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Humans have taken spiders into space more than once to study the importance of gravity to their web-building. What originally began as a somewhat unsuccessful PR experiment for high school students has yielded the surprising insight that light plays a larger role in arachnid orientation than previously thought. Spiders in space: without gravity, light becomes key to orientation | University of Basel, 09.12.2020 Traduction : Les humains ont emmené des araignées dans l'espace plus d'une fois pour étudier l'importance de la gravité dans la construction de leur toile. Ce qui a commencé comme une expérience de relations publiques quelque peu infructueuse pour les lycéens a permis de découvrir de façon surprenante que la lumière joue un rôle plus important qu'on ne le pensait dans l'orientation des arachnides. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) [Image] Un spécimen de l'espèce d'araignée Trichonephila clavipes à bord de la station spatiale internationale ISS. (Photo : BioServe Space Technologies, Université du Colorado Boulder) _____________________________________________ Sur le même sujet (en français) → Une étude révèle comment les araignées s'orientent en apesanteur - NetCost & Security, 13.12.2020 https://www.netcost-security.fr/science/2067/une-etude-revele-comment-les-araignees-sorientent-en-apesanteur/
Cette image a été capturée par un microscope lors d'une étude sur la formation des yeux de ces prédateurs à huit pattes, réalisée par des chercheurs de l'université de Göttingen, en Allemagne.
Ici, ce Parasteatoda tepidariorum, une espèce courante d'araignée que l'on peut apercevoir chez soi, approche de son stade final de développement dans l’œuf.
L'étude scientifique est disponible en anglais, (...)
[L'étude] Molecular characterization and embryonic origin of the eyes in the common house spider Parasteatoda tepidariorum | EvoDevo, 28.04.2015 http://evodevojournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13227-015-0011-9
L’araignée Nephila clavipes fait ses réserves de proies et elle sait très bien repérer s'il en manque dans son garde-manger. Si on lui en retire, elle les cherche. Si la proie perdue est grosse, elle la cherche d'autant plus activement. L'araignée se rappelle le nombre et la taille des proies"... Rafael Rodríguez, qui a mené cette recherche, estime : « Nous pouvons faire la conclusion provisoire que ces araignées possèdent un sens de la numérosité ». Le concept de numérosité décrit la capacité à évaluer le nombre d'éléments sans les compter. Les chercheurs ont aussi observé que les araignées augmentent leurs efforts de recherche si de très grosses larves sont retirées, ce qui suggère qu'elles peuvent aussi calculer la taille de la proie. Les araignées néphiles semblent donc suivre la quantité de proies de deux manières, par leur nombre et par leur taille, mais s'occupent surtout du nombre de proies. La néphile mémorise la taille de son garde-manger et utilise ces souvenirs pour moduler ses efforts de recherche lorsque des proies lui sont subtilisées."
Via Bourdoncle
GuruMeditation. « Une petite araignée, en Amazonie péruvienne, capture ses proies d’une manière très ingénieuse. À partir d’un point près du centre de sa toile, l’araignée tend le piège soyeux qui prend la forme d’un cône. Ensuite, elle projette la structure collante (à laquelle, elle est elle-même fixée) contre les insectes volants, transformant, de fait, la toile en une arme extensible, comme la langue rétractable d’une grenouille, par exemple. Regardez :
Introducing The Slingshot Spider
Si le fait que des araignées puissent voler vous semble étrange, voir inquiétant, c’est que vous n’avez peut-être pas lu les deux articles du Guru concernant l’omniprésence d’une variété d’insectes, et pas forcément volant au demeurant, au-dessus de nos têtes. Votre serviteur vous l’avait tout d’abord relaté dans son article : L’autoroute atmosphérique des insectes pour ensuite revenir plus précisément sur la loterie aérienne de l’araignée et de son parachute fait maison. Le Guru doit vous avouer, qu’il ne savait pas que l’araignée devait utiliser autre chose que le vent pour accomplir son périple aérien. C’est ce secret, de la maîtrise du vol à voile arachnéen, sans la présence de courants d’air, que nous allons découvrir ensemble par l’intermédiaire d’une nouvelle étude sur le sujet.
