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La pensée positive, une entreprise très lucrative

La pensée positive, une entreprise très lucrative | Essentiels et SuperFlus | Scoop.it
Dans cette époque prétendument morose, le bonheur est un marché porteur. Le concept séduit surtout les entreprises et leurs cadres, censés convertir le bien-être en performance.

Via la Fabrique Spinoza, JP Fourcade
la Fabrique Spinoza's curator insight, December 23, 2016 4:06 PM

Excellente enquête de Zineb Dryef pour M, le magazine du Monde.
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Cantines scolaires : UFC-Que Choisir dénonce la percée de la mal bouffe

Cantines scolaires : UFC-Que Choisir dénonce la percée de la mal bouffe | Essentiels et SuperFlus | Scoop.it

Une étude de l'association de consommateurs UFC-Que Choisir montre que la « junk-food » se développe notamment dans es collèges et lycées. Elle est proposée par les mêmes groupes de restauration qui gèrent aussi les cantines scolaires....

 

Danger, mal bouffe ! Dans son étude sur l'équilibre nutritionnel publiée mardi, l'association UFC-Que Choisir montre que la junk-food, avec ses sandwiches et ses en-cas industriels, se développe dans les collèges et les lycées. Et même s'il apparaît que, globalement, l'équilibre alimentaire a fait des progrès dans les cantines, ce constat est qualifié « d' inquiétant » par l'association de consommateurs. Une alarme d'autant plus forte qu'aujourd'hui en France 18% des enfants sont obèses ou en sur-poids.

UFC-Que Choisir a étudié plus de 600 cantines scolaires (voir l'étude ci-dessous). Dans 48 établissements secondaires (10 collèges et 38 lycées), la cantine traditionnelle se trouve en concurrence directe avec des stands de type cafétéria, fast-food ou sandwicherie, qui proposent aux élèves des aliments déséquilibrés comme le pizza-frites-gaufres, croque-monsieur-pâtisserie-soda ou encore le panini-brownie-soda. Ces stands sont implantés au coeur même des établissements, dans les mêmes locaux ou à proximité des cantines. Et, selon l'UFC, une bonne partie d'enter eux se trouve « sous la responsabilité » de grands groupes de restauration scolaire. « Cette junk-food s'installe et se développe en dehors de toute obligation, c'est une découverte inquiétante qui nous amène à demander une extension de le réglementation », a expliqué Olivier Andrault, chargé de mission alimentaire et nutrition à l'UFC.

Menée sur un an et demi après la mise en place en juillet 2011 d'un arrêté rendant obligatoire l'équilibre nutritionnel dans les restaurants scolaires, pour inciter les jeunes à consommer 5 fruits et légumes par jour (à manger moins gras, moins salé, moins sucré), l'étude ne porte pas sur la qualité gustative des repas....


Via Vincent DUBOIS
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Baromètre de l'économie numérique créé par Paris-Dauphine

La chaire Économie numérique de l'Université Paris-Dauphine a lancé hier son Baromètre de l'économie numérique, réalisé par Médiamétrie, qui permet de suivre, chaque trimestre, l'évolution des équipements, des consommations et des usages numériques des Français. Les résultats du premier Baromètre sont particulièrement intéressants dans le contexte actuel du marché mobile en France.


Via Audrey Bardon
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La grande déprime des étudiants français

La grande déprime des étudiants français | Essentiels et SuperFlus | Scoop.it
Les résultats de l’enquête réalisée par l’Observatoire de la vie étudiante révèlent que plus de la moitié des étudiants se dit stressée, déprimée ou en difficulté financière.

