EntomoNews
435.5K views | +114 today
Follow
EntomoNews
Dernières nouvelles des insectes, collemboles, myriapodes et autres arthropodes...
Your new post is loading...
Your new post is loading...
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Comment les araignées d’eau résistent (ou pas) aux gouttes de pluie

Comment les araignées d’eau résistent (ou pas) aux gouttes de pluie | EntomoNews | Scoop.it
Ces dernières ne sont pas écrasées par l’impact de l’eau dans un premier temps, mais certaines sont submergées par le cratère formé sous elles.

 

-------

NDÉ

L'étude

 

 

Auteurs, autrices :

Daren A. Watson, Mason R. Thornton, Hiba A. Khan, +2 , and Andrew K. Dickerson

 

[Image] Raindrops form two craters, the second of which can submerge striders. Daren A. Watson and Andrew K. Dickerson, from the Proceedings of the National Academy of Sciences

 

via The Conversation, 22.01.202

 

→ Tiny water-walking bugs provide scientists with insights on how microplastics are pushed underwater https://theconversation.com/tiny-water-walking-bugs-provide-scientists-with-insights-on-how-microplastics-are-pushed-underwater-221284

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Les Gerridés (Gerridae) sont une famille d'insectes de l'ordre des Hémiptères et du sous-ordre des Hétéroptères (punaises).

Ils sont communément appelés araignées d’eau, appellation qui leur vient sans doute du fait de leurs longues pattes, mais il s'agit bien d'insectes, à 6 pattes, et non d'araignées. Leur capacité à se déplacer sur l'eau leur vaut aussi le nom de patineurs de l'eau.

 

Wikipédia (version du 24 mars 2023 à 00:19)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gerridae

 

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Pyrénées : Un « cocktail toxique » trouvé par des chercheurs dans les beaux lacs d’altitude

Pyrénées : Un « cocktail toxique » trouvé par des chercheurs dans les beaux lacs d’altitude | EntomoNews | Scoop.it
Contre toute attente, des chercheurs toulousains viennent de démontrer que les lacs d’altitude des Pyrénées ne sont pas épargnés, loin de là, par la pollution chimique

 

 Hélène Menal
Publié le 26/03/22 à 12h15 — Mis à jour le 19/04/22
 
  • Des chercheurs toulousains en écologie montagnarde ont étudié la composition chimique des eaux censément pures de huit lacs d’altitude des Pyrénées.
  • Ils y ont trouvé un étonnant « cocktail toxique » à base de pesticides.
  • Et en particulier, parfois, des concentrations inquiétantes de deux molécules que l’on retrouve dans les insecticides et qui pourrait menacer ces écosystèmes aux allures de paradis.

 

"Après les microplastiques retrouvés sur les sommets vierges des  Pyrénées, voici le « cocktail toxique » dans les eaux qu’on croyait pures et limpides des lacs d’altitude. Dirk Schmeller et Adeline Loyau, deux chercheurs du Laboratoire écologie fonctionnelle et environnement de Toulouse*, sont presque « désolés » de le dire mais il est parfois plus prudent de prendre sa gourde en randonnée que de compter sur les ressources naturelles.

 

L’étude qu’ils viennent de publier tord le cou à pas mal de clichés paradisiaques. Leur équipe a arpenté les sommets pour déposer dans huit lacs des Pyrénées – en Ariège, en Haute-Garonne ou encore dans le Béarn – des « petites feuilles en silicone » en guise de support pour capter les molécules chimiques. Relevées deux fois, au printemps et à l’été, elles ont livré leur inquiétant verdict. « Nous avons cherché 460 molécules et nous en avons trouvé 141, une diversité chimique massive », raconte  Dirk Schmeller. Il y a des herbicides notamment, probablement transportés par les vents depuis des cultures de plus basse altitude. Si la plupart des concentrations sont faibles, les deux scientifiques alertent sur la présence de deux molécules « très toxiques » : le diazinon et la perméthrine, que l’on retrouve dans les insecticides et insectifuges utilisés pour débarrasser le bétail des puces et des tiques ou dans les antimoustiques.

