouvoir relancer les sanctions économiques contre la Fédération de Russie cet été. Nous allons donc assister désormais à une série de provocations d’intensités plus ou moins fortes de la part des forces de Kiev. Cette offensive d’été dans le Donbass restera dans les annales militaires.

 

  

  

Plus de 10.000 soldats et paramilitaires ukrainiens ont déserté au cours de l’année écoulée : c’est l’état-major de Kiev qui vient de la reconnaître publiquement. Avec le déficit grandissant de conscrits, les quelque 100.000 combattants tués, blessés ou faits prisonniers depuis un an, l’armée du potentat de Kiev fait triste figure. Ce ne sont pas des armes qui manquent, mais des combattants motivés, bien formés, aguerris et surtout qui croient au combat qu’on leur impose. Or, il n’en est rien. Même le nouveau matériel répond aux abonnés absents : l’armée ukrainienne devait recevoir 200 nouveaux blindés « Dozor-B » en mars, pour remplacer les BRDM-2, mais un seul modèle d’essai a été fabriqué… et il est tombé en panne.

 

Les pluies de ces derniers jours ont mis à mal les fameuses défenses ukrainiennes, tant vantées par la presse kiévienne. L’infranchissable « Ligne Poro » est à l’eau… ! 

 

 

Évacuation d’une partie des quartiers résidentiels

à l’ouest de Donetsk


Mais les accrochages et les duels d’artillerie ne diminuent pas pour autant au nord de la ligne Pervomaïsk – Lugansk : hier, les forces de Nouvelle Russie déploraient 3 tués, 37 blessés et un blindé d’infanterie détruit, alors que les forces de Kiev décomptaient 14 tués, 38 blessés, 2 chars lourds et 2 batteries de mortier détruits.


Opération de « ratissage » de grande envergure au nord de Lugansk ce samedi 20 juin. Les forces répressives n’avaient pas l’intention de lésiner pour faire la chasse à tout ce qui leur semblait suspect d’être suspect, selon l’expression de Fouquier-Tinville et des colonnes infernales de Turreau lors de la guerre de Vendée. Le 9e « bataillon » de défense territoriale « Vinnitsa » et des éléments du SBU étaient à la tâche. Ainsi, les agglomérations se situant au sud de Severodonetsk et notamment Nizhnoe, Svetlichnoe et même Popasna ont été soigneusement quadrillées, fouillées, les civils brutalisés, comme il se doit. On compte plusieurs arrestations arbitraires et des dizaines de blessés suite à des brutalités injustifiables de la part des paramilitaires.


En général, ce type d’opération de « nettoyage » préfigure le lancement de grandes opérations offensives. En milieu d’après-midi, on apprenait qu’un bataillon d’environ 700 combattants était arrivé à Severodonetsk.


Une opération qui n’empêche pourtant pas l’action des DRG républicains. Ainsi, Zoran Shkiryak, conseiller auprès du ministre des Affaires intérieures de Kiev, a reconnu sur sa page Facebook la destruction, hier, vers 16 h (heure locale) de deux ponts routiers situés entre Popasna et Trinskoe.


Hier soir, on signalait l’arrivée au nord-ouest de Gorlovka d’une colonne ukrainienne motorisée de près de 30 véhicules. Là encore, il faut s’attendre dans les heures qui viennent à des reconnaissances offensives de la part des forces de Kiev, voire plus.

 

  

 

L’OSCE affirme avoir constaté une nette aggravation de la situation dans la zone de l’aéroport de Donetsk, à partir de 13 h, le 19 juin : les frappes de l’artillerie ukrainienne se sont intensifiées tout le week-end et les accrochages sont de plus en plus fréquents. Des frappes qui touchent aussi de plus en plus fréquemment les quartiers résidentiels de Donetsk. Selon l’administration de la ville, l’intensification des tirs et les pertes civiles très inquiétantes ces derniers jours ont obligé à faire évacuer une partie du quartier Kuibyshev : 1.200 à 1.300 civils, dont 20 % d’entre eux ont moins de 18 ans, ont dû quitter leurs habitations.



Marinka : nouvelle attaque kiévienne en préparation 

 

 

 

 

Les forces de Kiev ont positionné de grandes quantités d’armements lourds dans le secteur de Marinka, y compris dans les zones résidentielles : essentiellement des blindés d’infanteries, des chars lourds et de l’artillerie. Le commandement de Kiev prépare apparemment un nouvel assaut sur la partie ouest de la périphérie de Donetsk. Les forces ukrainiennes ont intensifié depuis 48 heures leurs attaques sur l’est de Marinka. Le pilonnage n’a pas cessé sur les positions supposées des FAN, y compris en profondeur vers l’agglomération de Donetsk, pendant plusieurs heures. On note surtout des frappes de mortiers de 120 et de 122 D-30, mais aussi des salves de Grad. Avant-hier, sur ce secteur, 2 civils ont été tués et les assaillants kiéviens ont perdu 6 à 9 tués et près d’une trentaine de blessés.

