Les plantes nouvellement introduites ou migrantes peuvent en partie servir de festin aux chenilles de papillon locales. Lorsqu’il s'agit de plantes utiles, on se réjouit que les prédateurs soient absents ou discrets. Dans la nature, un enrichissement de leur menu peut cependant être souhaitable parce qu'il pourrait contrer une multiplication invasive des néophytes. Les chercheurs de l'Eawag viennent de mettre au point une méthode permettant de prédire dès l'introduction de nouvelles plantes comment et par quels insectes elles seront intégrées à leur menu.
→ Predicting novel trophic interactions in a non-native world.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23800217