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Elle traduit tellement bien le regretté humour critique et osé en cours durant les années 1980.
Résumé :
Si la liberté de religion existe, la liberté des athées est de ne pas devoir se faire chier par la première !
Après une intervention de Jean Michel di FALCO, délégué général de "Chrétiens-Médias", se disant choqué par les attaques des humoristes à l'encontre de Dieu et de Jésus, Pierre DESPROGES répondait, par une lettre ouverte à Monseigneur LUSTIGER, aux critiques du clergé catholique sur sa dérision du sacré :
"Je suis indigné … Les émissions et les messes du dimanche matin bafouent les athées ... J'ai envoyé une copie à Dieu et ça va chier".
Duc
Le grand et regretté Pierre DESPROGES