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Vivre en association ou comment la coopération symbiotique confère un avantage dans l’adaptation à la vie terrestre 

Vivre en association ou comment la coopération symbiotique confère un avantage dans l’adaptation à la vie terrestre  | EntomoNews | Scoop.it

"Une équipe de chercheurs du Laboratoire Ecologie et Biologie des Interactions à Poitiers a cherché à comprendre comment la coopération symbiotique chez un organisme de la faune du sol (le cloporte commun) lui permet de jouer, à l’égal des vers de terre, un rôle clé dans la décomposition de la litière et la fertilité des sols. L’étude a été publiée dans la revue Microbiome."

 

CNRS - Institut écologie et environnement - Actualités de l'institut, 21.09.2018

 

 

[Image] Le cloporte commun Armadillidium vulgare est un organisme symbiotique détritivore membre de la faune du sol.
  Crédit : Marius Bredon, UMR7267

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La drosophile cultive la symbiose avec ses amis bactériens qui le lui rendent bien

La drosophile cultive la symbiose avec ses amis bactériens qui le lui rendent bien | EntomoNews | Scoop.it
Les relations symbiotiques entre animaux et bactéries sont classiquement étudiées sous l'angle des bénéfices physiologiques apportés par les bactéries intestinales à leur hôte. Une étude publiée, publiée le 26 décembre 2017 dans Cell Metabolism par l'équipe de François Leulier à l’Institut de Génomique Fonctionnelle de Lyon, utilisant le modèle expérimental de symbiose entre la drosophile et sa bactérie commensale Lactobacillus plantarum, met en évidence un élégant mécanisme par lequel la drosophile favorise le maintien de cette association hôte/bactérie dans la durée. Cette symbiose est un prototype de mutualisme nutritionnel dont les mécanismes pourraient être conservés chez les organismes plus complexes.

 

CNRS - Sciences biologiques - Parutions

 

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Symbiose : les fourmis qui protègent les acacias profitent d’une récompense exclusive

Symbiose : les fourmis qui protègent les acacias profitent d’une récompense exclusive | EntomoNews | Scoop.it

 

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Cette alliance entre les fourmis et les acacias est maintenant inscrite dans les manuels scolaires, mais elle est encore plus intime qu’on ne l’avait pensé. Certains acacias ne se contentent pas de fournir leurs fourmis avec une nourriture. Ils offrent l’équivalent biologique d’un chèque, d’une récompense que seules les fourmis peuvent encaisser.

 

Chaque partenariat est vulnérable aux voleurs. Les très nutritifs corps beltiens de l’acacia pourraient facilement être pillés par n’importe quel insecte assez rapide pour éviter les fourmis qui patrouillent. Mais les insectes voleurs se retrouveraient devant un repas pauvre et potentiellement dangereux.

 

[...]

 

L’étude publiée sur Molecular Ecology :Exclusive rewards in mutualisms: ant proteases and plant protease inhibitors create a lock–key system to protect Acacia food bodies from exploitation. http://tinyurl.com/pzojuue


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Des fourmis symbiotiques chassent et digèrent pour leur plante-hôte carnivore - CNRS

Des fourmis symbiotiques chassent et digèrent pour leur plante-hôte carnivore - CNRS | EntomoNews | Scoop.it

Dans les zones inondées des forêts tropicales humides où l’azote est difficilement assimilable par les racines, la nutrition est un véritable défi pour les plantes. Certaines ont développé des adaptations qui leur permettent de retirer un bénéfice nutritionnel des insectes. C’est le cas des plantes carnivores et des plantes myrmécotrophes qui ont développé respectivement des relations antagonistes avec les insectes ou mutualistes avec les fourmis.

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Evolution de la symbiose entre Lactobacillus plantarum et la drosophile : un exemple d'adaptation bactérienne à la nutrition de son hôte

Evolution de la symbiose entre Lactobacillus plantarum et la drosophile : un exemple d'adaptation bactérienne à la nutrition de son hôte | EntomoNews | Scoop.it
Les symbioses facultatives entre animaux et micro-organismes jouent un rôle fondamental dans la santé des écosystèmes et des organismes. Les chercheurs de l’Institut de Génomique Fonctionnelle de Lyon, utilisant le modèle expérimental drosophile/Lactobacillus plantarum, ont mis en évidence le rôle prépondérant de l'environnement nutritionnel comme premier facteur déterminant de cette symbiose. Cette étude, publiée le 28 Juin 2018 dans Cell Host and Microbe, participe à une meilleure compréhension de l’évolution des symbioses bactéries-animaux.