 

Stavros Bagateliya, le commandant adjoint de la garde républicaine de Donetsk (ancien champion ukrainien de jiu-jitsu et commerçant à Donetsk), confirme la présence de fortifications ukrainiennes dans les zones résidentielles du bourg, certaines maisons sont équipées de mitrailleuses et des snipers sont embusqués un peu partout. Les affrontements se déroulent généralement la nuit, cela peut durer pendant 4 à 5 heures, les tirs se calment à l’aube… Marinka risque de connaître le sort de l’aéroport de Donetsk : pilonnages intensifs, attaques massives et totalement irrationnelles de la part des groupes tactiques mécanisés de Kiev, jusqu’à épuisement des effectifs.

En janvier dernier, les « rotations » ukrainiennes pour soi-disant relever les « Cyborgs » étaient en fait destinées à maintenir une présence armée symbolique au sein de quelques bâtiments en ruines dans l’aéroport afin d’entretenir le mythe de la résistance ukrainienne sur le site, au mépris de pertes énormes. Sur le bourg de Marinka, nous sommes dans la même configuration tactique.

 

 

Règlements de comptes internes à la junte

 

Le « bataillon Tornado » et ses quelque 170 paramilitaires (soit 2 compagnies affaiblies) ont donc été mis sur la touche. Le commandant de l’unité et d’autres avec lui ont été arrêtés. Mardi dernier, cette unité de « police » (sic) célébrait sa première année d’existence. Le procureur militaire de l’Ukraine, Anatoly Matios, affirme détenir le témoignage de civils qui ont été brutalement torturés et maltraités par les hommes de « Tornado ».

 

Formée sur la base du « bataillon Shakhtarsk », étrillé lors des combats de l’été 2014, puis dissous en octobre suivant en raison de cas avérés de pillages, « Tornado » a été placé sous l’autorité du commandant adjoint de « Shakhtarsk » Ruslan Onishchenko, un individu lié au grand banditisme et condamné maintes fois pour divers crimes et délits. D’ailleurs, la plupart des paramilitaires de « Shakhtarsk » et de « Tornado » étaient des repris de justice, libérés après le coup d’État du Maïdan par le nouveau pouvoir. Anton Gerashchenko, principal conseiller du ministre de l’Intérieur Arsen Avakov, proche de la mouvance néonazie et néobandériste, avait pris soin d’effacer les ardoises judiciaires de ces grands défenseurs de l’Ukraine « proeuropéenne ».


En août, l’année dernière, Onishchenko était présenté par Gerashchenko comme un « combattant courageux » contre « l’occupation russe ». Et le chef du Patriarcat de Kiev (l’Église autocéphale dite uniate), secte militarisée reconnue par le Vatican, avait même octroyé à cet excellent apôtre une distinction honorifique « Pour le sacrifice et l’amour de l’Ukraine ».

 

L’éviction d’Onishchenko fait penser à la partie immergée d’un vaste règlement de comptes interne à la junte. Aussi, après Nalivaychenko, chef du SBU destitué dernièrement, il est probable que l’actuel ministre des Affaires intérieures prenne le large lui aussi : Arsen Avakov est sur la sellette.

 

 

« Tornado » dissout, puis en limogeant certains poids lourds du coup d’État du Maïdan, Kiev fait croire que le ménage peut être fait dans ses rangs, alors que l’OTAN feint de s’inquiéter de la présence d’extrémistes dans les unités répressives engagées dans le Donbass.

Ce qui n’a pas empêché le sénateur US néoconservateur John McCain, en visite à Dniepropetrovsk pour l’Administration d’Obama, d’aller saluer les paramilitaires du « bataillon Dnepr-1 » (photo), une unité spécialisée dans le nettoyage ethnique. Comme lors de missions précédentes auprès des islamistes d’al-Nosra et de Daech (en Syrie), McCain est en visite officielle pour son gouvernement, afin de transmettre sur place quelques ordres…


D’autant que, si le matériel militaire sophistiqué n’est toujours pas arrivé en quantité au sein des unités engagées contre les forces de Nouvelle Russie, les surplus militaires occidentaux débarquent par cargos entiers. Un nouveau lot de 55 blindés AT-105 Saxon devrait arriver à Odessa d’ici quelques semaines. En février, une vingtaine de ces petits blindés à la fiabilité douteuse avaient déjà été livrés et répartis entre la 25e brigade aéroportée (reconstituée) et les 79e et 95e brigades aéromobiles.