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[Image] Tubules sécréteurs de soie d’une araignée du genre Gasteracantha Grossissement x 490 par microscopie électronique à balayage (Dennis Kunkel)
On pourrait être surpris de ce résultat, mais la moyenne des entomologistes considère les araignées comme « une bestiole à part ». C'est plus fort qu'eux !
De la soie d'araignée, de minuscules tubes de carbone, un peu d'eau et beaucoup de doigté: il n'en faudrait pas plus pour préparer l'électronique du futur, à la fois nanométrique et écologique, suggère une étude publiée mardi.
Des chercheurs de l’Arizona State University sont parvenus à étudier en détail les propriétés élastiques des toiles d’araignée grâce à une méthode d’analyse non-invasive. Des travaux qui aideront à mieux comprendre ces structures pour des applications aussi variées que les gilets pare-balles ou les tendons artificiels.
Un biologiste américain a récemment fait une découverte étonnante. Une race méconnue d'araignée aurait réussi à développer au fil des générations un sens aigu de la ruse pour tromper ses prédateurs potentiels...
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À l'aide de feuilles séchées, de cadavres d'insectes et d'autres débris en tous genres, l'araignée "sculpte" littéralement une réplique mégalomane d'elle-même . Munie de fausses pattes et d'une ressemblance générale étonnamment fidèle au modèle originel, le "leurre" se distingue en effet de l'"artiste" par sa taille : 3 centimètres environ alors que l'araignée ne mesure que 5 millimètres, relate le site Wired
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→ L'article de Wired : Spider That Builds Its Own Spider Decoys Discovered → L'article de Phil Torres, l'auteur de la découverte, sur son blog :
New Species of 'Decoy' Spider Likely Discovered At Tambopata Research Center « After discussing with several spider experts, we've determined it is quite probable that this spider is a never-before-seen species in the genus Cyclosa. This genus is known for having spiders that put debris in their webs to either attract prey or, as in this case, confuse anything trying to eat them. » « Update: See the discovery of this spider on video! »
En présence de fil d'araignée, les insectes ravageurs des cultures limitent leur consommation et occasionnent moins de dégâts. [...] Les tests ont montré que lorsque des insectes habituellement friands de feuilles de haricots voient un ou plusieurs fils d'araignée, leur consommation de feuillage diminue notablement. Les deux insectes cobayes, le scarabée japonais et la coccinelle mexicaine du haricot, figurent parmi les proies habituelles des araignées. Le fil agit sur eux comme un signal qui les pousse à la prudence.
Des chercheurs de l’université de l’Iowa ont découvert que la toile de l’araignée 'Nephila clavipes', très élastique et très fine, pouvait être utilisée en tant que système de refroidissement passif… Bien que les matériaux organiques ne sont habituellement pas de bons conducteurs, cette toile serait un meilleur conducteur thermique que le silicium ou l’aluminium et plus efficace que le cuivre.
Publiant ses travaux dans un prochain numéro de Physical Review Letters, un chercheur japonais a fabriqué des cordes de violon avec des fils de soie secrétés par des araignées. Résultats : un meilleur son et une plus grande résistance que les matériaux classiques, paraît-il.
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Des chercheurs du MIT ont mis au point un pansement adhésif inspiré de l'araignée qui adhère en quelques secondes à n'importe quel tissu humain, y compris le cœur ou les poumons. Un scotch révolutionnaire qui permet d'éviter les sutures, sources de cicatrices et d'infections, ou de fixer des mini-implants sur les organes. Par Céline Deluzarche, 07.07.2020 Un pansement transparent, extensible, résistant et biodégradable Le pansement, imaginé par Xuanhe Zhao et ses collègues, ressemble à s'y méprendre à un sparadrap transparent classique. Il offre une adhérence très forte y compris sur des surfaces non lisses, se positionne et se retire en un clin d'œil et s'étire jusqu'à 16 fois sa longueur. Pour mettre au point cet adhésif miracle, les chercheurs se sont inspirés de l'araignée, qui sécrète un liquide collant qu'elle dépose sur la toile pour piéger les insectes instantanément. Cette colle est constituée de polysaccharides qui absorbent l'eau, créant un petit morceau de surface sèche qui lui permet d'adhérer.
