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Les classes inversées ça apporte quoi concrètement ? Quelques éléments de réponse en vidéo et sur ce blog :
http://edulogia.com/2-exemples-classe-inversee-science/ ; Via beebac 
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Le numérique et Internet changent-ils le rapport des jeunes au savoir, à l’école et aux autres ? Faut-il avoir peur de ces nouvelles technologies ou, au contraire, les intégrer dans l’enseignement ?
Extraits : Pour Jean-Michel Fourgous, auteur d’un rapport parlementaire, "Réussir l’école numérique », estime que l’intelligence n’est pas moins sollicitée, mais qu’elle l’est différemment. « Nos enfants aiment travailler en équipe et possèdent une culture numérique transversale intuitive. Ils ont compris la force du groupe, de l’entraide et du travail collaboratif" ... "Pas la peine d’inventer des pédagogies pour intégrer le numérique : elles existent déjà ! Ce sont celles de type Freinet et Bloom, qui, dans la première moitié du xxe siècle, créaient des dispositifs permettant à chaque enfant d’avancer à son rythme. Grâce aux environnements numériques de travail (Ent) à l’école, les pédagogies différenciées sont plus faciles à mettre en place." Via MATHIEU, Sandrine Decamps, CECI Jean-François, Gilles Le Page
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La lecture contemporaine nécessite certes de traiter l’information textuelle, mais au-delà, d’intégrer et de synthétiser : – des registres sémiotiques différents, – le formel (facteurs interfaciaux) et le sémantique, – des supports multiples, – des points de vue multiples... Via Lucile Debethune, Terheck
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Après avoir vu passer de nombreuses méthodes d'enseignement au cours de ça longue carrière. Dominique Thomas a décidé de s'intéresser aux MOOCs, à leurs origines, leurs tenants et aboutissants... Via beebac, Michelle Laurissergues
Gilles Le Page's insight:
intéressant, ce retour d'expérience du cMOOC ITyPA !
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Extrait :
... "une nouvelle génération d’enseignants, qui utilisent le « je » à tout bout de champ, gèrent leur image comme des vedettes de cinéma et font fructifier leurs talents de pédagogue bien au-delà de leur quota d’heures légal. Cette vogue vient d’Amérique, qui toujours chérit ses self-made men et sait apprécier les performances. Dans le jargon, on les appelle les trophy professors, ceux que les facs s’arrachent chaque été au terme de transferts dignes de la NBA." ... Via Terheck
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des explications venues du Québec