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Un signal provenant d’une intelligence extraterrestre aurait été reçu par le radiotélescope d’Arecibo

Un signal provenant d’une intelligence extraterrestre aurait été reçu par le radiotélescope d’Arecibo | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

Photos :

- la gigantesque antenne de 300 mètres de diamètre du radiotélescope d’Arecibo, à Porto-Rico. Source : SETI ;

- le professeur Dan Werthimer.

 

 

Un signal provenant d’une intelligence extraterrestre aurait été reçu par le radiotélescope d’Arecibo

 

Une équipe d’astrophysiciens de l’Université de Californie a annoncé ce matin qu’un message émanant d’une forme de vie extraterrestre aurait été reçu le 19 mars dernier par le radiotélescope d’Arecibo.

 

L’information est à prendre avec des pincettes, nous n’avons encore pu en vérifier les sources. Mais si elle s’avère exacte, la face du monde pourrait s’en voir changée.

 

L’équipe, dirigée par le professeur Dan Werthimer, cofondateur et directeur du programme SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence), fait aussi partie du programme SERENDIP (Search for Extraterrestrial Radio Emissions from Nearby Developed Intelligent Populations), de l’Université de Californie à Berkeley, qui tente d’intercepter et décoder les transmissions radio envoyées par une civilisation extraterrestre.

 

Selon les chercheurs, le radiotélescope d’Arecibo, à Porto-Rico, l’un des instruments-clé du programme SETI a reçu dans l’après-midi du 19 mars 2015 un puissant signal radio émis sur une bande étroite, dont toutes les caractéristiques portent à penser qu’il s’agit d’une communication non terrestre provenant de l’extérieur de notre Système Solaire. Exceptionnellement long, ce message de 134 secondes se composait d’un signal d’intensité variable que les scientifiques ont pu convertir en un code alphanumérique, soit :

 

9HY9HY-H1C6N7O8P15-KT61L5-PKT6H9HY8F3.

 

L’équipe de chercheurs affirme que ce signal ne ressemble à aucune forme de communication utilisée habituellement sur Terre, et estime qu’il pourrait s’agir d’un code extrêmement complexe destiné à transmettre une information précise, à l’instar de messages que nous avons nous-mêmes envoyés dans l’espace il y a plusieurs décennies au moyen de ce même radiotélescope d’Arecibo.

 

« Certains segments du signal sont récurrents, et nous pensons qu’ils pourraient représenter des mots ou des lettres », explique le professeur Dan Werthimer. « Nous ignorons encore ce que signifie le message, mais nous sommes à peu près certains qu’il a été envoyé par une certaine forme d’intelligence extraterrestre. Un segment, qui énonce « H1C6N7O8P15 », semble faire allusion aux numéros atomiques de l’hydrogène (H), du carbone (C), de l’azote (N), de l’oxygène (O), et du phosphore (P), c’est-à-dire précisément les composants de l’ADN. Ma conviction est qu’il ne s’agit pas simplement d’un message émis par une forme de vie extraterrestre, mais qu’il nous a été spécialement destiné ! », assure le scientifique.

 

Ce n’est pas la première fois que le programme SETI identifie un message susceptible d’avoir été émis par une intelligence extraterrestre, mais il s’agit ici, et de très loin, du message le plus clair et le plus long jamais reçu. Les différents programmes SETI ont jusqu’ici trouvé environ 400 signaux suspects au cours des années, mais sans disposer de suffisamment de données pour prouver qu’ils ont bien été émis par une intelligence extraterrestre.

 

 

 

Par space-news.be – le 27 mars 2015

Koter Info's insight:


Contact extraterrestre présumé certain !


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USA - Manifestations monstres

USA - Manifestations monstres | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it

 

 Des milliers de manifestants aux USA

contre les violences envers les Noirs

 

Au moins 25.000 manifestants ont paralysé samedi des quartiers de New York et des milliers d’autres ont défilé à Washington, dans une nouvelle intensification des rassemblements qui réclament à travers les États-Unis justice pour des Noirs tués par des policiers blancs.

 

Les manifestations de samedi dans la capitale américaine, à New York, à Boston et à Berkeley (Californie) sont parmi les plus importantes depuis le début du mouvement déclenché par la mort de Michael Brown, abattu alors qu’il n’était pas armé le 9 août à Ferguson (Missouri).

 

Les décisions de deux grands jurys d’exempter de poursuites les policiers blancs responsables du décès de Michael Brown et de celui d’Eric Garner, à New York en juillet, ont attisé la colère.

 

À Washington, ville qui a déjà accueilli dans le passé de grandes marches pour les droits civiques, la manifestation était organisée à l’initiative du pasteur Al Sharpton, figure des droits civiques aux États-Unis.