Deux molécules mortelles pour les micro-organismes

Concernant ce duo de molécules chimiques, mortelles par exemple pour les araignées d’eau, les taux retrouvés dans certains lacs, comme l’étang d’Ayès dans le Couserans ariégeois, dépassent de loin « la toxicité chronique » admise. D’ailleurs, l’équipe a noté que plus la présence des deux molécules chimiques grimpe, plus celle des crustacés microscopiques baisse. « Or, ces micro-organismes sont un maillon essentiel de l’écosystème de ces lacs. Leur disparition, en plus des effets du réchauffement climatique, peut entraîner des effets en cascade vraiment très importants comme la prolifération d’algues toxiques », alerte Adeline Loyau.

 

Les deux chercheurs pensent que les deux molécules insecticides sont disséminées par le bétail dans les estives, au fil des bains des bovins par grosses chaleurs et des lampées prises par les brebis, les pattes dans l’eau. Ils ont écrit à une association pastorale pour lui faire part des résultats de l’étude. Et suggèrent d’ores et déjà « d’espacer davantage le traitement des bêtes et la date de montée en estive ». « Ce serait déjà une bonne chose », considère Dirk Schmeller.

 
 

Highlights

Toxic risk in oligotrophic mountain lakes

Extensive target screening of organic micropollutants in mountain lakes

Diazinon and permethrin drive acute toxic risk to crustaceans

Free roaming livestock as most likely source of toxic veterinary drugs

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Recrudescence d'une bactérie mangeuse de chair en Australie

Recrudescence d'une bactérie mangeuse de chair en Australie | EntomoNews | Scoop.it
Une épidémie d’ulcère de Buruli, une maladie infectieuse qui provoque des lésions graves sur les membres, se propage en Australie.

 

Publié le 03.01.2018

 

___________________________________________________________________

POUR EN SAVOIR PLUS :

→ Ulcère de Buruli — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ulc%C3%A8re_de_Buruli

 

Processus

Les destructions tissulaires sont causées par la toxine (mycolactone) produite par une mycobactérie, le Mycobacterium ulcerans décrite pour la première fois en 1897 en Ouganda.

Maladie vectorielle

Les punaises aquatiques sont hôtes et vecteurs du bacille.

Des chercheurs de l'Institut Pasteur et de l'INSERM ont montré en 2006 que la salive de ces punaises lui confère une véritable protection contre le bacille Mycobacterium ulcerans.

 

___________________________________________________________________

 

 

"L’étude coordonnée par Françoise Portaels (Institut de médecine tropicale d’Anvers, Belgique) permet de lever le voile. «Les auteurs sont parvenus, à partir d’une enquête de terrain conduite au Bénin, à isoler pour la première fois une souche de la bactérie pathogène chez un insecte aquatique, a expliqué au Monde Myriam Eddyani, biologiste à l’institut de recherche anversois. Il s’agit du water strider, sorte d’araignée d’eau, qui pique l’homme de manière particulièrement agressive.»

 

A la différence de la lèpre ou de la tuberculose, cette infection bactérienne qui ne se transmet pas par contagion interhumaine, est la conséquence d’une transmission faite sur un modèle équivalent à celui d’une maladie parasitaire comme le paludisme, ou virale comme le West Nile. Cette découverte devrait permettre de se doter de moyens de protection plus efficaces contre cette maladie."

 

___________________________________________________________________

 

 

[Image] An example of Afrotropical Gerridae: Limnogonus hypoleucus (Gerstaecker). Crédit photo: Jérome Constant, Department of Entomology, Royal Belgian Institute of Natural Sciences, Brussels, Belgium.

 

Bernadette Cassel's insight:

 

(Re)lire aussi :

 

Climat et maladies émergentes : des liaisons dangereuses révélées - From www.ird.fr - 15 September 2014, 18:34

 

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Comment les insectes marchent-ils sur l'eau ?

Comment les insectes marchent-ils sur l'eau ? | EntomoNews | Scoop.it
Comment les gerris se maintiennent-ils à la surface de l’eau ? Une étude sur les ombres projetées par leurs pattes dans l’eau a permis d’expliquer ce phénomène qui fascine bon nombre de scientifiques et ingénieurs.

 

[L'étude] Elegant Shadow Making Tiny Force Visible for Water-Walking Arthropods and Updated Archimedes’ Principle - Langmuir, 26.09.2016 http://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/acs.langmuir.6b02922

                               

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Des insectes du Jurassique mis au jour en France

Des insectes du Jurassique mis au jour en France | EntomoNews | Scoop.it
Les calcaires lithographiques permettent une excellente conservation de fossiles. Parmi les plus célèbres figurent ceux de Solnhofen en Bavière et de Cerin dans l’Ain, dont les âges sont comparables. Le site de Cerin avait livré essentiellement des spécimens de la faune et la flore marine de la fin du Jurassique mais aucun d’insecte terrestre, contrairement à Solnhofen. On vient d’en découvrir un dans la région d’Orbagnoux en France. C’est le plus ancien représentant des insectes apparentés aux gerridés, plus connus sous le nom d’araignées d’eau.

