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Le miel peut aider à identifier les sources de pollution

Le miel peut aider à identifier les sources de pollution | EntomoNews | Scoop.it
Le miel d'abeilles en milieu urbain peut aider à identifier les sources de polluants environnementaux tels que le plomb, indique une étude de l'Université de la Colombie-Britannique.

Des scientifiques du Centre universitaire de recherche isotopique et géochimique du Pacifique ont analysé le miel de ruches urbaines situées dans six quartiers du Grand Vancouver, où ils ont testé le plomb, le zinc, le cuivre et d'autres éléments.

Ils ont découvert que la concentration d'éléments augmentait de plus en plus près des zones à forte circulation, à la densité urbaine plus élevée et à l'activité industrielle plus importante.

 

 

[Image] Honey bees can help monitor pollution in cities, 11.03.2019 https://news.ubc.ca/2019/03/11/honey-bees-can-help-monitor-pollution-in-cities/

 
UBC research reveals the chemical composition of honey in Vancouver reflects its environment and is very clean.
 
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Les humains entraînent leur environnement ainsi qu’eux-mêmes vers de nouvelles formes d’évolution

Les humains entraînent leur environnement ainsi qu’eux-mêmes vers de nouvelles formes d’évolution | EntomoNews | Scoop.it
La rapidité avec laquelle nos modes de vie moderne et nos systèmes économiques façonnent l’évolution est décrite dans une série d’études scientifiques publiées le mois dernier ainsi que dans une nouvelle recherche menée par Marina Albert et son équipe de l’université de Washington. Elles laissent peu de place au doute quant au fait que les humains sont responsables de l’émergence de nouvelles et très rapides formes d’évolutions.

 

Par GuruMed, GuruMeditation, 13.02.2017

 

"... Dans les zones urbaines, où l’impact humain est le plus évident, de nombreuses études ont montré que les plantes et les animaux, natifs et introduits, évoluent en réponse à la transformation humaine de l’environnement.

(...)

Il y a, par exemple, un célèbre cas de ce que l’on appelle le “mélanisme industriel”. Cela a entrainé une baisse spectaculaire du nombre de papillons de couleur claire en Angleterre pendant les années 1800, lorsque l’industrialisation a entrainé des fumées qui ont noirci et dégradé les troncs d’arbres, camouflant les individus de couleur foncée de leurs prédateurs, les oiseaux. Mais quand cette pollution a finalement été nettoyée dans les années 1970, la situation s’est inversée et les papillons de couleur sombre ont commencé à être visible de leur prédateur, changeant leur population en conséquence."

(...)

 

Les dizaines d’études recensant les modifications qu’engendrent l’activité humaine compilées par Andrew P Hendry (université McGill), Kiyoko M. Gotanda (université de Cambridge) et Erik I. Svensson (université Lund) publiées dans Philosophical Transactions of the Royal Society B : Human influences on evolution, and the ecological and societal consequences et l’étude de Marina Albert de l’université de Washington publiée dans PNAS : Global urban signatures of phenotypic change in animal and plant populations.

 

[Image] Light (typica) and dark (carbonaria) morphs of the peppered moth (Biston betularia). Crédit : Ilik Saccheri

 

via The Same Gene Blackens Moths And Colors Butterflies | IFLScience, 02.06.2016 http://www.iflscience.com/plants-and-animals/one-gene-blackens-moths-and-colors-butterflies/

 

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La pire des pollutions humaines a atteint les plus grandes profondeurs de nos océans

La pire des pollutions humaines a atteint les plus grandes profondeurs de nos océans | EntomoNews | Scoop.it
Selon de nouvelles recherches, des “niveaux extraordinairement élevés” de polluants se sont accumulés dans les crustacés vivant dans les plus profondes fosses océaniques du monde.

Image d’entête : une cannette de bière reposant à 3 780 m de profondeur au lieu-dit Enigma Seamount dans la fosse des Mariannes (NOAA Office of Ocean Exploration and Research/ Deepwater Exploration of the Marianas).

Une étude menée par Alan Jamieson de l’Université d’Aberdeen en Écosse révèle que les concentrations de contaminants à des profondeurs de 10 000 mètres dans les fosses étaient “considérablement supérieures à celles documentées dans les régions voisines d’industrialisation lourde”.

 

Par GuruMed. GuruMeditation, 14.02.2017

 

L’étude publiée dans Nature Ecology and Evolution : Bioaccumulation of persistent organic pollutants in the deepest ocean fauna.

 

[Image] Hirondellea gigas, l’une des espèces d’amphipodes analysée dans cette étude et évoluant à des profondeurs comprises entre 6 000 et 11 000 mètres dans la fosse des Mariannes. (Alan Jamieson, Université de Newcastle)

 

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MÊME SUJET :

 

La pollution chimique gagne les abysses - Le Monde, 14.02.2017
http://www.lemonde.fr/pollution/article/2017/02/13/la-pollution-chimique-gagne-les-abysses_5079052_1652666.html

 

"Les crustacés des grands fonds océaniques, que l’on croyait vierges de toute souillure, sont très fortement contaminés par des polluants organiques persistants."

 

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