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Scooped by Jacques Le Bris
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"�⚡️« On veut des abeilles, pas des produits chimiques ! » scandent des activistes face au laboratoire #Bayer ! #LAffaireDuSiecle #SamediOnArrive #MarcheDuSiecle #Climat

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« Il faut interdire l'usage des pesticides néonicotinoïdes en Europe »

« Il faut interdire l'usage des pesticides néonicotinoïdes en Europe » | Home | Scoop.it

Une image du film documentaire suisse de Markus Imhoof, "Des abeilles et des hommes"

 

L'Union nationale de l'apiculture française (UNAF) organise du 19 au 21 juin  la cinquième édition des Apidays.  Des rendez-vous sont programmés un peu partout en France. Dégustation de pains d'épices, fabrication de savon au miel, rencontres avec des apiculteurs : tout est bon pour rendre hommage aux butineuses, mais aussi pour alerter sur leur déclin. L'Institut national de la recherche agronomique (INRA) vient de publier un dossier destiné au grand public qui recense les trois grands responsables de l'effondrement des colonies de butineuses : prédateurs invasifs comme le frelon asiatique ; divers pathogènes, et l'agriculture intensive. Une analyse  partagée par l'UNAF comme en témoigne Henri Clément, son porte-parole.

L'édition 2014 des Apidays s'inscrit dans l'année internationale de l'agriculture familiale lancée par l'ONU. Pourquoi avoir rejoint cette campagne ?

Henri Clément : Si nous voulons mettre en avant les exploitations familiales, c'est qu'il existe plusieurs apicultures dans le monde. En Asie et en Afrique, on continue de pratiquer la cueillette du miel dans la nature. J'ai rencontré des apiculteurs au Maroc qui gagnent l'équivalent d'un salaire de chauffeur de taxi en produisant 30 à 40 kilos de miel par an. Un apiculteur français s'occupe souvent de 200 à 600 ruches, tandis qu'un Américain en gère 10 000, voire 15 000. En France, les professionnels représentent la moitié de la récolte totale, les familles avec moins de dix ruches en fournissent un quart. Que l'activité se transmette en héritage de génération en génération ou pas, chacun son histoire, mais tous peuvent partager leur passion avec le public.

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Vous avez décidé de vous rapprocher de l'Association française d'agroforesterie. Qu'attendez-vous de ce partenariat ?

 
 

L'agriculture intensive produit soit des vastes étendues rases, soit des champs pleins de pesticides. De son côté, l'agroforesterie dit qu'il n'est pas judicieux de retourner la terre, de la laisser nue. Les sols ont au contraire besoin d'un couvert végétal tout au long de l'année, d'arbres – assez espacés pour laisser passer les moissonneuses –, de haies. Cela permet de préserver l'humus, les insectes, de réguler l'excès d'eau, d'éviter les pesticides. C'est tout bénéfice pour les insectes pollinisateurs qui ont besoin d'une alimentation de qualité tout au long de l'année. Châtaigniers, merisiers, tilleuls sont très intéressants pour nos abeilles, car leur floraisons se succèdent. Nous allons monter un programme avec les promoteurs de l'agroforesterie. Il s'appellera « Plaidoyer pour l'arbre ».

Pourtant, il arrive aussi aux apiculteurs d'avoir à se plaindre des forêts exploitées...

C'est vrai. Certains d'entre nous rencontrent de grosses mortalités à cause d'agrumes d'épicéas qui sont aujourd'hui traités avec des insecticides néonicotinoïdes, dans le Limousin et la région Midi-Pyrénées, entre autres.

Trois insecticides néonicotinoïdes sont actuellement interdits dans l'Union européenne : cela ne suffit pas ?

Non. D'abord, ils ne le sont que sur certaines cultures, ils continuent d'être épandus sur d'autres et puis il reste d'autres pesticides de cette famille. Nous avons co-organisé un colloque sur une agriculture respectueuse des pollinisateurs au Sénat, le 5 juin. Et comme vous avez pu le remarquer, un sénateur écologiste et un député PS ont déposé, le 19 juin, une proposition de résolution pour l'interdiction en Europe des néonicotinoïdes.  Le Parlement néerlandais a déjà voté une mesure similaire en septembre 2013. J'espère que ce texte, après le gouvernement français, ira jusqu'à la Commission européenne.

