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La start-up Citygoo veut s'imposer comme le spécialiste du covoiturage urbain en Ile de France. Son application, lancée le 15 octobre, s'appuie sur le marché de la consommation collaborative.
L’incroyable boom du secteur de la consommation collaborative, la diversification des services et des secteurs qu’elle perturbe et la concurrence qui s’exacerbe entre les startups, cristallise chaque jour d’une manière plus aiguë les questions de régulations.
Via Laurence
Avec les nouveaux lieux de fabrication et de prototypage comme les Fablabs et Makerspaces, où l’ont peut trouver des imprimantes 3D, découpes lasers et outils de fabrication numérique, les barrières à l’entrée de la production physique suivent la même évolution. Dans ces nouveaux lieux, on trouve des machines mais aussi des personnes qui possèdent des compétences, des savoir-faire, eux-mêmes connectés avec un réseau mondial de "makers", d’artisans, d’amateurs, de designers et d’entrepreneurs, comme au sein du réseau des 250 Fablabs
Via Laurence
À côté des grandes entreprises se développe le lien personnel, choisi. Que ce soit du troc, de la vente d'occasion, des circuits courts, du partage… le vocabulaire est large pour désigner l'économie collaborative.
Via Laurence
La conférence Lift, forum de l'innovation et des nouvelles technologies, s'est ouverte mercredi à Genève. La manifestation s'articule autour de de la consommation collaborative et du "bio-hacking".
Via Aurélien BADET
Nous assistons actuellement à une véritable co-révolution : covoiturage, couchsurfing, coworking, crowdfunding, troc ou encore peer-to-peer et co-création sont autant de facettes d’une nouvelle économie dont la créativité renouvelle progressivement notre quotidien. Quels en sont les ressorts ? Pourquoi se développe-t-elle si rapidement ? Qui consomme ainsi ? Et quelles perspectives cela ouvre-t-il ?
Via Laure Ducoulombier
En temps de crise, les Français deviennent des grands adaptes de la consommation collaborative. Celle-ci émerge dans tous les secteurs : alimentation, prêt-à-porter, finance, voyage, transport, etc.
Via Laure Ducoulombier
Stimulés notamment par l'échange entre pairs, les particuliers n'achètent plus de la même manière qu'auparavant, et contraignent les entreprises à repenser leurs modèles.
Via Bene M., Corinne Mayer
De Communauto aux sites d'échange de maisons en passant par ceux de partage d'outils, d'électroménagers, de caméras et même ceux de financement, la consommation collaborative se glisse partout. Les entreprises établies y ont vu une tendance marginale, le trip d'une poignée de «granolas» vert foncé. Or, c'est plutôt un mouvement exponentiel qui défie les stratégies traditionnelles. L'heure est venue de réagir. Mais comment ?
Via Coplayers, Delphine Duriaux
Le CREDOC vient de publier une analyse de cette situation et une mise en perspective des tendances de consommation. Pour l’institut, nulle doute, nous sommes entrés dans une consommation de la frugalité : consommer moins pour vivre mieux. Il annonce la poursuite des arbitrages en matière de consommation, à la baisse sur les postes arbitrables et les postes “dépenses plaisir”. En effet, à la question, “est-ce que vous faites des achats sur coup de tête”, la proportion de consommateur répondant oui est à son plus bas niveau en 20 ans (48% en 2013 contre 61% en 2010). Des comportements, tels que la consommation collaborative, connaissent de forts développements en réponse à la contraction des capacités de dépenses des ménages. plaisir de faire durer les objets. Surtout, pour IPSOS, ces consommateurs collaboratifs ne sont pas dans le rejet de la société de consommation actuelle : ils veulent en reprendre le contrôle et devenir consom’acteurs.
Via Matthieu Dufour , Damien Durrleman, Christine Lucas
L'automobile est au cœur d'un nouveau système de consommation : la consommation collaborative. Aujourd'hui, pour dépenser moins et préserver la planète, on prête ou on loue aussi son auto entre particuliers. "Ces pratiques d'échanges, de gratuité ou de prêt, regroupées sous le terme de " consommation collaborative" commencent à se propager dans tous les pays Occidentaux, notamment en France explique Guylaine Bouvÿ, ethnologue. Porteuses de nouvelles valeurs, elles visent à dépenser moins, tout en faisant du bien à la planète". --> Une nouvelle ère automobile --> Les constructeurs automobiles jouent le jeu --> De la voiture objet à la voiture service --> Citroën : un acteur de cette nouvelle mobilité --> C-Zéro à 90 euros par mois : l'ère de rupture --> Quel avenir pour la voiture "solo" ? "Si la voiture est toujours très investie sur le plan identitaire, des changements symboliques apparaissent. Cela est très perceptible chez les jeunes générations pour lesquelles posséder sa propre voiture est loin d'être une nécessité. La volonté de consommer autrement, le souci de réduire ses dépenses et son empreinte écologique pourraient bien mettre à mal le statut de la voiture individuelle"... conclut Guylaine Bouvÿ.
Ils sont jeunes, ambitieux et c’est avec une certaine détermination que les deux hommes pénètrent dans ce café parisien proche de la station de métro Javel-André Citroën. Pull à capuche et petites lunettes rondes, l’un est encore étudiant dans une école de commerce réputée, l’autre, ancien consultant pour une grande entreprise, vient de tout plaquer. Adam Levy-Zauberman et Mickaël Nadjar se connaissent bien. Amis depuis l’enfance, ils se sont rencontrés chez les scouts. Mais aujourd’hui, s’ils sont attablés côte à côte dans cet établissement du XVe arrondissement de Paris, ce n’est pas pour parler de leurs souvenirs. Adam et Mickaël sont maintenant associés.