 

 

Le grand recrutement

 

Le « régiment » (sic) de néonazis « Azov » projette de se transformer en « brigade » de 2.500 hommes. Déjà, une centaine de paramilitaires du « bataillon Tornado » dissout, devraient bientôt rejoindre les rangs d’« Azov », qu’ils aient été mêlés à des actes de torture, des assassinats, du pillage ou encore des viols ne pourra que faciliter leur intégration. Mais cela ne suffira pas pour passer de 600 à 800 (selon les sources) paramilitaires néonazis et néobandéristes (encadrement de « contractors » anglophones et de Géorgiens et Tchétchènes islamistes compris) à quelque 2.500.

 

Pour cela, le commandement d’« Azov » et les Patriotes ukrainiens viennent d’envoyer, avec des éléments de Praviy Sektor, leurs émissaires dans toute l’Europe occidentale, y compris en France, pour y dénicher de bonnes poires qui voudront bien se faire trouer la peau pour les oligarques, pour Soros, pour Fabius, Fourest, Obama et BHL… Nous verrons bien combien de dégénérés hexagonaux et de fin de race admirateurs des néonazis d’Ukraine répondront à cet appel. À noter qu’aucun des chefaillons des sous-groupuscules de l’extrême droite identitaire et consanguine qui ont été contactés pour ce grand recrutement ne s’est porté volontaire pour servir de chair à canon : ces gens-là préfèrent toujours laisser plus crétins qu’eux se sacrifier à leur place.

 

Aussi, il est nécessaire de rappeler que le soutien d’un étron mondialiste aussi symptomatique que Bernard-Henri Lévy au coup d’État du Maïdan et son attachement à la dictature qui s’en est suivie, sa prise de parole devant des milliers d’Ukrainiens, sans qu’il ne soit le moins du monde inquiété, ni par Svoboda, ni par Praviy Sektor et encore moins par les Patriotes ukrainiens ou l’UNA-UNSO, ont confirmé que la guerre mondialiste qui est faite non seulement à la Russie, mais à l’ensemble des Slaves orthodoxes et même à tous les peuples libres, passe par la déstabilisation de l’Ukraine et, par là même, de l’ensemble du continent européen. Être du côté de la junte, de quelque manière que ce soit, c’est servir de larbin aux intérêts de l’hyperpuissance US et ses laquais européistes.

 

 

 

Par Jacques FrèreNationspresse.info – le 21 juin 2015.

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Fabius, Merkel, la Crimée et les 2 millions de blacklistés

Fabius, Merkel, la Crimée et les 2 millions de blacklistés | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Fabius, Merkel, la Crimée et

les 2 millions de blacklistés

 

Madame Merkel, dans un article publié par le G7, utilise à nouveau le mot « annexion » au sujet de la Crimée. Elle récite la leçon du professeur Obama en désignant les trois principaux dangers mondiaux : la fièvre Ebola, le califat islamique et la Crimée.

 

Agacé, le porte-parole du Kremlin fit, en réponse, la déclaration suivante : « La menace à l’ordre du monde et de l’ordre en Europe n’a pas été créée par la Crimée, mais quand l’Europe démocratique et éclairée a béni le changement de régime par la force dans l’un des États européens, à savoir l’Ukraine. »

 

Si ma mémoire est bonne, Mme Merkel a fait une erreur de terminologie dans sa déclaration en utilisant le mot « annexion » au lieu de « se joindre ».

 

La réunification de la Crimée avec la Russie a été volontaire et dans le cadre de la loi. La décision a été prise par référendum et par l’autorité législative légitime de Crimée, qui avait été mise en place légitimement et qui opérait légitimement, y compris dans le cadre de la législation ukrainienne de l’époque. Voilà pourquoi le terme « annexion » ne peut en aucun cas être utilisé ici, de notre point de vue.


Par son refus d’entériner le retour de la Crimée à la Russie, les nations occidentales créent le délit d’outrage aux USA. L’électeur de Crimée est sanctionné, car il a manifesté son attachement à la Russie.


La France sanctionne une collectivité, car elle a mal voté du point de vue américain.

 

Aujourd’hui, un habitant de Crimée se verra refuser un visa par l’ambassade de France à Moscou, car il réside en Crimée, et elle lui conseillera avec cynisme d’aller demander son visa à Kiev. Là, il ne pourra l’obtenir, car il est détenteur d’un passeport russe.

