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Le recours à la participation est-il la solution pour l’aménagement urbain en temps de crise ? C’est le choix qu’a fait la municipalité de centre-droit de Barcelone, arrivée à la tête de la ville en 2011, en mettant en œuvre le Plan « Buits ». Elle subventionne ainsi les associations et autres collectifs qui entretiennent les friches urbaines en y développant des activités approuvées par elle, en attendant que la manne revienne… et retrouve une meilleure utilité à ces espaces publics.
Via association concert urbain, COMMON GOOD FORUM, Bernard BRUNET
Le projet « The Sharing Cities Network » ou le réseau des villes collaboratives : kezako? De nombreux projets collaboratifs émergent dans les villes du monde entier. Pourquoi ne pas partager toutes ses initiatives entre villes connectées pour qu’elles deviennent de réelles villes collaboratives ? Tel est le but premier de ce réseau. Et concrètement, cela se matérialise par la mise en œuvre de 100 projets collaboratifs au niveau local dans 100 pays en se basant sur les best practices de toutes ces villes collaboratives. Les types de projets sont variés mais le plus important n’est pas de savoir ce qui est construit mais comment ces projets sont mis en œuvre. Le collectif Shareable, à l’initiative du mouvement, n’interviendra que pour mettre en valeur les actions créatives de membres du réseau pour les adapter et les appliquer à d’autres villes du réseau . Les membres de chaque ville opéreront de manière décentralisée via des plateformes de communication dédiées.
« Mon objectif, c’est de colorer les murs de Montreuil ». C’est en octobre 2013, à l’occasion de la journée portes ouvertes des atelier d’artistes, organisée par sa ville, que Joachim, 20 ans, a l’idée de créer son association, la Graffiterie.
Pollution, embouteillages, manque d’espaces verts, dépendance alimentaire, insécurité… les défis actuels auxquels les villes doivent faire face sont souvent nombreux. Parmi ceux-ci, on peut en citer un tout à fait majeur et dont on ne parle peut-être pas assez : la mauvaise humeur citadine. En effet, les dits « citadins » – en particulier dans les grandes villes - sont souvent assimilés à des individus égoïstes, stressés et souvent excédés par le moindre retard ou la moindre contradiction. Dans les transports publics, dans leurs voitures, au détour d’une rue ou à la terrasse d’un café, qui n’a pas croisé cet être « speedé » et bougon qui tente de survivre dans la terrible jungle urbaine.
Des vidéos sur le jardinage urbain, les potagers de balcon etc...
"La technologie est la réponse. Mais quelle était la question ?" Cette célèbre formule de l'architecte Cédric Price, au milieu des années 60, rend compte de l'intention de Dan Hill dans son essai Sur la smart city ; ou plutôt un manifeste pour des smart citizen (On the smart city; Or, a 'manifesto' for citizen instead). Dans ce texte, le directeur du Centre de recherche en communication Fabrica, par ailleurs urbaniste, ne se contente pas de tracer les contours de la smart city. Il interroge la place des citoyens dans le dispositif (le "smart citizen"). Une mise en garde s'impose. Si certains de ses propos peuvent être interprétés comme une critique de la technologie dans la ville, il n'en est rien. Au contraire, la technologie est une composante essentielle de la culture urbaine. A ce titre, et de tous temps, elle a influencé l'évolution des villes. Comment les technologies numériques marquent-elles les villes contemporaines ? Quelles problématiques soulèvent-elles ? Et, surtout, comment mobiliser les technologies pour qu'elles servent les citadins ?
Faisant suite à la contribution de Adam Greenfield dans ces mêmes colonnes (La ville sera ce que vous en ferez) et pour répondre à ces questions, nous proposons dans ce billet une lecture synthétique qui présente, en français, les idées clés de Dan Hill.
Utilisation abusive de pesticides, sols contaminés par des métaux lourds, ou jardins placés sur d'anciennes décharges: les potagers urbains ne sont pas toujours garants de pureté.