 

[Image] « Voici le fossile d'un insecte aquatique fossilisé de l'affleurement d'Orbagnoux dans la vallée du Rhône. Gallomesovelia grioti (la barre d'échelle indique une longueur de 1 mm) est le plus ancien fossile d'insectes apparentés aux gerridés trouvé en Europe dans des calcaires lithographique de la fin du Jurassique. Crédit : André Nél »

Bernadette Cassel's insight:

 

SUR ENTOMONEWS

 

From www.sciencesetavenir.fr - September 3, 8:31 AM :
Découverte de la plus ancienne araignée d'eau fossilisée

 

 

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Une mission scientifique part étudier le "continent poubelle"

Une mission scientifique part étudier le "continent poubelle" | EntomoNews | Scoop.it

 

Une expédition scientifique prendra la mer le 20 mai pour étudier le continent de plastique. Situé dans le nord-est de l'océan Pacifique, ce "septième continent" s'étend sur une surface d'environ 3,4 millions de km2, six fois la France, faite de microparticules de plastique et de déchets en tous genres produits par l'activité humaine.

 

[...]

 

Mais dans le Pacifique nord, cette masse d’ordures constitue aussi un milieu propice à la reproduction d'une espèce d'araignée d'eau, l'Halobate sericeus, capable de vivre dans un milieu marin mais qui a besoin d'un terrain solide pour pondre ses œufs.

 

Les déchets forment un incubateur de rêve pour l'insecte, qui fait désormais partie de la chaîne alimentaire... Au risque de la détruire.

 

Manne inespérée pour les crabes, les poissons ou les oiseaux de mer, l'Halobate est, elle aussi, un prédateur qui affectionne le zooplancton et les œufs de poisson. Sa prolifération menace aujourd'hui de déséquilibrer l'ensemble de l'écosystème.

 


 _________________________________________________________________

SUR LE MÊME SUJET :

→ Actualité > Dans le Pacifique, un continent de déchets plastiques… et un insecte - Futura-Sciences, 09.05.2012 http://www.futura-sciences.com/magazines/environnement/infos/actu/d/oceanographie-pacifique-continent-dechets-plastiques-insecte-38623/

                                  

« L'immense plaque de déchets flottant sur le Pacifique nord offre un environnement apparemment idéal pour un cousin de nos araignées d’eau douce : Halobates sericeus. La pollution géante par les microsplastiques, dont la quantité a été multipliée par 100 depuis 40 ans, se transforme-t-elle en un bienfait pour la nature ? Probablement pas. Une explosion démographique de cet insecte marin pourrait mettre à mal tout un écosystème. »

                    

Halobates sericeus, patineur du 7e continent / Insectes n° 165 - i165fraval1.pdf http://www7.inra.fr/opie-insectes/pdf/i165fraval1.pdf


→ Ocean Trash Is a Lifesaver for Insect | Science/AAAS | News, 08.05.2012 http://news.sciencemag.org/plants-animals/2012/05/ocean-trash-lifesaver-insect


Halobates sericeus - AquaPortail, 10.05.2012
http://www.aquaportail.com/fiche-terrariophilie-2657-halobates-sericeus.html

                                 

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Oligoptilomera luberonensis, nouveau genre, nouvelle espèce, 1er représentant fossile d'une sous-famille de punaises d'eau, vient d'être décrit et illustré à partir de l'Oligocène de Murs (Vaucluse)

Oligoptilomera luberonensis, nouveau genre, nouvelle espèce, 1er représentant fossile d'une sous-famille de punaises d'eau, vient d'être décrit et illustré à partir de l'Oligocène de Murs (Vaucluse) | EntomoNews | Scoop.it

The first fossil representative of the water strider subfamily Ptilomerinae (Heteroptera: Gerromorpha: Gerridae) in the Oligocene paleolake of Murs (southern France) with some palaeoecological considerations


André NEL, Bastien MENNECART, Tamara SPASOJEVIC, Alexandra VIERTLER, Olivier MARIDET, Loïc COSTEUR, Romain GARROUSTE & Pauline COSTER

en European Journal of Taxonomy 888 (124) - Pages 124-136

Publié le 15 août 2023

Oligoptilomera luberonensis gen. et sp. nov., first fossil representative of the gerrid subfamily Ptilomerinae, is described and figured from the Oligocene of Murs (Vaucluse, Southern France).

