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Difficultés à voler et à trouver de la nourriture: les produits chimiques sont un danger pour le cerveau des pollinisatrices et donc, pour leur survie. par Héloïse Le Fourner — 19 août 2022 à 21h30 ---------- NDÉ L'étude : via Modern pesticides damage the brain of bees so | EurekAlert!, 17.08.2022 https://www.eurekalert.org/news-releases/961620 Honeybees use wide-field visual motion information to calculate the distance they have flown from the hive, and this information is communicated to conspecifics during the waggle dance. Seed treatment insecticides, including neonicotinoids and novel insecticides like sulfoxaflor, display detrimental effects on wild and managed bees, even when present at sublethal quantities. These effects include deficits in flight navigation and homing ability, and decreased survival of exposed worker bees. Neonicotinoid insecticides disrupt visual motion detection in the locust, resulting in impaired escape behaviors, but it had not previously been shown whether seed treatment insecticides disrupt wide-field motion detection in the honeybee. Here, we show that sublethal exposure to two commonly used insecticides, imidacloprid (a neonicotinoid) and sulfoxaflor, results in impaired optomotor behavior in the honeybee. This behavioral effect correlates with altered stress and detoxification gene expression in the brain. Exposure to sulfoxaflor led to sparse increases in neuronal apoptosis, localized primarily in the optic lobes, however there was no effect of imidacloprid. We propose that exposure to cholinergic insecticides disrupts the honeybee’s ability to accurately encode wide-field visual motion, resulting in impaired optomotor behaviors. These findings provide a novel explanation for previously described effects of neonicotinoid insecticides on navigation and link these effects to sulfoxaflor for which there is a gap in scientific knowledge. [Image] Wide-field visual motion stimulates optomotor behaviors in honeybees. ---------- Autre étude récente :
Les scientifiques s'inquiètent de la longue stabilité dans le miel de ces pesticides controversés accusés de participer au déclin des abeilles. Publié le 19.02.2019 "... Ces travaux publiés dans la revue Environmental Pollution complètent une étude parue dans Science en 2017. Par rapport à la première recherche, la présence de quatre autres molécules non testées à l'époque (dinotéfurane, nitenpyrame, sulfoxaflor et flupyradifurone) a été établie dans 28% des 36 échantillons analysés. «Le dinotéfurane et le nitenpyrame ne sont pas des substances nouvelles», indique Gaétan Glauser, responsable du NPAC et auteur principal de l'étude. « Elles sont juste moins utilisées et donc moins souvent mesurées, mais pour avoir une vision globale, nous avons voulu les inclure. Le dinotéfurane n'est pas autorisé en Suisse, mais il est utilisé aux Etats-Unis et au Japon. Le nitenpyrame est peu utilisé en agriculture, plutôt en usage vétérinaire », poursuit le spécialiste. Quant au sulfoxaflor et à la flupyradifurone, le débat fait actuellement rage concernant leur appartenance à la classe des néonicotinoïdes ou pas. « Les premières études scientifiques ont démontré que ces molécules ont les mêmes effets que les autres néonicotinoïdes et partagent un mode d'action similaire ciblant les récepteurs nicotiniques de l'acétylcholine dans le système nerveux », explique Gaétan Glauser. « Plutôt que d'attendre 10 ou 20 ans pour tester leurs effets de manière exhaustive, il semble plus raisonnable d'appliquer le principe de précaution et de considérer ces nouvelles molécules comme des néonicotinoïdes », conclut le chercheur." (ats/nxp)
Si les abeilles sont contaminées par les néonicotinoïdes, on les retrouve également dans l'eau, l'alimentation et le corps humain. En 2015, l'imidaclopride est entrée dans le Top 15 des substances les plus détectées dans les cours d'eau, selon le ministère de l'Ecologie. Une étude d'octobre 2017 révèle que les trois quarts des miels en contiennent. D'autres études ont montré que les néonicotinoïdes sont également présents dans les aliments et dans les urines des humains. Pesticides : les champs français contaminés aux néonicotinoïdes sur des millions d'hectares. Publié le 13.02.2018 "Ces produits sont reconnus pour leur dangerosité et pas seulement pour les insectes. L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a estimé en 2013 que l'acétamipride et l'imidaclopride "peuvent affecter de façon défavorable le développement des neurones et des structures cérébrales associées à des fonctions telles que l'apprentissage et la mémoire" chez l'être humain. Elle a conclu que certains des niveaux recommandés d'exposition à ces molécules "pourraient ne pas constituer une protection suffisante pour éviter toute neurotoxicité développementale et qu'ils devraient être abaissés". Les néonicotinoïdes doivent être interdits sur les cultures en septembre 2018 même si des dérogations sont possibles jusqu'en 2020. Une mesure déjà sabordée par l'autorisation d'une nouvelle molécule néonicotinoïde de remplacement, le Sulfoxaflor." [Image] Utilisations en tonnes des insecticides néonicotinoïdes en France