Male Darwin's bark spider use genital lubrication and binding to stop their mates from eating them after copulation By Aamna Mohdin. NewScientist - Zoologger, 18.02.2015 « [...] Males nibble on female external genitals using their fangs, and then we observed that there was a liquid coming out of the fangs. We do not know what this liquid is, but it looks like digestive juices, which they usually secrete when eating," says Kralj-Fiser, who presented the study at the Ethological Society's "Causes and consequences of social behaviour" conference in Hamburg, Germany, last week.[...] » [Image] The smaller male placates his mate to avoid becoming her post-coital dinner [Poster] Mating behaviour in Darwin’s bark spider involves oral lubrication of female genitals (24) → abstracts_etho_2015.pdf http://www.ethology-hamburg-2015.de/pdf/abstracts_etho_2015.pdf _______________________________________________________
EN FRANÇAIS :
→ Les araignées Darwin pratiquent le sexe oral pour calmer leur partenaire ? | meltydiscovery.fr http://www.meltydiscovery.fr/les-araignees-darwin-pratiquent-le-sexe-oral-pour-calmer-leur-partenaire-a384431.html [Caerostris darwini, Araneae Araneidae] _______________________________________________________ Précédemment → La plus grande et la plus résistante toile d’araignée découverte à Madagascar - GuruMeditation, 18.09.2010 https://www.gurumed.org/2010/09/18/la-plus-grande-et-la-plus-rsistante-toile-daraigne-dcouvertes-madagascar/ Des scientifiques ont récemment fait une énorme (par la taille) découverte quand ils tombèrent sur une nouvelle espèce d’araignée vivante à Madagascar et qui construit des toiles ultra-résistantes, pouvant faire 25 mètres de large, de quoi rendre envieux spider-man. L’araignée (Caerostris darwini ou Darwin’s bark spider en anglais ) fait partie d’une famille d’araignées mal connue, avec seulement 11 espèces endémiques recensées.
Par Morgan. Gizmodo Tech. « ... La soie d’araignée est environ cinq fois plus résistante que l’acier et trois fois plus que le kevlar tout en étant incroyablement légère et très bonne conductrice de chaleur. Electronique, habillement, matériel militaire, ses domaines d’application pourraient être infinis. Et pourtant, avant de pouvoir vraiment en profiter, il faut trouver le moyen de la produire à des coûts raisonnables.»
« Avec quelques manipulations génétiques, la société allemande AMSilk a élaboré une souche de la bactérie E. Coli capable de fabriquer la protéine tressée naturellement par les araignées... »
[Image : Bobine Biosteel via "AMSilk | high performance materials: Biosteel Spidersilk Fibers"
Par Delphine Bossy, Futura-Sciences. « [...] Les araignées n’ont pas fini de nous surprendre. Déjà connues pour leur rôle de tisseuse de soie, elles sont également d’étonnantes électriciennes. Dans un article paru dans la revue Naturwissenschaften, les chercheurs Fritz Vollrath et Donald Edmonds révèlent que la toile de l’araignée Araneus diadematus est une très bonne conductrice d’électricité. Dans le réseau de filaments de soie, on peut observer des sortes de gouttelettes. Ce sont des poches de soie, renfermant un cocktail chimique et de l’eau qui génèrent des charges électriques dans la toile. »
[Vidéo] « Dans sa toile, l’araignée Araneus diadematus construit de petites gouttes de soie remplies d’eau et d’un cocktail chimique gluant. Ces petits motifs génèrent des charges électriques qui attirent les particules en suspension. © Fritz Vollrath et Donald Edmonds, Naturwissenschaften, 2013 »
[L'étude] Consequences of electrical conductivity in an orb spider's capture web
GuruMeditation. « Nous voyons les araignées comme de pures carnassières, des prédatrices de chair fraiche, mais une étude révèle que certaines complètent jusqu’à un quart de leur alimentation en mangeant du pollen. »
[...]
« Ces araignées refont régulièrement leurs toiles en la mangeant afin de recycler les protéines de soie, et il avait été suggéré qu’elles pouvaient consommer “accidentellement” le pollen durant ce processus. Mais l’étude a démontré que cela est impossible en raison de la taille des grains ingérés, ce qui indique qu’ils étaient activement consommés par l’araignée, en les enrobant d’une enzyme digestive avant aspirer les substances nutritives.
