Si l'objectif d'un volume de ressources végétales utilisées comme matières premières dans le secteur de la chimie de 20% à l'horizon 2020 est fixé, ce développement est soumis à un certain nombre de conditions.
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"Concernant la quantité de CO2 émise lors de la production : nous avons un gain en tendance générique d'environ 30 à 40 % pour le procédé de biotechnologie industriel par rapport à un procédé pétrochimique", détaille Christophe Rupp Dalhem. Ainsi tandis qu'un kilogramme de polypropylène génère 2 kg de CO2, un plastique végétal lui émet 1,5 kg. A cette première économie, s'ajoute le carbone séquestré par la plante lors de la photosynthèse : 0,84 kilo de CO2 par kilo de résine. "Dans cet exemple, la captation du carbone dans le matériau est supérieure à l'économie réalisée lors de la production", pointe Christophe Rupp Dalhem.