Martine Valo
journaliste Planète

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37 millions d'abeilles retrouvées mortes au Canada

37 millions d'abeilles retrouvées mortes au Canada | Home | Scoop.it

37 millions d'abeilles retrouvées mortes au Canada, après la plantation d'un grand champ de maïs OGM

 


Des millions d’abeilles sont tombées raides mortes, quelques semaines après la plantation d’un champ de maïs OGM en Ontario, Canada. L’apiculteur local, David Schuit qui produit du miel à Elmwood a perdu environ 37 millions d’abeilles qui représentent au total à peu près 600 ruches.

« Une fois qu’ils ont commencé à planter le maïs, elles sont mortes par millions », a déclaré Schuit. Bien que de nombreux apiculteurs accusent les néonicotinoïdes d’être la cause de l’effondrement des colonies d’abeilles et que de nombreux pays de l’UE ont interdit les néonicotinoïdes qui sont une classe d’insecticides qui agissent sur le système nerveux des insectes, le ministère américain de l’agriculture ne parvient pas à interdire les insecticides néonicotinoïdes, fabriqués par Bayer CropScience Inc.

Deux des insecticides de Bayer les plus vendus, l’Imidaclopride et la Clothianidine, sont connus pour entrer dans le pollen et le nectar, et peuvent endommager les insectes utiles comme les abeilles. La commercialisation de ces pesticides a également coïncidé avec l’effondrement des colonies à grande échelle dans de nombreux pays européens et aux États-Unis.

Nathan Carey, un autre paysan, dit que le printemps dernier il a remarqué qu’il n’y avait pas assez d’abeilles sur son exploitation agricole et il croit qu’il y a une forte corrélation entre la disparition des insectes et l’utilisation d’insecticides.

Dans le passé, de nombreux scientifiques ont eu du mal à déterminer la cause de ces effondrements massifs, un phénomène qu’ils appellent « syndrome d’effondrement ». Aux États-Unis, les abeilles sont en déclin terminal depuis 7 années consécutives.

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Les abeilles sont tombées comme les mouches aux Etats-Unis

Les abeilles sont tombées comme les mouches aux Etats-Unis | Home | Scoop.it
Cet hiver, près d'un tiers des colonies ont été décimées dans le pays, pour une raison inconnue.

 

Près d’un tiers des colonies d’abeilles aux Etats-Unis ont été décimées au cours de l’hiver 2012/2013, une surmortalité aussi préoccupante pour la pollinisation des plantes à fleurs qu’inexpliquée, selon les experts.

Publiée quelques jours après un rapport du ministère américain de l’Agriculture (USDA) et de l’Agence de protection de l’environnement (EPA) qui pointaient déjà la disparition croissante de la population d’abeilles aux Etats-Unis, une étude a confirmé mardi les inquiétudes des experts.

Selon cette enquête, menée par l’USDA et des associations professionnelles, les colonies d’abeilles ont décliné de 31,1% durant l’hiver dernier. C’est 42% de plus que l’hiver précédent, lorsque 21,9% d’entre elles avaient disparu.

Chaque année depuis 2007, les autorités américaines et les associations AIA (Apiary Inspectors of America) et Bee Informed Partnership interrogent à deux reprises un large échantillon d’apiculteurs sur leur élevage d’abeilles. «C’est une question simple que l’on pose dans l’ensemble du pays en octobre puis en avril, pour voir combien de colonies ont survécu à l’hiver», détaille Jeffery Pettis, qui dirige le service de recherches agricoles de l’USDA.