 

 

[Image] L'adaptation génétique de la bactérie à la nutrition de son hôte, plutôt qu'à celui-ci directement, est une première étape importante dans l'évolution de la symbiose facultative entre la drosophile et Lactobacillus plantarum.

Crédits : ME. Martino & F. Leulier, licence Creative commons.

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Des insectes améliorent notre compréhension des relations entre animaux et bactéries

Des insectes améliorent notre compréhension des relations entre animaux et bactéries | EntomoNews | Scoop.it

 

Une étude révèle une trajectoire évolutive distincte encore jamais vue chez les bactéries qui ont pour hôte les animaux

Des scientifiques ont réalisé des avancées dans l'élucidation d'une relation complexe et singulière entre les animaux et les bactéries, nous permettant éventuellement de mieux comprendre l'association complexe entre les humains et les microorganismes dont dépend notre santé.

Les cochenilles, des insectes écailleux qui se nourrissent de jus de plantes, forment un rare tandem avec les bactéries qui aident les insectes à transformer la sève en nutriments fonctionnels. Tout comme des poupées gigognes, les insectes hébergent deux types de bactéries : l'une des bactéries appelée Moranella endobia vit dans une autre bactérie appelée Tremblaya princeps. Ce système à trois niveaux n'a jamais été observé chez d'autres animaux, et les scientifiques de l'ICRA, dont John McCutcheon (Université du Montana), désirent en comprendre les rouages internes. "Des travaux antérieurs réalisés avec mes collaborateurs ont révélé que Tremblaya a un très petit génome - le plus petit génome cellulaire observé à ce jour - dont plusieurs gènes essentiels sont manquants, explique McCutcheon. Avec un génome si petit et dégénéré, comment cette bactérie survit-elle? Voilà la question au coeur de notre nouvelle étude. Nous voulions mieux comprendre le rôle de Moranella et de la cochenille dans le fonctionnement de Tremblaya." On a publié les résultats de l'équipe dans la revue Cell le 20 juin 2013, avec une mention spéciale en page couverture.


Horizontal Gene Transfer from Diverse Bacteria to an Insect Genome Enables a Tripartite Nested Mealybug Symbiosis


Bernadette Cassel's insight:

 

SUR INSECT ARCHIVE :

→ A bug in a bug in a bug on the cover of Cell http://sco.lt/6Tcxyj

 

 

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Des monstres de science-fiction... de 20 microns

Des monstres de science-fiction... de 20 microns | EntomoNews | Scoop.it

 

VIDEO - Des scientifiques canadiens ont découvert l'existence de deux micro-organismes vivant dans l'estomac des termites, dont l'apparence et le mode de déplacement seraient proches de ceux... des pieuvres.

 

[...]

 

Cthulhu macrofasciculumque et Cthylla microfasciculumque vivent en symbiose avec le métabolisme des termites, en aidant ces dernières à digérer le bois qu'elles ingèrent. D'autres micro-organismes de ce type avaient déjà été détectés dans le système digestif des termites, mais ils étaient plus gros (50 à 150 microns) que Cthulhu macrofasciculumque et Cthylla microfasciculumque, alors que ces derniers ne dépassent pas les 20 microns.

 

[L'étude] Cthulhu Macrofasciculumque n. g., n. sp. and Cthylla Microfasciculumque n. g., n. sp., a Newly Identified Lineage of Parabasalian Termite Symbionts - PLoS_ONE, 18.03.2013

http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0058509


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SUR LE MÊME SUJET (repéré le 18/08/2015) :

→ Acetogenesis from H2 plus CO2 and nitrogen fixation by an endosymbiotic spirochete of a termite-gut cellulolytic protist - PNAS, 16.04.2015 http://www.pnas.org/content/early/2015/05/14/1423979112.abstract

                             

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Relation symbiotique : des bactéries se joignent aux insectes dans leur guerre contre les pesticides

Relation symbiotique : des bactéries se joignent aux insectes dans leur guerre contre les pesticides | EntomoNews | Scoop.it

Un insecte et une bactérie se sont associés contre un pesticide couramment pulvérisé sur les cultures. Dans les tests de laboratoire, ingurgiter en grande quantité certaines de ces bactéries, protègerait les insectes de ce produit chimique toxique.

Bernadette Cassel's insight:

 

→ Symbiont-mediated insecticide resistance

http://www.pnas.org/content/early/2012/04/19/1200231109

 

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