Ceux qui ont accès au crédit facile peuvent surenchérir sur les petits emprunteurs et ainsi accaparer le capital productif.
Une conséquence peu remarquée des politiques des banques centrales de taux d’intérêt proches de zéro et de l’assouplissement quantitatif est la domination du capital mondial mobile, celui des grands groupes internationaux.
La source du pouvoir politique des multinationales est leur capacité à emprunter des sommes d’argent illimitées pour une bouchée de pain : ce que j’appelle de l’argent gratuit pour les financiers.