Le Transform et le Closer servent à éliminer les pucerons. Ils sont accusés par une association de présenter des risques pour la santé des abeilles. Avec AFP, 24.11.2017 "Le jugement sur le fond du dossier aura lieu plus tard mais, pour l’instant, l’autorisation de mise sur le marché de deux pesticides, le Transform et le Closer, est suspendue. Le tribunal administratif de Nice était saisi par l’association écologiste Générations Futures, laquelle assure que l’épandage de ces produits nuit à la santé des abeilles. (...) Le Transform et le Closer, déjà autorisés selon leur fabricant, Dow, dans 41 pays dont les Etats-Unis, le Canada et l'Afrique du Sud, avaient été autorisés à la vente fin septembre par l'Agence française de sécurité sanitaire (Anses)." (...) ___________________________________________________________________ ___________________________________________________________________
AJOUT au 25.11.2017
→ La justice suspend l’autorisation de nouveaux pesticides « tueurs d’abeilles » L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail avait donné son blanc-seing à une mise sur le marché en septembre. LE MONDE | 24.11.2017 à 13h19 • Mis à jour le 25.11.2017 à 06h35 | Par Stéphane Foucart et Stéphane Mandard "C’est un camouflet majeur pour l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Saisi en référé par l’association Générations futures, le tribunal administratif de Nice a ordonné, jeudi 23 novembre, la suspension de l’autorisation de mise sur le marché de deux formulations commerciales (Closer et Transform) à base de sulfoxaflor, un nouvel insecticide apparenté aux néonicotinoïdes, développé par Dow Agrosciences, le géant américain de l’agrochimie." http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2017/11/24/la-justice-suspend-l-autorisation-de-nouveaux-pesticides-tueurs-d-abeilles_5219869_1652692.html
"... Générations Futures a déposé vendredi 27 octobre deux recours en justice contre les autorisations de mise sur le marché (AMM) délivrées par l’Anses de deux insecticides contenant du Sulfoxaflor (Closer et Transform)." La France Agricole, 27.10.2017
"... Générations Futures a décidé de déposer ces recours au vu des données de l’évaluation scientifique de l’Efsa qui parle de « risque élevé pour les abeilles ». « En 2015, l’Europe avait pourtant autorisé la matière active… alors même que des données importantes sur la toxicité de cette molécule sur les abeilles et les autres pollinisateurs étaient manquantes », complète-elle. « Dow AgroSciences avait deux ans pour fournir ces données confirmatives, relate Générations Futures. L’examen attentif du dossier montre que l’avis de l’Anses de juin 2017 ayant conduit à la délivrance de ces AMM a été rendu alors que ces données étaient toujours manquantes. »"
Les récoltes de miel restent catastrophiques, les ruches se vident de leurs occupantes, et l’Anses donne son accord à une molécule « tueuse d’abeilles ». Par Stéphane Foucart et Martine Valo - LE MONDE [en accès limité] | 19.10.2017 à 19h35 • Mis à jour le 19.10.2017 à 21h13 | "Les apiculteurs français sont furieux. Alors que la récolte de miel de 2017 se révèle au moins aussi catastrophique que celle de 2016 — elle n’atteint pas 10 000 tonnes, soit au moins trois fois moins que dans les années 1990 —, l’Union nationale de l’apiculture française (UNAF) a dénoncé, jeudi 19 octobre, l’autorisation de mise sur le marché par la France du sulfoxaflor. Ce nouvel insecticide, développé par la société Dow AgroSciences, est introduit sur le marché, alors que les néonicotinoïdes, en voie d’interdiction en Europe, doivent être interdits en France par la loi de reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages dès 2018 — des dérogations demeurant possibles jusqu’en 2020. Le problème, selon l’UNAF, est que le sulfoxaflor est aussi un néonicotinoïde — sans être classé comme tel par les industriels et les agences réglementaires en Europe. Il agit, en tout cas comme les « néonics », en se fixant sur les mêmes récepteurs du système nerveux central." (...)