 

Extant Ptilomerinae live in streams in warm climates, of the Indo-Malaysian, eastern Palaearctic, and Papouan regions. The discovery of this Oligocene French Ptilomerinae is in accordance with the putative age of the subfamily, at least older than the Eocene, and with the Indo-Malaysian affinities previously recorded for some other insects from the Oligocene of France.

 

The two insect assemblages of Murs and Céreste are compared and the differences discussed. Although of similar ages, that from Murs was possibly corresponding to a more shallow water paleolake than that of Céreste.

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Huit mesures simples que chacun peut prendre pour sauver les insectes du déclin mondial

Huit mesures simples que chacun peut prendre pour sauver les insectes du déclin mondial | EntomoNews | Scoop.it
Insects constitute the vast majority of known animal species and are ubiquitous across terrestrial ecosystems, playing key ecological roles.

 

  • Opinion: Eight simple actions that individuals can take to save insects from global declines | PNAS, 12.01.2021
 
Akito Y. Kawahara, Lawrence E. Reeves, Jesse R. Barber, and Scott H. Black

 

Traduction :

 

Les insectes constituent la grande majorité des espèces animales connues et sont omniprésents dans les écosystèmes terrestres, jouant des rôles écologiques clés. En tant que proies, ils sont essentiels à la survie d'innombrables autres espèces, dont la majorité des chauves-souris, des oiseaux et des poissons d'eau douce (1). En tant qu'herbivores, prédateurs et parasites, ils sont des déterminants majeurs de la distribution et de l'abondance d'innombrables plantes et animaux. La majorité des plantes à fleurs, composante dominante de la plupart des écosystèmes terrestres, dépendent des insectes pour la pollinisation et donc la reproduction. En tant que consommateurs de déchets, les insectes sont essentiels au recyclage des nutriments. Les humains et leur agriculture dépendent fortement de ces "services écosystémiques" fournis par les insectes (Fig. 1 A-J), qui, ensemble, ont une valeur annuelle d'au moins ∼ 70 milliards de dollars (évaluation 2020) aux États-Unis (2). Les insectes fournissent également aux humains du miel, de la soie, de la cire, des colorants et, dans de nombreuses cultures, de la nourriture. Les insectes sont devenus des sujets essentiels de la recherche médicale et biologique fondamentale. De plus, les insectes sont l'une des formes de vie sauvage les plus facilement accessibles, avec une diversité de morphologie, d'histoire de vie et de comportement qui semble prête à inspirer l'appréciation de la nature et de sa conservation (Fig. 1 K-T).

 

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

The Eight Action Items

Create insect-friendly habitats:

1. Convert lawns into diverse natural habitats.

2. Grow native plants.

3. Reduce pesticide and herbicide use.

4. Limit use of exterior lighting.

5. Lessen soap runoff from washing vehicles and building exteriors, and reduce use of driveway sealants and de-icing salts.

 

Increase awareness and appreciation of insects:

6. Counter negative perceptions of insects.
7. Become an educator, ambassador, and advocate for insect conservation.
8. Get involved in local politics, support science, and vote.

 

 