La France a donc mis sur liste noire plus de 2 millions de personnes. Alors, les cris d’orfraie pour les 4 pelés et 3 tondus listés par la Russie semblent bien dérisoires, ou plutôt indécents.

 

Alors que j’étais résident ukrainien en Crimée, j’ai été surpris de voir déboucher les bouteilles de champagne au son des feux d’artifice à 23 heures le 31 décembre. Réponse me fut donnée, elle était fort simple : il était minuit à Moscou ! Les Criméens avaient les pieds à Simferopol et le cœur à Moscou.

 

L’URSS n’a pas entravé la réunification de l’Allemagne, comprenant enfin le mouvement de cœur d’une population, son désir de se retrouver ensemble. Trente ans après, la Fédération de Russie espérait a minima la même compréhension de la part de madame Merkel, qui avait connu cette espérance, cet élan fraternel et enfin cette joie des retrouvailles.

 

Visiblement, l’ambition d’une carrière internationale, voire onusienne, lui a définitivement séché le cœur.

 

Avec un pied en Europe et l’autre aux États-Unis, la politique étrangère de Merkel et de Fabius se résume au grand écart permanent.

 

La Russie sait reconnaître le talent des danseurs. Même si Fabius et Merkel devaient persister dans les figures imposées par Obama, elle est prête à les accueillir à bras ouverts.

 

Mais seulement au théâtre du Bolchoï.

 

 

Par Ronald Zonca - bvoltaire.fr – le 6 juin 2015.

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Copenhague : deux questions sur le 14 février

Copenhague : deux questions sur le 14 février | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Dessin : Christian Larivière - chris.blog.mongenie.com


 

Copenhague : deux questions sur le 14 février

Par Patrice de Plunkett (*)

 

 

Elles sont pénibles, mais nécessaires :

 

1. Samedi 14 février à Copenhague, que faisait l’ambassadeur de France dans un simple centre culturel de quartier, devant moins de quarante personnes et à la même tribune que l’Ukrainienne Inna Chevchenko, chef des très douteuses Femen ? Que M. Zimeray n’ait pas reculé devant cet invraisemblable amalgame entre Femen et Quai d’Orsay (provocation c/diplomatie) en dit long sur le délabrement mental des pouvoirs publics.

 

2. Que faisait notre ambassadeur dans ce « débat », sachant qu’il était organisé en l’honneur du dessinateur suédois Lars Vilks, par le comité qui porte son nom ? Auteur du « Mahomet en chien » de 2007, Vilks est certes visé par des terroristes et vit sous protection policière armée (d’où l’échec d’Omar el-Hussein le 14 février). Mais il a participé en septembre 2012, à New York, à une réunion internationale organisée par l’English Defence League, mouvement de provocateurs dont beaucoup de militants ont soutenu le massacreur norvégien Breivik lors de son procès. De même, le galeriste de Vilks à Malmö a été l’organisateur de la première marche Pegida en Suède...

 

Inna Chevchenko est issue de la pire extrême droite ouest-ukrainienne.

Lars Vilks, qualifié de « type un peu étrange » même par Libération (16/02), a des fréquentations qui semblent se situer à la droite de Gengis Khan. Force est de constater que Laurent Fabius, tellement intransigeant paraît-il sur les Valeurs d’Aujourd’hui, laisse ses représentants s’afficher en pareille compagnie.


Il est vrai que M. Fabius s’est laissé photographier attablé à Kiev avec le leader « social-nationaliste » Oleg Tyagnybok en février 2014...


Le plus simple serait que le gouvernement français publie un aide-mémoire pour nous dire en quels lieux le nauséabond est fréquentable, et en quels lieux il ne l’est pas. (J’ai une idée de la réponse).

  



Par Patrice de Plunkett (*) - plunkett.hautetfort.com – le 14 février 2015

 

(*) Patrice de Plunkett est un journaliste et essayiste français, qui codirigea le Figaro Magazine… (Source Wikipédia)

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BHL - Bernard-Henri Lévy

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Bernard-Henri Lévy : «Je suis le représentant de la tribu d’Israël».

 

Peux-t-on s'auto-proclamer tel celui qui guida le peuple d'Israël hors d'Egypte, sans commettre là, un pitoyable blasphème ? Serait-il possible que le peuple d'Israël accepte d'être guidé par des néo-guignols auto-adoubés ? Ou bien y-a-til des limites au burlesque ?

 

Oui, les limites sont bien franchies : car des conséquences de ces frasques, il est question de la vie d'enfants !