 

Sous le mot d’ordre « Justice pour tous » (« Justice for all »), elle a notamment rassemblé des membres des familles de Michael Brown, d’Eric Garner, de Tamir Rice et de Trayvon Martin, des Afro-Américains tués par des policiers blancs.   Ces décès ont réveillé le spectre du racisme aux États-Unis, et de nombreuses manifestations de protestation ont déjà eu lieu ces dernières semaines à travers le pays.

 

À Washington, où le rassemblement a bloqué une partie de Pennsylvania Avenue, qui mène au Capitole, les manifestants, souvent jeunes, déterminés, et parfois venus de très loin, scandaient « No justice, no peace » (« Pas de justice, pas de paix »). Des intervenants se sont succédé sur un podium pour s’adresser à la foule.

 

« Nous demandons au Congrès d’adopter une loi contre le profilage racial.  Nous devons faire cesser cela dès maintenant. Nous sommes là aujourd’hui, nous serons là demain, nous resterons jusqu’à ce que le travail soit fait », a lancé Laura Murphy, de l’Association de défense des libertés individuelles (ACLU).


   « Ce n’est pas une marche des Noirs contre les Blancs », « c’est une marche américaine pour les droits des citoyens américains », a déclaré Al Sharpton, appelant le Congrès à agir, avant de donner la parole aux membres des familles des récentes victimes.

 

 

Arrêtez les policiers tueurs

 

« Mon mari était un homme très discret, mais maintenant il fait beaucoup de bruit », a déclaré devant la foule Esaw Garner, la veuve d’Eric Garner, mort étouffé en juillet lors d’une interpellation brutale à New York.

 

« Nous reviendrons ici autant de fois que nécessaire. Mais la prochaine fois que nous reviendrons, nous aimerions que ce soit pour une célébration, pas en raison d’un assassinat », a-t-elle dit.


La mère d’Eric Garner, Gwen Carr, a elle aussi déclaré que les rassemblements se poursuivraient jusqu’à ce que les parlementaires prennent en compte les demandes de réformes qui leur sont adressées. « C’est un moment historique », a-t-elle lancé, soulevant des acclamations dans la foule.


Les manifestants ont défilé pacifiquement. Leurs banderoles proclamaient : « Nous marchons pour mettre fin au profilage racial », « Arrêtez les policiers tueurs », « Les vies des Noirs comptent », ou encore « Je ne peux pas respirer » (« I can't breath »), les derniers mots d’Eric Garner.

 

Une pancarte tenue par une femme noire s’adressait directement à Barack Obama : « Président Obama, profitez de ce moment pour agir, les ancêtres regardent ». 

 

Le premier président noir des États-Unis avance prudemment sur ce sujet : il appelle au respect des décisions de justice tout en assurant comprendre la colère de ceux qui ont le sentiment, à juste titre souligne-t-il, que la couleur de leur peau a un impact sur la façon dont la loi est appliquée.

 

Michael Brown, 18 ans, a été tué au cours d’une altercation avec un policier début août à Ferguson (Missouri). Tamir Rice, 12 ans, a été abattu par un policier à Cleveland (Ohio) alors qu’il jouait avec un pistolet factice fin novembre. Akai Gurley, 28 ans, a été tué par un policier blanc, également fin novembre, à Brooklyn, après un coup de feu accidentel.

 

À New York, la police a annoncé qu’environ 25.000 personnes avaient participé au rassemblement de samedi. Les organisateurs ont évalué sur Twitter la participation à 50.000 personnes.

 

Les manifestants ont bloqué un secteur de six kilomètres sur Washington Square, les 5e et 6e Avenues et Broadway, scandant « Justice now ! » (« Justice maintenant).


« Nous bloquerons la ville de New York », ont promis les organisateurs. Après la tombée de la nuit, par un temps glacial, les manifestants ont bloqué le pont de Brooklyn.


À Boston (Massachusetts), la police a annoncé que des rues avaient été bloquées et que plusieurs personnes avaient été arrêtées.

 

À Berkeley (Californie), l’effigie d’un homme noir pendu à un nœud coulant a été installée à l’une des entrées de l’université, avec tracés sur sa poitrine les mots « Je ne peux pas respirer ».

 

 

 

Par almanar.com.lb – le 14 décembre 2014

 


*** 

NDLGazette : au vu de la vidéo qui suit, il semble que le nombre de personnes présentes à la manifestation de NYC soit bien plus important que les 25.000 personnes dont il est question dans l’article, mais ?

 

>>> Vidéo : Millions March NYC (Time Lapse) - View from 6th Ave and 29th St. Approximately 90 minutes of footage

Koter Info's insight:


Quand c'est trop, les gens réagissent enfin !