[Image] Examples of insects that are beneficial to humans (AJ), and examples of amazing things that insects do (KT). A, Pollinator: Honey bee (Apis mellifera). B, Bumble bee (Bombus sp.). C, Decomposer: Dung beetle (Scarabaeidae: Scarabaeinae). D, Biocontrol: Ladybird beetle (Harmonia sp.). E, Ecosystem service: Ants (Formicidae). F, Silk production: Silk moth (Bombyx mori). G, Research: Fruit fly (Drosophila melanogaster). H, Vaccine development, including coronavirus: Alfalfa looper moth (Autographa californica). I, Dye production: Cochineal scale insect (Dactylopius coccus). J, Environmental assessment: Stonefly (Plecoptera). K, Visual systems: Dragonflies (e.g., Neurothemis sp.) have near 360° vision. L, Visual defense: Hawkmoth caterpillars (Hemeroplanes triptolemus) scare predators by flipping over and resembling a snake. M, Immunity and symbiosis: Parasitic wasps (e.g., Aleiodes indiscretus) subdue their host with a virus. N, Acoustic defense: Tiger moths (Bertholdia trigona) use ultrasound to jam bat sonar. O, Biomechanics: Water striders (e.g., Gerridae) walk on water. P, Agriculture: Leaf cutter ants (Atta sp.) farm fungi. Q, Chemical defense: Bombardier beetles (Brachinus sp.) blast boiling benzoquinones at predators. R, Migration: Monarch butterflies (Danaus plexippus) migrate thousands of kilometers. S, Longevity: Periodical cicadas (e.g., Magicicada septemdecim) live for nearly two decades. T, Visual mimicry and luring: Firefly (Photinus pyralis) females mimic other firefly light flash signals to lure mate-seeking males and consume them alive. See SI Appendix for further information about each insect. Image credits: Fig. 1A: Michael J. Raupp (photographer); Fig. 1B: Flickr/James Johnstone, licensed under CC BY 2.0; Fig. 1C: L.E.R.; Fig. 1D: Flickr/John Spooner, licensed under CC BY-NC 2.0; Fig. 1E: iNaturalist/Jakob Fahr, licensed under CC BY-NC 4.0; Fig. 1F: L.E.R.; Fig. 1G: iNaturalist/alexis_orion, licensed under CC BY 4.0; Fig. 1H: iNaturalist/Anita Sprungk, licensed under CC BY-NC 4.0; Fig. 1I: Wikimedia Commons/Peggy Greb, licensed under CC BY 3.0; Fig. 1J: Flickr/USFWS Mountain-Prairie, licensed under CC BY 2.0; Fig. 1K: L.E.R.; Fig. 1L: André Victor Lucci Frietas (photographer); Fig. 1M: Wikimedia Commons/USDA; Fig. 1N: Aaron J. Corcoran (photographer); Fig. 1O: Flickr/Brad Smith, licensed under CC BY-NC 2.0; Fig. 1P: L.E.R.; Fig. 1Q: Flickr/Katja Schulz, licensed under CC BY 2.0; Fig. 1R: Jeffrey Gage (photographer); Fig. 1S: Michael J. Raupp (photographer); and Fig. 1T: Flickr/James Jordan, licensed under CC BY-ND 2.0.

Bernadette Cassel's insight:

 

Les huit actions :


Créer des habitats favorables aux insectes :

1. Convertir les pelouses en divers habitats naturels.

2. Cultiver des plantes indigènes.

3. Réduire l'utilisation de pesticides et d'herbicides.

4. Limiter l'utilisation de l'éclairage extérieur.
5. Réduire le ruissellement de savon lors du lavage des véhicules et de l'extérieur des bâtiments, et réduire l'utilisation de produits d'étanchéité pour les allées et de sels de déglaçage.

 

Accroître la sensibilisation et l'appréciation des insectes :

6. Lutter contre les perceptions négatives des insectes.
7. Devenir un éducateur, un ambassadeur et un défenseur de la conservation des insectes.
8. S'impliquer dans la politique locale, soutenir la science et voter.

 

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

« Myophagie artificielle » ou comment les robots mange-mouches ont permis l’invention du smartphone fonctionnant à l’urine

« Myophagie artificielle » ou comment les robots mange-mouches ont permis l’invention du smartphone fonctionnant à l’urine | EntomoNews | Scoop.it

Par Alain Fraval. OPIE-Insectes. Les Épingles entomologiques - En épingle en 2018 : Octobre


"Où en est-on avec les robots mange-mouches ? Les machines mobiles autonomes qui les utilisent comme carburant ont eu un avenir prometteur.


Déjà en 2005, des étudiants produisaient du courant à partir d’insectes domiciliaires (Épingle Pile à mouches). La veilleuse entomophage a brillé en 2009 (Les insectes éclairent le monde). Les premiers pas en « symbiose artificielle », à partir de 1998, s’étaient faits aux dépens de limaces, digérées dans des piles à combustible microbien.


En 2004 naquit au Bristol Robotic Laboratory (Royaume-Uni) Ecobot II, robot autonome (sans batteries) fonctionnant à partir d’éléments trouvables dans l’environnement, comme des carapaces de crevettes, des fruits pourris, des insectes – et de l’oxygène de l’air à la cathode de la pile. Ce premier « symbot » fonctionna 12 jours se nourrissant de 8 spécimens de Mouche domestique.