 

Et ceux qui se font les relais de la propagande de guerre, ces ignorants, ces idiots utiles qui succombent aux charmes des sirènes de "l'aide humanitaire" ont autant de mémoire que celle d’un poisson rouge ! Et eux, porteront également le poids de l'infamie. Et s’ils aiment à rappeler des textes du temps des guides de la Tribu d'Israël, alors qu'ils notent au moins celui-ci : "Mon peuple périt faute de connaissance" (Osée 4:6)

 

Ainsi par l'intermédiaire de certains de ces clowns tristes qui polluent le petit écran depuis des décennies, on a découvert l'impossible : que le ridicule pouvait tuer ! (seul vrai miracle que BHL aura été capable d'accomplir).

 

Se pourrait-il qu'il aille plus loin encore ? En tout cas, même la décence ne semble plus avoir prise sur lui et il se lance désormais sur les traces de l'Ange Gabriel, si l'on en juge par cette toute dernière surenchère où BHL semble avoir reçu la sacro-sainte lumière, à moins que ca ne soit les effets d'une tarte à la crème.


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La prévisible défaite de la France au Moyen-Orient

La prévisible défaite de la France au Moyen-Orient | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photo : le 6 juillet 2012, le criminel de guerre Abou Saleh (Brigade Farouk) était l’invité spécial du président François Hollande (le jeune homme de face, assis sur le côté de la tribune, à la droite de la photo). Il avait dirigé l’Émirat islamique de Baba Amr et fait égorger en public plus de 150 personnes.

 

 

 

La prévisible défaite de la France

 au Moyen-Orient

Par Thierry Meyssan (*)

 

Alors que la signature de l’accord entre Washington et Téhéran se rapproche, Thierry Meyssan retrace et analyse la politique de François Hollande au Proche-Orient de soutien aux monarchies du Golfe et à l’apartheid israélien. De manière incontestable, il montre que cette politique, contraire aux valeurs de la République et aux intérêts de la Nation, sert exclusivement les ambitions personnelles de quelques individus et du groupe social qu’ils représentent.

 

Élu en mai 2012, le président de la République française, François Hollande aura imposé à son pays une orientation de politique étrangère entièrement nouvelle. Le fait qu’il s’est présenté comme un homme de gauche a masqué aux yeux de ses concitoyens que ce haut fonctionnaire tournait le dos aux intérêts de la Nation, à son histoire et à sa culture, et plaçait l’État au service d’un groupuscule de grands bourgeois néoconservateurs.

 

 

Le changement du printemps 2012

 

Alors que durant sa campagne électorale, il avait semblé ouvert à toutes les analyses, s’entourant de plusieurs groupes de réflexion concurrents, il devait mettre bas son masque dès sa prise de fonction, le 15 mai. Ainsi plaçait-il son mandat sous les auspices de Jules Ferry. Avec subtilité, il affirmait honorer le fondateur de l’école laïque et obligatoire et non pas le théoricien socialiste de la colonisation. Pourtant, la laïcité de Ferry ne visait pas à garantir la liberté de conscience, mais à extirper les enfants des mains de l’Église catholique et à les former, sous l’autorité des « hussards noirs », pour en faire la chair à canon de ses expéditions coloniales.

 

Le 6 juillet, il réunissait à Paris une coalition d’États autoproclamés « Amis de la Syrie », pour saboter l’accord de Genève et relancer la guerre contre la Syrie. Symboliquement, il saluait les « démocrates » (sic) du Conseil national syrien, une organisation fantoche composée par le Qatar en s’appuyant sur la société secrète des Frères musulmans. Il se pavanait aux côtés du criminel de guerre Abou Saleh qui avait dirigé l’Émirat islamique de Baba Amr et fait décapiter plus de 150 de ses compatriotes. Il prononçait alors un discours, écrit en anglais par ses mentors, puis traduit en français.

 

Dans la foulée, le 22 juillet, il affirmait solennellement que la France était comptable des crimes commis par le gouvernement illégitime de Philippe Pétain envers les citoyens juifs. En d’autres termes, le haut fonctionnaire Hollande posait la supériorité de l’État sur la République.

 

J’écrivais alors que François Hollande, prenant la succession de Philippe Pétain, avait offert la France aux puissants du moment et renouait avec la politique coloniale [1]. Considérant que mon exil politique m’avait fait perdre le sens de la mesure, beaucoup décidèrent d’ignorer ce qu’ils considéraient comme une outrance.