Quelque 6.200  producteurs, représentant 22,9% de la production totale du pays de 2,62  millions de colonies, ont répondu cette année. Or, «70% d’entre eux ont fait état de disparitions plus importantes» cette fois, selon l’étude. «Nous ne menions pas d’enquête comme celle-ci auparavant mais d’après notre expérience et nos contacts avec les producteurs il ressortait qu’en général les pertes se situaient entre 10% et 20%», indique Jeffery Pettis.

Désormais, et sans que les experts s’accordent sur un facteur déterminant, quelque 30,5% en moyenne des colonies d’abeilles meurent chaque année depuis l’hiver 2006/2007.

«Les abeilles ne peuvent pas attendre»

«C’est alarmant, à la fois pour les apiculteurs et pour répondre à nos besoins de pollinisation», poursuit-il. «Les prix pour polliniser les cultures ont plus que doublé, le prix des abeilles est en nette augmentation, mais si on ne peut pas en fournir, les récoltes vont en pâtir, se réduire et faire monter les prix de la nourriture, affectant au final notre nutrition et la chaîne alimentaire».

La Californie, l’Etat le plus gourmand en abeilles, est le plus touché par ces pertes. Pour sa seule production d’amandes, cet Etat de l’ouest des Etats-Unis a besoin de 1,5 et 1,7 millions de colonies, soit 60% des abeilles élevées dans le pays.

Une nouvelle perte de 30% serait un désastre pour la culture d’amandes, prévoit l’USDA.

Outre l’action des parasites, de maladies et de facteurs génétiques, l’exposition aux pesticides et une mauvaise nutrition liée à la disparition progressive de la faune sauvage, ont contribué à cette hécatombe.

Mais, pour la première fois cet hiver, «il semble qu’un stress dû à la migration» des productions d’abeilles pour répondre à la demande de l’ensemble du territoire américain «ait été un facteur important», selon M. Pettis.

D’autre part, l’hiver particulièrement rigoureux, froid et sec, connu par les Etats-Unis ces derniers mois, notamment dans les grandes régions productrices d’abeilles du Nord, comme le Dakota du Nord et du Sud et l’Etat de New York, aurait pu jouer un rôle, selon les experts.

Quoiqu’il en soit, pour l’antenne américaine du réseau PAN (Pesticide Action Network), il est temps d’agir: «Les abeilles ne peuvent pas attendre. L’Europe a engagé des actions courageuses» en interdisant trois pesticides tueurs d’abeilles fin avril, «les Etats-Unis doivent s’élever également pour protéger les abeilles».

Le chercheur de l’USDA a indiqué qu’il prévoyait de rencontrer ses homologues européens en Italie le mois prochain pour faire le point sur la situation.

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Les abeilles officiellement reconnues comme espèce en voie de disparition 

Les abeilles officiellement reconnues comme espèce en voie de disparition  | Home | Scoop.it

The United States Fish and Wildlife Service a récemment officiellement classé les abeilles comme espèce en voie de disparition, renforçant ainsi la menace qui plane sur tout le cycle de la vie, humanité comprise.

The United States Fish and Wildlife Service (USFWS) est un organisme fédéral des États-Unis dépendant du Département de l’Intérieur, et qui s’occupe de la gestion et la préservation de la faune. Le 30 septembre dernier, cet organisme a classé officiellement les abeilles comme une espèce en voie de disparition. Si les abeilles venaient à disparaître, les conséquences seraient terribles, jusqu’à menacer grandement la survie de l’humanité.

En effet, les abeilles sont des insectes pollinisateurs, ce qui signifie qu’elles permettent à 80% des espèces végétales sur terre de se reproduire. En France par exemple, « les bourdons (qui font partie d’une sous-espèce d’abeilles) lâchés dans les serres permettent aux agriculteurs cultivant tomates et melons d’assurer leur production » explique Benoît Gilles, entomologiste, au magazine Atlantico. Par effet boule de neige, une disparition des espèces végétales aurait des conséquences sur l’alimentation des animaux, et donc des humains.