Une cour d’appel fédérale a bloqué l’utilisation d’un pesticide concernant ses effets sur les abeilles.
Interdiction d’un pesticide à l’origine de la disparition des abeilles. Par Jacqueline Charpentier. Actualité Houssenia Writing, 11.09.2015
« Ce tribunal a déclaré que l’agence américaine de la protection de l’environnement (EPA) n’a pas étudié correctement le pesticide Sulfoxaflor avant d’approuver son utilisation en 2013 sur de nombreux types de graines incluant le citron et le coton. Les études initiales sur le Sulfoxaflor avaient montré que ce pesticide était hautement toxique pour les abeilles et l’EPA aurait dû faire plus de tests. [...]. »
« [...] Le Sulfoxaflor fait partie d’un groupe d’insecticides connu comme les néonicotinoides [...]. »
« [...] Un rapport de l’EPA en 2013 a tenté de noyer le poisson en citant plusieurs facteurs tels que des bactéries, des virus, une faible nutrition, la perte de l’habitat, mais l’agence a été obligée d’admettre que les pesticides ont sans doute joué un rôle important. Les groupes de défense de l’environnement, tel qu’Earthjustice, sont satisfaits de cette décision, mais l’association regrette que ce pesticide ait été approuvé par une agence qui est censée protéger l’environnement et qu’il ait fallu une décision judiciaire pour admettre qu’elle s’était trompée sur toute la ligne. »
[Image] Victory for beekeepers as US court revokes approval for sulfoxaflor - France News - 10.09.2015 http://www.francenews.net/index.php/sid/236620713 « SACRAMENTO, California - A three-judge panel Thursday cancelled the approval granted by the federal Environmental Protection Agency (EPA) to a pesticide sulfoxaflor, which is alleged to be linked to the decline of honeybees and other pollinators over the last decade. »
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ET AUSSI :
• U.S. court finds EPA was wrong to approve Dow pesticide harmful to bees | Reuters, 10.09.2015 http://www.reuters.com/article/2015/09/10/us-epa-agriculture-honeybees-idUSKCN0RA2CQ20150910 ___________________________________________________________________
SUR LE MÊME SUJET :
• L’Europe autorise un nouvel insecticide tueur d’abeilles: stupeur et consternation ! - Communiqué de presse - Bee Life, 13.08.2015 http://bee-life.eu/fr/article/90/
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La Commission européenne a déploré jeudi le blocage par des États membres (Conseil) de sa proposition visant à limiter l’utilisation du pesticide Sulfoxaflor aux serres permanentes, afin de protéger les insectes pollinisateurs. La Belgique fait partie des pays qui bloquent. Rédaction 10-02-22, 18:16 Source:Belga "La Commission “réitère sa demande aux États membres” de soutenir cette proposition, dans le cadre de ses stratégies agroalimentaires (“De la ferme à la table”) et de biodiversité. “Les conclusions scientifiques de l’Autorité européenne de sécurité des aliments montrent que l’utilisation du Sulfoxaflor en extérieur peut s’avérer nocive pour les bourdons et les abeilles solitaires”, insiste la commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides, dans un communiqué. Un comité technique réunissant États