Lui succéda Ecobot III, présenté à la conférence Alife XII au Danemark en 2010. La machine prélève l’eau et la nourriture dans son environnement (un grand aquarium), digère grâce à 48 piles à combustible microbien agencées en couronne, produit assez de courant pour avancer (très très doucement) et, à la fin de chaque journée, défèque (grâce à une pompe péristaltique). Son estomac est dessiné de façon à traiter aussi bien une nourriture liquide (une soupe ou du jus de mouches) que solide (des mouches vivantes) ; il contient un agitateur chargé d’en homogénéiser le contenu. Il est surmonté d’un piège attractif lumineux et appâté à la phéromone. Il possède bien sûr un cerveau, chargé de contrôler la température (autour de 30°C) et la distribution de la nourriture dans les piles, et qui transmet des données sur le fonctionnement de la bête. Il a marché ainsi pendant plusieurs jours, arrivant au bout de son aquarium, sauf lorsqu’il a souffert de déshydratation.


Le projet Ecobot IV de la même équipe s’intéresse à la miniaturisation des piles et à l’amélioration de leurs électrodes. Leur dernière création : un smartphone alimenté à l’urine.
D’autres chercheurs, toujours dans le but de « digérer la pollution », mettent au point des sortes de patineurs, qui contrairement aux punaises Gerris, sont bactériophages, tels Row-Bot.


Ce domaine de recherche reste prometteur. Les mouches y auront participé un temps."


Photo : Ecobot III sur ses rails. Cliché I. Ieropoulos et al.

Bernadette Cassel's insight:

 

via Revue Insectes OPIE sur Twitter, 16.10.2018
https://twitter.com/af_insectes/status/1052108915641671680

 

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Un robot miniature qui saute sur l'eau

Un robot miniature qui saute sur l'eau | EntomoNews | Scoop.it
Marcher sur l’eau, c’est simple. Mais sauter, comme les araignées d’eau, c’est plus compliqué. Une équipe internationale a réalisé le premier robot capable de cette prouesse, sautant à 14 cm...


[L'étude] Jumping on water: Surface tension–dominated jumping of water striders and robotic insects - Science, 31.07.2015
http://www.sciencemag.org/content/349/6247/517

                                  

Bernadette Cassel's insight:


SUR ENTOMONEWS

From www.sciencesetavenir.fr - August 3, 12:16 AM :

→  Quand l'araignée d'eau inspire un robot

                                      

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Découverte de la plus ancienne araignée d'eau fossilisée

Découverte de la plus ancienne araignée d'eau fossilisée | EntomoNews | Scoop.it
Plusieurs fossiles d'insectes particulièrement bien conservés ont été découverts dans la vallée du Rhône.

 

Par Joël Ignasse. Sciences et Avenir. « C'est dans l'affleurement d'Orbagnoux, dans l'Ain, que des chercheurs français assistés de scientifiques amateurs ont découvert des insectes fossilisés datant du Jurassique supérieur (-161 à 145 Ma). Parmi eux, la plus ancienne araignée d'eau connue. »

 

« Cette araignée, Gallomesovelia grioti, qui mesure 6 mm de long représente le plus ancien fossile d'insecte aquatique de l'infra-ordre des Gerromorpha, qui comprend les araignées d'eau et les hydromètres. On n'en sait pas beaucoup plus mais les scientifiques qui en font la description, dans un article publié dans la revue Peer J, supposent qu'elle vivait peut-être dans des environnements saumâtres comme certains de ses descendants actuels. »

 

[...]

 

[L'étude] Exceptionally preserved insect fossils in the Late Jurassic lagoon of Orbagnoux (Rhône Valley, France) [PeerJ]
https://peerj.com/articles/510/

 

No comment yet.
Scooped by Bernadette Cassel
Scoop.it!

Dans le Pacifique, un continent de déchets plastiques… et un insecte - Actualité Sciences sur Free.fr

Dans le Pacifique, un continent de déchets plastiques… et un insecte - Actualité Sciences sur Free.fr | EntomoNews | Scoop.it
L'immense plaque de déchets flottant sur le Pacifique nord offre un environnement apparemment idéal pour un cousin de nos araignées d’eau douce : Halobates sericeus. La pollution géante par les microsplastiques, dont la quantité a été multipliée par 100 depuis 40 ans, se transforme-t-elle en un bienfait pour la nature ? Probablement pas. Une explosion démographique de cet insecte marin pourrait mettre à mal tout un écosystème.
No comment yet.