 

Aussi ai-je été soulagé en lisant le dernier ouvrage du démographe Emmanuel Todd, Qui est Charlie ? dans lequel il s’emploie à analyser comment et pourquoi l’électorat actuel du Parti socialiste est l’héritier des « Maréchalistes » [2]. J’ai toujours éprouvé une forte admiration pour cet intellectuel qui est parvenu à montrer l’impact inconscient des systèmes familiaux sur l’histoire.

 

Étant étudiant en sciences politiques, j’avais dévoré sa thèse montrant que la division du monde durant la Guerre froide correspondait en réalité aux structures familiales des peuples. Cartes à l’appui, il observe qu’aujourd’hui, l’électorat du Parti socialiste, largement déchristianisé, a perdu ses repères et se replie sur lui-même. Il avait déjà analysé le ralliement de la classe dirigeante autour du culte de l’euro, c’est-à-dire de la loi du plus fort dans l’espace européen. Il conclut que le Parti socialiste a vendu le pays à l’étranger avec l’approbation d’un électorat de possédants.

 

 

L’équipe de François Hollande

 

Le changement de politique étrangère voulu par le président de la République s’appuie sur une analyse simple : les États-Unis ayant moins besoin du pétrole du Golfe ont annoncé leur intention de faire pivoter leur dispositif militaire vers l’Extrême-Orient. En soutenant Washington à la manière d’un Tony Blair sur la scène internationale, François Hollande pourrait prendre la place que les États-Unis laissent vacante dans le Golfe et bénéficier d’argent facile.

 

C’est en toute logique que le Qatar — c’est-à-dire Exxon-Mobil, la société des Rockefeller — a largement financé la campagne électorale de François Hollande [3]. Ce don illégal au regard du droit français ayant été négocié par Laurent Fabius, M. Hollande, une fois élu, le désigna ministre des Affaires étrangères malgré leur vieille rivalité.

 

La cour effectuée par François Hollande auprès de ses généreux mécènes du Golfe s’accompagne d’un soutien appuyé à l’État d’Israël. On se souvient que le président Charles de Gaulle avait rompu avec cet État colonial, en 1967, affirmant que la France, qui s’était alliée avec lui pour contrôler le Canal de Suez et lutter contre l’indépendance de l’Algérie, ne pouvait plus le faire une fois qu’elle avait renoncé à son Empire. Le président Hollande choisit, au contraire, de déclarer en hébreu lors de son arrivée à l’aéroport de Tel-Aviv, en novembre 2013 : « Tamid écha-èr ravèr chèl Israël, je suis votre ami et je le serai toujours » [4].

 

Pour mettre en œuvre son virage, le président a constitué une équipe autour de deux personnalités d’extrême droite : son chef d’état-major privé, le général Benoît Puga, et son conseiller diplomatique, Jacques Audibert.

 

Le général Benoît Puga est un ancien de « la coloniale » (infanterie de Marine). Chrétien lefebvriste, il ne fait pas mystère de son admiration de l’ancien archevêque de Dakar et de sa détestation de la Révolution française. Entre deux messes à Saint Nicolas-du-Chardonnet, il a dirigé les Opérations spéciales et le Renseignement militaire. Il avait été nommé à l’Élysée par le président Nicolas Sarkozy et, fait sans précédent pour cette fonction, a été incorporé dans son cabinet par son successeur.

 

Jacques Audibert est souvent qualifié par ses anciens collaborateurs d’« Américain avec un passeport français », sa dévotion à l’impérialisme états-unien et au colonialisme israélien étant bien plus grande que son respect pour la République française. Il a joué un rôle central dans le blocage durant des années des négociations 5+1 avec l’Iran. Il espérait être nommé représentant permanent de la France à l’ONU, mais a finalement rejoint le président Hollande à l’Élysée.

 

Lorsqu’il était directeur des Affaires politiques au Quai d’Orsay, Jacques Audibert a systématiquement éliminé les diplomates arabisants en commençant par les plus compétents. Les plus prestigieux ont été exilés en Amérique latine. Il s’agissait certes d’éliminer tout soutien aux Palestiniens pour satisfaire les colons israéliens, mais aussi, et surtout d’en terminer avec des siècles de « politique arabe de la France » de manière à laisser tomber les alliés traditionnels et à se rapprocher des milliardaires du Golfe, malgré leurs dictatures et leur fanatisme religieux.

 

Cette évolution, aussi surprenante soit-elle, correspond à ce que François Hollande avait annoncé, il y a plusieurs années. Reçu le 30 novembre 2005 par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), il avait alors déclaré, selon le procès-verbal de séance : « Il y a une tendance qui remonte à loin, ce que l’on appelle la politique arabe de la France et il n’est pas admissible qu’une administration ait une idéologie. Il y a un problème de recrutement au Quai d’Orsay et à l’ENA et ce recrutement devrait être réorganisé » [5].