membres et Commission a rejeté la proposition dernièrement. L’exécutif européen a donc annoncé qu’il saisirait le comité d’appel “pour faire pression en faveur d’une position protectrice des pollinisateurs.” La Belgique juge la proposition de la Commission “inutilement sévère”, avait indiqué récemment encore le ministre fédéral de l’Agriculture, David Clarinval, à la Chambre. Le pays autorise une utilisation du Sulfoxaflor en extérieur, sous certaines conditions d’application de la substance, au grand dam des associations environnementalistes. Le ministre y voit notamment un substitut intéressant aux néonicotinoïdes utilisés dans la culture de betteraves sucrières." [Image] (FILES) In this file photo taken on April 1, 2019 in Munich shows a bee collecting nectar and pollen in the flower of a Japanese ornamental cherry tree. - Bavarian authorities agreed on April 3, 2019 to pass into law the text of a "save the bees" petition that would bring drastic changes in farming practises. (Photo by Sven Hoppe / dpa / AFP) / Germany OUT Crédit : AFP Mots-clés : Transform ; Closer
Le sulfoxaflor, tout comme les néonicotinoïdes, a un impact négatif sur la santé des colonies de bourdons, selon des recherches publiées mercredi 15 août. Cette étude met en garde contre le remplacement des pesticides controversés par cette nouvelle substance. Pesticides. Le « probable successeur » des néonicotinoïdes serait aussi néfaste pour les bourdons. Ouest-France avec AFP, 15/08/2018 Moins de bourdons ouvriers "Les chercheurs de l’université Royal Holloway de Londres ont exposé 25 ruches de bourdons terrestres (Bombus terrestris) à des doses de sulfoxaflor comparables à une exposition dans un champ pulvérisé, et comparé leur évolution avec 26 ruches « témoin ». Entre deux et trois semaines après le début de l’expérience sur ces toutes nouvelles ruches, « les impacts négatifs sur l’efficacité de la reproduction des colonies traitées sont apparus », notent-ils, soulignant la similarité avec de précédents tests sur l’exposition aux néonicotinoïdes. Dans un premier temps, les ruches exposées ont produit moins de bourdons ouvriers. Ensuite, elles ont donné naissance à 54 % de moins de bourdons capables de se reproduire que dans les colonies témoin, « suggérant que dans un contexte de pollinisateurs sauvages, l’exposition au sulfoxaflor pourrait conduire à des conséquences environnementales similaires aux néonicotinoïdes s’il était utilisé sur des cultures » attirant abeilles ou bourdons." (...) [Image] via "Le probable successeur des néonicotinoïdes néfaste aux bourdons", 15.08.2018 https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/le-probable-successeur-des-neonicotinoides-nefaste-aux-bourdons_126753 ___________________________________________________________________ MÊME SUJET : → Un nouveau pesticide nocif pour les bourdons terrestres https://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2018/08/17/un-nouveau-pesticide-nocif-pour-les-bourdons-terrestres_5343384_1652692.html Présenté comme un substitut aux néonicotinoïdes, le sulfoxaflor affecte, lui, la reproduction des mâles et des reines de ce pollinisateur essentiel.
