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Depuis maintenant six ans, l’association « la Tente des Glaneurs » agit chaque semaine dans un grand marché lillois, récupérant tous les produits invendus du marché pour les redistribuer à quelque 1 300 personnes dans le besoin. Pain, fruits, légumes et même fleurs, rien ne se jette désormais au marché lillois de Wazemmes, le deuxième plus grand marché d’Europe …
Via Bernard BRUNET
Today's refugee crisis is the biggest since World War II, and it's growing. When this talk was given, 50 million people had been forcefully displaced from their homes by conflict and war; now, a year later, the number is 60 million. There were 3 million Syrian refugees in 2014; now there are 4 million. Inside this overwhelming crisis are the individual human stories — of care, growth and family, in the face of lost education, lost home, lost future. Melissa Fleming of the UN's refugee agency tells the refugees' stories — and asks us to help them rebuild their world.
Démonter tous les meubles qu’on a passé des heures à monter, faire rentrer les cartons dans l’ascenseur qui a rétréci durant la nuit, stresser au volant d’une énorme camionnette de location : déménagement rime souvent avec stress ! Alors, pour ne pas se ruiner ou se retrouver seul(e), jemoove.fr invente une plateforme collaborative d’aide au déménagement entre particuliers pour faire d’une galère un moment de convivialité et de partage.
Accéder à un logement étudiant peu cher tout en incitant à l’engagement des jeunes dans les quartiers populaires. Tel est l’objectif des Kaps, ces « colocations à projets solidaires », portées par l’Association de la fondation étudiante pour la ville. Les Kaps essaiment en France. Elles permettent de combiner engagement citoyen, colocation étudiante et projets solidaires. Les étudiants impliqués en semblent satisfaits. En Bretagne, le concept est expérimenté à Rennes et à Brest. Rencontres avec ces jeunes pour qui le mot « colocation » rime avec « action ».
Alex Assali is a Syrian refugee who believes in the beauty of paying it forward. After criticizing Syrian President Bashar al-Assad online in 2007, Assali fled Damascus without a passport. For several years, he lived in Libya and worked to help Syrian refugees. In 2014, he made his way to Germany. "He really has lost everything; he had to leave his family back in Syria because people wanted to kill him," writes his friend Tabea Bü. Although he doesn't have much, Assali still wants to give something back to repay the people of Germany for their kindness. To do so, he began setting up meal stations around Berlin so he could distribute food to the homeless.
When Assali was serving people at Alexanderplatz station, Bü captured a photo of him and posted it online. Since then, this image has gained a considerable amount of attention as many are inspired by the Syrian refugee's charitable humanity.
Pour la première fois depuis presque vingt ans, leurs téléphones ont sonné dans le vide. Jeudi 12 février, les quinze agents de la plateforme du 115 de Seine-Saint-Denis, créée en 1997, se sont mis en grève pendant quelques heures. Un choix fort, et symbolique, pour protester contre la saturation de ce numéro vert et leur incapacité à répondre de manière satisfaisante aux demandeurs d’un hébergement d’urgence.
Un mouvement dont la date n’a pas été choisie au hasard, puisque la mobilisation du SAMU social s’inscrit dans celle, plus large, de la “Nuit solidaire pour le logement”, organisée de jeudi à vendredi sur tout le territoire par des associations afin d’alerter sur l'intensification préoccupante de l’extrême pauvreté.
Avez-vous déjà entendu de RockCorps ? Lancé aux Etats-Unis en 2003, cette initiative souhaite bâtir un pont entre les associations et celles/ceux qui peuvent les aider. Son principe: mettre en avant l’engagement de la jeunesse dans la société par le biais de la musique. Découverte.
"Tu donnes, tu reçois", tel est le créneau qui fait office de devise pour les participants de l'Orange RockCorps. Ici, chaque jeune qui s'engage à passer quatre heures auprès d'une association reçoit en échange une place pour assister à un concert exclusif. "Aucune place ne se gagne, ni ne s’achète, elle se mérite !" expliquent les organisateurs.