Si l’utilisation globale et massive d’insecticides est souvent pointée du doigt comme cause principale de cette hécatombe chez les abeilles, elle n’est pas seule et les causes sont bien plus nombreuses que cela. On peut notamment évoquer la déforestation, la pollution de l’air, la réduction de la ressource alimentaire (quantité et diversité des fleurs fournissant nectar et pollen) et des habitats, les infections parasitaires, la compétition avec des espèces invasives, le changement climatique ou encore le développement des réseaux 4G, poursuit Benoît Gilles.

En France, « les mortalités d’abeilles se sont largement aggravées depuis une vingtaine d’années. On est passé d’un taux de mortalité qui était de l’ordre de 5% par an à 30% en moyenne. L’enjeu de l’apiculture, des abeilles, dépasse le petit monde des apiculteurs et concerne toute la société » déclare Henri Clément secrétaire général de l’union nationale des apiculteurs de France, cité par RTL.




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Le déclin des abeilles expliqué en 3 minutes

Observé depuis les années 1990, le déclin des abeilles inquiète de plus en plus. Chaque hiver ce sont parfois jusqu'à 35 % des colonies qui disparaissent. Cette hécatombe trouve certes de multiples origines, mais les plus importantes sont bien humaines. Explications. Photos : PRNewsFoto/Whole Foods Market / Gilles Sabrié Musique : BoxCat Games



Face à l'hécatombe exceptionnelle d'abeilles l'hiver dernier, deux organisations apicoles ont lancé, mercredi 12 novembre, un appel inédit aux dons d'essaim pour aider les apiculteurs de l'Ariège et des Pyrénées-Orientales.

« Puisque l'Etat est déficient sur le sujet, on lance une opération de solidarité pour que nos collègues puissent reconstituer leurs colonies », a annoncé Alain David, coordinateur de la Fédération française des apiculteurs professionnels (FFAP).

Cette opération sera menée conjointement par la FFAP, qui représente cent cinquante à deux cents apiculteurs professionnels, et la section apicole de la Confédération paysanne, syndicat agricole minoritaire, très investi dans les sujets environnementaux. « Dans l'urgence, il faut au moins qu'on puisse apporter un soutien, et un effort, de un à cinq essaims, seront demandés à nos apiculteurs », a poursuivi Thierry Dolivet, de la Confédération paysanne, apiculteur dans la Creuse.

Lire le reportage (abonnés) : Les abeilles des Pyrénées-Orientales décimées par les pesticides

HÉCATOMBE LIÉE À LA DÉSINFECTION DU BÉTAIL

Quelque cent cinquante essaims ont déjà été promis et seront livrés au début du printemps prochain, selon la FFAP. Les services vétérinaires de l'Ariège ont lancé en février une mission pour évaluer l'éventualité d'un lien entre ces pertes et la désinsectisation du bétail dans le cadre de la lutte contre la fièvre catarrhale ovine (FCO). Selon Alain David, les services de l'Etat « sont venus constater mais rien n'a été fait ».

« Les bêtes qui vont dans les estives (veaux, moutons, vaches...) sont traitées avec des produits antiparasitaires que l'on retrouve dans les déjections et qui polluent l'environnement. Et c'est cela qui pourrait être la cause de cette surmortalité importante », explique-t-il.

De son côté, le ministère de l'agriculture n'a pas réagi dans l'immédiat.

DÉFICIT D'ABEILLES EN FRANCE ET EN EUROPE

La France et l'Europe sont en déficit d'abeilles en raison d'une surmortalité multifactorielle des colonies, liée à une dégradation de leur environnement et aux pesticides, jugés par les apiculteurs comme l'une des causes majeures de la disparition de ces hyménoptères.

Bruxelles a interdit en 2013 et pour deux ans l'usage des trois pesticides néonicotinoïdes jugés responsables en partie de cette situation. Insuffisant pour les apiculteurs, qui réclament un moratoire étendu à toutes les autres molécules, alors qu'en 2013 la production de miel en France a été inférieure à 15 000 tonnes, soit moitié moins qu'en 1995, pour un nombre de ruches presque équivalent.

