Il y a eu beaucoup d’agitation en France autour de l’acronyme MOOC et du mouvement lié aux États-Unis.
Rappelons d’abord que c’est bien le nombre d’inscrits à ces cours (par milliers ou dizaines de milliers par cours) qui a retenu l’attention. Notons également que le mouvement pour décoller est passé par quelques étapes clés : d’abord l’initiative d’enseignants qui ont choisi d’ouvrir l’inscription à leur cours sur Internet, ensuite ces mêmes enseignants ont créé des portails suscitant et regroupant une offre visible, chaque cours étant accessible en 1 clic, avec comme affichage : 1 sujet attirant, 1 vidéo de présentation, 1 professeur et/ou un nom d’université.
Via Marco Bertolini, Michelle Laurissergues
un pont sur les MOOCs en France et en Europe :
Conclusion de l'article : nous n'avons pas encore atteint la maturité