 

 

Le fond de la pensée Hollande

 

François Hollande a exprimé le fond de sa pensée en évoquant la Résistance. Il a défini ce concept lors de la panthéonisation de quatre grandes figures de la Résistance française, le 27 mai dernier, en excluant les communistes de son hommage.

 

La Résistance française a inspiré des États et des milices qui, aujourd’hui, disent non à l’occupation de leur terre et à la soumission à un régime d’apartheid. En hommage à leurs prédécesseurs français, ils ont défini leur alliance comme l’« Axe de la Résistance ».

 

Mais aux Palestiniens, François Hollande a dénié le droit de résister et, dans la droite ligne de l’armistice de 1940 les a enjoints de « négocier » (sic). Il a fait qualifier le Hezbollah de « terroristes » par l’Union européenne, comme Philippe Pétain fit condamner Charles de Gaulle à mort pour « terrorisme » [6]. Il a livré la guerre aux Syriens et a imposé un siège économique aux Iraniens.

 

 

François Hollande et les dictateurs du Golfe

 

Durant les trois dernières années, la France a bénéficié du soutien d’Hillary Clinton et du général David Petraeus pour les États-Unis, d’Exxon-Mobil et de son État privé le Qatar, et enfin de la famille des Séoud et de l’État privé auquel elle a donné son nom d’« Arabie saoudite ».

 

La France a pu ainsi lancer une seconde guerre contre la Syrie et l’Irak en déplaçant des dizaines de milliers de mercenaires venus du monde entier, dont quelques milliers de Français. Elle porte ainsi une responsabilité primordiale dans les centaines de milliers de morts qui ont endeuillé le Levant. Bien sûr, tout cela a été fait sous couvert d’aide humanitaire à des populations martyrisées.

 

Officiellement, cette politique n’a pas encore donné ses fruits. La Syrie est toujours en guerre et il est impossible d’en exploiter le gaz, bien que les « Amis de la Syrie » (sic) se le soient déjà réparti, en juin 2012 [7].

 

Par contre,

la France a reçu une commande de 3 milliards de dollars en armement de l’Arabie saoudite pour l’Armée libanaise. Il s’agissait de remercier les Libanais de ne pas avoir enregistré les aveux de Majed el-Majed, l’agent de liaison entre l’Arabie saoudite et al-Qaïda et de remercier les Français de mener la guerre contre la Syrie [8].

 

la France a vendu 24 Rafale au Qatar pour 6,3 milliards d’euros.

Mais ces mégacontrats ne profiteront pas à la France :

 

les Israéliens ont opposé un veto à la vente au Liban d’armes capables de leur résister. La France n’a donc été autorisée qu’à fournir pour 700 millions de dollars d’uniformes, de véhicules de service et d’armes de poing. Les 2,3 milliards restants seront des armes dépassées fabriquées en Allemagne de l’Est.

 

le Qatar a certes acheté des Rafales, mais a exigé en échange que le gouvernement contraigne Air-France a abandonner certaines de ses lignes les plus profitables à Qatar Airways.

 

De toute manière, même si ces contrats avaient été honnêtes, ils n’auraient jamais remplacé ceux qui ont été perdus par l’acharnement de Jacques Audibert contre toutes sociétés françaises travaillant avec l’Iran, tel Peugeot ou Total, ni par celui du général Benoît Puga pour faire détruire toutes les usines françaises installées en Syrie.

 

 

L’accord Washington-Téhéran

 

Malgré les efforts de l’équipe Hollande en général et de Jacques Audibert en particulier, l’accord négocié entre les États-Unis et l’Iran devrait être signé le 30 juin 2015. On se reportera à mes articles antérieurs sur les conséquences de ce texte [9]. D’ores et déjà, il apparaît que les deux grands perdants seront le peuple palestinien et la France. Le premier parce que plus personne ne défendra son droit inaliénable au retour et la seconde parce qu’elle aura associé son nom à trois ans d’injustice et de massacres dans cette région.

 

Cette semaine, le 2 juin, le secrétaire d’État adjoint, Antony Blinken, est venu coprésider à Paris une réunion des 22 États membres de la Coalition internationale anti-Daesh. Contrairement à ce qu’en a dit la presse française, il ne s’agissait pas d’organiser la riposte militaire aux chutes de Ramadi et de Palmyre ; le Pentagone n’a pas besoin de réunir ses alliés pour savoir ce qu’il doit faire. Non, le sujet était de faire avaler son chapeau au ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, et de lui faire accepter l’accord irano-états-unien. Ce qu’il a été contraint de faire.