Lire l'entretien avec le porte-parole de l'Union nationale de l'apiculture française : « Il faut interdire l'usage des pesticides néonicotinoïdes en Europe »

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Mortalité des abeilles : non-lieu pour l'insecticide Gaucho

Mortalité des abeilles : non-lieu pour l'insecticide Gaucho | Home | Scoop.it

Le groupe Bayer, qui commercialise le pesticide Gaucho, a bénéficié d'un non-lieu sur l'enquête concernant les conséquences du produit sur les abeilles. 

Interdit dans plusieurs pays d'Europe, le Gaucho, pesticide commercialisé par le groupe Bayer, a bénéficié d'un non-lieu dans l'enquête pénale sur les conséquences du produit sur les abeilles. L'Union nationale de l'apiculture française a fait appel de cette décision.

Treize ans après les premières plaintes, le pesticide Gaucho a bénéficié d'un non-lieu dans l'enquête pénale sur les conséquences du produit sur les abeilles. C'est en 2001 qu'une information judiciaire avait été ouverte sur des faits éventuels de tromperie, escroquerie et de destruction du bien d'autrui, sur le cheptel apicole. À ce moment-là, le groupe Bayer, qui commercialise le pesticide, n'avait pas été mis en examen, mais placé sous le statut de témoin assisté.

Dans l'ordonnance de non-lieu datée du 1er avril, le juge d'instruction indique que "la communauté scientifique n'a pas démontré l'existence d'un lien de causalité entre l'introduction du Gaucho dans les cultures agricoles et l'augmentation de la mortalité des abeilles", et qu'alors, "appréhender les troubles du cheptel apicole sous l'angle pénal apparaît d'emblée malaisé", rajoute-t-il en pointant du doigt les autres facteurs qui interviennent dans la mortalité des abeilles comme le Varroa (acarien parasite des abeilles), le frelon asiatique ou la perte de diversité des cultures.

Bayer accusé par les apiculteurs d'avoir caché la toxicité du produit

La partie civile, l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf), a fait appel de ce non-lieu, le dossier sera donc de nouveau examiné par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris.

Les apiculteurs, eux, ne contestent pas le fait que les causes sont nombreuses, mais soutiennent que les pesticides en sont la principale. Ils accusent Bayer d'avoir caché la toxicité réelle du pesticide au moment de l'obtention des premières autorisations de commercialisation.

En France, l'autorisation du Gaucho a été retirée en 1999 pour le tournesol et en 2004 pour le maïs, en raison des risques pour les abeilles.

En décembre dernier; l'Union Européenne a interdit trois pesticides mortels pour les abeilles

Par Hélène Faucher

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Un parasite de mouche provoquerait la mort d'abeilles

Un parasite de mouche provoquerait la mort d'abeilles | Home | Scoop.it
Des chercheurs américains ont détecté aux Etats-Unis un parasite de mouche qui conduit les abeilles domestiques à quitter leur ruche, les désoriente et provoque leur mort, selon une recherche, publiée mardi 4 janvier. Ce nouveau problème a été observé pour la première fois sur le campus de l'université d'Etat de San Francisco.
Selon ces entomologistes, ce parasite pourrait aider à avancer dans les recherches pour déterminer la ou les causes de la disparition massive des abeilles, appelé en anglais "colony collapse disorder ou CCD". Ce phénomène mystérieux apparu en 2006 a décimé les populations d'abeilles domestiques aux Etats-Unis, abeilles qui jouent un rôle essentiel pour préserver les récoltes qui en dépendent pour leur pollinisation. Ces productions, surtout les fruits et certains légumes, représentent des ventes annuelles de 15 milliards de dollars et comptent pour un tiers de l'alimentation humaine.

Jusqu'à présent, ce parasite de la mouche Apocephalus borealis n'a été trouvé que dans des abeilles domestiques en Californie et dans le Dakota du Sud, précise John Hafernik, professeur de biologie à l'université d'Etat de San Francisco, un des auteurs de cette communication parue dans la revue PLoS ONE datée du 3 janvier.

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