Un inventaire, réalisé par les services de l'Etat et les producteurs d'électricité, révèle un potentiel de 10 TWh, conformément aux projections de l'UFE. Cependant, la liste contient des projets incompatibles avec la protection de l'environnement.
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En l'occurrence, le document totalise 2.476,6 MW de capacité pour l'ensemble des nouveaux sites qui pourraient être implantés sur les cours d'eau Français, pour une production annuelle de 8,9 TWh. "Si l'on ajoute à ce potentiel, le potentiel majorant des régions pour lesquelles la convergence n'a pas eu lieu, celui-ci pourrait être porté à 2.885 MW et 10,3 TWh/an", précise le document qui indique que des projets proposés par l'UFE pour les Régions Auvergne (340 MW), Bretagne (26 MW), Limousin (21 MW) et Lorraine (22,1 MW) n'ont pu être étudiés. Avec des potentiels de 753 MW, 613 MW et 530 MW, les régions Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte-D'azur et Midi-Pyrénées forment, sans surprise, le trio de tête.
Quant à l'aménagement en centrales hydroélectriques des retenues d'eau existantes mais non équipées de turbines, le potentiel est évalué à 261 MW pour une production de 0,9 TWh. Les Régions Franche-Comté (96 MW), Midi-Pyrénées (50 MW) et Champagne-Ardenne (44,6 MW) forment le podium. "Si l'on ajoute à ce potentiel, le potentiel majorant des régions pour lesquelles la convergence n'a pas eu lieu, celui-ci pourrait être porté à 477 MW et 1,6 TWh/an".
http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_synthese_potentiel_hydroelectriquev1.pdf