Comment transformer un acte d’achat en réflexe solidaire ? C’est le défi que s’est lancé Solimoov, nouvelle plateforme de consommation en ligne. Le principe est simple : on se connecte sur le site, on passe commande puis on soutient gratuitement l’association de son choix, qui se voit reverser jusqu’à 25% du prix d’achat. Et avec 127 sites marchands partenaires, trouver son bonheur est à portée de clic ! Grande distribution, téléphonie mobile, sport, habillement, mais également transport, hôtellerie, loisirs, voyage… Le secteur associatif n’est pas en reste puisque 18 structures bénéficient d’ores et déjà de la solidarité des e-consommateurs. Et comme le dit Solimoov, « ça ne vous coûte rien de plus ! Rien. Nada. Zéro. » Alors... rejoignez le mouvement !
A Lavapiés les familles dans le besoin participent à la collecte et à la distribution de nourriture. La « Despensa Solidaria » mise en place par le réseau Red de Solidaridad Popular (RSP) est une initiative citoyenne, solidaire et contributive. Miguel Hernandez Gomez est étudiant . Agé de 18 ans, il fait partie de Red de Solidaridad Popular (le réseau de la solidarité populaire) à Madrid. Tous les samedis, les membres du réseaux vont dans différentes grandes surfaces pour collecter de la nourriture et des produits de première nécessité auprès des clients. Les produits récupérés sont ensuite stockés et distribués deux dimanches par mois dans les locaux du journal Diagonal , Calle de la Fe, dans le quartier de Lavapiés.
Cette plateforme originale de crowdfunding permet la réalisation de projets solidaires locaux à fort impact sociétal sur le territoire. Le principe : Le citoyen donne 10 euros, l'entreprise partenaire ajoute 10 euros. En d'autres termes, lorsque un don est fait pour soutenir un projet, une entreprise abonde du même montant ce qui permet de doubler le montant du don !
Rafia Zakaria, une journaliste pakistanaise doctorante en sciences politiques et spécialiste du développement a lancé dans une tribune publiée par le site d'Al Jazeera et aussitôt reproduite par des dizaines de blogs sur l'humanitaire un sujet qui couve depuis quelques temps autour de la coopération avec le Sud.
Il serait peut-être temps de contrôler la bonne conscience béate qui entoure le "tourisme humanitaire" et les programmes de volontariat international, ou encore les "vacances solidaires". Des expériences extrêmement formatrices, certes, pour les riches Occidentaux, étudiants ou retraités et qui épongent bien la soif générale actuelle de bien faire. Elle sont aussi extrêmement intéressantes pour les ONG et programmes d'aide sans grands moyens qui y trouvent une main d’œuvre abondante et bienvenue car gratuite.
Rafia Zakaria n'y va pas par quatre chemins : "La demande en pleine explosion de vacances altruistes nourrit le complexe humanitaro-industriel du sauveur-blanc." Et : "Non, ce n'est pas trop demander que de demander aux touristes occidentaux de savoir ce qui peut aider avant de devenir une plaie, celle du touriste blanc".
Du 19 mars au 2 avril, débarrassez-vous de vos vieux vêtements sans pour autant les jeter. Offrez une deuxième vie à vos habits grâce au « Vide Dressing » !
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S’inspirant des librairies partagées, l’américaine Jessica Maclard a voulu mettre en place un garde-manger 100% gratuit. The Little Street Pantry, immédiatement approprié par les habitants, doit permettre de partager de la nourriture entre voisins, en particulier avec ceux qui sont dans le besoin.
Plus de 250 personnalités et organisations s’insurgent contre la décision de l’Etat de raser la moitié de la surface de la « jungle » de Calais, alors que des espaces de vie sociale s’y organisent.
Dans un entretien exceptionnel, le sociologue et philosophe Edgar Morin ausculte, du haut de ses 94 ans, l’état du monde et celui de la France. Economie, Front national, islam, fanatisme, immigration, mondialisation, Europe, démocratie, environnement : ces enjeux trouvent leur issue dans l’acceptation du principe, aujourd’hui rejeté, de "complexité". Complexité pour décloisonner les consciences, conjurer les peurs, confronter les idéaux, hybrider les imaginations, et ainsi "réenchanter l’espérance" cultivée dans la fraternité, la solidarité et l’exaucement de sens. "Le seul véritable antidote à la tentation barbare a pour nom humanisme", considère-t-il à l’aune des événements, spectaculaires ou souterrains, qui ensanglantent la planète, endeuillent la France, disloquent l’humanité. "Il est l’heure de changer de civilisation." Et de modeler la "Terre patrie."
