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Même si la pollution par l’ozone diminue dans de nombreuses régions des États-Unis, d’Europe occidentale et du Japon, de nombreuses personnes, habitant dans ces pays, vivent encore plus d’une douzaine de jours chaque année où les niveaux d’irritants pulmonaires dépassent les normes sanitaires.
C‘est la conclusion d’une nouvelle évaluation basée sur le Rapport d’évaluation de l’ozone troposphérique ou TOAR, un projet du Global International Atmospheric Chemistry Project visant à créer la base de données la plus complète au monde sur les observations de la surface de l’ozone. Le papier a été publié dans la revue Elementa: Science of the Anthropocene.
Via congruence-RSO