 

La signature de l’accord était menacée par la chute de Palmyre qui coupe la « route de la soie », c’est-à-dire la voie de communication entre l’Iran d’un côté, la Syrie et le Hezbollah de l’autre [10]. Dans le cas où Palmyre resterait aux mains des jihadistes (c’est-à-dire des mercenaires luttant contre l’« Axe de la Résistance » [11]), Téhéran ne pourrait pas transporter son gaz et l’exporter vers l’Europe et n’aurait donc aucun intérêt à s’entendre avec Washington.

 

Le secrétaire d’État adjoint Antony Blinken a donc informé l’assistance qu’il avait autorisé l’« Axe de la Résistance » à amener en Syrie des troupes fraîches pour vaincre Daesh. Il s’agit en l’occurrence de 10 000 Gardiens de la Révolution, qui viendront renforcer l’Armée arabe syrienne avant le 30 juin. Jusqu’ici les Syriens se défendaient seuls, uniquement avec le Hezbollah libanais et le PKK turc, mais sans troupes russes ou iraniennes, ni milices irakiennes.

 

Antony Blinken a également informé ses interlocuteurs qu’il avait été conclu avec la Russie un accord autorisant la tenue d’une conférence de paix sur la Syrie, sous les auspices des Nations unies au Kazakhstan. Il a exigé que Laurent Fabius signe une déclaration finale acceptant le principe d’un gouvernement syrien désigné par « consentement mutuel » entre l’actuelle coalition au pouvoir (Baas et PSNS) et ses différentes oppositions, qu’elles soient à Paris ou à Damas.

 

Après s’être fait remonter les bretelles, M. Fabius a ravalé son slogan « Bachar doit partir », a admis que le président el-Assad terminerait le mandat pour lequel son peuple l’a largement élu, et s’est piteusement rabattu sur un « Monsieur Bachar (sic) ne sera pas l’avenir de la Syrie ».

 

Dans trois semaines, le roi devrait être nu. En signant ensemble, Washington et Téhéran réduiront à néant les calculs de François Hollande, du néoconservateur Jacques Audibert et du néo-fasciste Benoît Puga.

 

 

Par Thierry Meyssan (*) - RÉSEAU VOLTAIRE | DAMAS (SYRIE) - le 8 JUIN 2015

 

(*) Thierry Meyssan : consultant politique, président fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace. Dernier ouvrage en français : L’Effroyable imposture : Tome 2, Manipulations et désinformations (éd. JP Bertand, 2007). Compte Twitter officiel.

 

Notes :

[1] « La France selon François Hollande », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 30 juillet 2012.

[2] La majorité des Français qui soutinrent l’armistice de Philippe Pétain n’étaient pas des fascistes, mais des « Maréchalistes ». Traumatisés par la boucherie de 14-18, ils se réfugiaient derrière l’autorité du vainqueur de Verdun pour justifier leur refus de combattre l’envahisseur nazi.

[3] « François Hollande négocie avec l’émir de Qatar », Réseau Voltaire, 31 janvier 2012.

[4] « Déclaration de François Hollande à son arrivée à l’aéroport de Tel-Aviv », par François Hollande, Réseau Voltaire, 17 novembre 2013.

[5] « France : le Parti socialiste s’engage à éliminer les diplomates pro-arabes », par Ossama Lotfy, Réseau Voltaire, 9 janvier 2006.

[6] « L’UE assimile la Résistance libanaise à du terrorisme », Réseau Voltaire, 22 juillet 2013.

[7] « Les « Amis de la Syrie » se partagent l’économie syrienne avant de l’avoir conquise », par German Foreign Policy, Horizons et débats (Suisse), Réseau Voltaire, 14 juin 2012.

[8] « Le silence et la trahison qui valaient 3 milliards de dollars », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 janvier 2014.

[9] Voir notamment : « Que deviendra le Proche-Orient après l’accord entre Washington et Téhéran ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 mai 2015.

[10] « La chute de Palmyre renverse l’équilibre géopolitique au Levant », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 25 mai 2015.

[11] « Les jihadistes au service de l’impérialisme », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 1er juin 2015.

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‪L'Iran répond à Fabius et aux USA, 20 mai 2015

 

 

 

>>> Voir la vidéo intitulée « l'Iran répond à Fabius

et aux USA, 20 mai 2015 »


 

Le discours commence vers 1min 40

 

 

Vidéo ajoutée par Franco Persia sur YouTube le 21 mai 2015.


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