Eugénisme et réchauffement climatique anthropique… E = MC2 | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Source dessin : extremecentre.org


 

Eugénisme et réchauffement

climatique anthropique… E = MC2

 

Einstein l’avait bien dit :

E=Mc2 où E est l’Eugénisme, M le malthusianisme et c2 est le changement climatique (anthropique bien sûr) (cc ou c au carré)

Ce qui nous donne : Eugénisme = Malthusianisme x changement climatique (anthr.) > CQFD -  Académie des sciences de Résistance 71.

 

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Une haute fonctionnaire de l’ONU déclare

qu’« on devrait faire tous les efforts possibles

pour dépeupler la planète »

Par Steve Watson (*)

 

Les hauts fonctionnaires de l’ONU sont en train de pousser la notion que la population humaine devrait être réduite afin de combattre effectivement le changement climatique.

 

Cette notion de longue date a été continuellement avancée par Christiana Figueres, la secrétaire exécutrice de la convention des Nations unies sur le changement climatique (UNFCC). En 2013, Figueres a eu une conversation avec le fondateur de Climate One Greg Dalton en ce qui concerne le « taux de fécondité dans la population » comme étant un contributeur du changement climatique.

 

Les commentaires sont faits à la minute 4.20 dans la vidéo ici

 

« Un problème lié est le taux de fertilité de la population » opina Dalton. « Beaucoup de gens dans les cercles de l’énergie et de l’environnement ne veulent pas approcher cela parce que c’est politiquement dangereux. Ce n’est pas leur problème, » a-t-il ajouté.

« Mais n’est-il pas vrai que stopper l’augmentation de la population serait un des plus gros leviers pour contrôler la montée des gaz à effet de serre ? » a demandé Dalton.

 

« De manière évidente, moins de personnes exerceraient de pression sur les ressources naturelles », a répondu Figueres, notant aussi que des estimations suggèrent que la population mondiale sera de 9 milliards d’individus en 2050.

 

Dalton a ensuite questionné le fait de savoir si ce chiffre pourrait être enrayé ou ralenti de quelque manière que ce soit.

 « Donc est-ce que 9 milliards, c’est la conclusion définitive ? C’est inscrit, un fait quasiment accompli, n’y a-t-il pas un moyen de changer cela ? » a-t-il demandé à Figueres.

 

« Il y a une certaine pression dans le système pour aller vers cela ; on peut définitivement changer cela non ? Nous pouvons sûrement changer ce chiffre », a répondu Figueres.

 

« Nous devrions vraiment faire tous les efforts possibles pour changer ce chiffre parce que nous sommes déjà aujourd’hui en excédent de ce que la planète peut soutenir », a-t-elle aussi clamé.

 

« Alors oui, nous devrons faire tout ce qui est possible, mais nous ne pouvons pas tomber dans le raisonnement simpliste de dire qu’en limitant la croissance démographique nous aurons résolu le problème. Ce n’est pas une question de si/ou, mais de et/aussi, » a dit la fonctionnaire de l’ONU.

 

Climate One se décrit lui-même comme un forum pour les affaires publiques qui se fait le défenseur d’action extrême pour combattre le changement climatique. C’est une branche du Commonwealth Club of California basé à San Francisco, essentiellement un moulin à parole visité régulièrement par des chefs de gouvernements et des entrepreneurs.

 

Figueres n’est pas étrangère aux déclarations controversées lorsque cela a trait au changement climatique. La fonctionnaire de l’ONU avait précédemment décrit le but de l’UNFCC comme « une transformation complète de la structure économique du monde. »

 

Elle a aussi déclaré répétitivement qu’une dictature communiste de style chinois est bien plus efficace que le système constitutionnel à l’américaine pour combattre « le réchauffement climatique anthropique global ».

 

Figueres a dit à Bloomberg News l’an dernier que le gouvernement chinois (qui continue à mettre en application les avortements légaux, l’infanticide et la stérilisation obligatoire) fait « bien les choses » quand il s’agit du changement climatique, même si la Chine est et de loin le plus gros émetteur de gaz à effets de serre de la planète.

 

Figueres a noté qu’une division partisane au sein du Congrès américain existe « au détriment » du passage des législations sur le changement climatique, tandis que le parti communiste chinois lui, applique ses politiques par décrets-lois. Le président Obama acquiesce à cela puisqu’il contourne le congrès en permanence pour ordonner ses décrets sur le changement climatique.

 

Comme Infowars l’a continuellement fait remarquer, il y a une erreur fondamentale à associer le changement climatique avec la surpopulation.

 

Les populations des pays développés sont en décroissance et seulement dans les pays du tiers monde voit-on le taux de croissance démographique augmenter dramatiquement. L’industrialisation par elle-même équilibre la croissance démographique et même ces modèles de croissance de population mondiale montrent de manière routinière que la population mondiale va se stabiliser à environ 9 milliards d’individus vers 2050 et commencera à décliner doucement après cela.

 

« La population des pays les plus développés restera virtuellement inchangée à 1,2 milliard d’individus jusqu’à 2050 », explique un rapport de l’ONU. Le soutien de l’ONU à une politique de dépopulation est en contraction directe avec ses propres résultats de recherches démographiques.