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Les MOOCs à l’UCL : 15 cours en ligne, 70000 inscrits à travers le monde

Les MOOCs à l’UCL : 15 cours en ligne, 70000 inscrits à travers le monde | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Les MOOCs à l’UCL :

15 cours en ligne, 70 000 inscrits à travers le monde

 

L’expérience est à ce point positive, que l’UCL est passée de 4 à 13 MOOCs sur edX et plusieurs pays sont en pourparlers pour racheter les droits de certains MOOCs afin de les faire traduire et d’élargir encore leur diffusion. D’autres MOOCs UCL (interuniversitaires) existent également sur d’autres plateformes (France Université Numérique notamment).

 

Petit rappel : en février 2014, l’UCL était la première université belge, et parmi les premières universités européennes, à intégrer le réseau edX, plateforme destinée à héberger les cours en ligne d’universités parmi les plus prestigieuses au monde (Harvard, Berkeley, MIT, etc.). L’objectif de ce réseau ? Rendre l’enseignement universitaire accessible à tous, gratuitement, une manière de permettre un autre accès à l’enseignement.

 

En mars 2015, l’UCL fait le bilan de ses premiers cours proposés sur la plateforme edX. Les 4 premiers cours ont rassemblé plus de 52 765 inscrits et délivré 3 010 certificats lors de leur 1re édition (ils en sont aujourd’hui à leur 2e, voire 3e édition pour certains) : un succès qui a conduit l’UCL à étoffer son offre de cours (grâce au don d’un mécène, via la Fondation Louvain) et de passer de 4 à 13 MOOCs.

 

Parmi les nouveaux cours proposés, « principes de la finance » a démarré le 3/02/2015 tandis que 4 autres démarreront dans les prochaines semaines : droit international, système respiratoire (premier MOOC dans le secteur des sciences de la santé), découvrir le marketing et responsabilité sociétale des entreprises. 4 autres sont en cours d’élaboration : découvrir l’anthropologie, psychologie de la négociation, stratégie d’entreprise et ressources humaines (octobre 2015).

 

Par ailleurs, environ 2 000 étudiants de l’UCL ont bénéficié, dans leur cours en auditoire, des ressources d’apprentissage et exercices développés pour les MOOCs. Cela leur a notamment permis de collaborer avec les milliers d’apprenants internationaux et ainsi de confronter leur savoir avec des étudiants de cultures diverses. Également, sur les 1 363 certificats délivrés par le MOOC en sciences politiques, 590 (soit 36 %) l’ont été à des étudiants UCL. L’un des points positifs de suivre un MOOC dans le cadre d’un cours classique, c’est l’obligation d’étudier régulièrement (la réussite du MOOC requérant de travailler de manière constante tout au long des 6 semaines de cours en ligne). Certains professeurs ont d’ailleurs observé une meilleure performance des étudiants à l’examen.

 

Un impact positif donc, tant pour les citoyens en recherche d’apprentissage tout au long de la vie (formation continue) que pour les étudiants UCL.

 

 

Des professeurs enthousiastes

 

Préparer les vidéos et les exercices pour le MOOC a amené les professeurs à revoir en profondeur la manière dont ils expliquent leur matière. Certains affirment qu’ils n’enseignent plus de la même façon qu’avant. Ils ont perçu une meilleure implication des étudiants dans le cours, dès le début du semestre, ce qui a rendu les échanges dans l’auditoire plus nombreux et plus riches. Ils ont été interpellés et bousculés avec des questions parfois inattendues, les amenant à se documenter sur des questions précises avant d’apporter des réponses.

 

Un MOOC, c’est quoi ? Chacun peut s’inscrire à un MOOC, via la plateforme qui l’accueille. Un email et un simple clic suffisent. Ensuite, l’internaute choisit le ou les cours de son choix et les suit à sa guise. Il ne s’agit pas de simples cours filmés, mais bien de cursus créés pour le web, intégrant une pédagogie spécifique à l’apprentissage à distance. Comment valoriser ces cours sur un CV ? La personne peut obtenir un certificat (gratuit), moyennant une évaluation en ligne. Création d’un MOOC en images :

 

 

 

En savoir plus : www.uclouvain.be/mooc

 

 

 

Par l’Université catholique de Louvain – mars 2015

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USA ... SANS pouvoir respirer

USA ... SANS pouvoir respirer | Koter Info - La Gazette de LLN-WSL-UCL | Scoop.it


Ferguson, New York, Berkeley… :

« Nous ne pouvons pas respirer »

 Par David Brooks (*)


« Je ne peux pas respirer » on l’écoute, on le crie, on l’écrit dans les rues de New York et d’autres villes. C’étaient les derniers mots d’Eric Garner, afro-américain, avant de mourir entre les mains – littéralement, par une clef appliquée par un policier qui l’a étouffé – des autorités.