« L’étude publiée sur Plos One : The Importance of Pollen for Orb-Weavers. »
[Aculepeira ceropegia & Araneus diadematus, Araneae, Araneidae]
La soie d'araignée pourrait bien servir de base à une nouvelle gamme de matériaux aux qualités étonnantes et révolutionner le monde de l'électronique, une fois combinée avec des nanotubes de carbone. La soie filée par les araignées – oui, la base de nos « vulgaires » toiles d'araignée – pourrait bien tenir le haut du pavé dans un futur très proche... On lui connaissait déjà certaines propriétés, telles que la résistance, l'élasticité, la légèreté, et les chiffres sont éloquents : sa fibre présenterait une solidité équivalente à celle de l'acier tout en restant six fois plus légère, ainsi qu'une énergie de rupture six fois supérieure à celle du kevlar. Nous vous évoquions d'ailleurs ici, il y a près de deux ans, les travaux d'une équipe de scientifiques néerlandais explorant les moyens de développer une peau à l'épreuve des balles, en se tournant vers le lait de chèvres naines transgéniques, chèvres ayant reçu au préalable une séquence génétique provenant d'araignées codant pour la conception de leur soie. Eden Steven, physicien de l'université de Florida State et membre du MagLab, a décidé d'étudier d'autres pistes sans pour autant faire table rase de nos connaissances en la matière : enrober la soie de l'araignée d'une fine épaisseur de nanotubes de carbone, connus pour leur résistance et leur dureté, mais également pour leur grande conductivité à la fois électrique et thermique. Ses travaux, publiés dans la revue scientifique à comité de lecture Nature Communications, pourraient bien faire souffler un vent nouveau sur le monde de l'électronique. [...]
Les œufs de pucerons, déposés en automne sur les pommiers, éclosent fin mars. Pour empêcher des colonies de se développer de façon exponentielle, il convient d’éliminer tôt les « puceronnes » dites fondatrices qui ne cessent de se reproduire.
Via MICROPOLIS AVEYRON
La République des Pyrénées. « Elle est noire et mesure 6 mm. Elle ne tisse pas de toile pour attraper ses proies, traquées au sol, à découvert. Il s'agit d'une araignée jusque-là inconnue en France, un nouveau taxon du genre Zelotes : Zelotes egregioides (Senglet, 2011). Sylvain Déjean et Samuel Danflous, naturalistes au Conservatoire d'espaces naturels de Midi-Pyrénées (CEN-MP), ont découvert un spécimen, sur la commune de Betpouey, à 1 650 mètres d'altitude, durant l'été 2012, dans le cadre des atlas de la biodiversité communale initiés par le Parc National des Pyrénées. »
[...] [Zelotes egregioides, Araneae, Gnaphosidae]
Selon la BBC, des spécialistes britanniques ont annoncé que de nombreux spécimens d’une espèce d’araignée rare en Angleterre ont été découverts à l’intérieur d’un caveau, dans un célèbre cimetière de Londres. [...] Selon des experts, c’est la première fois que cette espèce a été recensée à Londres. "La découverte de cette population importante d’araignées dans le cœur de Londres montre à quel point les cimetières comme celui de Highgate peuvent être de précieux refuges pour la faune", a souligné Tony Canning, du London Wildlife Trust, une ONG environnementale locale.
Des scientifiques américains ont découvert une nouvelle espèce de tarentule et lui ont donné le nom de Aphonopelma Davemustainei, comme Dave Mustaine, chanteur de Megadeth. [...] L’artiste, visiblement heureux d’avoir inspiré cette découverte, a twitté le 15 décembre : « C’est pas cool ça ? J’ai ma propre tarentule, baptisée avec mon nom ! Complètement metal !!! » Il a aussi posté une photo de la bête :
A San Antonio au Texas, la découverte d’une espèce d’araignée, Circurin venii, que l’on pensait disparue, suspend la construction d’un tunnel autoroutier au nord-est de la ville.
Via Hubert MESSMER
S’il est connu que le fil dont sont faites ces toiles possède des propriétés mécaniques tout à fait exceptionnelles, c’est un autre aspect du secret qui vient d’être levé récemment. Une publication dans Nature [1] démontre en quoi la structure géométrique des toiles et les propriétés de déformation des fils se combinent pour conférer cette solidité particulière.
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