 

Une fois qu’un pays s’industrialise, le taux de fécondité passe à la moyenne de 1,6 enfant par famille, ainsi la population occidentale est en déclin dans le monde (NDT Le taux de maintien du statu quo démographique étant de 2,1 enfants par famille). Cette tendance s’est aussi matérialisée dans des pays comme le Japon et la Corée du Sud.

 

L’ONU a dit que la population mondiale allait se maximiser vers 9 milliards puis allait décliner.

 

De plus, comme mis en évidence par la revue The Economist, le taux de fertilité est en chute libre.

 

Comme les écologistes radicaux poussent à la désindustrialisation du monde devant la soi-disant menace du carbone, ceci va renverser la tendance qui baisse naturellement le nombre d’enfants que nous avons. Si les fanatiques religieux que sont les réchauffistes sont autorisés à mettre en pratique leur politique, la population mondiale va continuer a croître jusqu’à effectivement potentiellement devenir un problème, ceci n’est qu’un autre exemple du comment les hystériques du réchauffement climatique sont en train de causer en fait plus de mal que de bien pour le long terme de l’environnement en empêchant les pays sous-développés de s’industrialiser et ainsi de réduire leur taux de naissance de manière naturelle.

 

Même si vous vous faites l’avocat du diable et acceptez que les humains causent de fait un réchauffement catastrophique et que nous sommes trop nombreux et si vous pouvez passer outre les connotations eugénistes des politiques de contrôle de populations et de la politique de dépopulation, ces méthodes ne sont fondamentalement pas une solution valide à la menace perçue émanant du changement climatique.

 

La véritable solution serait d’aider à l’augmentation des standards de vie des nations désespérément pauvres du tiers et quart monde, permettant à ces pays de s’industrialiser et de voir leur chiffre de population se réduire en conséquence, et ce de manière naturelle.

 

Au lieu de cela, le tiers monde a vu les prix alimentaires doubler à cause des politiques liées au « changement climatique » par exemple transformer d’énormes zones agricoles dédiées à l’alimentation en zone de cultures pour le biofuel.

 

De plus, la législation sur le climat continuellement poussée par le monde développé fait que ces nations prennent moins en charge demandant plus aux pays les plus pauvres, et ce malgré le fait que la réduction plus avant de leurs émissions de CO2 handicapera toujours plus leur déjà fragile économie ainsi que leurs peuples vivant sous le seuil de pauvreté (NDT : sauf bien sûr leurs leaders mis en place par l’Occident, qui pille les ressources de ces nations dans le même temps…)

 

Des législations précédentes, tel que l’accord de Copenhague, ont permis aux peuples des pays développés d’émettre deux fois plus de carbone par tête de pipe (NDT Sans mauvais jeu de mots…) que ceux des pays pauvres, qui n’ont pas causé de hausse dans l’émission des gaz dits menaçant notre existence sur cette planète. Les révélations en ce domaine ont mené certains leaders du tiers monde à accuser le monde développé de « colonialisme climatique ».

 

Connecter la politique environnementale aux agendas de dépopulation ouvre la porte à l’eugénisme et il n’est donc pas surprenant que par cette porte se soient engouffrées les hordes de la pourriture élitiste qui ne demande qu’à être en première ligne de la politique d’extermination.

 

Un exemple est le groupe d’utilité publique du Royaume-Uni Optimum Population Trust (OPT), qui a lancé précédemment des initiatives appelant les membres riches et puissants des pays riches de participer à la réduction du carbone en finançant des programmes de réduction de la population des nations en voie de développement. (NDT : par exemple le financement des programmes de vaccination de l’ONU par la fondation eugéniste Bill & Melinda Gates qui des dires mêmes de « Bill la main froide », « pourrait aider à réduire la population mondiale de 10 à 15 % si on fait bien le boulot… » Brrrr… et c’est en marche.)

 

En 2007, le groupe a aussi publié un rapport annonçant que les enfants sont « mauvais pour la planète » et « qu’avoir de grande famille devrait être vilipendé et dénoncé comme mauvaise conduite environnementale de la même façon que de prendre l’avion souvent, de conduire de grosses voitures et de ne pas réutiliser les sachets en plastique. »

Les mêmes dires ont été réitérés encore et encore par les groupes et les écologistes ainsi que par les scientifiques les plus influents du gouvernement américain.

 

Bien que vous puissiez penser que les idées de stérilisation et de dépopulation ne pourraient pas être acceptées par le public, ces concepts sont maintenant soutenus et popularisés comme étant la façon de propulser l’humanité vers l’avant.

 

 

 

Par Steve Watson (*) (infowars.com) -  traduit de l’anglais par Résistance 71 – le 6 avril 2015

 

(*) Steve Watson est basé à un Londres. Il est écrivain et éditeur pour Alex Jones Infowars.comet Prisonplanet.com.

Il possède une maîtrise en relations internationales de l’école de sciences politiques à l’Université de Nottingham et un diplôme de baccalauréat ès arts en littérature et en création littéraire de l’Université de Nottingham Trent. (Source : infowars.com)