 

Ce slogan se combine avec « mains en haut, ne tirez pas », « les vies noires valent », « Eric Garner, Michael Brown / Shut it down (stoppez cela) », et « arrêtez de nous tuer », les slogans qui jaillissent pas seulement pour les morts et les abus des autorités contre des minorités, surtout contre des hommes et des jeunes afro-américains désarmés, mais aussi pour l’impunité qui prévaut dans presque tous les cas.

 

La vague de manifestations dans des dizaines de villes avec des milliers de participants (qui se sont soldés par des centaines de détentions) est un chœur in crescendo d’indignation contre l’abus des autorités contre les minorités tant aux mains de la police que du système judiciaire.

 

Presque deux fois par semaine un policier blanc tue un noir aux États-Unis d’Amérique, comme l’explique USA Today en se basant sur des données officielles du FBI. On ne sait pas combien de ces homicides commis par des policiers ont été « justifiables » – il n’y a pas de données précises sur combien de gens la police aux USA a tués– mais oui, on sait que dans les cas où tout indique un homicide non justifiable, l’impunité règne.

 

Le problème n’est pas tout à fait nouveau, mais le mouvement suscité, oui.

 

Tout d’abord, il ne s’agit pas d’une demande d’une seule communauté minoritaire ou d’un secteur racial, car les marches, les actions de désobéissance civile, les veilles et les manifestations sont maintenant multiraciales et multi générationnelles. Dans les rues de New York, comme dans les autres des grandes villes, des jeunes afro-américains et anglo-saxons marchent ensemble, avec des vétérans de la lutte pour les droits civiques d’il y a un demi-siècle, avec des vétérans de mouvements très récents comme Occupy Wall Street. Syndicalistes, religieux et militants communautaires marchent ensemble avec des jeunes lycéens, ajoutant leur première expérience en participant à un acte politique.

 

Jeudi dernier deux groupes de milliers de personnes ont marché sur deux routes, l’un pour occuper le Pont de Brooklyn, l’autre qui s’est dirigé au milieu du trafic de l’artère centrale de Broadway, avançant entre les coups de klaxons au milieu des véhicules bloqués par la mobilisation, avec des banderoles et des pancartes, certaines en espagnol, et mêmes plusieurs en hébreu, et qui, après avoir traversé un coin de Chinatown, à la hauteur du Canal, ont été salués par quelques chinois qui ont levé le poing en signe de soutien.

 

Ces jours ci, des groupes de manifestants se sont couchés par terre au principal étage du grand magasin de Macy’s, du magasin Apple dans la Cinquième Avenue et plusieurs fois à la gare de Grand Central Terminal. De la même façon, des actes de protestation ont été menés dans des collèges publics, comme Harvest Collegiate à New York, ainsi que dans les universités. Ces scènes se répètent dans d’autres grandes et petites villes partout dans le pays.

 

Certains disent que c’est la naissance du nouveau « mouvement de droits civiques », juste 50 ans après que se fêtent les principaux succès du premier mouvement de droits civiques, mais avec des différences remarquables. Et de souligner que ce n’est pas seulement une manifestation contre des abus, mais aussi une affirmation de droits de l’homme fondamentaux. D’un autre côté, l’usage des réseaux sociaux, où information, images et sons sont partagés depuis un endroit où la colère éclate quelque part dans le pays avec tous les autres endroits, permet un dialogue constant qui est en quelque sorte une narration collective in live de ces expressions, même si parfois cela devient seulement une cacophonie de colère partagée (voir par exemple).

 

Une autre caractéristique attire l’attention : il n’y a pas de leaders, pour l’instant. Il est clair qu’il y a des vieilles organisations qui participent, mais il n’y a pas de leaders politiques ou religieux dans la conduite de ces expressions.

 

« La diffusion virale des manifestations –et la large gamme des étatsuniens qui les organisent et y participent– démontre que ce qui se percevait à un moment comme un sujet afro-américain est en train d’être perçu comme un problème central usaméricain », affirme un éditorial du New York Times. Il remarque que « la question du moment est si le leadership politique du pays a la volonté de freiner les pratiques de police abusives et discriminatoires … »

 

 

>>> Lire la suite de cet article : ici

 

Par David Brooks depuis New York pour La Jornada

La Jornada. Mexique, 8 décembre 2014 - reseauinternational.net - le 9 décembre 2014

(*) David Brooks est journaliste et correspondant aux USA pour le quotidien mexicain La Jornada - Traduit de l’espagnol pour El Correo par : Estelle et Carlos Debiasi. El Correo.

 

 ***

Un échantillon de la brutalité des forces américaines de l’intérieur. (Attention, images très violentes).

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