À travers son cycle d'études "Regards sur le consommateur contemporain", iligo investigue les pratiques de consommation des Français. Premier focus sur la consommation collaborative. Achat groupé de produits alimentaires, vide dressing, covoiturage : trois pratiques de consommation collaborative. Favorisées par l'essor d'Internet et du Web 2.0, les pratiques dites de consommation collaborative (cf dossier dans Marketing Magazine) se sont multipliées et intensifiées au cours des dernières années. Locations entre particuliers, achats groupés, troc, partage de biens ou de services : autant de pratiques qui se répandent dans la société française, et notamment dans ses grandes villes. Pour mieux comprendre l'émergence et le sens de ces nouveaux modes de consommation, iligo a choisi d'interroger un échantillon représentatif d'urbains
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C’est aujourd’hui que la troisième édition de l’opération "Play Me, I’m Yours" sera officiellement lancée à Paris. Créé par l’artiste anglais Luke Jerram, ce projet consiste à disséminer des pianos en libre accès dans des lieux publics passants des grandes villes du monde, afin que chacun puisse venir en jouer. Initié en 2007, le projet a rencontré un impressionnant succès au niveau mondial, avec plus de 4 millions de personnes touchées par ce type d’évènements, par le biais de 1300 pianos installés dans 47 métropoles ! Cette année, 50 pianos décorés par des artistes plasticiens seront installés dans Paris pendant deux semaines au cours desquelles 40 micro-concerts seront organisés avec des artistes amateurs ou professionnels. A l’occasion du lancement parisien, Rue89 signale sur son site un webdoc "Des pianos dans Paris" suivant cinq de ces instruments utilisés lors de l’édition 2013 de "Play Me, I’m Yours". Il permet de se rendre compte de la grande diversité des usages que font naître ces "pianos de rue" en libre accès.
Voici une présentation et une sélection d’évènements co-créatifs pour améliorer la ville, réfléchir à l’aménagement de l’espace urbain pour les handicapés, réfléchir à l’utilisation de l’espace public, hacker la culture de la routine, reverdir des friches urbaines… Suit une réflexion sur l’usage de dispositifs participatifs éphémères très ouverts pour créer de la collaboration entre réseaux.
L’étude de la biodiversité a mis du temps à s’implanter en ville. En Europe, les premiers travaux ont germé à Rennes ! Il existe onze Zones ateliers labellisées par le CNRS, dont cinq comportent un volet biodiversité : Rennes, Angers, Lyon, Paris et Strasbourg, créée il y a un an seulement, qui est une zone entièrement urbaine. Chaque ville a ses particularités. Rennes se distingue par sa ceinture verte et n’a pas de grand fleuve.
Via Bernadette Cassel, agrodoc_ouest, Laure Ducoulombier, Bernard BRUNET
Les jardins partagés ont été créés sur le continent nord-américain dans les années 70 et beaucoup plus tard à Paris, à l’initiative d’associations d’habitants de quartiers. Convoités par les promoteurs immobiliers, ils sont aujourd’hui une centaine à Paris, principalement situés dans le nord-est de la capitale. Quelques principaux acteurs de ces territoires urbains de biodiversité témoignent ici de leur grande utilité et de leur succès grandissant.
Via Hubert MESSMER , eric_colibri, Bernard BRUNET
Issu d’une famille de paysans, Jean Silvain a choisi il y a cinq ans de se lancer dans l’apiculture. D’autres passionnés comme Roger Fournier pratiquent cette activité en amateur Jean Silvain s’est piqué à l’apiculture quand il avait une dizaine d’années.
Le numérique transforme peu à peu nos villes, notre façon de nous y mouvoir et d'échanger avec les services publics. Cinq grandes avancées sont en train de modifier considérablement notre quotidien et d'améliorer notre rapport à la ville. A l'occasion de l'opération spéciale de Youphil Villes Durables, Tech Ethique examine le rôle des nouvelles technologies au sein de nos villes. Grâce au numérique, elles deviennent...
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via @Le_bug_urbain
Aux Pays-Bas, le premier ministre parle de "Société participative", qui devient une réalité et qui a de multiples visages. De la participation à l'entretien des espaces collectifs, via le crowdfunding pour des projets tels que des ponts piétons, à l'obligation de porter soins aux proches par la société avant que celle-ci rentre en jeu. Les retours sont aussi colorés que la démarche est variée, et oscille entre le sentiment d'être exploité au sentiment de compter pour la société.
Je pense en effet que ce sera un modèle qui fera rage dans les années à venir.