Via Aurélien BADET
Une carte des bonnes initiatives ! Fallait y penser. Lors du premier OpenSchool week-end du Mixeur, une dream team d’étudiants, professionnels et bénévoles associatifs ont pitché puis jeté les bases d’un outil. Reprise par OpenScop, elle pourrait se révéler utile à la mouvance des couch-surfeurs et autres covoitureurs. Comment ça marche ? Cette idée a été proposé par Sonia Roche, facilitatrice et médiatrice. Le projet est ambitieux : une carte 2.0 pour faire des liens entre les initiatives locales et permettre à chacun de se tourner vers la consommation collaborative (covoiturage, chambre chez l’habitant…etc.). La cartographie est une solution en peer-to-peer pour éviter l’écueil de la plateforme et sa philosophie pyramidale. Un mode collaboratif et horizontale où chacun peut géo-localiser son initiative, proposer sa voiture, ses dons, son canapé… Un moteur de recherche est aussi intégré pour trouver ses solutions (ex : faire du vélo à Saint-Etienne). À l’inscription on doit bien sûr signer une charte de valeurs (partage, liens, consommation collaborative) qui doit prévenir les abus. Cet outil sert aux concierges numériques qui veillent sur le territoire, connaissent les associations et les bonnes initiatives. Afin d’arriver à un résultat concret, l’équipe a travaillé sur des scénarios d’usage.
Via Aurélien BADET, Social Planet
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Face aux défis engendrés par la crise économique, les Français tâchent de consommer durable et moins cher, grâce à l'essor des nouvelles technologies.
Via Véronique Chenet, la Fabrique Spinoza
Un futur proche dans lequel l’économie collaborative et l’Internet of Things auront donné naissance à un nouveau système économique ? C’est la vision de l’économiste et auteur nord-américain Jeremy Rifkin.
Via Deborah Potelle, Laure Ducoulombier
“Grâce au web 2.0, toute une nouvelle manière de consommer, d’échanger et de produire est en train de voir le jour” Trois jours de festival dédiés à l'économie collaborative - Du 5 au 7 mai au Cabaret Sauvage, Paris.
Via Corinne Chauffrut Werner
Le Premier ministre a "demandé à Fleur Pellerin de lui proposer, d'ici à l'été, un plan d'actions pour renforcer sur l'ensemble du territoire la dynamique collaborative des Fab Labs", a indiqué Matignon dans un communiqué.
Via Laurence
Location entre particuliers, couchsurfing… Pour beaucoup d’entre nous, loger chez l’habitant est devenu naturel. Mais avez-vous déjà essayé l’échange d’appartements ? A première vue, cette option n’est pas la plus simple de toutes.
Via Aurélien BADET
Les communautés ne sont pas une nouveauté. Ce qui a changé, c’est leur déploiement accéléré grâce à Internet, via les réseaux sociaux qui facilitent la mise en contact avec des personnes qui partagent un centre d’intérêt, une passion, des convictions. (...) Résultat : des communautés contributives de production de connaissance (Wikipedia), d’innovation (OuiShare, MakeSense,...) ou encore de fabrication (OS Vehicle, Protei,…) se forment sur Internet, mais aussi autour d’espaces partagés comme les fablab ou les espaces de coworking…
Via Laurence
Le Tiers Lieu va au-delà en incluant d’autres composantes typiques de la consommation collaborative comme un Fab Lab – des ateliers qui mettent à disposition des machines-outils pilotées par ordinateur capables de fabriquer toute sorte de biens – une crèche associative, une AMAP, etc.
Via Laurence
Favorisée par la crise, la consommation collaborative gagne du terrain. Bien au-delà des mouvements altermondialistes, de nouvelles opportunités se dessinent pour les entreprises.
Via Aurélien BADET
Sous l’effet de la crise, nos comportements de consommation changent. D’après une étude réalisée en novembre 2012 par l’Observatoire société et consommation, 52 % des Français veulent consommer mieux et 83% préfèrent accéder à l’usage d’un produit plutôt que de le posséder. Parmi les modes de consommation alternatifs les plus en vogue on remarque l’achat d’occasion, l’emprunt entre proches, l’achat groupé et la récup’ d’objets abandonnés dans la rue. Cette économie en réseau intéresse également 52 % des Européens tentés par le recours à l’entraide, l’échange de produits, les coups de main, comme l’explique une autre étude publiée en février 2013 par L’Observatoire Cetelem.
Via Aurélien BADET, association concert urbain
Riche et approfondi, le rapport « Synthetic Overview of the Collaborative Economy » décrit pourquoi et comment une économie construite autour des communs a toute les chances de s’épanouir au fur et à mesure que les réseaux numériques prolifèrent. Lecture hautement recommandée.
Via association concert urbain, Lockall
"Toc toc, c'est le voisin, j'ai vu que vous étiez abonnés à Géo, je peux vous l'emprunter en échange de mon XXI ?" Tel est le type d'échange dont rêve Julien Fuentes, le fondateur de trocdepresse.com, qui souhaite favoriser le lien social tout en optimisant le taux de lecture (et la découverte) de la presse papier. Explications.
Via Aurélien BADET
Pour Daniel Kaplan, de la FING, il serait préférable de ne pas parler d'économie collaborative à tort et à travers. A ses yeux, il s'agit plus d'économie horizontale, alors que la collaboration serait réservée à ceux qui échangent des produit des biens ou des services en dehors de la sphère marchande. Mais bien plus encore, "l'univers du Do it Yourself, des makers et des Fablabs révèle une autre tendance qui peut transformer en profondeur le modèle industriel. ...".
Via Laurence, Corinne Mayer
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