L’association Mon premier bureau a ouvert le premier espace de coworking solidaire de la capitale. Elle y accueille, pour 99 € par poste de travail et par mois, des chômeurs en création d’entreprise dont les ressources sont trop faibles pour leur permettre d’accéder à un bureau ou un atelier sur le marché privé.
Via Xavier de Mazenod, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Un revenu de base, inconditionnel, universel et individuel, pourra difficilement se mettre en place en un jour. Il demande une multiplicité de réformes trop importantes pour être l’œuvre d’une seule loi. Nous proposons ici un cheminement possible pour une mise en oeuvre progressive d’un revenu de base inconditionnel, universel et individuel.
Il faut garder en tête que le but ultime de ces réformes est de parvenir à terme à la mise en place d’un revenu de base, et non pas de s’arrêter en chemin. C’est pourquoi, avant même d’engager le processus par étape vers un revenu de base, il nous semble nécessaire d’acter le principe selon lequel nous allons nous orienter vers la mise en place du revenu de base universel, inconditionnel et individuel, comme cela a été fait en 2003 par le Brésil qui, pour le moment, s’est arrêté à l’étape de la Bolsa Familia.
A en croire Winston Churchill (et on en a très envie) “On vit avec ce qu’on obtient. On construit sa vie avec ce que l’on donne”. Autrement dit, pour accomplir son destin un homme aurait autant besoin de gagner de l’argent que d’en donner. Mais en avons-nous tous conscience ? C’est pour avoir un début de réponse à cette question que cette expérience intéressante a été tentée.
A côté des squats, ou des hangars désaffectés occupés par des artistes, se développent de nouvelles manières d’investir des bâtiments vides ou des maisons laissées à l’abandon. Dans des villes situées aux extrémités de l’Europe, Bucarest et Malaga, deux initiatives récentes viennent questionner la notion de propriété et de communauté urbaine. En Roumanie, des jeunes sans emploi rénovent les vieilles bâtisses menacées de démolition, avec l’accord des propriétaires. En Espagne, face à la crise, des familles s’installent dans des bâtiments appartenant à des banques et assurances. Reportage à l’intérieur de ces alternatives au mal-logement, alors qu’en France des dizaines de milliers de personnes sont expulsées chaque année de leur habitation.
Une exposition photo pour valoriser l'accompagnement social des Structures d'Insertion par l'Activité Economique de l'Essonne
Vous avez dit insertion ? L'insertion par l'activité économique représente en France plus de 5000 structures et 300 000 salariés accompagnés, mais subit une méconnaissance notable ! Aidez nous à y remédier !
La directive européenne n’est pas encore terminée et, après l’arbitrage sur son contenu trouvé en décembre 2013, le circuit de révision de la directive de 1996 se poursuit (*). Car, aux dires mêmes de Bruxelles, « les conditions de travail et d’emploi minimales ne sont souvent pas respectées dans l’UE pour les travailleurs détachés, qui sont à peu près un million ».
Au Hameau des Buis, au cœur de l’Ardèche, se joue depuis dix ans une aventure humaine peu ordinaire. Autour d’une école à la pédagogie innovante s’est construit un écovillage, rassemblant ceux qui veulent vivre différemment, en conjuguant acquis de la modernité et sobriété écologique. Sur ce lieu, des maisons bioclimatiques, bâties avec des matériaux écologiques et locaux, ont vu le jour. Et des liens intergénérationnels, basés sur l’écoute et la solidarité, se tissent. Petite visite de ce projet expérimental, où les habitants apprennent à vivre ensemble, autrement.
En août 2013, AP publiait un focus sur un artiste originaire d’Oakland dont le projet consistait à fabriquer des abris pour SDF en partant de conteneurs à déchets.
Lors d’une réunion, elle balance son idée. Toute chaude, mal dégrossie. Pourquoi ne pas négocier pour les habitants une mutuelle communale ? Avec des meilleures prestations et des tarifs plus bas à la clef. Sans compter le « vent de solidarité », bouffée d’air bienvenue dans ces villages d’agglomération, villages dortoirs ou vieillissants.
Via Bruno MECHIN, Bernard BRUNET
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