Le mouvement fablab est encore jeune : en France, c’est Artilect, à Toulouse, qui a ouvert la voie en 2009. Raison de plus pour ne pas tomber dans le piège de l’innovation à tout prix. « Les fablabs sont aujourd’hui un effet de mode pour de nombreuses collectivités, qui “en veulent un” sans avoir réfléchi à ses fonctions et à la façon dont il devra être animé pour atteindre ses objectifs », estime François Bottolier-Depois, directeur de la Fabrique des territoires innovants, un think-tank et « do-tank » qui accompagne les territoires dans l’entrepreneuriat social.
Via Laurence, JP Fourcade
La bonne solution est que la creation d un fablab ne doit pas etre le resultat d une decision d une collectivites mais doit etre la resultante du constat de regroupement de passionnes en souhaitant apporter une structure à un existant