Il flotte encore dans les classes comme une odeur de craie. Même après une bonne quinzaine de plans numériques, le petit crissement n’a pas si souvent laissé place au stylet numérique. Comment l’école française a-t-elle raté toutes ces révolutions, au point qu’aujourd’hui, de l’avis d’un des consultants les plus au fait de la réalité du terrain, « un tiers des collectivités territoriales ont des établissements équipés où ça fonctionne. Le second tiers a juste besoin de la petite étincelle pour que ça démarre. Et le dernier, lui, a trop de soucis financiers pour y penser»...
Via Terheck
Extrait :
"Tant que l'enseignement est à 85 % frontal, le potentiel des outils, aussi performants soient-ils, ne peut être exploité....
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...Pour que l’école française ose plus le numérique, il faut que l’évaluation des élèves change » ... «Une fois qu’on aura un peu dépassé cette évaluation qui trop souvent veut que l’élève restitue des savoirs, le travail collaboratif, la recherche seront valorisés et la pédagogie pourra changer»,"