Les jeunes Français sont de plus en plus nombreux, étudiants ou jeunes professionnels, à aller tenter leur chance à l’étranger .Et si les conditions de vie des étudiants français étaient en cause? L’enquête nationale de l’oObservatoire de la vie étudiante sur les conditions de vie des étudiants est publiée ce mardi. Et ses conclusions sont plutôt pessimistes. Les étudiants français vont mal: 53% d’entre eux se sont sentis déprimés et/ou stressés dans la semaine précédant leur réponse à l’enquête. Ils sont également nombreux à devoir faire face à des difficultés financières: 54% des sondés ont déclaré être confrontés à des difficultés de «moyennes à très importantes», qu’ils habitent ou non chez leurs parents. Julie fait partie de ceux là: «J’ai du faire un prêt pour payer mon école, et au quotidien, ce n’est pas la joie. Mes parents me payent mon loyer, ce qui est déjà conséquent à Paris. Pour le quotidien, j’ai 300 euros par mois. Mais une fois retiré les transports, l’électricité, le téléphone… Il ne reste plus grand chose.» Au déjeuner et au dîner, «ce sont souvent des pâtes»! Les étudiants sont un peu moins nombreux qu’en 2010 à travailler: ils ne sont plus que 46% aujourd’hui, contre 50% il y a trois ans. Plus d’un étudiant sur deux déclare le faire par nécessité financière, même si ils sont près de 70% à considérer que cela leur permet également d’acquérir une expérience professionnelle. «En licence, je faisais des stages en parallèle de mes études, car j’avais le temps. J’apprenais beaucoup, et gagnais un peu d’argent. En master, ce n’est plus possible, la charge de travail est beaucoup trop importante» explique Paul, en master à Sciences Po .Parmi les étudiants qui cumulent études et petits boulots, près d’un sur cinq déclare avoir une activité «concurrente ou très concurrente de leurs études», et cette proportion est passé de 16% en 2010 à 19% en 2013. Lorsque le temps manque à ces «cumulards», c’est leur temps d’études qu’ils sacrifient, et non leurs loisirs: activité rémunérée ou non, le temps alloué à la détente avoisine les douze heures par semaine....


Via Vincent DUBOIS
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Un étudiant sur dix s'évapore chaque année de l'université

Un étudiant sur dix s'évapore chaque année de l'université | Essentiels et SuperFlus | Scoop.it
Lassitude de l'échec, erreurs d'orientation, envie d'entrer dans la vie active... Une étude a été consacrée à ceux qui décrochent.

 

Collège et lycée ne sont pas seuls à produire des décrocheurs. Un étudiant sur cinq sort de l'enseignement supérieur sans diplôme. Le ministère, qui a enquêté en 2010 sur le devenir des bacheliers 2008, observe que le taux d'évaporation oscille entre 17 % en BTS et 1 % en classe préparatoire, en passant par 10 % à l'université.

Les raisons de ces décrochages sont multiples. Mauvais aiguillage après le bac, difficultés d'insertion dans une vie étudiante loin du domicile familial et mauvaise gestion de l'autonomie sont des facteurs récurrents. "J'ai rempli trop vite mes vœux sur le site Admission post-bac, en inscrivant une fac de cinéma sans trop réfléchir, et je n'ai pas pu, ensuite, corriger comme je le voulais", reconnaît Romane Hassoun, issue d'un milieu plutôt aisé et ancienne lycéenne à Janson-de-Sailly - un prestigieux établissement parisien. Preuve que le décrochage touche toutes les catégories sociales, et qu'avoir obtenu brillamment le bac n'en protège pas.

 

Dans une enquête réalisée pour le Céreq (Centre d'études et de recherches sur les qualifications) à partir de soixante entretiens, le sociologue Gérard Boudesseul a dessiné quatre profils types de décrocheurs de l'enseignement supérieur.

L'opportuniste. D'après le chercheur, 17 étudiants sur 60 considèrent le diplôme comme un atout parmi d'autres. Ils savent activer leurs réseaux et multiplier les expériences, rétribuées ou pas, pour se faire une place, donc s'éloigner des amphithéâtres....

Le "raccrocheur". Certains étudiants (13 sur 60) s'éloignent un temps des études pour mieux y revenir, avec un projet professionnel plus précis. Celui qui fait partie de cette catégorie est "attaché à l'obtention d'une certification. Après avoir quitté l'université, il recherche rapidement une nouvelle formation professionnelle, le plus souvent de niveau CAP, BEP ou bac pro"....

Le studieux. Cet étudiant a un parcours scolaire sans anicroches mais a été pris au dépourvu par la liberté qu'offre l'université. Il n'a pas compris comment y travailler et fait l'expérience cruelle de la solitude...

L'étudiant en errance. Enfin, l'enquête du Céreq constate que certains peuvent avoir été bons lycéens mais n'ont pas vraiment choisi entre diplôme et emploi. "C'est le public le plus fuyant, le plus insaisissable, qui interpelle les pratiques pédagogiques des enseignants chercheurs, analyse M. Boudesseul....


Via Vincent DUBOIS
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