Le 15 février, le Conseil d'Etat a confirmé la suspension des autorisations de mise sur le marché (AMM) des insecticides Closer et Transform contenant la substance active sulfoxaflor, commercialisés par la société Dow AgroScience SAS. Pou
L’UNAF demande son interdiction immédiate Communiqué de presse, 16.11.2017 "Dans le cadre d’une actualisation parue le 5 novembre de l’Evaluation Mondiale des insecticides systémiques, une équipe de 8 chercheurs indépendants décrit le sulfoxaflor comme un membre de la famille des néonicotinoïdes. Pour rappel, fin septembre, l’Anses a autorisé deux produits à base de sulfoxaflor sur de nombreuses cultures. Dow Agroscience nie la qualité de néonicotinoïde du sulfoxaflor pour échapper à la mauvaise réputation de ces produits et à un contexte réglementaire défavorable. Les pouvoirs publics français doivent refuser d’être complices de telles stratégies commerciales. Les néonicotinoïdes sont par nature hautement toxiques pour les abeilles, quelle que soit le nom de la molécule : • Ils sont systémiques : ils circulent dans la plante et peuvent se retrouver dans le pollen, le nectar et l’eau produite par la plante lors du phénomène de guttation. Ils entraînent ainsi une exposition prolongée des abeilles et des pollinisateurs à ces pesticides. • Facilement solubles dans l’eau, ils contaminent largement l’environnement et leur présence est attestée dans les eaux de surface (y compris les flaques ou les ornières des champs) et dans les eaux souterraines. •Ils sont neurotoxiques : ils agissent sur les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine, un neurotransmetteur essentiel du cerveau des insectes et comme tels ils entraînent, même à faible dose, des effets sublétaux. Chez les abeilles, de tels effets sont démontrés dans de nombreuses fonctions : mémoire olfactive, fécondité, longévité, mobilité, orientation, immunité etc. Ces effets, non létaux pour l’individu, sont potentiellement létaux pour la colonie." (...)
Communiqué de presse du 20 octobre 2017 Contre toute attente, en pleine tenue des États généraux de l’alimentation et au mépris de la Loi biodiversité qui interdit l’usage des néonicotinoides, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement, et du travail (Anses), vie
EUROPE – En mai 2013, l’EPA, l’Agence de protection de l’environnement des Etats Unis, a autorisé la sulfoximine, une nouvelle classe de pesticide, pour une utilisation dans la production agricole. Le Sulfoxaflor est l’ingrédient actif utilisé pour le traitement du colza, du soja, du coton, du blé et de nombreux légumes. Apparemment, cet insecticide a été mis sur le marché pour enrayer la prolifération d’insectes devenus résistants aux autres pesticides. Un cercle vicieux ! Les apiculteurs américains ont manifesté en vain contre cette décision. Le produit a été déclaré inoffensif pour les insectes pollinisateurs. Selon l’EPA, la molécule réduirait l’exposition des abeilles aux substances chimiques. L’industrie agroalimentaire américaine a lourdement soutenu la position de l’EPA comme on peut l’imaginer.
Le 27 juillet dernier, c’était au tour de la Commission Européenne d’approuver l’utilisation du Sulfoxaflor (règlement d’exécution 2015/1295 CE du 27 Juillet 2015).
La Commission européenne autorise le Sulfoxaflor, un insecticide dangereux, par Agnès Fayet. Butine info, 13.08.2015
« [...] Tout comme les insecticides néonicotinoïdes, le Sulfoxaflor est un insecticide systémique qui agit sur le système nerveux central des insectes. Les insectes se retrouvent paralysés avant de mourir. Son incidence sur les mammifères serait moindre que celle des néonicotinoïdes. On peut s’étonner de la décision précipitée de la Commission européenne, alors que l’on constate à la fois des avancées scientifiques et législatives en matière d’autorisation de mise sur le marché des pesticides (2, 3 et 4). Cette décision est vivement critiquée par les apiculteurs européens [1] et par Pan Europe. »
[1] L’Europe autorise un nouvel insecticide tueur d’abeilles: stupeur et consternation ! - Communiqué de presse - Bee Life, 13.08.2015 http://bee-life.eu/fr/article/90/
[Image] Is Juncker’s Commission running for pesticide companies? The come-back of bee-killing neonicotinoids : EU Reporter, 10.08.2015 http://www.eureporter.co/frontpage/2015/08/10/is-junckers-commission-running-for-pesticide-companies-the-come-back-of-bee-killing-neonicotinoids/
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https://www.scoop.it/topic/entomonews/?&tag=sulfoxaflor
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